Le Deal du moment :
Cartes Pokémon 151 : où trouver le ...
Voir le deal

labyrinthe [pv : William Winkle ]

 :: Cité d'Atlantis :: Les autres ailes de la Cité
Aller en bas

Invité
Invité

Mar 13 Aoû - 1:35

avatar
Notre vie est faite de haut et de bas... Des jours, nous nous levons du pied gauche et notre journée se passe plutôt mal... D'autre fois, elles se passent très bien... Puis il y a des cas où tout semble bien se passer jusqu'au moment où tout dérape...

Première bonne nouvelle depuis des semaines, les équipes d’explorations venaient de découvrir une pièce, une sorte de laboratoire selon eux. Il se trouvait dans la partie ouest de la cité et le Dr Weir avait jugé utile de mit envoyer pour vérifier qu'il n'y ait aucun produit dangereux. Elle m'avait prise à la sortie du lit donc j'étais partie chercher mes affaires dans mon bureau pendant que les autres scientifiques partaient avec une petite équipe de militaires par téléporteur. Pour ma part, un militaire devait m'attendre au niveau de mon bureau  pour emprunter les couloirs, car étant claustrophobe, il était impossible pour moi d'entrer dans un téléporteur. Le lieutenant du groupe m'expliqua comment mit rendre avant de partir car le 1er soldat de 1ère classe Winkle, qui m'accompagnerait ne connaissait pas la direction à suivre.

Une fois dans mon bureau, je pris un sac où j'y mis ma blouse, une paire de lunette, deux paires de gants d'épaisseur différente, un masque, des lamelles pour microscope, un scalpel, du scotch, plusieurs pipettes, un thermomètre, de l'eau distillée, des tubes à essais, plusieurs feuilles blanches et un crayon de bois. Je mis mon sac sur mon dos et je pris un microscope dans les bras. Après un dernier coup d’œil dans la pièce pour vérifier que je n'avais rien oublié, je sortis de mon bureau. Juste derrière la porte, je découvris un militaire que j'avais dût croiser une ou deux fois mais que je ne connaissais pas. Il se tenait face à moi et me fixait comme pour savoir si j'étais la bonne personne. Je lui dis d'un ton sec et froid.


- Första privata första klass Winkle? Filippa Åkerfeldt.

Je venais de m'exprimer en suédois et je compris rapidement mon erreur à la tête de l'homme qui se trouvait en face de moi. Je me rectifia aussitôt en anglais sur le même ton en le fixant bien droit dans les yeux.

- 1er soldat de 1ère classe Winkle ? Filippa Åkerfeldt.

Je partis directement en direction du laboratoire d'un pas rapide car le trajet prendrait une bonne heure..

Revenir en haut Aller en bas

Invité
Invité

Mar 13 Aoû - 20:09

avatar
J’avais assisté au départ de l’équipe pour un autre monde. Je les enviais. Rester ici et garder la cité sous contrôle n’avait rien de très motivant. Enfin pour moi. Je jaugeai rapidement l’équipe. Un tireur, un scientifique, les autres militaires équipement standard. Appuyé sur une rambarde, j’entendis une paire de bottes se rapprocher de moi. Des avants bras vinrent se poser a coté des miens, un dossier dans les mains. Je relevais doucement la tête et me mit rapidement au garde a vous quand ils tombèrent sur le grade du lieutenant.

- Repos soldat

Je repris la position confortable du mec qui n’avait rien à faire dans l’immédiat a part envié ses camarades partit en mission. Le lieutenant me fourra une photo dans les mains. Surpris, je le regardais du coin de l’œil.

