Soldat William Winkle

Carte d’Identité » Nom : Winkle » Prénom : William » Âge : 38 ans » Date et Lieu de Naissance : 1975, Manchester » Nationalité : Britanniques » État Civil : Célibataire » Arrivée sur Atlantis : Equipe des renforts » Poste occupé : Militaire (1er Soldat de 1ère classe) » Spécialité : Infiltration/Reconnaissance

» Groupe Sanguin : O+
» Gène des Anciens : Non
» Inoculation du gêne des Anciens ? : (à remplir par l'administration après un mois de jeu et une demande d'inoculation) ...
» Pathologie : Aucune
» Antécédents médicaux :

-Blessure légère par balle à l'épaule droite, Début guerre d’Afghanistan
-Blessure grave par shrapnel. Perte de deux doigts a la main gauche. Guerre d'Afghanistan.
-Blessure par torture lors de la guerre d'Iraq



» Caractère : Dans toutes les situations, William est doté d'un instinct dur et d'une intelligence dans la moyenne. Discret, rapide, efficace, il adore passer des moments de solitude dans l'ombre des structures ou de la nuit. La plupart du temps, le chercher revient a chercher une aiguille dans une botte de foin. Il est doté d'une moral que la plupart des soldats qualifieraient de sournois et subtil. Ils sont tous d'accord pour garantir l'efficacité de ses actions et de ses renseignements. C'est un homme qui vit dans l'ombre et le silence et qui n'aime pas être déranger... enfin quand on le trouve. Il se bat pour son pays, pour lui mais aussi pour que ses frères d'armes rencontre le moins de problème sur le terrain.

» Phobies :
Instrument de torture (de son passage a la torture irakienne)

» Objet choisi : violon

Compétences Primaires	Compétences Secondaires
Corps à corps : 5 Précision du tir : 6 Infiltration : 9 Pilotage : Esprit d'équipe :	Explosif : Résistance à la douleur:5 Influence : Sang Froid : 5 Soins : Technologies : Mécanique :

Une maison dans un quartier banal de Manchester. C'est là que je leur ai donné rendez vous à une heure plus proche de la nuit que de la journée. Je connais bien ce quartier. J'y ai vécu les années les plus belles de ma vie. Mon enfance avec mes parents. Une voiture noire s’arrêta devant la maison. Franchement pas très original... ni discret. Tout le monde les avaient vu même si personnes ne fait signe. Ils étaient deux. Deux femmes d'ailleurs. Pour le moins amusant et étrange. En cherchant à frapper, elles se rendirent compte que la porte, simple mais massive, s'ouvra sous leurs coups. Un coup d’œil, une arme sortie de son holster, une entrée délicate, voilà quelqu'un qui s'y connaissait. Un officier de police ou un militaire. L'autre avait un dossier sous le bras. Elles entraient. J’entendis appeler.

« Monsieur Winkle, vous êtes là ? »

Une voix claire et déterminée. Je restais bien dans l'ombre. Elles arrivèrent dans le salon quelque peu dévasté par mon occupation. Un magasine par-ci, plusieurs livres sur la balistique et les armes par-là. Un livre contenant plusieurs coupes de journaux sur les opérations militaires dominait le sol, a moitié caché par la table basse. La femme au pistolet recommença son appel :

« Monsieur Winkle ?
« Ce n’est pas la peine, dit l’autre, il n’est pas là »

La première grommela quelque chose et rangea son arme. Ramassant le livre aux journaux, elle se redressa en face de mon 9mm. L’ombre resta autour de moi et seul al main sortait. Ceci les surprit d’autant plus que je brisai la glace en lançant froidement :

« Qui le demande ?
« Le Lieutenant Colonel Brinks de l’US Air Force et le Docteur Dantz, psychologue. Nous venons vous parler à propos d’…
« D’une bas militaire situé sous Cheyenne Moutain, qui fait des opérations par très habituelles et dont le nom serait SGC ? »

J’avais coupé la parole en laissant tomber ce simple mot. Le silence ce fit et je finis par baisser mon arme. J’apparu à moitié dans la douce clarté de la lune. Le visage à moitié peint de noir, les vêtements sombre et le holster sur la cuisse, je ne savais pas trop quel impression je donnais mais cela parut faire un effet plus étonnant sur le docteur. Je les invitais à s’assoir d’un geste de la main pendant que je mettais un peu de lumière, une petite source vient ajouter au tableau un pan de mur décoré de coupure de journaux et de photo de groupe de combat. Je m’assis sur un fauteuil, toujours à moitié dans l’ombre, et jouant avec un couteau de combat.

