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Bureau A. Hoffman : Un chat de perdu & Aucune femme de retrouvée (Alexander Hoffman)

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Sam 7 Juil - 10:17

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Un chat de perdu & Aucune femme de retrouvée

Il se prélassait là, sur les genoux d'une jeune femme, sa tête ébouriffée contre ses cuisses, bien installé et pas près de vouloir partir. Sa joue poilue de pas rasé frottait sur la peau de la jeune demoiselle qui portait une jupe d'uniforme atlante. La blondinette, elle, elle le trouvait trop mignon, et ne pouvait pas s'empêcher de lui papouiller la tête de grattouilles. Alcoolisée oui, mais elle paraissait sincère à la trouver mignon, malgré les yeux trop pétillants de bulles de champagne. Il était tard. En pleine nuit. Il en ronronnait.
Pour sûr, Liam était jaloux de ce chat qui avait trouvé sa blondinette alors que lui s’alcoolisait solitaire au bar. Il était tellement baigné de son sang dans l'alcool qu'il aurait pu trinquer à la réussite du chat.

Quelques heures passèrent.

Liam dormait à présent sur un canapé de la salle de détente. On n'avait sans doute pas eu le courage de virer le pompier de là peut-être bien parce qu'il pesait trop lourd de sa carrure. Comme souvent dans sa vie, il eut le cul bordé de nouilles : on ne pensa pas non plus à appeler un militaire pour le déloger de là.

Liam, endormi, respirait fort sur le ventre, la tête bien défoncée, les yeux fermés, les lèvres bavant un peu. Il ne ronflait pas le garçon, mais ça arrivait qu'il ronfle un peu avec l'alcool. Parfois, un ronflement venait alors, et, se réveillant presque, il bougeait un peu, mais au final ne se réveillait toujours pas. Il ne se contenait que de réagir un peu. Ça se voyait : il avait fait très probablement la fête toute la nuit et ne s'était écroulé que vers 5-6h du matin. Il venait d'arriver sur Altantis, il fallait bien fêter ça et qu'il fasse couler le champagne à flot et la bière à foison ! Il était 8h et bien sûr il n'était pas prêt de se lever. Son cerveau, en plein sommeil de plomb, programmait déjà de ne pas se réveiller avant 11h voire 12h avec l'arrivée de nouveaux atlantes dans les environs.

Sauf que, à 8h tapante, un chat qui passait par là fut intrigué par la tignasse de ce lion mal léché de Liam. Assis au pied du canapé, le chat se mit à miauler vers Liam. Le pompier ne voulant pas se réveiller et préférant changer de côté, tout simplement, se rendormit un peu. Le chat qui n'avait sous le pied que cet humain à câliner décida de monter sur la canapé et de rejoindre le gars. Il commença à miauler de nouveau, à ronronner et à vouloir se faire une place. Liam commença alors à se réveiller un peu. Il soupira comme un gars qu'on réveillait.

"Laisse-moi dormir...."
Dit-il d'une voix endormie.

Mais le chat vint se mettre en boule et se coller près de la chaleur humaine. Il commença à se toiletter un peu, à ronronner toujours, et à ne même pas vouloir dormir au grand désarroi de Liam qui, à nouveau, soupira un peu. Mais, Liam, trop défoncé, persista à dormir. Un petit temps passa. Le pompier et le chat dormirent de concert.

Puis 11h10 arriva. Il eut quelques personnes du personnel qui arrivèrent. Le spectacle était, au choix, soit lamentable pour certains, comique pour d'autres, et surtout gênant presque tout le monde, car il fallait bien préparer de nouveau la salle. Quelqu'un arriva près du pompier. Une jeune femme. Elle put apercevoir le chat emmitouflé près du gars. Elle le retira de là non sans bouger le bras du pompier qui couvait l'animal. Le chat se laissa prendre. A ce qu'on touche son bras, et à sentir la perte de chaleur soudaine près de lui, le pompier lui finit par se réveiller et à ouvrit enfin définitivement ses yeux cernés par le court et dérangé sommeil.

""Hé... Qu'est-ce que vous faites.. ?"
Dit-il d'une voix se réveillant du sommeil restant toujours allongé.
"Il est trop mignon !"
"Ouais je sais..."
Commença à sourire Liam en pensant qu'on parlait de lui semblerait-il.
Mais, lorsqu'il redressa la tête, se redressant sur le canapé, et restant assis dessus, il vit la jeune femme avec le chat dans ses bras et s'étant ainsi adressé au chat. Liam y croyait à moitié de toute façon que c'était pour lui le compliment.
"Hé ! C'est mon chat !"
Réagit-il aussitôt.
"Ah vraiment ? "
"Oui, je l'ai recueilli, le pauvre, il a été abandonné par sa mère sur Terre vous savez. Il avait une patte cassée. Je l'ai soigné. Je n'ai pas pu m'en séparer en venant sur Atlantis. Lorsqu'on m'a demandé ce que j'emporterai avec moi, j'ai tout de suite dit, mon chat Caporal. Mon chat. Désolé de m'être un peu emporté, c'est que, j'ai un lien très spécial avec lui. Il est comme un enfant perdu pour moi. Mais puisque c'est vous, je veux bien vous laisser le prendre dans vos bras et le caresser. Avec tout ce qu'il a traversé, il lui faut bien ça. Je m'en veux tellement de ne pas toujours lui apporter autant d’affection que je le voudrais... Lui comme moi nous manquons tant d'affection..."
Commença-t-il son numéro.
Ça aurait peut-être pu fonctionner. Peut-être. Ce n'était pas certain. La brunette paraissait peu sensible au discours. En tous cas, il n'aurait jamais pu fonctionner avec elle par le simple fait déjà qu'elle reconnut le chat et qu'elle connaissait le maître du chat comme beaucoup à la Cité.
"Mais oui bien sûr."
La jeune femme lui rendit le chat qui miaula un peu. Elle lui mit sur ses genoux.
"Je vous laisse le retourner à son maître et partir d'ici. Je dois préparer cette salle avant que d'autres n'arrivent."
"Et et c’est qui son maître ?"
Mais elle ne lui répondit pas. Elle s’était déjà empressée à partir.

"C'est qui ton maître ?"
Demanda Liam totalement décoiffé au chat.

Le chat, pour sûr, lui miaula en réponse. Il n'arrêtait pas de miauler. La faim peut-être ? Liam ne trouva aucun collier et aucune médaille. Il examina son oreille. Il semblait tout de même tatoué. Peut-être était-il pucé alors. Puis, soudain, Liam sentit une odeur un peu déplaisante. Il regarda le chat. Ça ne venait pas de l'animal. Liam passa sa main près de sa bouche, la courbant vers son nez, et expira. Il grimaça. Il avait une haleine d'alcool ! Il chercha dans sa poche de jean et en tira un chewing-gum qu'il mit en bouche par sa paume. Il se recoiffa à la vie va vite avec une main qu'il passa dans ses cheveux. Liam garda ainsi un léger air ébouriffé dans sa coiffure du jour. Il mâcha son chewing-gum. Désormais un peu près présentable, au strict minimum syndical, il se redressa et prit le chat avec lui dans ses bras. Liam se montra doux et affectueux avec l'animal. Le secouriste adorait les animaux.