- Voila ta nouvelle mission. Tu dois l’escorter jusqu'à un laboratoire découvert il y a peu par une de nos équipes d’exploration. Le labo se trouve a environ une heure de marche. Elle connait le chemin. Tu ne devrais pas rencontrer de problème mais on n’est jamais trop prudent. C’est pour cela que tu seras armé. T’as des questions ?
- Sauf votre respect, c’est une blague ? Vous me demandez de suivre, et éventuellement protéger, quelqu’un. Et en plus, j’imagine que c’est une scientifique.
- T’as tout compris. Mais si jamais tu n’es pas d’accord, tu peux toujours aller tu plaindre au Doc’ Weir.
- C’est bon, c’est bon j’ai compris. Je pars quand ?
- Dans 20 minutes, tu l’attend devant son bureau.
- Bien chef

Je me remis au garde a vous et quittais rapidement la salle d’embarquement. Je rassemblai rapidement mes affaires, passais à l’armurerie. J’avais une préférence pour mon Beretta et son silencieux. Mais, comme me l’avait dit le Lieutenant, on n’est jamais trop prudent. Un P90 est un bon compromis entre puissance et discrétion. Je pris tout le reste par habitude, gilet, grenade, radio, lampe torche et, bien que je me demandais si j’allais en avoir besoin, une boussole. J’allais me présenter devant le bureau tout en finissant de me préparer. Je restai fixe, devant la porte, attendant que la scientifique sorte. Et elle sorti par cette même porte. Elle se présenta vite fait et partit d’une allure vive. Je souris intérieurement. Voila quelqu’un qui allait droit au but et qui ne perdait pas de temps. Je lui emboiter le pas, la suivant silencieusement comme son ombre. Ce qui au final, revenait au même. Nous finîmes par quitter les zones fréquentées et poursuivîmes notre route. Une intersection. Un couloir. Un virage. Difficile de se repérer ici sans carte. J’eu un doute et fit une petite marque au couteau dans le mur. Encore un couloir. Encore une intersection. Encore un virage qui partait un peu dans tout les sens. Encore une marque dans le mur. Je m’arrêtais net. Le mur avait ma marque faite au couteau il y a peu de temps. Froncement de sourcil, je lançais doucement :

- Tiens on est déjà passé par là. Vous êtes sur de la route Doc ?

Revenir en haut Aller en bas

Invité
Invité

Mer 14 Aoû - 0:42

avatar
Une fois les zones fréquentés passées, je suivis les directions que m'avait fournit le lieutenant. Les directions étaient a peu près clair dans ma tête mais j’espérais que mon mauvais sens de l'orientation ne pointe son nez. Chaque porte s'ouvraient devant nous et se refermaient automatiquement. Les couloirs s'illuminaient également. Les anciens avaient vraiment fait quelque chose d’exceptionnelle dans cette cité. Les couloirs, les virages, les escaliers se succédèrent mais arrivé à une intersection, je ne savais pas où aller. Je ne me souvenais pas en avoir entendu parler. J'avais donc une chance sur deux de prendre la bonne. Je choisis de ne pas informer le militaire qui m'accompagnait, je ne voulais pas me rendre ridicule. Je pris le couloir de droite et quelques mettre plus loin, il y eu une autre intersection que le lieutenant ne m'avait pas non plus mentionner. J'avais le choix entre deux couloirs, des escaliers qui montaient et descendaient. Le laboratoire se trouvait quasiment au bout de la partie ouest donc il fallait aller vers l'ouest. Donc je choisis de continuer tout droit. Pendant dix bonnes minutes j'allais à l'instinct total. Au font de moi, je savais que se n'était pas bon mais je ne savais pas trop quoi faire. Puis pour la première fois depuis que j'étais rentrer dans ses couloirs inoccupés, j'entendis une voix masculine assez grave dans mon dos.

- Tiens on est déjà passé par là. Vous êtes sur de la route Doc ?

Je stoppai net et je me retournais vers la voix. Il s'agissait du militaire dont jamais complètement oublié la présence vu sa discrétion. Il venait de dire ça d'une voix ironique se qui m’offusqua légèrement. Je lui répondit une fois de plus froidement.

- Oui, oui je suis sur!

Un légé blanc s'installa et je me rendis compte qu'il avait compris que je ne savais pas où j'allais. Je lui fis un petit sourire désolé, mon premier sourire depuis que j'étais en sa présence. Et cette fois si, je parlais normalement.


