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Une rencontre brutale ( RP - Storm / Stanford )

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Dim 26 Juil - 19:32

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John se trouvait au niveau MEDICAL de la base. Le spécialiste venait de ramener avec l’aide de l’équipe médicale un individu blessé, un certain SAN.
Un medecin de garde avait forcé le première classe à passer pour un contrôle de routine suite à l’altercation avec les Wraith. S’installant sur la table d’oscultation et retirant son tee shirt l’homme dévoila son torse musclé. Il fallut ensuite retirer le pantalon et les rangers afin de se retrouver en boxer. Aucune blessure visible n’était à déplorer, pas de trace, ni d’éraflures. Par précaution, une prise de sang fut effectuée afin de s’assurer de la non absorption de bactéries ou autres maladies dégénératives que l’on peut visiblement croiser lorsque l’on se balade de monde en monde.

L’individu observait la pièce composée d’équipements en tout genre donc l’aspect ne lui inspirait nullement confiance.

« J’ai encore quelques analyses et tests à vous faire passer puis vous pourrez rejoindre votre section soldat » lui indiqua le toubib.

« J’ai tout mon temps Doc »

Le personnel médical revint avec un bocal. Visiblement il allait devoir uriner dedans pour, une fois encore être analysé. Ce n’était pas forcément le test le plus glamour mais il devait s’y plier. Le soldat prit le bocal sans mot dire et alla dans le toilette à proximité. Il en revint quelques instants plus tard avec le récipient plein.

« Voilà Doc ! La quantité vous suffira ? »

Le médecin hocha la tête en signe d’approbation puis s’éloigna en parlant dans sa barde. Puis il revint pour l’ausculter posant son stéthoscope sur le torse chaud du militaire.

« Ah c’est froiiiiiiddd. !! »

Soudain, le soldat reçut un appel radio lui demandant de se présenter de toute urgence au poste de commandement. Il interrompit donc la visite enfila à la hâte son pantalon, ses rangers, prit son tee shirt en boule et parti en courant du cabinet remerciant d’un geste militaire le toubib. En sortant du cabinet le militaire tourna à gauche et se dirigea vers l’aile psychologie qui menait vers les couloirs généraux d’Atlantis.

Le couloir d’accès était la prochaine sur la gauche. Une série de portes bordait le couloir. Toujours au pas de course et Torse nu, le soldat se déplacait. Il commençait à enfiler son tee shirt quand il fut stoppé net par une porte qui venait de s’ouvrir. Il n’avait pu la voir car la tête dans le tee shirt.

John se retrouvait du coup au sol complètement sonné. Ne comprenant pas pourquoi ce choc brutal.

En rouvrant les yeux, son tee shirt déchiré lui permit d’entrevoir une charmante jeune femme brune, celle qui avait ouvert la fameuse porte.

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Dim 26 Juil - 22:16

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Journée finie. Je viens de finir d'écrire le rapport sur mon rendez-vous avec Mégane et je n'ai maintenant plus qu'une seule envie, sortir de là et aller me reposer dans ma chambre, un bon livre comme seul compagnon de soirée. Je m'enfonce dans mon fauteuil quelques secondes et je m'étire. Même si je n'ai eu qu'un seul rendez vous aujourd'hui, je suis fatiguée de tout ce changement. En peu de temps, je dois m'habituer à ce nouveau cadre de vie, ces nouvelles personnes et je dois aussi faire mon travail. Pour une première journée, je dois bien avouer que je suis fière de moi. Tout s'est bien passé, malgré mon moment d'égarement quand je suis partie à la recherche de la piscine. Enfin bon... Je retire mes lunettes j'attrape le dossier de Mégane et le range dans l'armoire avec les autres avant de la refermer à clef et de la cacher. Un coup d'oeil à ma montre, mon estomac me fait savoir qu'il faut que je le nourrisse. Je me serais bien contentée de quelque chose vite fait, mais apparemment, ça ne lui suffira pas. Rapide coup d'oeil pour vérifier que tout est rangé, j'éteins les lumières et j'ouvre la porte.

BOUNG ! Le bruit me fait sursauter. Qu'est ce que c'est ? Curieuse, je passe la tête pour voir ce qui a pu causer ce genre de bruit et je pousse un petit cri de surprise lorsque je vois un homme à moitié torse nu, emmêlé dans son tee shirt, sonné, assis par terre. Je referme la porte et m'agenouille près de l'inconnu pour m'assurer de son état.

- Oh mince ! Je... Je suis désolée, je n'aurais pas du ouvrir la porte si vite...

J'essaye de voir si il ne saigne pas mais je n'arrive qu'à distinguer un oeil qui me fixe à travers un trou dans le vêtement. Inquiète de ne pas avoir de réponse, je me mord la lèvre.

- Vous vous sentez bien ?