"Allez viens. On va d'mander à tous ceux qu'on croise jusqu'à ce qu'on ait son nom, puis on leur demandera où il crèche. Mais d'abord, on va aller te chercher à manger."

Il se rendit au réfectoire vers 11h20, alors, déjà, il commençait à y avoir un petit peu de monde. Liam, roublard, se fraya un chemin, comme s'il était de la maison. Son attitude, tellement confiante à paraître comme légitime, et tellement peu habituelle à voir, fit qu'on le laissa passer. Après tout n'était-il pas infirmier, mais aussi pompier secouriste et chargé des urgences ? Si on l'avait coupé, il aurait sans doute prétexté une urgence. Il aurait peut-être dit la vérité, que c'était pour le chat, ou il aurait peut-être dit un mensonge. Pas que Liam mentait toujours bien, mais c'était comme si son mensonge passait parfois bien, peut-être car celui-ci jamais tant que ça si malveillant. Il alla voir directement un cuistot en entrant dans la cuisine avec le chat sans se ménager.

"Vous auriez à manger ?"
"Désolé, mais vous devez faire la queue comme tout le monde ! Et sortez-moi ce chat de la cuisine, il va mettre des poils partout !"
"C'est pour lui. Regardez-le, il n'a pas mangé depuis hier soir, vous imaginiez ?!"
"Attendez-moi là. Et restez à l'entrée de la cuisine !"
Le cuistot grommela-t-il, mais reconnaissant là le chat du directeur d'Atlantis. Il alla chercher une assiette de poulet qu'il déposa sur un plan de travail près de l'entrée de la cuisine. Liam posa le chat près de l’assiette. L'animal mangea les morceaux découpés avec soin tout spécialement pour lui. Le cuistot lui avait aussi déposé une écuelle de lait.
"C'est que pour le chat. Vous, vous faites la queue !"
Le cuistot insista-t-il en lançant un regard noir à Liam.
"Moi qui voulais tant boire du lait."
Blagua-t-il. Liam, le ventre gargouillant, grimaça, mais accepta le deal.

"Bon allez t'as fini"
Récupéra-t-il ensuite le chat lorsque l'assiette parut vide et l'animal rassasié. Le chat miaula mais se laissa faire. Liam sortit alors et, de là, il s'acharna à arrêter tous ceux qu'il croisa sans exception peu importe les coloris de leurs uniformes et encore moins la présence ou non de galons avec toute la finesse dont le pompier savait faire preuve : "'Excusez, vous ne sauriez pas à qui appartient ce chat ?" "Où crèche son maître ?" Par chance, à la sortie du réfectoire, peu avant le déjeuner du midi, il trouva du monde pour l'informer. Il finit par apprendre que le chat s'appelait Harry et qu'il appartenait à un certain Hoffman. Alexander Hoffman. Liam ne savait pas qui était cet homme et ne demanda pas plus de plus amples sur ses fonctions à Atlantis. Il avait peut-être déjà entendu son nom mais il n'en était pas vraiment certain ou n'avait pas pris en tous cas la peine de s'en rappeler. On lui désigna l’administration, pour lui, cela suffisait pour ramener le chat à son maître. Et, pour ceux qu'il croisait, Liam trop vif, ils ne purent prendre le temps de développer sur Hoffman. En effet, dès que Liam avait ses infos, il se congédiait, avec le sourire, en souhaitant la bonne journée, laissant la personne sur le vif un peu sur place face à une scène peu habituelle et brouillonne.

Liam arriva enfin aux bureaux de l’administration.

Mais, au détour d'un couloir, le chat quitta soudain ses bras pour se rendre à la porte d'un des bureaux. Liam ne le savait pas encore, mais le chat tenta là de rejoindre le bureau d'une jeune femme : Erin Steele, dont le chat était semblait-il un familier.

"Hé, qu'est-ce que tu fous ?!"
Chuchota-t-il au chat.

Le chat gratta à la porte. Elle semblait fermée. Le bureau sans doute inoccupé. Il devait être sous les coups de 12h. Peut-être 12h passé. Pas mal de monde, en fin de compte, se rendait au réfectoire. Mais bon, il alla récupérer le chat et le prit de nouveau dans ses bras, au cas où qu'il y avait quelqu'un dans le bureau. Liam, qui, vérifiant le nom et ne voyant pas celui de Hoffman, se pressa à récupérer le chat et à se faire la malle. Il réagit ainsi un peu comme ces gamins qui sonnaient chez un voisin et se barrait pour la mauvaise blague. L'animal, complice, se laissa faire.

"C'est parce qu'elle est mignonne c'est ça hein ? J'te pardonne alors. On s'rait pas du même poil toi et moi ?"

Liam se rendit au bureau de Hoffman. Il frappa à la porte avec poigne et énergie.

Le secouriste portait des fringues de la veille. Il ne portait pas son uniforme médical d'atlante aux coloris jaune. Il ne savait même plus où il était rangé dans ses affaires dans ses quartiers. Il était sûrement en boule tout froissé. Liam portait sa veste préférée rouge carmin. En dessous, un simple t-shirt bleu ciel. Ce mélange de couleur témoignant d'un effort d'être à la mode mais ne pouvant souligner que le gars frôlait aussi bien souvent la faute de goût. Bizarrement, ça ne passait pas si mal. Il portait aussi un jean mais, en revanche, il avait la discipline étonnante de porter des chaussures noires de pompier de sécurité, pourtant plus lourdes et contraignantes que des chaussures classiques. Liam les portait quasiment tout le temps, même lors de ses footing, sinon il préférait encore rester pieds nus. Autre discipline aussi : il portait au ceinturon, un support de lampe avec sa lampe MSA et un couteau de sécurité d'intervention ainsi qu'une radio. Preuve que l'ancien pompier avait par le passé été souvent d’astreinte et savait qu'un incident pouvait arriver de jour comme de nuit : il avait donc gardé sa radio toute sa folle nuit. Mais c'était bien la seule discipline qu'on pouvait attendre de lui, un gars du genre à dire : j'ai pas d'horaires vu qu'jsuis toujours dispo pour une urgence. Comme toujours, à côté de ces maigres joujoux, il avait aussi à la ceinture son baladeur cassettes, qu'il ne quitterait pour rien au monde.


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Mer 11 Juil - 21:12

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09/07/18 // Un chat des hommes et une histoire
Comment souvent Harry était en vadrouille dans la cité. Le chat restait généralement vers les bureaux de la direction, histoire de voir sa chérie Humaine : Erin et tout le pôle du secrétariat qui le gavait de poulet... Mais parfois, il allait jusqu'à la salle des commandes pour se loger sur les genoux de Mancis, une jolie petite blonde qui adorait les chats. Quand elle était de service pour la porte, elle adorait avoir des moments ronrons avec le chat du directeur. Dans un sens qui n'aimait pas ça ? Après Harry ne voyageait pas beaucoup, surtout vers les zones militaires où il risquait de croiser des chiens. L'animal, revenait après dans l'officie de son maître pour rester avec lui. Ainsi Alexander ne s'inquiétait jamais de savoir où était son matou, s'il tardait à revenir c'est qu'il avait trouvé une jeune femme... ce chat était un grand amoureux de la gente féminine et généralement on lui ramenait Harry avant 19heures.