- Bon, j'avoue, je ne sais pas où je vais depuis 15 bonnes minutes maintenant.. Mais logiquement si l'on continu vers l'ouest, on devrait finir par trouver quelque chose, non ?

Je me sentais quelque peu niaise mais j'essayai de ne pas laisser paraître mon trouble. A tout les cout, il allait s'énerver, gueuler ou je ne sais quoi d'autre.

- En temps que militaire, vous me proposez quoi ? Parce que ne me demandez pas de rebrousser chemin, je serais incapable de mit retrouver dans tout ses couloirs.

Revenir en haut Aller en bas

Invité
Invité

Mer 14 Aoû - 21:21

avatar
Je lui lançais un regard amical. Se perdre ici était aussi facile que de parler a quelqu'un et elle ne devait pas avoir l'habitude de se repérer. Touchant la marque du mur je n’eus pas besoin de réfléchir très longtemps. Direction ouest pendant 15 minutes. Je ne doutais pas de mes capacités mais dans un environnement urbain, on ne pouvait se fier a pas grand chose. Je lui fis signe de me suivre et continuais sans trop pressé le pas.

-Dans le théorie, Direction plein ouest pendant 15 minutes, c'est très simple a suivre. Moins en jungle. Le pire reste le milieu urbain. Peu de point de repère, beaucoup de couvert et de zone d'ombre. Cela peut être un cauchemar pour la plupart des soldats et des gens. J'adore ça. L'ombre est... mon univers, mon environnement, mon....

Je me rendis compte que je commençais a en dire trop sur moi. Pas une bonne idée. Me retournant, je voyais qu'elle ne me suivait plus. Elle s'était arrêté a quelques mètres, juste a l'endroit ou je m'étais arrêter de parler. Je sortis de l'ombre et lui fit un petit signe de la main. Je poursuivis ma route en faisant en sorte qu'elle marche a mes cotés.

-Excusez moi, doc, j'ai l'habitude de me fondre dans l'ombre. C'est un peu comme mon chez moi. Donc je disais, la théorie est assez simple en soi. C'est quand on doit l'appliquer que ça deviens plus complexe. Comme pour vous j'imagine avec vos hypothèses et expérimentation... enfin tous vos trucs de scientifique. Dans le cas présent, on va poursuivre vers l'ouest jusqu'à ce qu'on trouve le bord du bâtiment. Une fois là bas... et bien on avisera.

Un petit sourire sur les lèvres, je sortis la boussole de ma poche et continuais ma route tout en vérifiant la direction. Je fis quelques marques sur les murs pour me repérer. Regardant, les intersections et les couloirs, je poursuivis mon chemin, toujours tout droit, toujours suivant la boussole. J'allais allumer ma radio quand je me rendis compte qu'elle était éteinte. Essayant de la rallumer, je me rendis compte qu'elle était morte.

-Et pour ajouter a la situation, ma radio est morte.

Revenir en haut Aller en bas

Invité
Invité

Jeu 15 Aoû - 1:07

avatar
Je fus étonnée de son amabilité. Je voyais toujours les militaires comme des personnes froides, peu aimable et peu bavard. Mais alors là, cette homme me prouvait le contraire. Il était très bavard et semblait sympathique. Enfin il ne s'agissait peut être que d'une simple impression. Je marchai au même rythme que lui, pendant qu'il fixai sa boussole et marquait les murs. Nous marchions en direction de l'ouest mais il fallait espérer ne pas allez trop loin.

- Étant donné que nous sommes condamnés à nous supporter un long moment, on va faire un peu connaissance quand dite vous ? Je vais commencer. Je m'appelle Filippa Akerfeldt, je suis épidémiologue, vous savez, les virus, les maladies, les épidémies. Se que tout le monde fuit, bah moi, je cours après. Sinon, je suis une grosse bille en langue. Je parle le suédois, le français et j'essaye de parler du mieux que je peux l'anglais. A vous, dites moi tout.