Comme moyen de faire connaissance, il y a mieux mais je ne suis pas devin et je n'ai pas du tout les capacités de deviner que quelqu'un va passer dans le couloir au moment où je vais ouvrir la porte. Je vais pour lui tendre la main et l'aider à se relever mais je me retiens. J'ai encore beaucoup de mal avec le contact surtout quand la personne est un homme. Je le laisse donc au sol, me contentant juste de le regarder alors qu'il essaye tant bien que mal de remettre son tee-shirt en place. Je plisse le nez quelques secondes avant de lui dire:

- Je pense que vous devriez aller à l'infirmerie...

Evy dans toute sa splendeur. Distante, limite froide alors que je viens de mettre un coup de porte dans le visage de cet homme. Ça se trouve je lui ai cassé le nez ! Ouf non... je pousse un soupir de soulagement en voyant qu'il n'y a aucune trace de sang. Au pire, il va s'en sortir avec juste une belle bosse.

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Dim 26 Juil - 23:54

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John tente de reprendre ses esprits. Le choc violent l’a mit KO. Cela lui rappelait d’ailleurs les blagues de ses collègues de promotion SEALs. Ils jouaient entre eux à se piéger les casiers ou verrouiller les portes battantes des couloirs. Son ressenti après le choc pouvait être comparable à celui d’une cloche. Sa tête raisonne.

La jeune femme s’agenouille et s’exclame :
« Oh mince ! …. Je suis désolée, je n’aurais pas du ouvrir la porte si vite. »

La phrase n’a pas d’effet sur le militaire. Peu à peu il se ressaisit commençant par retirer le tee-shirt afin d’être pleinement libre de ces mouvements. Regardant bêtement son bourreau accidentel, le soldat se demande encore pourquoi il est au sol. Observant la zone, il comprend rapidement que la porte semi ouverte et la demoiselle sont liées.

« Vous vous sentez bien ? » lui demande la femme

John baragouine vaguement une réponse un peu incohérente sur l’instant.

« Vous êtes un ange ? »

Il avait la vue troublée et la jeune femme lui apparaissait du coup légèrement embrumée, un peu comme dans un nuage. John récupère le tee-shirt et tente tant bien que mal de l’enfiler pour être présentable face à elle. Mais il galère pas mal. La jeune femme lui suggère même d’aller à l’infirmerie, chose que le spécialiste refuse gentiment trop fière pour un incident aussi minime.

Le militaire se contrôle rapidement tant bien que mal afin de savoir s’il est blessé. Tout semble en lieu et place et mise à part une douleur légère au crâne il va bien. L’homme tente alors de se redresser pour présenter ses salutations « militaire » à sa partenaire d’infortune. Il s’appuie sur la porte et finit par se redresser face à elle. Il se raidit maladroitement et salue la femme en se présentant.

« Soldat STORM, Madame, merci pour votre aide ».

La jeune femme se redresse à son tour
L’homme se souvient soudainement de l’appel radio et de l’ordre de présentation au poste de commandement. Il décide alors un peu gêné de reprendre sa mission et de s’y rendre. Seulement le choc a été plus dure qu’il ne l’imaginait et lorsqu’il entame le premier pas il perd l’équilibre et s’effondre sur la jeune femme. Son corps vient du coup involontairement en appui sur celui de la demoiselle. Gêné le soldat se redresse rapidement et s’explique :

« Excusez moi madame, je crois que je vais prendre quelques minutes pour retrouver mes esprits le choc a été rude avec votre porte. »

Le militaire s’installe sur une chaise qui était placée dans un bureau adjacent. plus bavard qu’à son habitude il lui indique :

« Je fais parti de l’équipe militaire d’Atlantis. J’allais vers le commandement lorsque je vous ai rencontré enfin, lorsque j’ai rencontré votre porte. Puis vous demander votre prénom ? »

Les yeux remis en face des trous John observe le visage de la jeune femme. Un visage fin et apaisant, presque irréel. Les yeux sont perçants et les cheveux fins et longs. Le maquillage est léger et équilibré Elle dégageait vraiment quelque chose de particulier….

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Lun 27 Juil - 11:31

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Debout, les mains sur les hanches, je me sens un peu gourde là. Je ne sais pas du tout quoi faire pour l'aider et encore moins quoi dire. Il vient quand même de se prendre une porte en pleine figure... Je n'ai jamais vraiment été douée pour les relations humaines et en voilà la preuve. Je viens de lui mettre la porte de mon bureau dans la figure et je suis là, à le regarder souffrir, en silence certes, mais souffrir quand même et je ne suis même pas fichue de dire ou faire quelque chose qui pourrait le soulager et l'aider. Mon incapacité à ne pas savoir nouer le dialogue m'étonnera toujours. Je me contente de le fixer pendant qu'il essaye tant bien que mal de reprendre ses esprits. Alors que je lui demande si il se sent bien, il me répond quelque chose d'assez surprenant qui me laisse penser qu'il est plus touché qu'il en a l'air.