Cependant, la veille, Mancis fêtait son anniversaire et elle avait trouvé le courage de frapper à la porte d'Hoffman, dans le but de " kidnapper" le matou pour la soirée. Rouge de honte et surtout de timidité, elle avait mis plusieurs minutes avant que sa bouche sorte le premier son. Alexander s'en était amusé intérieurement de voir cette pauvre technicienne si intimidée. Mais il avait de quoi au final, Alexander avait beaucoup de charisme et il était très respecté voir même craint par ses airs si froid et maîtres de lui. Pourtant, il est loin d'être méchant, non bien au contraire, mais l'Hora patron renforçait son élégance et son flegme habituel, le rendant inaccessible. Enfin, il n'interdit personne de frapper à sa porte bien au contraire, il était assez disponible, même en forte charge de travail.

Ainsi, Harry était l'invité d'honneur de la party de Mancis au bar. Le matou avait fait la « fête » avec les humains, même si cela se résumait à faire du charme au barman pour avoir de la nourriture, à ronronner sur les genoux des belles femmes et à être déguisé avec des cotillons. Mais élément qu'ignorait Alexander était que le minet avait fini par délaisser le groupe de Mancis, un peu trop alcoolisé pour finir sa nuit contre un autre humain. Parfois, il ne fallait pas comprendre pourquoi Harry s'entichait avec quelqu'un. Il devait sentir l'amour des bêtes puisque généralement il est collant avec les personnes qui ont ce trait de caractère. La technicienne, ne s'était pas inquiétée de la non présence du chat, car avec le nez rond comme une queue de pelle, elle avait emporté une peluche de chat, pensant que ce fut l'animal. Le lendemain était son jour de repos et elle comptait rendre le précieux Bengale à son patron avant midi.
Ainsi l'anglais avait passé sa soirée avec sa compagne Erin Steele au restaurant avant de regagner l'un de leurs quartiers pour finir la nuit en beauté. Il ne s'était pas particulièrement inquiété de la vie que menait son chat en parallèle, il avait confiance tout simplement. De toute manière, il était habitué à le voir absent quelques heures. Alors, une soirée cela n'était pas très grave et si ça fait plaisir à quelqu'un, pourquoi pas.

L'année en cours était assez mouvementée, entre le mois de septembre où il avait été piégé en mission par un peuple qui lui avait fait faire un rêve réaliste où il mourrait à la fin brulé vif...ainsi que les membres de son équipe, une sorte d'hunger game ! Élément qui le travaillait encore maintenant durant certaine nuit et le mois de mai assez mouvementé où l'homme avait été gazé avec le reste du CODIR par des Morphéas alors qu'ils étaient en stratégie de guerre à distance...On ne va pas dire qu'être directeur ce n'est pas sans risque ici. La nuit fut mouvementée pour l'homme qui cauchemarda une nouvelle fois de sa mort et à la place de voir le lieutenant Pedge Allen mourir dans ses bras ce fut sa propre compagne... Que de joie vous me direz !

Il s'éveilla le lendemain matin en sueur, avant de toucher le côté chaud du lit et constater qu'Erin était toujours en vie. Il se colla contre elle, avant de devoir se réveiller à la seconde sonnerie. L'homme passa sa journée dans son bureau avec deux réunions dans un laboratoire avec le Dr Zelanka sur l'avancement d'un projet de recherche. Il mangea d'ailleurs avec le professeur qui était intarissable sur sa nouvelle découverte. Pour une fois, qu'il mange tôt en plus il devait faire un voeu comme disent les Français ! Aux alentours de midi il revenu dans son bureau, pour préparer un dossier de financement pour ce projet.

Quelques minutes après qu'il est allumé son ordinateur quelqu'un frappa à la porte, il y a de forte chance que ça soit Mancis, ramenant son cavalier à poil. En tout cas, elle y mettait de l'énergie la petite demoiselle ! L'anglais se déplaça vers celle-ci pour ouvrir... La surprise ce lu sur son visage, ne s'attendant pas à voir Mancis changé en homme blond et à l'air malicieux... surtout avec une taille largement supérieur aux 1m56 de la jeune femme... Elle, elle avait fait un vœu étrange à sa marraine la bonne fée à minuit ! Mais Alexander n'eut pas le temps de la saluer convenablement qu'Harry sauta immédiatement des bras de celui-ci pour se loger dans ceux de son élégant maître habillé en costard bleu marin trois pièces avec une chemise claire en dessous.

Le matou ronronna avec force avant de se loger sur les épaules de l'anglais et se frotter la tête sur les joues rasées de celui-ci. Alexander eut un petit rictus amusé par cette effusion d'amour, avant de prendre son chat qui était en train de lui faire une écharpe avec cagoule intégrée de son corps. Il ne voyait plus rien et il allait étouffer dans le bidou de son compagnon à quatre pattes ! Il devait être véritablement en manque d'amour ce petit ! Chose fausse, le matou avait dû avoir sa dose de papouille. Mais ce n'était pas pour les câlins envahissants de l'animal qu'il le retirait, le poil du chat puait l'alcool ! Et ça... c'est juste insupportable avec l'odeur de cigarette froide. Ce chat puait l'après fête et l'eau de parfum féminin entêtant !

« Et bien Harry je t'ai déjà dit de ne pas trop boire quand tu es en soirée » grommela l'homme qui tentait de respirer ! Il attrapa son animal, qui se retrouva avec les pattes arrière dans le vide, soutenu sous les épaules par les mains de son maître. Harry lui fit des yeux adorables.

« Mraouuuuw !!» Fit l'animal pendant dans ses bras, avant de roucouler quand il le déposa sur le dossier de son canapé. Le petit animal, avait la queue en l'air et semblait se pavané fièrement sur le dossier en cuir.

Alexander reporta son attention sur l'homme qui était habillé d'une manière douteuse, mais au vu de son équipement il devait être le nouveau pompier infirmière qu'ils avaient recrutée. Faut dire que les incendies de mai déclenché par les morphéas avaient mis en avant qu'un pompier de plus ne ferait pas de mal ! Vu sa tête de petit nouveau, Alexander se doutait qu'il était récent sur la belle cité. Il lui tendit une main pour la saluer.

« Bonjour, Alexander Hoffman RDA d'Atlantis. Je dois avouer que je ne m'attendais pas à voir Harry me ramener un homme. Comme quoi les goûts changes à 4 ans » Fit-il avec humour et un rictus au coin des lèvres.