Les minutes passèrent, nous continuons d'avancer lorsque j'aperçus une marque sur le mur à coté de moi. Elle était identique à celle que faisait le soldat mais nous n'avions pas changé de place. J'étais restée à sa droite tout le temps et il faisait les marques sur les murs gauches. Cela ne pouvais vouloir dire qu'une chose on était revenu sur nos pas et dans le sens inverse.

- Soldat, je crois qu'on est déjà passé ici, on tourne en rond !

Je lui montrai du doigt l'entaille dans le mur, la même que toute celle qu'il avait faite avec son couteau.

- Vous êtes sur que votre boussole fonctionne bien ?

Je lui pris des mains et je regardai l'objet. J'aperçus une bulle d'air à l’intérieur. Je m'adressai au soldat en riant.

- Pour un militaire je pensais que vous saviez qu'une bulle d'aire détraque une boussole. Donnez moi votre couteau.

A l'aide du couteau, j'ouvris la boussole en deux. Un coté plat où était fixé l’aiguille et un coté arrondie. Je récupérais l'aiguille. Je sortis de mon sac l'eau distillé, du scotch et un bouchon de liège de mon sac (me demande pas pourquoi je l'ai ^^) Avec le couteau, je découpais une rondelle du bouchon. Je fixais l'aiguille dessus avec le scotch . Je mis de l'eau distillé dans la partie arrondis de la coque de la boussole et j'y posai le bouchon et l'aiguille.

- Soldat, vous étiez en train de nous emmener vers l'est !

Revenir en haut Aller en bas

Invité
Invité

Jeu 15 Aoû - 21:41

avatar
Je me tenais droit, la regardant faire une boussole de fortune. Elle était doué. Et moi quelque peu ridicule. Je la fixais et prit doucement un air distant. Les scientifiques, tous les mêmes. Mais les soldats n'étaient pas mieux parfois.

-Doc, je n'est pas la science infuse et ce genre de « détail » ne m'est pas arrivé sur Terre.

Je détournai la tête et respirai a fond. J'avais dit ses paroles d'un ton quelque peu acerbe et je venais de m'en rendre compte. Mon naturel méfiant et discret commençais a reprendre le dessus. Je lui fis un petit signe de la main pour à la fois m'excuser et l'inviter a poursuivre la route. Prenant le couteau dans la main droite, je prit, assez maladroitement, mon arme avec la gauche. Le bruit des pas du doc, L'impact du couteau sur le mur, et même la respiration de la femme commençais a me peser sur les nerfs. Cette mission n'était pas une partie de plaisir. Heureusement que l'on s'était perdu, ça donnait un peu de piquant a la situation... même si j'aurai préférer arriver directement au labo. Je me rapprochais de la femme et lui glissa :

-Excusez moi, j'ai mal pris ce que vous m'aviez dit tout a l'heure. C'est un peu honteux pour moi de ne pas savoir ce petit détail que vous m'avez appris étant donné la formation militaire d’où je viens. Je reprend du début. Je m'appelle William Winkle. Mes anciens frères d'armes m’appellaient 2W, a cause des initiales. Je suis un ex membre des S.A.S, les forces spéciales britanniques. Un spécialiste de la reconnaissance et de l'infiltration. Avant ça, j'ai servit mon pays dans les guerres d'Irak et d'Afghanistan. J'ai d'ailleurs laisser un souvenir là bas.

Je levais ma main gauche et lui montrais les deux doigts qui manquaient. Coupure net, aucune douleur sur le moment mais intense après. J'avais un peu l'impression de revire ce moment.

-Sinon vous ne vous débrouillez pas si mal en anglais malgré votre accent a couper au couteau.

J'avais lançais cette petite pique avec un sourire pour détendre l'atmosphère. J'observais du coin de l’œil ses réactions.