« Vous êtes un ange ? »

J'écarquille les yeux et hausse les sourcils. Oula, j'y suis peut être allée un peu trop fort avec cette porte. Quelque peu surprise par cette réponse qui n'en est pas une et qui n'a pas vraiment de sens, je m'empresse de lui répondre.

- Qui ? Moi ? Nooooon !

Il a du mal à remettre son tee-shirt, ses gestes sont un peu brouillon mais encore une fois, ce n'est pas pour ça que je vais aller l'aider. Ben oui, tant qu'à être bizarre autant l'être jusqu'au bout. Il se redresse tout en s'aidant du mur et se met en place pour faire le salut militaire. Euh oui, d'accord, détend toi je ne suis pas ton supérieur. Je plisse les yeux quelques secondes tout en le fixant. Les militaires, étranges créatures qui m'étonneront toujours.

- On se détend soldat...

Tout à coup, il semble avoir une lueur de lucidité, vu son regard, quelque chose a du lui traverser l'esprit. Il va pour se remettre en marche vers son objectif mais la suite laisse place à une situation quelque peu cocasse. Alors qu'il décide de partir, je le vois qui commence à perdre l'équilibre. Je n'ai pas le temps d'agir que le voilà à moitié effondré sur moi et je me retrouve plaquée contre le mur, les deux mains en l'air. Dans la précipitation, j'ai poussé un petit cri de surprise et ce qui devait arriver arriva, ma main va claquer contre sa joue. En quelques minutes, le soldat vient de se prendre ma porte et ma main dans la figure. Il se redresse, s'excuse comme il peut.

« Excusez moi madame, je crois que je vais prendre quelques minutes pour retrouver mes esprits le choc a été rude avec votre porte. »

Je ne le quitte pas des yeux, je suis toujours collée contre le mur, je n'ose pas bouger. Ma respiration est rapide, j'ai un peu de mal à reprendre mes esprits. Moi qui veut éviter les contacts avec les hommes, c'est raté pour cette fois. Alors qu'il s'installe sur une chaise, je ne quitte pas mon mur et je ne le quitte pas des yeux, prête à agir juste au cas où. En tout cas, il a de la chance, j'ai bien failli lui en mettre une. Il m'explique où est ce qu'il devait se rendre avant de tomber sur ma porte et me demande mon prénom. Je le vois qui me dévisage, je déglutis.

- Evelyn... et je suis vraiment confuse pour la porte.... et la gifle... Vous m'avez fait peur....

Je me racle la gorge et me détend maintenant qu'il y a une distance entre nous.

- Vous êtes sûr que vous ne voulez pas que je vous accompagne à l'infirmerie ?

Pour lui avoir collé une gifle après la porte, c'est le moins que je puisse faire non ?

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Lun 27 Juil - 23:52

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Après la porte, la claque, le soldat n’a pas saisit la totalité de ce qui vient de lui arriver. Deux chocs en l’espace de quelques minutes. Le premier choc brutal laisse place à un second choc froid et sec.

La jeune femme présente brièvement ses excuses pour les deux impacts. Le premier involontaire et le second réflexif. Elle semble totalement gênée ou choquée. C’est indéterminable.

John est donc maintenant marqué de chaque côté. Côté pile : une bonne trace avec le dessin de la porte atlante ; côté face une jolie trace de main. Etrange situation. Il pouvait maintenant comparer les deux types de douleurs. Il repensait à tout cela en s’asseyant sur la chaise. Toujours suivi du regard par la jeune femme.

"Vous êtes sur que vous ne voulez pas que je vous accompagne à l’infirmerie ?" Lui indiqua-t-elle.

« Non ça ira merci, sauf si vous comptez m’assener un troisième coup sur la tête » lui fit remarquer en souriant John.

Il se posa contre le dossier de la chaise prenant une bouffée d’air, étirant l’ensemble de son corps qui craquait morceau par morceau.

Le soldat ne savait du coup plus quoi dire ou faire, il se tenait assis sur sa chaise, regardant de manière gêné et intrigué la jeune femme. Elle semblait très sérieuse et montrait un air presque surprise ou terrifiée. John se demandait s’il ne lui avait pas fait de mal. Un long silence d’une minute se fit sentir et pesait dans la pièce. Le spécialiste engagea alors la discussion en demandant :

« Et vous vous allez bien, vous n’avez pas cogné la porte ? Je ne vous ai pas fait de mal en m’écroulant maladroitement sur vous ? »

John était un homme grand qui pesait son poids pour une femme frêle et fine comme elle. Etant tombé maladroitement de tout son poids, il n’avait pas maitrisé sa réception et avait donc lesté la pauvre Evelyne de son corps. La scène ressemblait presque à une accolade maladroite.

« Evelyne c’est ça ? Sans paraitre indiscret, vous exercez quelle fonction au sein de la base ?»


Le militaire s’intéressait à la jeune femme afin de casser le froid qui flottait dans la pièce. Visiblement sans grand effet. John aurait pu jurer qu’elle était militaire tant son comportement ressemblait à celui de certaines femmes de son unité. Mais il ne pouvait pas vraiment se baser sur ce premier contact relatif. Avant que la jeune femme n’apporte la moindre réponse, un des membres médical de l’équipe déboule dans la pièce alerté par le vacarme de l’incident. L’individu fait face au soldat et éclate de rire.

« Soldat, vous allez bien ? Vous marquez facilement, si vous voyiez votre tête. On pourrait presque penser que vous avez pris une claque qui vous a projeté sur la porte. Bon techniquement la coupable ne pourrait pas le faire mais la situation prête à confusion  ».

John commençait à rougir et à ne plus savoir ou se mettre. La situation était très gênante. Aussi vite qu’elle était venue, la personne ressorti et disparu dans les couloirs. Le militaire se renferma alors fixant la porte qui venait de se refermer ne pensant qu’à se faire oublier et rejoindre ses fonctions au plus vite…



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Mar 28 Juil - 13:35

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« Non ça ira merci, sauf si vous comptez m’assener un troisième coup sur la tête »

Je me mord les lèvres... Le pauvre, maintenant il va me prendre pour une hystérique qui ne sait pas se contrôler. Sans rien dire ni bouger, je le regarde s'étirer alors qu'il est assis sur sa chaise. J'y suis sûrement allée un peu trop fort. Bon pour la porte, je ne pouvais pas deviner que quelqu'un allait passer à ce moment là, mais pour la gifle, j'aurais bien pu me contenir et me contenter de serrer les dents jusqu'à ce qu'il s'écarte de moi, mais ça a été plus fort que moi. Ma main est partie avant que j'ai vraiment pu me rendre compte de ce que j'allais faire.

- Encore désolée...

Les bras croisés sous la poitrine, je regarde à gauche et à droite, l'ambiance est légérement tendue. Lui comme moi on se sent un peu stupide et ce silence qui commence à durer n'est pas là pour arranger les choses. Ca en devient même presque pesant... Le militaire décide de prendre la parole et donc de rompre ce silence un peu trop persistant à mon goût.

« Et vous vous allez bien, vous n’avez pas cogné la porte ? Je ne vous ai pas fait de mal en m’écroulant maladroitement sur vous ? » « Evelyn c’est ça ? Sans paraitre indiscret, vous exercez quelle fonction au sein de la base ?»

Je souris à mon tour alors qu'il me demande si je ne me suis pas fait mal moi aussi dans toute cette agitation. Je me racle la gorge et laisse tomber mes bras le long de mon corps.

- Non, ne vous en faites pas pour moi, j'ai enduré plus dur que ça. Je vais m'en remettre, merci...

Combien de fois je me suis retrouvée le corps recouvert de bleus ? Franchement, je crois que j'ai arrêté de compter au bout de 10. Ce n'est donc pas une porte qui va me faire du mal. Machinalement, je jette un coup d'oeil sur mon bras, celui qui a tapé contre le mur quand il s'est presque écroulé sur moi, et je vois un bleu. Je marque très vite... trop facilement au goût de mon ex... Par pur réflexe, je cache mon bras dans mon dos et lève les yeux vers lui.

Je n'ai pas envie de lier une amitié ou quoi que ce soit d'autre avec un homme. Je sais qu'il ne fait pas ça méchamment, qu'il veut juste entamer la discussion mais toutes les barrières que je me suis mise ne doivent pas céder. J'ai déjà trop souffert, je ne veux pas que ça recommence. Je sors de mes pensées et je m'apprête à lui répondre quand un membre de l'équipe médicale arrive dans la pièce, sûrement attiré par le bruit. Il éclate de rire, je hausse les sourcils. Je me retiens de lui dire ce que je pense et j'attend qu'il soit parti pour m'approcher du soldat. J'affiche un petit sourire pour essayer de détourner son attention et pour qu'il ne pense plus à ce qu'on vient de lui dire.

- Je suis la nouvelle psychologue.... Il a de la chance que j'ai épuisé mon quota de bourdes parce que je me serais fait un plaisir de lui montrer que c'est tout à fait possible de se prendre une porte et une gifle.

Je fais un pas de plus vers le soldat et me penche pour regarder ses joues marquées et rouges.

- Par contre, je suis d'accord avec lui... Vous marquez très bien....

Je grimace et me recule avant de remettre une mèche de cheveux en place.

- Je serais vous, j'attendrais un peu avant de vous rendre là où vous devez aller...

Je sais que je dois me faire pardonner, mais je ne suis pas douée avec ce genre de chose et je n'ai pas spécialement d'idées en tête pour lui montrer, encore une fois, que je suis désolée pour tout ça.

- Au fait soldat Storm, vous avez un prénom ou c'est juste "soldat" ?

La distance entre nous est parfaite. Au moins ça évitera une nouvelle catastrophe si il doit retomber.

- Qu'est ce que je peux faire pour me faire pardonner ?

Une chose est sûre, il risque de se faire ridiculiser si ses collègues apprennent ce qui lui est arrivé.

- En tout cas, ne vous en faites pas, je ne dirais rien sur le pourquoi de vos marques.

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Ven 31 Juil - 9:53

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John est mal à l’aise. Un membre de l’équipe médicale qui se fou de sa gueule…S’il retrouve la personne, il ira lui dire ce qu’il en pense.

La jeune femme face à lui sourit enfin. Bien que maltraité le militaire est rassuré, elle semble en forme et lui répond :

« Non, ne vous en faites pas pour moi, j’ai enduré plus dure que ça. Je vais m’en remettre merci. »

La jeune femme semble froide de prime abord bien que très jolie. Elle n’est pas très avenante et le fait savoir en fermant systématiquement la discussion. Toujours posé sur son trône, le militaire a maintenant récupéré l’ensemble de ses capacités physiques mais il sent encore deux zones chaudes sur sa tête. Celle de la porte et celle de la douce main de son bourreau. Intérieurement ce n’était pas très agréable et sa fierté en avait pris un coup. Giflé par une femme sans forcément avoir mal agit. Mais bon, elle semble sincèrement désolée. John décide donc de passer l’éponge et de prendre sur lui.

La jeune femme l’interrompt dans sa réflexion sur l’incident précédent en s’avançant vers lui

« Je suis la nouvelle psychologue… Il a de la chance, j’ai épuisé mon quota de bourdes parce que je me serais fait un plaisir de lui montrer que c’est tout à faire possible de se prendre une porte et une gifle. »

Le militaire explose intérieurement de rire. En faite, elle est pire que lui. Sous son visage d’ange se cache en faite une femme avec un bon caractère. Cela pourrait être drôle s’ils gardaient contact au sein de la base…. Elle se penche alors vers lui interrompant sa minute philosophique. Le soldat est surpris et reste silencieux et droit, un peu gêné.

« Par contre je suis d’accord avec lui, vous marquez très bien… »

Tu m’étonnes que je marque bien se dit il au fond de lui. Vu la puissance des impacts…. Il ne pouvait que marquer.
La jeune femme prend un peu de recule et joue avec l’une des ses mèches.
John l’observe impassible.

« Je serais vous, j’attendrais un peu avant de vous rendre là ou vous allez. Au fait Soldat Storm, vous avez un prénom ou c’est juste Soldat ? »

« Pour mon Chef, c’est Storm pour les autres c’est John. Vous excuserez mon formalisme mais étant de service, on applique les règles. Je vais d’ailleurs écouter votre conseil et rester quelques minutes ici, je pense aussi que c’est préférable, ça laissera les marques s’estomper. ».

Il affiche maintenant un léger sourire amical en la regardant

Le soldat était donc face à une psychologue. Il ne s’en était pas douté. A vrai dire, avec un tel choc, personne ne s’en serait douté. Il n’allait pas en voir souvent à part de temps à autre pour les contrôles suite aux retours d’OPEX. Ils y voyaient parfois des horreurs et cela pouvait aisément détruire un homme. Il se dit d’ailleurs que si toutes les psychologues étaient comme elle, les visites des soldats exploseraient…

« Qu’est ce que je peux faire pour me faire pardonner ? » lui indique-t-elle.

« Vous n’aurez qu’à m’offrir une bière bien fraiche à l’occasion si cela vous convient »

Cela faisait longtemps que John n’avait pas eut l’occasion de boire une bonne bière. Le travail ne manquait pas sur la cité et le temps libre lui se faisait rare. Il lui avait donc répondu spontanément ceci.

« Vous devez avoir pas mal de visite tout au long de vos journées non ? Entre les retours de missions, les traumatisés du citron etc… Vous exercez dans un domaine particulier de psychologie ? »

Le militaire observe attentivement la pièce la scrutant du sol au plafond. Il retourne ensuite sa tête vers la jeune femme et l’observe attentivement faisant mine de regarder le tableau au dessus. Soudain, le militaire se lève et se déplace vers la jeune femme sans raison apparente.

« Si vous me permettez, ne bougez pas et surtout ne me jetez rien dessus, je ne vais pas vous faire de mal ».

Il tend alors sa main doucement vers ses cheveux et lui retire un mouton de poussière très certainement tombé de la structure. Sa main frôle alors involontairement le visage de la jeune femme suite à un mouvement légèrement paniqué de sa tête.

« Vous aviez un truc dans les cheveux, on ne voyait que ça. » lui dit-il en montrant le mouton de poussière maintenant entre ses doigts.

Le soldat s’écart ensuite de la jeune femme pour lui laisser de l’air.

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Ven 31 Juil - 16:27

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Le soldat Storm, John, ne me quitte pas des yeux. Moi, je n'ai pas bougé de ma place, je suis toujours appuyée à mon mur pour ne pas tomber. Je ne le quitte pas des yeux non plus. Encore une fois, un blanc s'est installé dans la pièce, on entend plus que les pas qui résonnent dans le couloir, tout est silencieux. John rompt ce silence en me proposant de l'inviter à boire une bière pour me faire pardonner. J'affiche un sourire gêné, mais je hoche la tête pour montrer que je suis d'accord. Je lui dois bien ça, avec ce qu'il vient de se prendre en pleine figure...

- D'accord pour la bière fraîche... Par contre, je ne connais pas encore toute la cité et ... l'orientation n'est pas mon point fort. Je compte sur vous pour me montre le chemin...

De nouveau le silence. C'est perturbant de rester là, à se fixer sans rien dire. J'ai envie de discuter, mais je ne sais pas quoi lui dire. Et puis il n'a peut être pas envie de discuter avec la femme qui vient de lui déposer deux belles marques sur chaque côté de son visage. Il me pose des questions sur le travail, j'y répond avec plaisir. Dés que ça concerne le travail, je me sens plus à l'aise, plus disposée à discuter avec des hommes. Oh bien entendu, je ne vais dire que le minimum, je suis tenue au secret professionnel, mais intérieurement, je le remercie d'avoir posé cette questions. Ca m'évite de devoir quitter la pièce comme une voleuse.

- Pour le moment, il ne se passe pas grand chose... Je n'ai eu qu'un seul rendez-vous... Je crois que je fais peur..

Je ne peux pas m'empêcher de sourire à cette remarque. La peur du psy... Je crois qu'elle est beaucoup plus exagérée chez les militaires. A croire qu'ils ont peur que je les déclare inapte ou autre même si ce n'est pas ma fonction première. Je hausse un sourcil quand il me parle de "traumatisés du citron".. Tiens, je n'avais jamais encore entendu cette expression. Je souris, amusée par ces quelques mots.

- Non pas de domaines... Je touche à tout comme on dit...

Façon de parler hein. Mais il est vrai que dans ma carrière j'ai eu toutes sortes de patients. De l'accro aux jeux d'argent à celle qui a un soucis de TOC etc... Je finis par me sentir à l'aise et je me détend. Enfin ça, c'est jusqu'à ce que je le vois se lever et se diriger vers moi. Je retiens ma respiration, je me mord les lèvres alors qu'il porte sa main à mes cheveux. Petit mouvement de panique, je ne relève même pas sa réflexion, je me contente seulement de tourner légèrement la tête pour éviter son contact. Seulement, avec le mouvement de ma tête, sa main vient frôler mon visage. Mon corps entier se crispe mais il est parcouru de frissons... Cela fait un certain temps qu'un homme ne m'a pas touchée et je crois même que John est le premier à me toucher depuis mon ex... La sensation est bizarre.... J'ai peur mais je me rend compte que ça n'a rien de douloureux, au contraire...

« Vous aviez un truc dans les cheveux, on ne voyait que ça. »

Je tourne mon visage vers lui et pousse un léger soupir de soulagement.

- Merci... Je suis désolée, vous devez me prendre pour une folle...

Mes yeux se plantent dans les siens alors qu'il s'écarte pour me laisser un peu d'espace. J'attend quelques secondes avant de prendre place sur la chaise qui se trouve en face de lui, contre le mur où je suis actuellement.

- Vous vous sentez comment ? Pas de douleurs ? Je préfère rester avec vous ici, juste au cas où...

Si je le laisse et qu'on m'apprend qu'il a fait un nouveau malaise, je risque de ne pas me le pardonner.

- Vous savez, ce n'est pas mon genre de mettre des coups de porte aux gens pour faire connaissance... Vous êtes passé au mauvais moment...

Je ne le quitte toujours pas des yeux. C'est bizarre, je trouve qu'il dégage quelque chose de rassurant...