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Ven 27 Juil - 11:38

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Un chat de perdu
Aucune femme de retrouvée

Un chat des hommes et une histoire


Liam attendit un peu devant la porte du bureau administratif après y avoir frappé avec énergie. Et puis, très vite, il croisa le regard de celui qui lui ouvrit la porte. Avenant, le pompier lui adressa un sourire, un peu filou, comme Liam en vrai, avait bien souvent.
Mais aussitôt le chat Harry sauta sur son maître et rejoignit ses bras. Le maître parut à Liam comme british, bien qu’il ne vît aucun drapeau, car l'homme en costard. Eh bien voilà, voilà quelqu'un qui ne portait pas l'uniforme ! Ah mais voilà quelqu'un avec qui sans nul doute il s'entendrait. Si seulement Liam savait qu'il rencontrait là un directeur...! Liam ne savait pourquoi il le pensait déjà et très vite british mais, ce style élégant, cette attitude qui lui parut toute en finesse, tout cela, ça lui parut british au canadien addict de sirop d'érable.

Liam ne put qu'avoir un rire contenu avec sa main gauche venant l'interrompre à ce que le chat se frotte contre son maître et s’enroule autour de son maître telle une écharpe voire une cagoule. Le secouriste, grand gamin, se retenait vraiment de rire. Il baissa la tête un instant et la secoua un peu comme à se contenir et revint du regard à ses deux interlocuteurs qu’il trouva bien sympathiques. Hum, il devait bien être le maître du chat, à ne pas en douter ! Avec cet amour !

Hoffman réprima son chat sur l’alcool tel un peu un paternel à grommeler tout en cherchant à se frayer un chemin de sa respiration sur un peu d’air à travers son foulard à poil. Liam se sentit un peu complice de cette odeur du chat mais il ne devait pas être le seul et par pure malice il se disait que la jeune femme avec laquelle le chat avait squatté ses genoux avait dû bien plus y participer que lui ! Le chat tenta son excuse à miauler comme y faisant les yeux doux. Ah la la, il avait tout compris ce chat, se disait Liam. Il avait tout compris. Hoffman le déposa même sur un canapé. S'il n’avait pas la vie de rêve celui là. Liam regarda un instant le chat. Ah, s’il état bouddhiste et croyait en la réincarnation, il voudrait se réincarner en chat. Et, sur Atlantis bien sûr, pour, comme lui, être le seul et unique chat du coin. Enfin du coup Harry avait déjà la place du chat unique ! Il y aurait donc deux chats mais… Liam serait le plus beau bien sûr ! Enfin c'était ce que Liam penserait... En vrai à coup sûr il serait sans doute un chat avec des poils dans tous les sens et qui se toiletterait pas suffisamment pour paraitre mignon et qui n’arrêterait pas de jouer au ninja toutes les nuits. Bref, pas sûr qu’il aurait autant de succès que Harry...

Hoffman revint à Liam et lui tendit sa main. Liam, très réceptif à tout et chaleureux comme gars, lui empoigna et lui serra la main aussitôt d’une bonne poigne de pompier et le salua, avenant comme toujours.

Quoi ?! LE RDA D’ATLANTIS ? Ah mais merde ! Faut que je me barre de là ! Ah moins que Liam n’avait pas bien saisi. R pour Responsable ? D pour Directeur ? En effet, rien que ces deux lettres annonçaient déjà pour Liam comme un mauvais présage. Quoi que cela pouvait être drôle d’enquiquiner la direction euh pardon de papoter un peu avec la direction. En apparence, rien ne transparaissait sur Liam qui continua à sourire bien qu’un léger temps avec un sourire comme un peu bancal un bref instant. Un peu comme, une chaise soudain à trois pieds, qui revint à quatre pieds. Avec, pour sûr, un gosse se balançant dessus.

« Bonjour, Liam Sandon. » Serra-t-il la main du RDA et se présenta-t-il en retour lui aussi. « RDA… ? Les abréviations de… ? Recherche et Développement sur Atlantis ? » Liam proposa-t-il, alors que bon, s'il y réfléchissait deux minutes à revoir son costard élégant, Hoffman ne lui parut pas vraiment chercheur. Hoffman évoqua les goûts de Harry qui avaient bien dû changer pour ramener un homme au bercail. « Oh ? Il a 4 ans. Ouais, j’ai vu ça, il aime la compagnie des femmes. Je parie qu’il en drague pas mal ? Ça doit être mon petit côté féminin. » Donna Liam en hypothèse dans l’humour. « On en a tous un. » Déclara-t-il sur la gente masculine, toujours, dans un brin d'humour. Puis Liam y réfléchit, et même, bien vite, car vif comme gars « Hé mais, Harry, il vous en ramène beaucoup des femmes ? Combien par jours ? » Posa-t-il la question, paraissant à l'aise et sociable, l'amoureux des bêtes.

Code by Fremione.

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Mer 15 Aoû - 15:40

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09/07/18 // Un chat des hommes et une histoire
Il devrait toucher deux mots à Mancis sur le fait qu'Harry devait quand même être lavé après leurs sauteries du soir. Ou éviter de servir d'éponge à alcool... bref vu l'odeur le chat avait trainé dans cette fête au point qu'on l'ait oublié et qu'un inconnu vient lui ramener sa boule de poil. Cela n'avait pas d'importance, tant que son chat était vivant et en bonne santé, mais une question de principe. En tout cas, l'homme semblait suffisamment aimé les bêtes pour chercher le propriétaire a moins qu'il cherchait une propriétaire ? Ramener un chat à une femme pouvait être une bonne accroche pour draguer. Déjà qu'un animal était l'accroche ultime pour attirer la gente féminine. Enfin bon si l'homme était venu dans l'espoir de décrocher un rendez-vous avec une belle jeune femme, il était mal tombé.

Le matou fini sur l'imposant sofa en cuir et naturellement le minet commençait à se lécher pour une toilette qui ne serait pas du luxe. Il est presque étonnant qu'il ne s'en soit pas soucié avant. Alexander quant à lui tendit une main vers l'homme qui avait une sacrée poigne, cela l'amusa intérieurement. Certain juge un homme sur cette dite poigne, pour voir s'il est fuyant ou brave. Liam avait de la force et cet aspect avenant qui le rendait un peu tout feu tout flamme. Il ne serait pas déçu de celle de l'anglais qui sous ses airs raffinés avait aussi une poigne assez forte. Mais cela était dû a son caractère dominant et sûr de lui. On n'est pas patron pour rien. Chose qu'il était (et l'est toujours) sur terre avec son entreprise et ici en second responsable de cette immense cité de légende.

Hoffman l'observait tout comme il le faisait pour chacun de ses interlocuteurs. En tout cas, le petit rictus bancal de l'homme qui contrôlait son faciès était signe d'une surprise. Il ne savait donc pas à qui il ramenait le chat. Amusant. Généralement les nouveaux ne font pas attention à la hiérarchie, ils sont trop de chose à prendre et à s'émerveiller et ne retienne que la personne qui les a accueillis. L'homme se présenta en tant que Liam Sandon, ce nom lui disait vaguement quelques choses, il l'avait lu sur la liste du nouvel arrivage de personne.
« Enchanté monsieur Sandon, notre nouveau pompier je suppose ? » Alexander ricana doucement à sa définition de RDA.