Revenir en haut Aller en bas

Invité
Invité

Ven 16 Aoû - 2:09

avatar
En regardant sa main où il lui manquait des doigts, je ne pus retenir une grimace. Le pauvre avait dût souffrir le martyr.. J'imaginais la scène dans ma tête, un homme lui tenant la main et lui coupant les doigts un par un, en prenant bien le temps de couper la chair par petite partie. En arrivant aux os, l'homme les cassait comme si il cassait un os de poulet. Puis tout le sang qui s'échappait de la plais, coulant au sol.. Une envie de vomir me tordit l'estomac en l'imaginant. Mais heureusement Winkle me fit une remarque qui me changea les idées aussitôt. Et je ne pus m’empêcher d'en rire car je le savais mais il était le premier à me le faire remarquer depuis mon arrivée sur Atlantis. Et surtout parce qu'il avait dit ça d'une telle spontanéité. Enfin une personne qui n'avait pas peur de vexer et j'aimais bien ça.

- Je ne peux pas vous contredire à se sujet, vous avez totalement raison.

Je le suivis dans le silence totale. Enfin presque, j'entendais uniquement mes bruits de pas et ma respiration. Le Militaire lui ne faisait aucun bruit comme si il était mort, comme si rien ne sortait de sa bouche, comme si il ne touchait pas le sol avec ses pieds. Cela semblait le déranger en plus. Alors pour briser le silence qui c'était installé une fois de plus je lui dis :

- Quand a moi, je m'excuse si je vous ai froissé. Cela n'était en aucun cas mon attention. Surtout que je me suis déjà retrouvé dans se cas. Et pour le bricolage, c'est mon marie qui me l'a appris, il en avait marre de partir tout le temps à ma recherche..

Parler de lui me rappela que je ne l'avais pas vu depuis plus d'un an.. Le couloir continuaient de se succéder et je commençais à sentir des signes de fatigue. Je n'avais plus qu'une seul envie, m'arrêter. Mais Winkle lui semblait plutôt pressé de finir sa mission donc je me forçais à marcher au même rythme que lui. Je pensais à un champs de pâquerettes pour essayer d'oublier mes jambes qui se faisaient lourdes.

- Ca vous direz pas de courir un peu ?

Rien de mieux que de courir pour penser à autre chose. Maintenant il fallait que le militaire veuille.

Revenir en haut Aller en bas

Invité
Invité

Ven 16 Aoû - 12:49

avatar
Un petit signe. Un petit sourire. Elle était mariée. Comme la plupart des civils qui occupaient un poste ici. Encore que je n'en étais pas sur. Et elle bricolait, cela pouvait être utile.

-Pas besoin d'excuse pour vos paroles. Par contre, courir ne serait pas une bonne idée. Pour la simple et bonne raison que si on se met a courir, l'eau va partir et terminé de la boussole.

Je savais assez bien décrypter les signes que laissait transparaître le corps humain. Je me doutais qu'elle commençait a être fatiguée. Elle voulait aller plus vite et cela devait, je pense, me faire plaisir mais je m’arrêtai et lui fit signe d'en faire autant. J'avais plus que l'habitude des longues marches interminables et mon corps pouvait en supporter beaucoup plus que ça. Mais elle, elle n'avait pas l'habitude de marcher a cette allure et cela ce voyait. Sa respiration s'était accélérée ses quelques dernières minutes et son pas devenu plus lourd. Elle était fatiguée. Je la fis s'asseoir sur le sol. Je sorti ma gourde et un petit truc a manger.

-Asseyez vous quelques minutes. Reposez vous. Vous êtes fatigué et, bien que votre proposition de courir me tente, je doute que vous puissiez tenir ma cadence très longtemps. Ne le prenez pas mal mais je suis entraîner a aller vite. Buvez un peu, ça vous fera du bien. Et mangez ça aussi, c'est pas excellent mais ça vous redonnera des forces. Je vais continuer un peu avec la boussole et je reviens dans quelques minutes. Fermez les yeux et respirer a fond.