« Oui, c’est cela. Vous savez que c’est un projet top secret ? me confia le Lieutenant
« Oui, Lieutenant.
« Et que vous devez garder le silence ?
« Avec tout mon respect, regardez-moi bien et dites moi si j’ai l’air d’un abruti.
« Non bien sur que non. Vous êtes doué et intelligent. »

L’autre femme, le docteur, ouvrit son dossier et entreprit de lire les notes à voix haute.

« Vous avez fait partie du régiment qui partit en Afghanistan et en Irak ?
« Oui madame, ce fut loin d’être une partie de plaisir en ce qui me concerne
« Surtout l’Irak. Prisonnier et torturé, vous avez été libéré par les S.A.S. Ils vous ont offert une place suite a ça, je me trompe ?
« Possible que oui, possible que non, fis-je un peu mystérieux
« Nous avons l’accord de l’Etat Major Britannique pour parler de se sujet, Monsieur Winkle, m’avoua le Lieutenant. A combien de mission des S.A.S avez-vous participé ?
« Désolé mais c’est confidentiel.
« Mais je vous ai dit que…
« Je sais, lui disais je en la coupant, mais j’ai signé mon silence pour mes actes et rien ne me fera changer. Désolé.
« Je vois »

Elle semblait déçue bien que son corps ne le trahissait pas. Je fixai mon attention sur le docteur. Je pense que ce fut elle qui m’entraina vraiment dans le sujet du SGC. Amusant d’ailleurs, comme celle-ci prenait les commandes de l’entretien.

« Vous avez fait les guerres d’Afghanistan et d’Irak. Mais qu’est ce qui vous a poussé à être soldat ?
« Quand votre père est un alcoolique et que votre mère est fonctionnaire, il n’y a rien de mieux que de se barrer en courant de la maison. Mon père était une enflure à cette époque. Il a arrêté de boire quand ma mère a eu un accident. Il était léger mais suffisant pour lui faire bouger les fesses. Et c’est à ce moment que la vie à la maison est devenue encore plus insupportable. Vous imaginez un peu, chaque jour les sermons du père qui vous dit « faut être un bon gars dans la vie fiston ». Heureusement pour moi, j’étais déjà doué pour trouver des planques à moi et l’esquiver. Quand j’ai eu l’âge, j’ai rejoint l’armée et vous connaissais la suite.
« Vous avez fait une demande pour participer. Puis je vous demander pourquoi ?
« Vous pouvez. J’ai fait cette demande après avoir été entretenu par le chef d’Etat Major. Il voulait que les Britanniques, et les meilleurs, participent à cette… entreprise pour montrer qu’on ne fait pas que boire du thé. Et d’après lui, je suis l’un des meilleur S.A.S de reconnaissance.
« Donc vous vous êtes porté volontaire. J’ai pu constater que vous êtes très doué en camouflage. Vous allez rencontrer des choses peu ordinaires et très surprenantes.
« Du moment que je ne suis pas torturé, je m’attends a tout. Et je n’ai plus rien ici. Mes parents pensent que je suis mort depuis ma capture en Irak. Tout comme mes amis. Je suis devenu un fantôme depuis mon entrée dans les SAS. Ils ont encore pas mal de monde très qualifié dans leurs rangs et je suis prêt a les quitter pour en aider d’autre.
« Vous avez l’esprit d’équipe dis donc
« Pas du tout. Je pense à leur vie et c’est ma responsabilité de tout faire pour qu’ils n’arrivent pas en plein champ de bataille.
« Alors on va pouvoir faire quelque chose de vous. Nous allons vous conduire près d’un responsable pour vous tenir au courant de tout ce qui à savoir. Bienvenue dans la course Monsieur Winkle. »

Alors que nous nous levions, je sentis une petite pointe de nostalgie. J’allais partir loin et ne plus revenir. Je pris quelques instants, quelques affaires aussi, mon violon,  deux trois papiers et enfilai mon uniforme des SAS. Je fermais la porte et montais dans la voiture avec les deux femmes. La voiture quittait la rue et s’enfonça dans l’obscurité.