« Non Recherche D'alternatives Absurdes » répondit t'il avec flegme avant de se décaler pour le laisser entrer dans la pièce. Alors que déjà Liam continuait dans sur sa lancée ce qui fit sourire l'homme. « Oui, il tient le plus gros tableau de chasse de la cité. Cela rend vert de jalousie certains militaires... » et une pique pour les gris une ! Faut dire que beaucoup de ses gros bras aimaient rouler des mécaniques auprès des jeunes femmes. Il n'y a pas si longtemps que ça, l'un d'entre eux c’est mit en tête de voler la compagne d'Alexander. Il n'est pas de nature jalouse, mais cela l'emmerde profondément qu'on vienne marcher (ou piétiner) sur ses plats de bande surtout avec autant d'insistance. Encore... qu'on drague Erin c'est normal c'est une femme très belle et très intéressante, mais la conscience humaine vient à arrêter l'action quand on apprend que la belle est déjà prise. Pas comme ce Wakk qui continue et espère lui voler en l'assumant clairement, comme dans une rivalité absurde. Comme si un pauvre petit moineaux pouvait prendre le nid d'un aigle.

La question de Liam fit rire une nouvelle fois Alexander qui le regarda d'un air malin. C’est bien une question d’homme ça ! Et cela n’était pas surprenant, ce n’est pas la première fois qu’on lui fait remarquer l’aimant a femme qu’est Harry !
« Dite moi un chiffre nous verrons si vous brûlerez ou non. » Oui Harry ramenait beaucoup de jeunes femmes, il avait son fan club, mais dans un sens qui pouvait résister à cette bouille d'amour de chat ? Mais bon, le chat avait son succès, mais son propriétaire limitait l'afflux, on ne dérange pas inutilement un directeur. Il l'invita à prendre place et lui proposa une boisson chaude. Dès que Liam fut en place Harry lui sautai dessus lui ramenant une balle en mousse violette.




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Mar 2 Oct - 23:56

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Un chat de perdu
Aucune femme de retrouvée

Un chat des hommes et une histoire


Liam avait été un peu déçu de ne pas tomber sur une jeune femme. Une, belle jolie jeune femme, propriétaire de ce chat. Ah, il n’avait même pas eu le temps d’y fantasmer un peu. Mais bon, il tombait sur quelqu’un qui ne portait pas d’uniforme et de la direction alors ce n’était pas si mal.

Malgré le côté british de l’homme, il avait bonne poigne, le propriétaire de ce chat ! Quoi de plus normal pour un « boss » car même si Liam avait opté pour le déni et la blague, il fallait bien qu'il se le dise, il devait surement être en présence du directeur de la Cité… Ah la la, bon bah, tant pis, maintenant qu'il était là, autant crécher, la direction ou pas... !

« Enchanté monsieur Hoffman. » Répondit-il, en gars très spontané et avec, avenant, toujours, un sourire.

« Yep, c’est exact. » Acquiesça-t-il sur le nouveau pompier.
C’était bien lui. Liam était encore très attaché à son statut de pompier et n’arrivait pas encore à s'y faire à celui d’infirmier. Alors, cela le mettait d'autant plus à l’aise que d’entendre ce statut de pompier plutôt que son autre statut d'infirmier. Il venait d’arriver sur la Cité alors… Ça ne faisait pas encore son chemin...

Liam, amusé, rigola de bon cœur avec Hoffman sur le « Recherche D’alternatives Absurdes », « Ça j’aime bien ! » Déclara Sandon. Liam imaginait des chercheurs qui étaient là, à longueur de journée, à penser à des alternatives absurdes, et se concurrençaient à trouver LA alternative la plus absurde. « Vous recrutez ? » Blagua-t-il. Parce que, niveau absurdité, le pompier pouvait peut-être bien en avoir sous le pied, et pouvait ne pas rougir à présenter son CV avec lequel il pourrait peut-être bien se défendre.

Le pompier entra volontiers dans le bureau du directeur, ce dernier le laissant rentrer.

« A c'point ? Nah, vous m'faites marcher ? » Répondit-il sur le tableau de chasse de Harry et la jalousie des militaires. Il faisait vraiment tomber à la chaîne les nanas ce chat ? Ce chat si mignon ? Mh, ouais c'était crédible mais... Attention, il lui en faudrait des preuves à Liam ! Mais, quelque part, il voulait bien y croire volontiers, du peu qu'il avait vu hier soir sur les performances de ce chat... !

Et puis, Hoffman lui proposa un jeu : celui de donner un chiffre pour Harry. Oh ! Un jeu où il fallait miiiiseerrr ! Liam, joueur de poker, ne pouvait que rentrer dans ce jeu. Hum, combien par jours donc, Harry ramenait-il des femmes dans le bureau de son propriétaire ?

« Mmmh, on parle d’une moyenne bien sûr, car il y a des jours où il ramène moins de femmes à votre bureau que d’autres je suppose ? » Puisque, apparemment, son tableau de chasse était garni, Liam se lança sur le chiffre... « En moyenne j’dirai 5 par jours. » Allez 5 !

A l’invitation du directeur, l’infirmier s’assit et acquiesça volontiers à la proposition d'une boisson chaude. Il n’était pas contre une bonne boisson bien chaude le fêtard. « Ah j’veux bien s’il vous plait. » Dit-il comme si c’était le frais matin alors qu’il était midi passé... « Du kawa, vous auriez ? J’suis addict du café. » Dit-il spontané mais doux, posé et poli. Liam avait tant besoin de se réveiller de sa fête de cette nuit. Ça lui ferait du bien un bon café. Hum, il en sentirait presque déjà l'odeur...

Mais dès que Liam s’assit, Harry lui sauta dessus et lui ramena une balle en mousse violette. Ooooh. Il était trop mignon ce chat sérieux, vraiment trop mignon ! Il faisait fondre le cœur des filles ? Euh, bin, problème alors, il faisait fondre le cœur de Liam aussi. Mh, Liam était-il une fille derrière l’homme ?!?! Ça s’appelait comment déjà au fait, ce raisonnement logique ? « Ça s’appelle comment déjà le raisonnement où si je dis que, Harry fait fondre le cœur des femmes, donc tous ceux qui fondent pour Harry sont des femmes, donc Liam Sandon est une femme ? Non, attendez, donc si Liam Sandon fond pour Harry, alors Liam Sandon est une femme. Vous savez, le raisonnement d’ce genre, qui, en fait, est un raisonnement, bah tiens justement, absurde ?! »