Je sortis mon pistolet silencieux de son holster et le lui donnait, poignée en avant.

-Je vous le confit. Même si je pense que vous n'en n'aurez pas besoin, on est jamais trop prudent. Le silencieux dessus réduira le bruit du tir. Mais essayez de ne pas vous en servir. Il vaut mieux rester caché quand on le peut plutôt que de tirer et de se faire pincer. Je reviens vite.

Le lui mit une petite tape sur l'épaule pour l'encourager et m'éloignais rapidement et silencieusement, boussole dans une main, couteau dans l'autre. Et se bruit d'impact.

Revenir en haut Aller en bas

Invité
Invité

Ven 16 Aoû - 15:38

avatar
Je m'assis comme il me l'avait demandé et je pris l'arme qu'il me tendait. En sentant le contact du métal entre mes doigts, je frissonnai. J'avais horreur des armes, j'en avais même peur. Lors des excursions de l'autre coté de la porte, je prenais un M9 car j'y était obligée mais je le mettais dans mon sac pour ne pas avoir à le voir et le toucher. Une fois que William disparut dans les couloirs, je posai l'arme à un bon mètre de moi, pour ne pas être en contact avec. Comme il l'avait dis, valait mieux se cacher que de sans servir et c'est bien se que je contais faire en cas de problème.

Je fermais les yeux comme me l'avait conseillé le militaire et j'écoutai ma respiration se ralentir doucement. Je n'entendais plus rien hormis ma respiration et mes battements de cœurs, lents et réguliers. Les pas de William Winkle qui n'étaient déjà pas très audible avaient complètement disparus. Les jambes étalées devant moi, je fini par m'endormis malgré moi.

Un bruit me réveilla, en ouvrant les yeux, il faisait noir. Je me levai rapidement et la lumière du couloir s'alluma aussitôt. Il n'y avais personne, je tendis l'oreille pour voir si j'entendais quelques choses mais rien. Ses couloirs étaient vraiment flippent lorsque l'on se retrouvait tout seul.. En regardant ma montre je m'aperçus que mon escorte était partie depuis dix voir quinze minutes. Soit il s'était perdu, se que je doutais, soit il m'avait abandonné, se qui était un peu plus réaliste ou soit il avait rencontré un problème comme une porte qui ne s'ouvre qu'en sens unique ou quelques chose de pas très amical.. Je récupérai mon sac et mon microscope. En passent au niveau de l'arme, j’hésitai à le prendre puis après avoir lâcher une dizaine de jurons, je me dis que je ne pouvais pas la laisser traîner et surtout que Winkle me tuerai si j'avais perdu son arme. Je la pris du bout des doigts, un peu comme un personne prends un vers de terre quand elle en a peur et je la mis dans mon sac. Comme ça je ne risquerais pas de blesser quelqu'un.


Je partis en direction de l'ouest, enfin plutôt dans la direction où été partie le premier soldat de première classe Winkle. Puis je suivis les entailles faite sur les murs. Dans un couloir, il n'y avait pas de lumière donc je marchai une main collée au mur. Arrivé a une intersection, je ne voyais aucune marque avec l’obscurité. Je choisis d'aller vers la droite vue que depuis un moment je prenais uniquement les couloirs vers la droite. Je m'engageai dans ce couloir lorsque je sentis un présence derrière moi. Je ne l'avais pas entendu arrivée, je ne l'entendais pas non plus respirer.

- Je me suis encore plantée de chemin ?

Je venais de dire ça après mettre retournée et en rigolant. A la fois pour me rassurer de ma frayeur et pour me persuader que j'étais bien face à Winkle.