» Comment votre personnage a-t-il vécu la première grande bataille sur Atlantis ? Où était-il à ce moment là ? :

J’ai toujours adoré le combat urbain. Un recoin ici, un creux par là. Tout peut servir de couvert et de position de tir. Les combattants font toujours attention a ce qu’ils ont devant eu ou dans les couloirs/rues adjacentes mais jamais aux ombres ni au portes verrouillées. Les tirs fusèrent, aussi bien tir d’arme automatique que tir d’arme à énergie. Enfin c’est comme ça qu’on me les a décrites. Et, à ce qu’il parait, ses monstres y sont sensibles contrairement aux balles.  Et les grenades, ils encaissaient ? Envoila une qui roulait et qui roulait dans un couloir. Elle s’arrêta contre un pied et explosa. La section entra, arme à l’épaule, dans le long couloir. Les trois premiers de tête furent complètement vaporisés. Les autres étaient blessés ou déjà mort. Un signe rapide du chef, tout le monde vide son chargeur dans la tête des monstres. « Essaye d’encaisser ça, enflure » lance un soldat en approchant son fusil à pompe de la tête. Je pense que c’est véritablement a ce moment là que c’est partit en sucette.

Le coup partit mais le gars avait un espèce de couteau à la place de la gorge. D’autres tirs d’armes à énergies nous furent destinés et plusieurs membres de la section furent blessés ou mort. Je ramassai le fusil du mort, conscient des dégâts que peut provoquer une telle arme dans un environnement comme ça. Nous repliâmes vers une grande salle avec deux entrées et une fenêtre. Heureusement pour nous, les portes se trouvaient presque l’une a coté de l’autre. Les tirs s’intensifièrent sur notre position. Les structures commencèrent à trop encaisser et, a moins de trouver une solution, nous allions tous mourir ici. Des grenades furent lancées causant de gros dommage en face… mais cela ne suffisait pas. Les flash suffisait tout juste a les étourdir quelques secondes. Un soldat hurla « sergent il faut sortir d’i… » Sa tête fut remplacé par un morceau sanguinolent. Fusil a pompe a la main, je passais de couvert en couvert, pour arriver près d’une porte. Je fis signe au gars de tirer dans les lumières et l’ombre se fit dans le couloir. Mon élément. Je ne sus pas s’ils m’avaient vu arrivé, mais en tout cas ils me sentirent passer.  Je vidais le chargeur du fusil à pompe dans les casques et plusieurs tombèrent, la tête ressemblant à un cratère sanguinolent. La section essaya de me suivre mais, toujours sous les tirs venant de l’autre couloir, elle était bloquée.  J’avais eu tout le temps de mémoriser une partie de la cité durant le voyage dans le vaisseau. Elle était vaste et, malheureusement, l’endroit ou nous étions ne me disait rien. Je du compter sur mes compétences et sur mon instinct… non ce ne fut pas vraiment ça. J’entendis plusieurs grosses détonations et sentit la structures trembler. Le reste de la section fini par me rejoindre dans le couloir et nous quittions rapidement les lieux. Nous finîmes par arriver aux abords de la porte et rencontrâmes d’autres ennemis. Fusil crachant du plomb et du feu, le hurlement aux lèvres et la mort près de nous, nous fonçâmes tête baissé dans la bataille…



» Prénom ou Surnom : Dioxyd
» Âge : 22
» Célébrité de votre avatar : Jeremy Renner
» Comment avez vous connu Atlantis Insurrection ? (Google ? Ami ?) Partenariat sur un autre Forum
» Connaissez vous les séries Stargate ? SG1, un peu de SGA
» Multicompte ? non mon commandant
» Codes du Contrat :