Liam fondait tellement quoi. Il prit la balle violette en mousse. Il la jeta en hauteur d'une bonne poigne et la réceptionna comme pour narguer un petit peu mais gentiment Harry. Car, dans une complicité, comme lui montrant ce qu’il savait faire lui l'humain. Il passa la balle dernière son dos pour la lancer et la ramener devant lui et la réceptionner de l'autre main toujours en montrant ça au chat. Liam se laissait alors aller à ce côté filou qu'il avait, ce côté un peu voleur même s'il ne volait jamais rien, pas cleptomane. Pis, finalement, il montra la balle au chat pour jouer avec lui. Il commença alors à jouer avec le chat. Liam ne craignait pas les griffures de jeu, il adorait trop jouer avec des chats, des chiens, bref les animaux, pour ça. Liam adorait les animaux. Il pouvait passer des heures à jouer avec eux. Liam s’amusait à mettre à l’épreuve l’adresse du chat, Liam, lui-même homme d’adresse, il adorait jouer comme ça avec les animaux. Il mettait au regard la balle, pis, pouf, elle disparaissait, et, pouf, réapparaissait. Dans le jeu, le chat arriverait sans doute à saisir la balle de ses pattes, et Liam continuerait à jouer, à la reprendre et lui à lui redonner, à faire aussi, petite pression à résister, pour enquiquiner, bref, à jouer en gros, comme un vrai gamin. Liam aurait voulu s’y connaitre en magie et prendrait le temps de s’entraîner un jour, mais, pour l’heure, il faisait que des gestes d'adresse. Liam était plutôt agile de ses mains. Il le fallait bien, pour être capable de tricher aux cartes et d'en planquer et d'en sortir discretos ! Eh oui eh oui...

« Il est resté joueur ! C’est un bon chat ça. » Dit-il en parlant au chat avec affection dans sa seconde parole et comme complimentant le chat un peu papa poule. En général, on disait ça plutôt aux chiens, mais Liam disait ça volontiers avec tous les animaux, « Vous l’avez eu à sa naissance ? » Demanda Liam curieux et conversationnel à Hoffman.


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Dim 21 Oct - 16:14

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09/07/18 // Un chat des hommes et une histoire
À première vue ce jeune homme semblait très enthousiasme et plutôt naturel. Le statut de pompier lui tenait à cœur et c'est bien quelque chose qui ressortait de son CV. Dans n'importe quel pays, Alexander avait remarqué que ce genre de métier qu'il soit en professionnel ou non procure une fierté aux personnes qui le mettent en avant, voir même au-dessus de leur métier de base. Il était alors naturel qu'il qualifie Liam de pompier en prime abord que d'infirmier. Et il avait vu juste apparemment.

Venu ensuite la définition du « RDA », qui ma foi était une bonne entrée en matière pour ne pas faire imposant. Alexander esquissa un rictus à son vis-à-vis. « Oui, je vous inscris ? » se laissa t'il prendre au jeu, même si avec son caractère il était très facile qu'il s'adonne à l'humour, malgré son air pince sans rire.

Les deux hommes pénétrèrent dans l'imposante office, Alexander proposa naturellement une boisson au pompier alors qu'il lui faisait part du nombre de conquête de son matou. A la question de Liam Alexander lui lança un regard sans ambigüité : non, cela était vrai et il ne le faisait pas marcher. Mais dans un sens personne ne pouvait lutter contre un chat. Surtout quand il est aussi adorable et agréable qu'Harry. L'internet était la preuve terrienne que les humains ne sont que les esclaves de ses animaux.

« En effet, sinon je ne pourrai jamais travailler » assura t'il sur le ton ironique. Puisque bon, il fallait quand même être un minimum être polie et certaine personne négociait pour lui piquer Harry quelques heures. Le chiffre cinq était pas trop mal et l'anglais esquissa un rictus.« 5 s'était au début, quand j'étais chef de projet. Maintenant les personnes osent moins venir rendre visite à un RDA. Donc 3 ». Et puis au début personne ne savait qu'il avait un chat, donc s'était un peu l'attraction.

Heureusement que Liam avait précisé juste après que « Kawa » signifiait café, car sinon il n'aurait pas compris, n'utilisant pas cette appellation en Angleterre. Il lui servi donc un café, il n'avait pas beaucoup le choix, niveau dose n'en buvant pas, mais il avait pris celle que les gens préféraient dans la majorité. On va dire qu'il avait aussi un nombre impressionnant de boite à thé en métal près du meuble à boisson.

« Chacun ses défauts » enchérit Alexander en lui tendant une jolie tasse aux motifs japonais fumante d'un café bien chaud. L'anglais avait pour sa part un thé qui sentait agréablement bon et il prit place en face de Liam, s'amusant de voir son chat profiter de ce visiteur pour lui amener sa balle. Il n'avait pas fini de jouer s'il commençait… et Alexander ne brisa nullement le jeu entre le matou et le pompier. Harry était aux anges, comme le témoignait son ronron bruyant quand il jouait. Très agile il faisait de grand bon, pour rattraper la balle ramenant toujours sa « proie » au nouvel humain.

« Oui, ne sachant pas chasser c'est l'une de ses principales occupations. Jouer, dormir, câliner et manger. » Il but une gorgée de son thé noir« Si vous commencez jouer il ne vous lâchera pas, jusqu'au moment où vous en aurez marre ou qu'il s'écroule de fatigue ». Le matou tapota la cuisse de Liam pour qu'il lance la balle« Oui, je l'ai eu à deux semaines. Je l'ai trouvé dans un hangar militaire, le reste de la portée ainsi que la mère avait été tuée. Vu son type, je pense que la mère était une chatte sauvage qui s'est fait engrosser par un Bengale. Il avait un élevage a quelques kilomètres de là. Et le mâle reproducteur s'était échappée. Il avait des affiches de partout. ». Ce n'était pas la première fois qu'il avait un animal récupéré la « rue ».




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Lun 28 Jan - 2:07

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Un chat des hommes et une histoire


« Avec plaisir ! »
Liam répondit-il à l’appel de l’inscription.
« Je signe quand vous voulez ! »

Liam avait proposé le chiffre 5 à Hoffman concernant les conquêtes de son chat Harry. 5 par jour. Yes ! Il avait tapé dans le mille ! En son for intérieur : un geste du bras qui disait Yes ! J'ai trouvé ! Enfin ça c’était au début. D’après le directeur d’Atlantis. Désormais on venait moins souvent dans son bureau et ce chiffre s’était réduit à seulement 3 !

« Ah ah ! » Liam pointa-t-il du verbe le record de Harry en accentuant sur le premier Ah et comme davantage sur le second Ah.

Liam se sentait capable de battre ce record de 3 par jour. 5 par jour, cela aurait été dur à dépasser, mais, 3 par jour ! 3 par jour cela restait envisageable à battre comme record pour le pompier. Enfin du moins c’était ce qu’il pensait sur le moment à l'annonce de ce record. Et puis Liam avait déjà sa petite idée derrière la tête pour faire péter les scores de câlins. Il ne restait plus qu'à la mettre en place et à dérouler son plan débile un de ces soirs sur Atlantis. Objectif : pluie de câlins !

« J’comprends pas qu’on n'ose pas vous rendre visite.

J’rendais toujours visite à mon chef de caserne. Bon j'le faisais chier la plupart du temps... Mais !
Mais à chaque fois qu’un gars démarrait son service, tout le monde se rendait à son bureau pour le saluer. C’était le p'tit rituel. C’était comme ça. Enfin on était une petite équipe aussi donc bon après si c’est pour que toute une file indienne débarque dans votre bureau encore plus longue que celle du mess au final vaut mieux pas j’imagine hein... ?

J’passais l'voir lui faire coucou. C’était marrant. « Hé, » j’lui disais, « les autres disent qu’on va avoir un nouveau camion ! » Mais c’était vrai ! Quand j’suis arrivé les gars m’ont fait croire qu’on allait recevoir un nouveau modèle de camion qui va plus vite et avec des sirènes qui pètent le son et comme un con j’les ai crus.
»

Liam raconta-t-il et partagea-t-il l’anecdote.

Dans sa caserne de pompiers, comme dans de nombreuses autres, il y avait eu pas mal d’hommes voire que des hommes ou presque. Il y avait eu toutefois quelques femmes. Mais, même avec des femmes parmi eux, on y disait souvent « les gars » en prenant la majorité masculine. Même si Liam n’appréciait pas trop l’autorité, il avait, comme tous les autres pompiers, pris en effet le temps de saluer son chef à chacune de ses prises de service. La première fois, Joe l’avait pris par le col pour lui faire ramener sa fraise auprès du chef. Il lui avait dit un truc du genre : « Arrête de faire ton ado à la con et va saluer le chef. Allez ! » Fallait dire que Liam était jeune à l’époque. 18 ans tout juste. Dans la tête du à peine majeur il avait été plus honteux à vivre de se faire ramener par Joe que d'y aller lui-même, alors, par la suite, il y avait été lui-même pour éviter d'avoir trop la honte !

Liam sourit à Hoffman sur les défauts. De cette expression quelque chose lui disait que Hoffman était quelqu'un de patient. Il ne pourrait s'expliquer. C'était de l'ordre du ressenti. Comme souvent chez Liam. Le blondinet aux cheveux ébouriffés de si bon temps du midi empoigna la tasse de café que lui tendit Hoffman. Après l'avoir remercié, il regarda les motifs japonais de la tasse. Il la tourna un peu sur elle-même alors mettant les motifs à son regard. Liam aimait beaucoup la culture japonaise. Il ne la connaissait malheureusement qu’à travers les mangas mais c’était déjà ça. Liam se réchauffa de sa courte nuit de ses mains sur la tasse et son café bien chaud en son intérieur.

Il sourit. « J’aime bien cette tasse. J’aurai adoré voyager au Japon. »

Puis Liam joua de bon cœur avec le chat de Hoffman.

Liam écouta tout autant Hoffman. Harry passait son temps à jouer, dormir, faire des câlins et à manger. Une vie de rêves pour Liam ! Liam apprit cependant qu’il ne savait pas chasser.
« C’est vrai ça ? Tu ne sais pas chasser ? Bah alors Harry ?! »
Liam dit-il d’un ton doux à Harry tout en continuant à jouer avec lui.

Hoffman lui dit que s’il commençait à jour avec lui comme ça s’en était fini : il ne le lâcherait plus !
« Ha ha. » Rigola Liam de bon cœur à l'apprendre.
« On verra qui s’écroule de fatigue en premier ! » Défia Liam.
Liam relança la balle après que Harry la lui réclame à tapoter sa cuisse et il joua de nouveau avec le chat.

Liam était aux anges à jouer avec Harry.

Hoffman lui raconta l’histoire de Harry. Il l’avait recueilli très jeune. Hoffman l’avait trouvé dans un hangar militaire. A l’histoire narrée, Liam se montra réceptif et regarda Alexander captivé.
Harry était la progéniture d’une femelle sauvage et d'un mâle au pedigree qui s'était fait la malle d'un élevage proche. Liam sourit d’un joli et tendre sourire. Il aimait beaucoup cette histoire sur les origines de Harry et trouvait Hoffman généreux envers ce chaton qui s’était retrouvé à la rue et qu'il avait alors pris avec lui.

Liam s’adressa au chat, « Ainsi, Harry, tu es le fils d’un jeune roi en quête d’aventures et d’une mystérieuse marcheuse de grands chemins ! Rho mais je ne me savais pas en présence de l’héritier de tout un peuple de chats ! » Dit-il à Harry sur un ton impressionné.
« Un jour tu reconquerras ton trône et tu régneras sur les Bengales ! »
Liam était un gars plutôt gaga avec les animaux. Il aurait adoré avoir tout un tas de chiens voire tout un élevage. Il aurait passé son temps à les entraîner à les faire courir en traineaux jusqu'à tomber de fatigue dans la neige même.

« M’sieur Hoffman, j’peux vous demander, j’suis un gars un peu curieux, ça m’intrigue, que faisiez-vous près d’un hangar militaire à l'époque ? Je veux dire, vous avez toujours été proche des instances militaires comme maintenant ? » Liam demanda-t-il à Hoffman.

A cet instant, plutôt fraichement arrivé sur Atlantis, Liam avait encore ce phrasé presque adulescent pour les oreilles de certains. C’était dans la logique des choses. Liam n’avait connu que sa caserne avant Atlantis, une caserne d’exception dans le domaine mais qu’il avait cependant rejoint dès la fin de l'école obligatoire et comme dans la rébellion. Il n’avait pas connu de ruptures importantes dans sa vie pro. Même durant sa reconversion de soldat du feu à secouriste en soins il avait voulu rester dans la même caserne avec acharnement. Il avait traversé des choses qui avait réarrangé une bonne partie de son âme d’enfant en du plus vieillissant mais il était resté ce Liam de la bonne franquette, malgré son éducation de fils d’avocat, proche des incidents domestiques, pour qui le choix d’Atlantis avait été la rupture, en pleine crise Morphéas, comme s’il était reparti à zéro et comme à ses 18 ans.

C’était aussi assez important pour Liam de connaître un peu plus son supérieur même si pour lui son seul et unique supérieur était Carson dirait-il dans la mauvaise foi sans nul doute mais voilà on ne se refaisait pas. Il avait aussi tout autant cherché à connaître son ancien chef de caserne. Et puis, même, sur le plan humain, il aimait bien l'humour de Hoffman et s'intéressait un peu à l'homme. Liam ne savait pas trop s’il pouvait s’autoriser à poser une question un peu plus personnelle au directeur d’Atlantis mais Liam était du genre à tenter le coup assez facilement et sans gêne aucune. C’était dans son caractère. Naturellement assez voire très très sociable.

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Lun 11 Fév - 20:59

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09/07/18 // Un chat des hommes et une histoire


Eh bien voilà une inscription en plus et ils allaient former un nouveau club au nom ubuesque. Tout aussi farfelu que le nombre de conquête du matou qui était bien le seul mâle a avoir une cote aussi élevé alors qu'il était castré. Comme quoi, même démuni les chats étaient largement supérieurs que les hommes.

Un chef de caserne ? Il avait une grande différence entre ce brave homme dirigeant une caserne de pompier et un homme qui dirige une cité de plus de trois cents personnes. C'est comme si on va taper la bise à son PDG d'une multinationale. Mais la comparaison amusa grandement Alexander qui ricana de bon cœur. Il ne jouait pas les hommes inaccessibles et cela lui plus comme petite histoire.

« Vous viendrez donc me faire « coucou » pour me dire que vous avez reçu une nouvelle cargaison de pansement alors » dit‘il pour le taquiner. Alors qu'il lui tendait une tasse aux motifs nippon.

« C'est un très beau pays, mélangeant le moderne dans l'extrême et cette tradition très ancienne ». L'homme avait beaucoup voyagé peut-être un peu trop mais il ne regrettait pas d'avoir vu autant de culture, cela lui avait ouvert l'esprit et c'était une bonne qualité pour mener Atlantis dans une galaxie inconnue et fascinante.
L’anglais lui confiant l’emploi du temps très chargé du matou, qui leva la tête vers Liam en lui répondant d’un son mélodieux, comme pour lui dire « oui !! » alors que l’animal ne savait strictement pas pourquoi l’homme lui parlait et encore moins le sujet. Et puis cela n’avait aucune importance pour lui, puisque déjà il était en mode jeu, infatigable et heureux comme tout qu’on s’intéresse à lui.

En tout cas l’histoire de l’infirmier fit rire Alexander « On sera ses fidèles serviteurs ». Avant que Liam décide de le questionner sur les militaires. « Oui et non. Je suis PDG d’une entreprise de défense nationale en Angleterre, nos projets sont pour toutes les instances gouvernementales d’où ma présence près d’un hangar militaire ». dit-il simplement. « Même si là, s’était un simple contrat de drone pour l’armée anglaise ». Toujours avec modestie il parlait de ce genre de réussite comme s’il vous racontait la météo du jour. Il était ainsi l’anglais, il pouvait clairement vous dire qu’il était le roi d’un royaume sans aucune once de prétention, même si… il savait très bien faire l’air pédant. D’ailleurs, sans le vouloir, il renvoyait cette image pleine de prestance et supérieur. Mais cela n’était pas la réalité, sous cette image princière il avait un homme plein de modestie et d’humanité.

Les deux hommes continuèrent à échanger sur leur passé et sur bien d'autres sujets quand soudainement … Il eut un bruit de sonnerie venant de son ordinateur, signe qu'il avait un rappel et en conséquence une réunion. D'un geste aiguisé il toisa sa montre, oui une réunion sur le projet E2PZ vert. Il se leva ; s'excusant de mettre fin à cet entretien agréable (une pause dans son travail appréciable) et raccompagna Liam après l'avoir remercié d'avoir ramené son chat. Puis, l'homme rassembla ses affaires pour partir en salle de briefing de très bonne humeur.


END Pour Alexander


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Mar 12 Fév - 1:31

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Un chat des hommes et une histoire


« Je viendrai ! »
Répondit-il à la taquinerie avec enthousiasme et sourire un peu malin.

Chiche, Liam tiendrait parole avec joie. Il viendrait lui faire coucou et lui dire ce qui arriverait bien et n’arriverait pas bien à l’infirmerie.

Au Japon abordé, Liam put apprendre que Hoffman était déjà allé dans ce pays, lui confiant que ce pays était très beau, mêlant à l’extrême, modernité et tradition. Cela plaisait bien à Liam d’entendre le terme d’extrême et cela lui donna d’autant plus envie d’y aller un jour !

« Vraiment ? Il me faudra vraiment y aller un jour ! »
Confirma-t-il avec entrain.

Mais pour l’heure, Liam joua avec Harry et « communiqua » avec lui. Liam lui sourit. Il était convaincu qu’ils se comprenaient. Il ne parlait pas le chat, mais il le sentait, le grand gâteux avec les animaux, qu’ils se comprenaient ! A sa tête qui se leva, Liam lui grattouilla le dessous du menton et le caressa et le papouilla. De ce que savait Liam des chats, le dessous du menton était assez apprécié par la plupart d’entre eux. Liam viendrait sans doute voir Harry aussi, lorsqu’il passerait faire coucou à son maître. Il faudrait qu’il ramène une balle ou un jouet pour Harry. Liam y réfléchissait déjà un peu. Il avait davantage l’habitude des chiens et connaissait moins les jouets pour chats. Par mégarde, il serait capable de lui ramener un jouet pour chien !

Liam ria de bon cœur avec Hoffman à ce que le directeur rebondisse sur la servitude et blagua à ce sujet. Ce serait une dimension parallèle énorme où les chats gouvernaient les hommes !

Et ainsi le pompier en apprit davantage par la suite sur le directeur d’Atlantis. Hoffman lui apprit qu’il était PDG d’une entreprise de défense nationale dans son pays, l’Angleterre, et, par le passé, dans le cadre d’un projet, il avait été amené à se retrouver près d’un hangar militaire, pour une affaire de drones pour l’armée anglaise. Liam sourit dans l’écoute à l’écouter. Liam avait pour père, un homme d’affaires, bien qu’en droit international, et retrouvait beaucoup en Hoffman, un homme d’affaires aussi. A la différence que, contrairement à son père, Liam trouvait Hoffman bien plus accessible. Liam ne s’étonnait pas du ton de Hoffman, qu’il trouvait bien, modeste, pour avoir déjà entendu le ton d’un homme d’affaires, celui de son père, assez froid, assez distant et carriériste, que déjà Liam finissait toujours par lui pardonner car il savait son père carriériste pour le bien des « Sandon ». Liam continua à sourire. Il trouvait l’échange avec Hoffman humain et se disait que l’homme était humain.

Les deux continuèrent à échanger et à discuter et c’était agréable.

Et puis, tout d’un coup, Liam vit le directeur d’Atlantis s’agiter quelque peu bien que toujours avec sa manière d’être, aigle, aiguisé, Liam comprenant que l’homme fut soudain appelé ailleurs. Le pompier hocha la tête. Liam avait, quant à lui, une manière d’être plus rustique, plus mécanicien, plus pompier. Liam comprit bien, répondant lui-même de suite à une urgence lorsqu’une urgence se présentait. Liam salua Harry et repartit, raccompagné par Alexander. Il le salua, le remercia aussi pour cet échange agréable et lui souhaita la bonne après-midi.

Tout cela rassurait Liam quelque part. Il avait été dans une caserne où tout le monde s’y était bien entendu, s’y était serré les coudes, et même avec le chef, même s'il y avait eu bien sûr, comme partout, des hauts et des bas et bien au contraire. Liam se sentait comme un peu dans une nouvelle caserne même s’il sentait bien que celle-ci avait quelque chose de plus grand, international, et qu’il était question de voyages dans l’espace ! Mais Liam était homme à ne jamais avoir le vertige ou en tous cas à aimer ça. En revanche, il était assez sensible à la dimension humaine des choses. Même beaucoup.

Liam repartit souriant et jovial. Il avait apprécié le moment. Il le trouvait bien le dirigeant de la Cité et l'appréciait bien.

Il avait impatience de revenir l’enquiquiner un peu !

End pour Liam


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