Revenir en haut Aller en bas

Invité
Invité

Ven 16 Aoû - 18:48

avatar
L'ombre passa derrière elle au moment ou elle se retournait. Une main passa sur sa bouche alors que l'autre la bloquait pour éviter tout mouvement brusque. L’entraînant dans les ombres sans bruits, je lui murmurai, dans un souffle rassurant, que ce n'était que moi et qu'elle devait faire silence. J'attendis qu'elle se calme et finit par la relâcher doucement. Récupérant mon pistolet dans son sac, je lui fis signe de se taire. Je restai un moment immobile, écoutant les environs. Je me détendis un peu. Je la pris par les bras et la regardai dans les yeux en chuchotant :

-Restez calme. C’est très important. Ne parlez pas. Respirez doucement. Très doucement. On va continuer par là, je pense que nous ne sommes plus très loin du labo.

Je la pris par la main gauche, levant le pistolet dans la droite, et la guidais doucement. La boussole était par terre, l’eau renversée à coté. Je sentis sa peau douce et fraiche qui frissonnait à mon contact. Elle du avoir un frison involontaire du fait qu’il me manque deux doigts. Je poursuivis ma route, la tirai toujours par la main, le long d’un couloir et finit par trouver un escalier montant. Je le pris, pistolet pointé droit devant, montant à l’étage supérieur.  Trouvant un petit coin sombre et sécurisé, je la fis, encore une fois, s’asseoir a même le sol. Je la regardais dans les yeux et lui murmura :

- Ecoutez-moi bien. Il faut que vous restiez calme et silencieuse. Par rapport a tout a l’heure, j’étais sur mes gardes et vous m’avez un peu surpris par  votre arrivée. Quand a… tout à l’heure, quand je vous ai bloquée, excusez-moi mais je devais le faire. Je ne veux pas vous faire peur, mais quand on est soldat de reconnaissance comme moi, on développe un espèce de 6ème sens pour se qui est de détecter les gens. Je …

Respirant un grand coup, fermant les yeux, je me demandais si je n’avais pas un peu rêvé. Jetant un coup d’œil vers l’escalier, je me sentis observé et gêné. Je rangeais le pistolet et armais mon P90.

-Il ne faut pas rester ici, venez.

Je me remis en route, la tirant toujours par la main, m’arrêtant seulement pour faire quelques marques ici et là. Les sens aux aguets et le P90 prêt a tirer…

Revenir en haut Aller en bas

Invité
Invité

Sam 17 Aoû - 1:39

avatar
Quelque chose vint se poser brusquement sur ma bouche et je sentis quasiment au même temps quelque chose se plaquer dans mon dos puis me cramponner. Mon sang se glaça. Je ne pouvais plus bouger, plus respirer. J'étais pétrifiée, tétanisée. Je n'arrivais même pas à me débattre tellement la peur avait contracté mes muscles. Je sentis un léger souffle au niveau de mon oreille puis la voix de William. Tout de suite cela me rassura et il me lâcha. Mais je ne bougeai pas, je n'y arrivais pas.. Une fois qu'il eu récupérer son arme dans mon sac et il me cramponna les bras en me fixant.

-Restez calme. C’est très important. Ne parlez pas. Respirez doucement. Très doucement. On va continuer par là, je pense que nous ne sommes plus très loin du labo.

Rester calme, il était sérieux ? Comment il voulais que je reste calme, que je respire doucement vu le coup de stresse qu'il venait de me donner. Je n'arrivais même pas à ciller.. Je le sentis me prendre la main et me tirer. Ce contact me surpris car je ne mit attendais pas et surtout parce que se contact était bizarre avec ses doigts en moins. Je le suivis en silence, de toute façon, je n'arrivais pas à ouvrir la bouche..  Au moment d'arriver à un escalier, il ralentit mais je n'y prêtai même pas attention. C'est lorsque nous fûmes en haut et qu'il me fit m'asseoir que je me mit vraiment à paniquer.

