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[Intrigue] : Un pantin dans d'étranges mains

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Dim 5 Fév - 14:40

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[Intrigue] : Un pantin dans d'étranges mains


[Intrigue] : Un pantin dans d'étranges mains Elizabeth-dr-elizabeth-weir-31381018-100-100[Intrigue] : Un pantin dans d'étranges mains 012510
[Intrigue] : Un pantin dans d'étranges mains 0121d12[Intrigue] : Un pantin dans d'étranges mains 1486050183-01i1[Intrigue] : Un pantin dans d'étranges mains 01i210

Point de vue : Neutre
Personnes impliquése : Dr Weir -Capitaine Harris-Major Julia -Erin Steele-Alexander Hoffman
Intervention autre ? : non
Chronologie : 5eme jour : 11h00

Rappel :
09h30 : Annonce de Weir pour retirer le commandement Sheppard et Karola
⇒ Harris second
09h25 : Empoisonnement de Sheppard durant le discours de Weir
09h45 : Réunion de Harris + Woosley dans le bureau de Weir
09h45 : En parallèle réunion enquêteur dans le bureau d’Hoffman
10h30 : Karola qui veut se venger→ arrêter par Adam
11h00 : Réunion Weir, Harris, Woosley + Erin & Alexander

--------------------------

// Mademoiselle Steele, Monsieur Hoffman, nous avons réussi à convaincre Élizabeth de vous rencontrer pour discuter de sa décision quelque peu… surprenante. Nous vous attendons si vous voulez bien vous donner la peine. Capitaine Harris terminée. //
Toujours aimable, affable, courtois, bref toujours aussi honnête qu'en s’en est malhonnête.

Erin regarda Alexander et il fut décidé d’un commun accord qu'il était nécessaire de voir le docteur Weir. Nécessaire n'était pas vraiment le terme exact… obligatoire conviendrait mieux. Toujours est-il qu'ils se rendirent dans la bulle de verre de la cheftaine de l'expédition.
« Élizabeth, tout va bien ? », demanda Erin en pénétrant dans le bureau. C'était un peu surréaliste. La diplomate était assise à son bureau, Julia était derrière elle, et Harris était contre une paroi vitrée à sa droite. Pour un peu, c'étaient Alexander et Erin qui allaient être interrogés.
La susnommée tourna la tête vers le capitaine.
« Élizabeth ? » dit-il, interrogatif, en inclinant la tête vers l’avant.
« Euh oui, tout va bien Erin », finit-elle par répondre une fois que ses yeux vinrent se reposer sur la jeune femme de la commission. « Vous souhaitiez me voir ? » Non pas du tout, sachant qu’elle venait de prendre une très grosse décision sans les consulter…

L’anglais observa l’étrange scène qui se déroulait devant lui… il avait l’impression d’avoir une petite fille perdue (avec des pupilles sacrément dilatée). Il regarda la machine à café et la fit tourner dans le but d’en servir un à la cheffe. Cela était une technique, pas que de la bienveillance.
« Oui. Concernant, ce nouveau changement de leader et vous parlez des marches à suivre de l’enquête » Il était pro, puis son regard se posa sur les deux militaires.
« Vous comptez rester parmi nous, où vous avez des choses à faire major et Capitaine ? » dit-il poliment.

« Julia, vous pouvez disposer. Capitaine, vous pouvez rester ici, cela peut être intéressant pour la suite de l’enquête », répondit Weir en jetant un œil à Harris. Julia blêmit, certainement de frustration de se voir éjecter au détriment d’Harris.
« Bien madame… » Elle s’en alla, tout en claquant la porte.

« Et bien je vous écoute. », ajouta Weir à l’attention d’Erin et d’Alexander.
« Nous ne comprenons pas bien votre décision Elizabeth », lança Erin non sans se tirer une chaise pour s’asseoir en face de sa supérieure. Cela ne lui plaisait pas vraiment qu’Harris reste là mais comment faire pour l’inciter à sortir si la diplomate souhaitait qu’il reste là.
« Ce que nous comprenons encore moins, c’est que vous nous nous n’en avez pas parlé. »

Elizabeth hésita un moment, ses yeux allant vers Harris alors qu’elle triturait ses mains.
« C’est-à-dire que ça me semblait logique… »
A tiens c’est étrange ça… elle vire la responsable militaire mais pas le second ? L’anglais, regarda Julia partir, celle-ci lui fit un petit rictus, avant de passer la porte prestement. Le café était prêt, l’anglais, le prit et le posa devant la cheffe, la regardant dans les yeux. Elle avait les pupilles noires. « En quoi est-ce logique ? » Il s’assit nonchalamment en face d’elle, comme il l’aurait fait à l’habitude.

Elizabeth opina du chef en guise de merci pour le café. Elle en avala directement une gorgée, fidèle à elle-même. Elle toisa Alexander et Erin, avant de répondre, comme-ci elle récitait un texte appris depuis longtemps. « Ils étaient tous les deux très impliqués, et ce n’est pas éthique ni conforme que des victimes supervisent des enquêtes qui les concernes directement. Sinon, elles peuvent confondre justice et vengeance, et se laisser embarquer par leurs émotions vis-à-vis des gens qui leur ont fait du mal. » Elle croisa les mains devant sa tasse et ajouta :
« C’est pour ça que j’ai préféré déléguer leurs compétences à Luke et Julia. »

Le susnommé tortilla des fesses dans sa chaise, attirant automatiquement le regard de la diplomate. Erin était perplexe. Autant c’était logique ce qu’elle racontait, autant sa façon de faire et de parler n’étaient pas conformes à la Weir qu’elle connaissait. Quelque chose ne tournait pas rond dans cette pièce, à commencer par les prunelles de la diplomate. Alexander menait le bal vis-à-vis de Weir pour le moment, aussi Erin se contenta-t-elle d’adopter une posture d’observatrice, étudiant les mimiques non verbales et les tics verbaux du capitaine et de la cheftaine.

L’anglais remarqua les petits échanges verbaux entre les deux interlocuteurs. Il commençait à en tirer ses propres conclusions.
« Bien. Si on suit votre logique, toutes personnes trop impliquées doivent s’écarter ? »
« Oui »
« Dans ce cas, pourquoi ne pas m’avoir retiré à mon tour ? » Il allait au culot. Une demande qu’avait déjà faite Harris, au début et qui n’avait été soldé que par le refus catégorique de Weir.

La doctoresse le considéra un moment. « C’est vrai », finit-elle par dire. Harris se racla la gorge.
« Si je puis me permettre, j’avais suggéré l’idée, et le docteur Weir ne m’a pas écouté… »
« Luke, pour vous, c’est Elizabeth, et maintenant que vous le dite, je pourrai très bien… »
« Docteur, laissez-moi finir je vous prie », dit-il de façon neutre. La susnommée se recroquevilla dans sa chaise. Mais que se passait-il ? Elle semblait souffrir soudainement, car elle se massait les tempes.
« Je pense désormais que c’est une mauvaise idée que de vous écarter maintenant monsieur Hoffman. Barnes est mort, un suicide apparemment, bien que nous verrons si les résultats de l’autopsie le confirme, et vous gérer tout ça très bien, ce serait une ineptie. »
« Voilà, ça ne sert à rien de vous écarter Alexander », ajouta Weir qui se reprenait. « Karola a été violé, ce n’est pas rien. Quant à John, il l’avait mauvaise de s’être fait trainer dans la boue par ses conspirateurs. Il n’était pas lucide. Il n’avait pas votre flegme. Vous n’étiez pas dans les mêmes situations. »
Il se complétait bien tous les deux. Erin bougea un peu dans son fauteuil, mal à l’aise avec cette étrange pièce de théâtre qui se jouait devant eux.


La scène était étrange, il sentait que sa compagne en tirait les mêmes sentiments de gêne. Entre une Weir qui se masse les tempes et qui donne son prénom…
« Bien. Le colonel a eu une tentative de meurtre tout à l’heure. C’est du poison et non une défaillance cardiaque » cela était juste une constatation. La cheffe de la cité le regarda, est devenue blanche.
« Il va s’en sortir ? »
« Le contre poison est connu »
« Tant mieux »

L’anglais hocha la tête. « Élisabeth qui est le soldat qui vous raccompagne le soir à vos quartiers ? »
« C’est moi », répondit Harris sans attendre.
« Quel est le sens de votre question Monsieur Hoffman ? » Elizabeth approuva en montrant le capitaine de la main.
« Je voulais m’assurer qu’elle était entre de bonnes mains » Il regarda le Capitaine. « Luke » le sous-entendu, était suffisant, pour que le militaire face le lien.
« Je vois, Alexander, et bien vous n’avez pas à vous inquiéter », répliqua l’autre froidement. Il avait très bien compris.
« Plus maintenant, en effet » répliqua poliment l’anglais avec un rictus au militaire.

Alexander se releva. « Élisabeth, au vu de ce qui s’est passée avec le colonel, le Dr Becket souhaite prendre une prise de sang à chaque responsable, le poison, serait ingurgité 24H avant. Au cas, où il est plus préférable que vous venez tous les deux à l’infirmerie ». Il savait très bien mentir, voir même trop bien et le Dr confirmerait ses dires.
« Vous pensez que j’ai été empoissonnée ? », demanda Weir affreusement étonnée.

Harris n’en menait pas large et il ne savait pas trop quoi faire. Refuser et il serait catalogué, accepter et il finirait par se faire pincer. Néanmoins, les analyses étaient longues à faire, surtout que la plante était normalement inconnue des laborantins.
« Il faut vérifier. C’est plus prudent. », laissa sous-entendre Harris à Weir.
« C’est plus prudent oui. », confirma cette dernière.
« Nous ferons les nôtres en même temps », ajouta Erin qui n’avait plus rien dit depuis un moment. Elle se leva, histoire de donner le ton.

Alexander tourna la tête vers Erin, la laissant passer devant lui d’un geste souple de la main sans la toucher. « Oh Élisabeth »
« Oui Alexander ? »
« Pour le nombres de dossiers falsifiés, il y en a 25 »
« Autant ? »
« Le reste arrivera demain, nous en saurons plus ».
« Et vous pensez encore qu’il y a un civil ? ».
« Vu la lenteur de cette enquête, ce n’est pas plus une pensée ».
« Vous pensez à qui ? ».
« Nous le verrons demain » il lui fit un autre sourire fin, sous-entendu on va le voir demain ou nous verrons demain ? Là était la question. Les quatre personnes sortirent du bureau vitré. Le sous-lieutenant Adam Ross attendait et fit un signe à Alexander, pour lui parler quelques minutes d’un air grave.

L’anglais, revenu vers les personnes et s’excusa.
« Nous vous rejoindrons dans quelques minutes, un élément avec le major Frei à régler ».
« Un souci ? », demanda Harris, que trop content de les voir s’en aller.
« S’il y en a un Capitaine, nous vous le ferons savoir. », précisa Erin trop contente de l’envoyer ne bouler avec rien à mâcher.
« N’oubliez pas d’en avertir le Major Woosley, sinon elle sera furax, c’est tout », répliqua l’autre bougon. D’ailleurs, il devait la contacter rapidement. L’anglais était trop bien informé.
« Cela va de soi, nous avons suffisamment de feu à éteindre » fit l’anglais sur un ton polis, avant de tourner les talons, avec Erin vers son bureau.

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Dim 5 Fév - 15:02

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[Intrigue] : Un pantin dans d'étranges mains



Point de vue : Erin & Alex
Personnes impliquése : Erin Steele-Alexander Hoffman
Intervention autre ? : non
Chronologie : 5eme jour : 11h00


Erin Steele & Alexander Hoffman
« Le problèmes des siths c'est qu'ils sont toujours deux ... comme nous »


Une fois à l’abris, de celui-ci, il s’adossa au dossier de son sofa, pour toiser la consultante.
« Hum, j’en connais un, qui à utiliser son sabre laser et la force, pour convaincre ».
« Elle est complètement subjuguée oui… Si Harris est un Jedi, ou en l'occurrence un Sith, nous sommes pas bien », ajouta Erin sur le ton de la plaisanterie avant de reprendre un ton sérieux :. « J’espère qu’elle fera bien sa prise de sang, qu’on soit fixé sur la drogue qu’il lui donne. Ce mec me fait horreur. »

L’anglais pouffa un peu « Dark brioche, ça sonne tout de suite plus terrifiant » il accompagna cette phrase d’un geste de main, comme pour faire peur.
« Oui, l’amour fou entre vous » lui lança-t-il amusé avant de continuer
« En tout cas, il ne va pas tarder à nous faire une petite action, vu comme il est sous pression maintenant »
Erin se mit à rire. C’était complètement ridicule comme surnom, et cela l’amusa beaucoup.
« Dark Brioche doit être supervisé par Dark Petit pain au lait, n’oublie pas qu’ils fonctionnent toujours par deux », fit-elle en référence à la tradition des Stih allant par deux. « C’est limite physique, mais je sais qu’il est mouillé, depuis qu’il m’a… Enfin, après ton agression. » Erin ne lui avait pas dit pour Harris, elle avait failli se vendre.
« Ce serait bien qu’il fasse une petite action qui capote et qu’on le serre une bonne fois pour toute. »

Il pouffa avec elle, ils avaient toujours le don de trouver tout cela au ridicule.
« Manque plus qu’à savoir où est le maitre ou l’apprentis » Il lissa sa veste du revers de la main, avant de s’arrêter de rire et toiser Erin sérieusement
« Depuis qu’il t’a ? » elle ne pensait quand même pas noyer le poisson ? Il hocha simplement la tête pour le reste.

Ils finiraient bien par trouver qui était le maître, de l’apprenti. C’était qu’une question de temps. Elle se mordit la langue. C’était évident qu’il allait relever. « Qu’il m’a regardé de travers après ton agression, avec son petit numéro… Bon, depuis qu’il m’a menacé pendant que tu étais à l’infirmerie… Mais ça va, rien de bien méchant. », finit-elle par expliquer rapidement, sachant que de toute façon, il allait lui tirer les vers du nez.

L’anglais croisa les bras, toisant sa compagne dans les yeux. Il se sentait un tantinet agacé, de l’apprendre que maintenant et surtout que cet enflure d’Harris, avait profité de son absence pour faire quelques menaces à la demoiselle :
« Hum, rien de bien méchant, oui. Et il t’a dit quoi ce charmant personnage ? » il lui fit un geste de la main enroulée, pour qu’elle développe.

Erin se demandait si elle aurait dû lui en parler avant ou pas. Il n’appréciait pas la confidence et elle le voyait bien. Après, elle n’avait pas voulu l’inquiéter alors qu’il était aux portes de la conscience. Et puis, elle n’était pas une petite fille qui avait besoin d’être protégée tout le temps.
« Il voulait qu’on laisse les militaires s’occuper des affaires des militaires. » Elle se souvenait encore de son parfum et de ses yeux de tueur quand il l’avait plaqué avec brutalité sur le mur. Des détails qu’il n’avait pas besoin de connaître. Heureusement, Weir était arrivée, faisant diversion malgré elle.

Il n’aimait pas vraiment en effet, car ça touchait une personne à laquelle il tenait et cela l’agaçait qu’Harris soit croit tout permis. Elle était laconique, elle ne lui en dira pas plus
« Et rien de mieux, que de faire son corps bras. Il a un sacré problème de dominance mal placé » il hocha, la tête, se leva « Il va encore plus déchanter quand c’est toi qui le mettra à terre » il avait dit ça d’un ton un peu sombre, pour aller jusqu’à son bureau.

« Oui il a un sérieux problème. » Erin lui fit un sourire. Elle n’aimait pas le voir agacé. « Ce sera un travail d’équipe, Alex. »

Il lui sourit « Oui, bien entendu » il soupira, il n’aimait pas trop montrer cette face de lui-même mais en tant que grand joueur …il a des parts d’ombres
« Je t’avoue que c’est agréable d’imaginer toute son égo de mâle se faire détruire par une personne qui juge inférieur à lui »

« Il faut bien que nous tirions un peu de plaisir de tout ça », fit-elle en approchant de son bureau à son tour.
Il lui sourit « Oui, sous d’autre forme » il lui fit les yeux doux de manière innocente.
Erin lui rendit son sourire. « Il faut savoir varier les délices très chers, », dit-elle d’un ton pompeux sans vraiment se prendre au sérieux.
Il pouffa amusé avant de lui laisser de la place, pour qu’ils continue à bosser.


END 05/02/2017

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