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Mer 5 Aoû - 10:45

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La jeune femme acquiesce la proposition d’une bonne bière fraiche. John va enfin pouvoir prendre un moment pour souffler. Il n’en avait pas bu depuis son départ de la terre pour la cité atlante. C’était une habitude avec ses anciens camarades militaires. Ils avaient des rites réalisés avant et après chaque missions afin de se donner du courage et de partager une dernière bière car certains pouvaient ne pas revenir. Avec elle rien de tout ça ! Ici se serait quelque chose de simple et d’agréable, comme un pardon qui pouvait ouvrir la porte à de nouveaux échanges.

La récupération du fameux mouton de poussière avait visiblement touché la psychologue. Dans la panique, la doctoresse avait bougé la tête effleurant la main de John et générant un étrange courant électrique fictif entre les deux personnages. Le militaire l’observait attentivement, gêné et absorbé. Ces instants appuyés laissaient un silence de plomb entre les deux missionnaires. On aurait pu entendre voler les mouches, bien que peu sure que les mouches existent en tant que tel sur Atlantis.

Le soldat avait par ailleurs posé quelques questions concernant les activités de la jeune femme sur la cité. Et à ces dires, c’était relativement calme. Il fallait tout de même relativiser car elle n’attaquait son service que depuis peu. Elle lui avait indiqué que les gens avaient peur des psys, chose à laquelle John ne savait pas répondre si ce n’est une phrase maladroite :

« C’est sûr que si vous pesiez 100 Kg avec de la barbe, je ne vous dirais par le contraire, mais là…. Enfin…. Vous êtes tout sauf effrayante, si je peux me permettre madame ».

Cette maladresse lui fit d’ailleurs tilter que les questions professionnelles apportaient un peu plus d’aisance à sa camarade d’infortune. Elle s’ouvrait telle une fleur et semblait plus avenante lorsque l’on tournait sur ses activités. Il en conclut donc quelle était passionnée par son métier et donc juste gênée. Cela pourrait certainement évoluer par la suite lorsqu’elle serait plus à l’aise.
Elle l’interrompit dans ses divagations :

« Je suis désolée, vous devez me prendre pour une folle ? Vous vous sentez comment ? Je préfère rester avec vous au cas ou… Vous savez ce n’est pas mon genre de mettre des coups de portes aux gens, vous êtes passé au mauvais moment »

« Vous savez Madame, ce n’est qu’une question d’habitude. Ne vous inquiétez pas j’ai la tête dure bien que le choc fut violent. Il n’y a aucune séquelle et je ne sens plus d’ailleurs les deux points chauds sur mon crâne. »

Il continuait d’observer la jeune femme, un peu évasif

« Par contre j’accepte votre proposition afin d’avoir le plaisir de profiter encore un peu de votre compagnie ».

John jouait avec sa radio pendant qu’il parlait à la jeune femme. Un peu perturbé par cette rencontre étrange.

« Vous vous êtes bien intégrée sur la cité ? Cela fait certes peu de temps que vous êtes arrivée mais il y a du monde et pas mal d’activités collectives ».

Il renchérit,

« Pour ma part, il m’a fallu un petit temps d’adaptation pour pouvoir prendre mes repères ici. C’est tellement grand et tellement beau, et les gens y sont sympa pour la majorité »

Après un court silence, un peu gêné il ajoute

« Vous êtes la première personne que je rencontre et avec qui je sympathise un peu. C’est très agréable »

A force de jouer avec sa radio, il finit par la faire tomber. Elle le perturbait et il n’y était pas habitué, lui qui faisait face à des situations compliquées au combat, il ne savait pas gérer cet instant chaleureux


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Mer 5 Aoû - 14:15

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Une question d'habitude ? Donc en gros, ce qu'il ait en train de me dire, c'est qu'il a l'habitude de se prendre des portes dans la figure et des gifles ? Okaaaay.... Alors là, je ne sais pas si je dois sourire ou me méfier parce qu'un homme qui a l'habitude de ce genre d'accidents, c'est sûrement parce qu'il doit les chercher non ? Je ne relève pas, je me contente de le fixer. Lui aussi me fixe et ça me met mal à l'aise... enfin je crois. L'ambiance dans la pièce vient de changer et l'atmosphère est devenue électrique. J'ai encore le contact de sa main sur mon visage, je ne sais pas ce qu'il s'est passé... cette sensation est bizarre bien que grisante.. Rien que de penser à ce contact involontaire, mon corps et parcouru de frissons et je ne sais plus quoi penser... Je sors de mes pensées quelques peu embrumées et j'hausse un sourcil en entendant la remarque du soldat. Profiter de ma compagnie ? Cet homme doit avoir des tendances masochistes pour rester avec la femme qui lui a fait deux belles marques de chaque côté du visage. Je ne dis rien, encore, je reste collée à mon mur en espérant qu'il n'a pas l'intention d'en profiter très longtemps.

Pour combler le silence qui se fait oppressant, John se met à parler, à me poser plein de questions. J'ai à peine le temps de réfléchir à une qu'il en pose une autre juste derrière. Ça m'amuse... Ça doit maintenant faire plusieurs minutes qu'il joue avec sa radio sans même s'en rendre compte. J'attend qu'il est fini de me poser toutes les questions qu'il a à me poser avant de lui répondre.

- Je n'ai pas vraiment eu le temps de me faire des amis... Je suis là depuis pas longtemps et je n'ai même pas encore eu le temps de visiter cet endroit. Les seuls que j'ai réussi à repérer, enfin je crois, ce sont mes quartiers, mon bureau et la piscine...

Je joue nerveusement avec une méche de mes cheveux avant de reprendre.

- Je crois que vous êtes la seconde personne avec qui j'ai une discussion hors travail depuis que je suis arrivée ici...

Je sursaute lorsque la radio tombe au sol. Je ne m'y attendais pas à celle-là et ça se voit sur mon visage. Il me faut quelques secondes avant de reprendre mes esprits. Je vais pour la lui ramasser, mais il est plus rapide que moi. Je fronce les sourcils quelques secondes et je plisse le bout de mon nez avant de lui demander.

- Vous êtes sûrs que ça va ? Vous n'avez pas l'air dans votre assiette...

Je n'ai aucune idée du comportement que Storm a en temps normal, mais là, je vois clairement qu'il y a quelque chose qui le perturbe... Il ne faut pas longtemps à la psychologue que je suis pour comprendre qu'en réalité, c'est moi qui le perturbe. La situation est assez étrange... On a l'air fin, là, dans cette pièce, à s'observer sans rien dire.... Je regarde ma montre et pousse un soupir.

- Je suis désolée, mais il va falloir que je vous laisse. Je... J'ai encore plein de travail et je n'ai toujours pas manger...

Non Evy ne dit pas ça ! A tout les coups, il va vouloir te suivre ! Vite rattrape le coup !

- Je dois aller chercher mon plateau, pour manger dans mon bureau, pour gagner du temps.

Tu t'enfonces.... Je me racle la gorge et lui adresse un brouillon de sourire.

- Je... Encore désolée pour la porte et la gifle... A une prochaine fois peut être.

Sans attendre, je pose la main sur la poignée et je quitte la pièce. Une fois dans le couloir, je ne retiens pas le soupir de soulagement qui m'assaille. Je secoue la tête pour me remettre les idées en place et je file directement dans mes quartiers. Je crois que j'y ai encore des fruits... ça fera l'affaire pour ce soir.

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Sam 8 Aoû - 23:51

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John venait de récupérer sa radio. A force de jouer avec il fallait qu'elle finisse par tomber ce qui fit sursauter brusquement Evelyn. Ce petit accident poussa la jeune femme à remettre en doute la santé de sa victime.

Le soldat était pourtant en forme. Aucune séquelle à déplorer. De toute façon il faisait tomber sa radio très souvent lorsqu'il jouait avec. Si son formateur avait été là il l'aurait engueulé en lui demandant d'arrêter de jouer avec le matériel de service.

Soudainement la jeune femme semble paniquer. Les échanges de regards étranges entre le militaire et la psychologue laissaient transparaître une gêne mutuelle. John ne savait pas comment d'interpréter. Il la trouvait jolie mais la connaissait à peine. Peut être aurait il dû éviter de la regarder trop longtemps ?....

Evelyn regarda soudain sa montre interrompant l'échange visuel et indique tout en hésitant qu'elle a encore du travail et surtout qu'elle a faim. Puis dans la précipitation elle ajoute qu'elle doit aller chercher son plateau pour pouvoir manger et travailler en même temps. Le soldat la comprenait car il faisait de même lorsqu'il était en mission. Les rations sur le coin du bureau.... tout une vie.
Il s'écoula trop peu de temps pour que John ait le temps de répondre ou d'apporter le moindre commentaire.

Brusquement la psychologue coupe court la conversation en s'excusant une nouvelle fois puis prend littéralement la fuite dans le long couloir de la cité.

Le soldat reste bêtement assis sur sa chaise en regardant la porte. Il n'avait pas compris la fin de la discussion pensant avoir commis une boulette qui aurait pu vexer la jolie jeune femme. De toute façon, il n'avait jamais été très doué pour discuter avec une femme hors cadre professionnel. La radio se mit brutalement à parler :

"STORM !!!! Au rapport ?! Qu'est ce que vous foutez ?"

John avait zappe l'appel radio suite à l'incident. Il devait maintenant rattraper son retard en courant vers la salle de contrôle d'Atlantis.
Tout en faisant attention le militaire s'engagea précipitamment dans l'allée principale. Il repensait à sa rencontre agréable bien que brutale avec cette gentille jeune femme.

Il espérait secrètement avoir la chance de la revoir même si pour cela il devait se prendre une nouvelle porte....

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