- Ecoutez-moi bien. Il faut que vous restiez calme et silencieuse. Par rapport a tout a l’heure, j’étais sur mes gardes et vous m’avez un peu surpris par  votre arrivée. Quand a… tout à l’heure, quand je vous ai bloquée, excusez-moi mais je devais le faire. Je ne veux pas vous faire peur, mais quand on est soldat de reconnaissance comme moi, on développe un espèce de 6ème sens pour se qui est de détecter les gens. Je …

Il s’arrêta et regarda derrière lui un peu inquiet. Et la il fallait que je reste calme, détendu, il se fichait de moi!.. Surtout qu'il changea son petit pistolet pour sa grosse arme dont j'ignorais le nom.. Il fallait que je me détende, que je respir, tout allait bien se passer. J'étais avec un militaire, il savait se qu'il faisait. Enfin j'espérais..

-Il ne faut pas rester ici, venez

Je le suivis, où plutôt il me tirait pour que je le suive.. J'avais l'impression d’étouffer, ses couloirs m'oppressaient sérieusement. Un son fini par me parvenir aux oreilles. Des voix, des murmures.. Je reconnus la voix d'un des scientifiques avec qui j'avais l’habitude de travailler. Nous étions tout proche du laboratoire. Tout de suite, je repris confiance en moi et je me remis au coté de soldat qui put me lâcher la main. J'avais hate d'arriver donc j’accélérais le pas. Après un virage j'aperçus  plusieurs militaires devant une porte. Ils nous saluèrent et nous firent par de leur inquiétude pour notre retard. En effet au lieu de faire le trajet en une heure nous l'avions fait en deux heures. Je rentrai direct dans la pièce laissant William derrière moi, sans un mot, sans un regard. Je posai mes affaires sur une table et je ressortis aussitôt. J'aperçus mon ancienne escorte se diriger vers le téléporteur, il devait repartir. Je courus vers lui et vu qu'il s'était retournée en m'entendant, je le pris dans mes bras. Une de mes mauvaise habitude.

- Merci.. Merci de m'avoir accompagné. De m'avoir supporté. D’être resté calme. Enfin merci pour tout.


Puis je repartis dans le laboratoire.

Revenir en haut Aller en bas

Invité
Invité

Sam 17 Aoû - 15:20

avatar
Voila, nous étions arrivés avec 1h de retard. Elle avait fini par me dépasser dans le couloir et fonça directement dans le labo. Je saluai de la tête les hommes de garde et jetai un coup d’œil rapidement a l'intérieur avant de repartir vers le téléporteur. Tout les trucs des scientifiques ne m’intéressais pas et je trouvais que c'était une perte de temps pour les opérations. Marchant doucement vers le téléporteur, j'entendis des bruits de courses derrière moi. Me retournant, Filippa vient me prendre dans ses bras. J'avais les miens écarté et, pendant quelques instant, ne savait pas trop quoi faire. Je finis par fermer mes bras sur elle et la serrai doucement. Je finis pour nous séparer et lui souris doucement :

-De rien. Même si c'était un peu ennuyeux, et parfois stressant pour vous, je suis content de vous avoir escorté. Si jamais vous avez encore besoin de moi, appelez le lieutenant il me transmettra le message.

Je la laissais repartir vers son labo et vit que les deux soldats m'affichait un grand sourire. Implicitement, je leur demandais « quoi ». L'un d'eux fit un signe de la main et l'autre répondit :

-Alors Will, on a une touche avec une scientifique?
-Remarque, elle est pas mal, ajouta l'autre dans un rire
-Ouai c'est vrai et...
-Fermez la bande de cons, criais-je.

Ils eurent un hoquet de peur et de surprise et se remirent au garde a vous. Je finis par m'avancer doucement vers eux et leur confia dans un souffle :

-si jamais vous parlez de ce qui c'est passé, ou même des idées que vous vous faites en voyant ca, je vous tues tout les deux, c'est clair ?

Ils hochèrent nerveusement la tête dans un mouvement d'approbation. Satisfait, je retournais vers le téléporteur et le pris. Direction la salle des opérations et l'engueulade avec le lieutenant...

[Rp Terminé]

Revenir en haut Aller en bas

Contenu sponsorisé

Revenir en haut Aller en bas

Page 1 sur 1

- Sujets similaires

 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum