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Hailey Spalding, caporal à la blague facile

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Hailey Spalding
Caporal
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√ Arrivée le : 09/09/2018
√ Date de naissance : 25/08/1992
√ Nationalité : Américaine

√ Gène : ATA
√ Age : 31
√ Messages : 496
√ Localisation : Parmi les étoiles....

Liste de vos DC : Lorn Fawkes

Dim 9 Sep - 19:22

Hailey Spalding

Noémie Lenoir


Hailey Spalding


Spalding
Hailey
25 août 1992, New York
Américaine
2016
Militaire - caporal
Opératrice drone
Anglais, quelques rudiments d’arabe et langues proches acquis pendant son service en Irak puis en Afghanistan (de quoi demander son chemin ou avoir une petite idée de ce qui se dit quand elle se fait insulter), de très vagues notions dans la langue des Anciens qu’elle s’efforce de retenir depuis qu’elle a appris qu’elle avait le gène et pouvait donc utiliser leur technologie.
Couteau de chasse à manche en bois entourée de cuir. La lame est de trente centimètre et en acier.

DONNÉES COMPLÈMENTAIRES


quelques cicatrices
A+
ATA
Aucune de connue
Peur des guêpes depuis qu’elle a été piquée à quatorze ans
cicatrice à l’épaule gauche due à une balle qui avait traversé.

DONNÉES DE COMPÉTENCES




PERSONNEL MILITAIRE

Compétences de base

2
3
0
6
9
1
3
0
4
3

Compétences secondaires

0
4
1
0
0
0
0




DONNÉES D'UNE PERSONNALITÉ




Lorsque l’on essaie de savoir qui est Hailey Spalding l’on constatera souvent en premier lieu qu’elle est d’un naturel chaleureux et patient. Elle se préoccupe des autres, essaie d’avoir un mot gentil même si, parfois, elle se montre blessante ; elle n’est pas à l’abri de parler plus vite qu’elle ne pense. Cela ne l’empêche pas moins d’être facilement appréciée, surtout auprès de ceux qui ont besoin de parler car elle sait écouter, et ce d’autant plus facilement qu’elle est capable de rester de longs moments à faire ou entendre les mêmes choses. En creusant un peu plus, l’on s’aperçoit qu’elle est également loyale, fiable. L’on peut compter sur elle mais il vaut mieux ne pas trahir sa confiance car même si elle continuera de plaisanter comme d’ordinaire, elle trouvera un moyen pour prendre sa revanche. Elle n’aime pas être prise pour une idiote, une fille naïve que l’on peut tromper comme l’on se mouche. De plus, elle se sent naturellement proche des autres militaires ; elle a ce que l’on appelle l’esprit de camaraderie. Pour elle, abandonner ses compagnons est difficile et elle fera tout pour les aider, avec ses propres moyens, ne renonçant que s’il n’y a réellement plus rien à faire.

Hailey a toujours plutôt bien géré le stress face à des situations compliquées, lors des conflits, qu’elle soit prise sous le feu ou non. Par contre, face à ses supérieurs, militaires ou non, elle a tendance à renchérir en politesse, allant jusqu’à un tel niveau qu’elle se montre très voire trop polie pour ne pas dire obséquieuse. Elle a alors souvent l’impression de ne pas être à sa place, à la hauteur et préférait être ailleurs, une gêne qu’elle ne s’explique pas et qu’elle tente maladroitement de dissimuler ainsi.


DONNÉES D'UN PASSÉ CHARGÉ



Ce monde, cet univers je ne sais comment le décrire. Il est à la fois merveilleux et terrifiant, bon et mauvais. L’inconnu est si grand, si lointain et pourtant nous pouvons aujourd’hui l’atteindre, l’effleurer du bout des doigts.

Depuis que nous avons quitté la Terre à bord du Dédale, je passe le plus clair de mon temps entre le mess des officiers et la salle d’entraînement où j’essaie d’évacuer le stress, l’inquiétude, l’impatience. Comment ne rien ressentir après tout lorsque vous vous dirigez vers une cité mythique perdue par-delà les étoiles ? Comment ne pas simplement être excitée à l’idée de voyager dans l’espace, rêve que l’on réserve normalement aux astronautes et à ceux qui sont assez riches pour affréter une navette ? Mais savoir le vide, le froid intersidéral retenu par une simple paroi en métal est aussi particulièrement inquiétant. Pour avoir connu un sous-marinier, je m’attendais à ce qu’être enfermée pendant plusieurs jours dans un espace renfermée, sans pouvoir ouvrir un hublot et mettre mon nez dehors -idée particulièrement stupide lorsque l’on est sous l’eau ou dans l’espace- me taperait sur les nerfs mais je pensais au moins tenir une semaine avant d’avoir l’impression de tourner en rond. Je n’ai rien à faire, seulement ne pas gêner l’équipage. Aussi, je vais frapper dans un sac, soulever des poids, m’entraîner avec d’autres passagers, manger un morceau, dormir… Une routine répétitive qui continuera jusqu’à ce que l’on atteigne la galaxie de Pégase et Atlantis, le terme de notre voyage.

Comme je commence à me lasser de mes activités, je vais reprendre cette bonne vieille pratique : tenir un journal. Cela m’aidera lorsque je raconterai cette expédition, si tant est que je puisse la raconter à quelqu’un un jour. Mes parents ne savent même pas où je suis partie ; pour eux, c’est une mission de longue durée à l’étranger. Et étranger, ça ne rime pas vraiment avec galaxie voisine !

Je m’appelle Hailey Spalding, j’ai 26 ans et je suis caporale. Mon domaine, c’est le pilotage de drone et l’humour de plus ou moins bonne qualité.

D’origine afro-américaine, je suis une fille du Bronx. Je n’ai pas eu la chance de naître dans une des familles aisées de New York mais dans une pauvre. Mon père vend des Hot Dog dans la rue, ma mère est femme de ménage dans les grands buildings newyorkais et à eux deux ils nous ont offert, à moi, ma sœur aîné et mon petit-frère autant qu’ils pouvaient. L’on n’a jamais connu le grand luxe, les dernières nouveautés et la mode restaient souvent, pour nous, derrière les vitrines, inaccessibles mais nous n’étions pas malheureux. Pas assez du moins pour que je tourne mal. Le seul qui eut des problèmes, c’est mon petit-frère, ce pauvre gamin a été retrouvé mort un matin dans une ruelle. Il avait pris une balle et il a été conclu qu’il s’était retrouvé là au mauvais moment, au mauvais endroit. Mon père ne s’en est jamais vraiment remis, je le sais, même s’il ne parle que rarement de lui. Moi, j’ai longtemps refusé de tourner la page. Je voulais retrouver les coupables, les meurtriers mais je n’avais que quinze ans et lorsque j’ai commencé à m’approcher de quelque chose, que j’ai pris une rouste ou deux, et une engueulade maison j’ai fini par laisser tomber. Je m’en veux encore pour cela mais en même temps si j’avais poursuivi ma croisade, je ne serais sans doute plus là pour m’en vouloir ni soutenir ma famille. C’est pour elle que j’ai décidé de travailler rapidement après mes études, que je n’ai pas cherché à faire comme des amis. Mes parents ont tout fait pour nous élever, je peux bien faire en sorte qu’ils aient un peu mieux qu’une vie de misère.

J’ai d’abord travaillé dans un café, pour payer mes études puis pour aider ma famille. C’est grâce à cela que je sais en faire un à peu près décent, mais mon addiction à la caféine est plus vieille. Elle doit bien remonter au berceau, si ce n’est au biberon voire plus ancien. Ma mère en consomme toujours des litres, et j’exagère à peine : là où certains se ruinent pour un paquet de clopes, elle achète son café. Toutefois, mes dix-huit ans approchant, je me suis remise à faire les cauchemars que je faisais après la mort de mon frère. Je me voyais derrière l’arme qui l’abattait, je culpabilisai alors que ce n’était pas ma faute. Le problème, c’est que je me reproche encore de ne pas m’être inquiétée qu’il ne rentre pas ce soir-là, mais aussi d’avoir laissée tomber mes recherches de ses meurtriers. C’était comme si je le trahissais, le tuer une deuxième fois. Tourner la page est parfois plus douloureux qu’on veut le croire. Hélas il était trop tard pour reprendre là où je m’étais arrêtée, trop de temps s’était écoulé. Qu’est-ce que j’ai fait alors ? Je me suis engagée dans l’armée. Je n’avais pas fait de grandes études, par manque de volonté et non d’intelligence, je venais de me faire virer de mon emploi de serveuse pour avoir envoyé mon poing dans la tronche du patron qui avait trouvé mon postérieur parfait pour s’essuyer soigneusement la main et je savais que je gagnerai plus dans l’armée que par des petits boulots relativement précaires. Il y avait un autre avantage, je pouvais ainsi m’éloigner du Bronx, de mes souvenirs douloureux. C’était lâche, je sais. Je ne savais pas quoi faire d’autres.

J’ai donc fait mes classes, montrant rapidement que j’en voulais et que je ne comptais pas rester une trouffion. Je visai le grade de caporal, même si je ne l’ai eu que quelques mois avant mon départ de la Terre, après que j’ai eu l’occasion de prouver mes qualités. J’aurais aimé que cela soit plus rapide, mais je l’ai finalement eu et c’est déjà bien. L’un de mes examinateurs, à l’école militaire, m’avait dit que ma politesse avait joué contre moi. J’ai dû passer pour une lèche-cul, mais c’est plus fort que moi d’être des plus polies, voire trop polies avec un supérieur.

J’ai servi en Irak puis en Afghanistan, après avoir suivi une formation pour piloter les drones. Grâce à cela, je n’étais que rarement sur le terrain et était moins en danger que tous les pauvres gars qui étaient envoyés sur le front. Moi, j’étais qu’un petit oiseau de métal dans le ciel qui lâchait des tirs meurtriers, bien au chaud dans une base, derrière un écran. J’étais de la bande des geeks, ceux qui sont « loin de la réalité de la guerre ». Ce n’est pas tout à fait faux, l’on ne voit bien souvent le résultat de nos actes que sur un écran mais les pertes, les dégâts infligés sont les mêmes. Au final, que l’on tue à l’arme blanche, au fusil ou depuis un drone cela ne change rien, à part la méthode de bien entendu. Mais, pour le simple soldat qui voit ses compagnons se faire descendre les uns après les autres, l’on reste un lâche qui se cache. Je comprends toutefois pourquoi l’on peut penser ainsi, l’appréciation du danger est relative à la situation. Un drone c’est du métal et des dollars, pas des vies alors s’il se fait descendre il sera remplacé. Au contraire, une vie perdue ne sera jamais remplacée. Le soldat qui prend sa place sur le champ de bataille ne remplacera jamais totalement celle qu’il a laissée.

Pendant ma formation d’opératrice drone, nous nous étions retrouvée à former une petite bande. Il y avait les guignols qui considéraient qu’être piloter de drone consiste seulement à piloter le drone mais l’on était quelques-uns à penser que savoir les entretenir n’était pas inutile. C’est pour cela que je me suis intéressée à la mécanique, sans vraiment chercher à me spécialiser. Je voulais être prête pour le fameux au cas où, celui qui ne doit jamais arriver. Et puis, je dois dire que pouvoir vérifier l’état de son propre matériel c’est un peu la base ! L’autre point qui m’a poussé vers l’huile et les boulons, c’était à cause d’un des vieux qui habitaient dans le même immeuble que nous, dans le Bronx. Au moins une fois par semaine, il râlait contre les garagistes qui ne cherchaient qu’à vous enfumer derrière des termes techniques et voulez-vous changer toutes les pièces de votre voiture alors que la panne venait juste d’un filtre. Bref, pour lui, l’on ne pouvait pas faire confiance à un mécanicien, surtout s’il était noir. Eh oui… Personne n’est parfait !

Je n’ai fait qu’une dizaine de sorties en dehors des bases où j’étais positionnée ; certaines se sont bien passées d’autres moins. Une à frôlée la catastrophe. L’on était tombée dans une embuscade, notre lieutenant s’est fait pourrir par l’ennemi, transformée en passoir et je me suis retrouvée être la plus haute gradée de l’équipée. Autant dire que je n’en menai pas large, moi, la donzelle que l’on ne respectait pas trop mais j’avais la tête froide et j’étais décidée à ce que l’on se tire tous de ce merdier. Je me rappelle surtout des balles qui filaient, des chargeurs qui se vidaient, des grenades que l’on jetait à droite et à gauche, des jurons que je lâchai contre la radio qui était HS et de cette chaleur immonde qui nous assaillaient. Lorsque l’on s’est retrouvé à l’abri, sauf à défaut d’être sain, nous étions éreintée, blessée mais en vie. J’avais pris une balle dans l’épaule gauche ; par chance elle avait traversée. L’on avait eu deux morts en comptant notre lieutenant, mais personne ne le reprochait à personne. L’on avait réussi à ramener les corps, une belle bêtise quand on voit le danger qui nous tombait sur la tronche à ce moment-là mais ça nous avait paru être la chose à faire. L’on nous félicita d’avoir survécu, j’ai détesté faire mon rapport mais quelques jours plus tard j’ai été promue, et, plus agréable encore, j’ai eu le droit à une permission pour rentrer au pays. Evidemment, la première chose que j’ai faite fut d’aller saluer père et mère dans ce bon vieux Bronx. Je ne les avais pas vus depuis près d’un an, me contentant de leur adresser des lettres où je ne m’étendais pas beaucoup. Pour eux, rien n’avait changé. Ils avaient les mêmes emplois, louaient le même appartement et mon père me disait toujours que je devais garder ma paie pour moi. Evidemment, je refusai de revoir ce dernier point ; l’on est deux têtes de mules après tout.

Je suis repartie quelques jours plus tard en Afghanistan pour trois mois de plus avant de rentrer de nouveau au pays où l’on me fit un petit test, sans me dire la raison. Je n’ai pas discuté, je suis le genre de fille un peu conne qui suit les ordres tant qu’ils n’ont pas l’air débile. Le médecin n’a toutefois pas appréciée ma plaisanterie sur la possibilité qu’il fasse des tests illégaux sur des soldats… C’était de mauvais goût, je l’admets. Peu après, l’on m’annonça comme si c’était une chose merveilleuse que j’avais le gène des Anciens. Je n’avais aucune idée de ce que c’était, aussi je trouvai la réaction de la personne qui me l’annonçait pour le moins étrange. J’ai même pensé qu’il était un peu fou et me faisait une mauvaise farce. C’était avant que l’on ne m’explique que l’on pouvait voyager entre les planètes de notre galaxie par des portes, que l’on pouvait même atteindre d’autres galaxies et que des vaisseaux faisaient la navette entre la voie lactée et la galaxie de Pégase. J’ai tout de suite su que je devais voir ça de mes propres yeux. La paie était bonne, la chance unique. Il était désormais possible de revenir, pas comme pour les premiers colons et même sans cela je crois que je serais partie. De plus, la seule raison qui aurait pu me retenir à savoir ma famille n’était pas suffisante : l’on pouvait se contacter voire se revoir, certes avec un délai monstre mais c’était déjà cela et je pouvais toujours leur envoyer une part de ma paie.

J’ai donc passé les tests et entretiens, mettant en avant ma carrière militaire, ma loyauté, mon sens de la camaraderie (militaire principalement mais c’était un détail que je pouvais décemment omettre), ma patience et mon talent pour piloter des drones de tout type : du Predator au MQ- 9 Reaper sans oublier les derniers nés, les MALP’s. Nous étions en 2015, un an plus tard je partais pour Atlantis à bord du Dédale et me retrouver à bout de patience, ce qui ne m’arrive pas souvent. Comme je le disais, c’est le souci des espaces confinés : ils vous tapent sur le système.

J’ai ignoré quelques jours ce journal, j’ai trouvé d’autres moyens de passer mes heures perdues. J’ai rencontré une femme assez sympathique, quoi que sans doute agaçante si on ne sait pas faire avec les caractères difficiles ou particuliers, une certaine Erin Steele. Elle me dit de la tutoyer, je préfère la vouvoyer. J’ai l’impression que ce serait insultant si je ne le faisais pas, allez savoir pourquoi. Elle est mieux placée que moi après tout…





DONNÉES D'ARRIVÉE



Lorsque le Dédale se posa sur la planète qui servait de refuge à la cité d’Atlantis, j’avais retrouvé mon calme et ma patience. Cela ne dura hélas que jusqu’à ce que je pose le pied sur le sol de la cité. J’avais pu entrevoir les tours depuis le ciel mais de près c’était totalement différent. J’avais l’impression d’être ridiculement petite, insignifiante face à cette grandeur d’un temps ancien dont la technologie est si avancée qu’elle nous dépasse bien souvent.

Pour autant, je restai bien attentive à tout ce que je voyais, l’itinéraire que j’empruntai. Je constatai aussi que, à première vue, les défenses étaient minimes pour ne pas dire inexistantes. Il y avait bien les drones et le bouclier mais cela faisait bien peu en cas d’attaques pour riposter. Les bâtiments n’étaient pas non plus faits pour être défendue aisément, du moins pas avec si peu de personnels. La surface était immense, démesurément grande même si l’on oubliait que la cité était habitée jadis. Tout le temps de ma visite, je pensai que se perdre serait extrêmement facile et décidai que j’étudierai le plan en détail avant de partir en exploration, avec une radio et une arme de préférence. La cité a beau être aux mains du peuple de la Terre, rien ne me garantit qu’une saleté ne m’attende pas derrière un pilier ou une console. L’extase que je peux ressentir sur un nouveau monde ne va pas me faire oublier la prudence la plus élémentaire ! Enfin, j’espère…

Il y a bien une chose qui m’a impressionné : la salle de contrôle de la porte des étoiles. A ce moment-là, j’ai su que j’étais au cœur d’Atlantis. De là, l’univers s’ouvrait littéralement à nous et savoir que derrière cette anneau de métal vieux de 10 000 ans attendaient découvertes et menaces était plutôt grisant. C’est donc, malgré moi, assez excitée à l’idée de ce qui m’attendait que je découvris la cité d’Atlantis et pu enfin me poser dans mes quartiers.

Les jours suivant, je fis ce que j’avais prévu : explorer la cité, prendre mes marques, apprendre à connaître mes nouveaux camarades et entretenir des relations amicales. Mes fonctions étaient alors assez tranquilles, le temps que je m’habitue à ce nouveau cadre de vie qui devait donner le bourdon à plus d’un. Dire que l’on ne tient que grâce à la bonne volonté d’une technologie ancestrale et des machines complexes au-dessus de mètres cubes d’eau, ça n’aide pas à avoir le moral lorsque l’on est si loin de chez soi. Mais avec le temps, l’on apprend à faire confiance -sans excès- à la cité pour nous maintenir en vie, et à défaut aux savants qui tentent de la comprendre. Mais je ne m’inquiétai pas tant que cela, j’avais les nerfs solides, ce qui n’est pas plus mal pour une militaire. Aussi c’est avec une certaine facilité que je fis mes premiers pas dans cette cité et que je pus découvrir la joie d’être exceptionnelle, sans orgueil car je n’ai qu’un peu de fierté, juste assez pour trouver plaisant que la technologie des anciens se laisse activer à mon contact. Ce n’est pas pour autant que je me considère comme plus importante, j’ai juste eu de la chance, comme souvent ; ce n’est pas ça qui me donnera l’avantage ni même me rendra meilleure. Comme n’importe qui, il me faudra travailler.

Chaque jour qui passe révèle une nouveauté. Combien de secrets peuvent se dissimuler entre les tours de métal ? Rien que le siège de commande des drones est incroyable. Je passerai des heures dessus si je le pouvais, ne serait-ce que pour m’habituer à l’utiliser. C’est tellement différent de penser comme si l’arme n’était qu’une extension de notre corps que de manipuler de bonnes vieilles commandes terriennes ! Un scientifique trouverait à redire sur ma conception de ce pupitre de commande mais c’est ce qui me paraît être le plus proche. Il y a aussi les jumpers qui sont assez passionnant, tant sur le plan technique sur celui du maniement. Ils sont, comme le trône, extrêmement instinctifs, comme s’ils étaient reliés par un lien psychique au pilote ; en fait ce serait le cas si j’ai bien compris ce qu’un des techniciens a tenté de m’expliquer maladroitement. Quelque part, c’est effrayant quand on y pense. Qu’est-ce qui nous dit que les utiliser est sans danger ? Evidemment, ça ne va pas m’arrêter, tant parce que notre défense est essentiellement basée sur cette technologie que parce que rien ne prouve l’existence d’un risque. Ca ne sert à rien d’avoir peur du noir.

Mais le plus intriguant reste, à mes yeux, les habitants d’Atlantis. Il y a bien parfois quelques troubles qui éclatent, c’est normal mais il est rare que les choses soient très graves au fond. Nous serions sur Terre, j’aurais dit qu’en quelques mois le projet aurait capoté. Ici, si loin de tout, nous sommes tous des habitants d’Atlantis. Bon, on ne va pas se le cacher il y a toujours des fâcheux pour vous pourrir l’existence.

Bien, demain est un nouveau jour et par conséquent il est temps de clore cette page de ce journal. J’en débuterai une nouvelle demain pour ce que j’avais jusqu’alors considérer comme de la pure science-fiction. C’est une vie par-delà et entre les étoiles qui s’offre désormais à moi, ce n’est pas en restant cloîtrée entre quatre murs que je l’apprécierai !




Qui suis je ?


Bardia
25 ans
Autrefois j'étais sur un forum lié par un partenariat à Atlantis (Vidar 89-05)
Oui.
Non
Lorn Fawkes, Vortimer Raven
Validé par Erin.
En ce vaste univers, je fus attiré. Le prédéfini m’a plu alors j’ai eu l’audace de me proposer à le prendre ; j’espère que ce que j’en ferai conviendra à son auteur !

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Karola Frei
Major
Second responsable militaire
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√ Arrivée le : 14/05/2015
√ Date de naissance : 09/04/1983
√ Nationalité : Allemande

√ Age : 41
√ Messages : 2298
√ Localisation : Site Alpha

Dim 9 Sep - 19:26

Karola Frei
Bienvenue et bon courage pour la fiche wink
Si ton perso aime les blagues, Karola connait plein de moyens de faire rire les soldats Fouet H3

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Hailey Spalding
Caporal
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√ Arrivée le : 09/09/2018
√ Date de naissance : 25/08/1992
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√ Gène : ATA
√ Age : 31
√ Messages : 496
√ Localisation : Parmi les étoiles....

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Dim 9 Sep - 19:29

Hailey Spalding
Salutations ! Le prédéfini est censé être blagueur et j'ai, de toute façon, un humour très développé donc tu pourras te faire plaisir !

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Invité
Invité

Dim 9 Sep - 19:31

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Bienvenue. Au vu du métier , ça sera excellent pour le club de robotique qui organise des courses de drones.

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Matt Eversman
Caporal
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√ Arrivée le : 08/12/2012
√ Date de naissance : 22/01/1990
√ Gène : Wraith
√ Age : 34
√ Messages : 11473

Dim 9 Sep - 20:15

Matt Eversman
Bienvenue par ici !!!!

Si tu as des questions n’hésite pas !

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Invité
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Dim 9 Sep - 20:17

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welcome2 Capo-Drone :)1

Bon courage pour la fin de ta fiche :)1

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Hailey Spalding
Caporal
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Liste de vos DC : Lorn Fawkes

Dim 9 Sep - 20:23

Hailey Spalding
Hey ! Petit détail mais dans la fiche du prédéfini, il est dit qu'elle a le gène ATA ça ne compte pas ?

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Matt Eversman
Caporal
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√ Messages : 11473

Dim 9 Sep - 21:09

Matt Eversman
Lancer de de supprime. Le personnage ayant le gene ATA (indique sur la fiche du PV)
Merci de m en avoir averti !

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Invité
Invité

Lun 10 Sep - 13:59

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Bienvenue sur le forum !!
Tu verras tu vas bien t'amuser ! wink

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Invité
Invité

Lun 10 Sep - 20:17

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Tu nous tiens au courant quand tu estimes que ta fiches est terminée :)1

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Hailey Spalding
Caporal
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Lun 10 Sep - 21:27

Hailey Spalding
Hey eh bien je pense être pas trop mal. Je pourrais toujours préciser les choses au gré des rp et par de petits dossiers au fil du temps.

J'espère ne pas avoir laissé trop de fautes, j'essaie de faire attention mais qui n'est pas à l'abri d'un oubli ?

Ainsi vous pouvez ouvrir mon procès et prononcer votre sentence !

edit : évidemment il fallait que je ne copie pas le fichier comprenant les petits ajouts... Sérieusement... C'est corrigé ! Promis je n'éditerai plus que si je vois une faute de français maintenant (ou que l'on me demande de modifier/ajouter un point) !

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Invité
Invité

Lun 10 Sep - 23:26

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Bienvenue Caporal ! Bonne chance pour la suite !^^

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Invité
Invité

Mar 11 Sep - 5:31

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Coucou, et bienvenue de façon officielle sur le forum ^^

we

Ok pour les codes de règlement.

Alors, j'ai parcouru ta fiche, tout me semble ok, sauf un point, lié aux compétences. Le retour que je t'avais fais par mp n'en parlait pas parce que je n'avais pas regardé ta répartition de points x)

Je trouve que pour une opératrice de drone, donc quelqu'un qui pilote un drone, il y a trop dans les compétences martiales et pas assez dans les compétences qui devraient lui servir dans son boulot.

Par exemple, il y a 0 en technologie, je pense que quelques points ne seraient pas un luxe quand on parle de matériel high tech comme des drones. Un peu plus en pilotage ne serait pas mal aussi.
Après, comme elle est militaire, tu peux garder des points dans les compétences de tir, de corps à corps, et d'armes blanches. Pour les explosifs, j'ai du mal à voir l'intérêt pour ton type de personnage, ni d'où ça sort, je n'ai pas vu dans ta fiche de rapport à ça.

Si tu modules un peu les points assez élevés ici et là pour en attribuer quelques uns au moins en pilotage et en tech, ce ne serait pas mal.

Bien entendu, ta fiche de compétence se fait à ta sauce. A toi de voir si ça vaut le coup de la modifier ou pas, mais il faut qu'elle reste logique avec le métier de ton personnage wink

Pour le reste, tout me va. Le caractère est succinct mais l'essentiel y est. L'histoire est développée, bien écrite, et on suit l'évolution et les péripéties de Hailey avant qu'elle n'arrive sur l'expédition. Pour ma part, je suis satisfait. Comme ça fait deux ans ou presque qu'elle est sur la cité, elle a du vivre pas mal de choses, mais comment c'est narré, ça ne demande pas plus de détails je trouve.

Bref, avec quelques ajustements au niveau de la fiche de compétence, je pense qu'on sera bon H9

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Hailey Spalding
Caporal
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Mar 11 Sep - 9:14

Hailey Spalding
Voilà j'ai modifié les compétences. J'avais oublié que j'avais modifié directement sur la fiche et pas sur mon fichier word où j'avais le codage ! :(

Pour les explosifs, c'est à cause de ce que j'ai compris du descriptif de la compétence en question : y a un côté compétence obligatoire (cf passage en gras). Après 3 pt c'est p'tet excessif ! ^^

Tout militaire (ou technicien spécialisé) doit avoir un minimum de connaissances dans les bombes et explosifs en tout genre. Au niveau de base, vous savez faire fonctionner une grenade ou poser un pain de C4. Au niveau intermédiaire vous pouvez utiliser ou bien désamorcer des bombes d’une complexité moyenne. SI vous possédez une bonne maîtrise, vous êtes un bon démineur et vous pouvez également faire des bombes relativement complexes. En mode expert, vous êtes né avec une bombe dans les mains ! Vous pouvez construire des bombes quasi impossibles à désamorcer ou, au contraire, en désamorcer des complexes en un temps réduit.

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Invité
Invité

Mar 11 Sep - 11:29

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Effectivement, c'est au moins pour savoir lancer une grenade x)

C'est mieux pour moi :)1 Un militaire bien équilibré qui ne sera pas démunie non plus quand elle sera sur le terrain et pas derrière son écran pour contrôler un drone.

1ère VALIDATION / 3 — Félicitations, tu viens d’avoir ta première validation. Il en faut trois de la part des membres du staff pour que ta fiche soit classée dans les « candidatures acceptées ». Prends ton mal en patience cela ne va pas tarder

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Matt Eversman
Caporal
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Mar 11 Sep - 17:37

Matt Eversman
J'aime bien ton personnage ainsi que la manière dont tu t'es appropriée l'histoire et ce personnage. La fiche est plaisante à lire.
Nos persos auront forcément un lien vu qu'ils sont là depuis quelques années ;-)

2ème VALIDATION / 3 — Avec cette validation tu obtiens ta couleur et les portes du Flood du forum s'offrent à toi. Ta fiche est presque terminée, il ne te reste qu’un avis à obtenir.

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Hailey Spalding
Caporal
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Liste de vos DC : Lorn Fawkes

Mar 11 Sep - 18:33

Hailey Spalding
Merci du compliment !
Pour un lien entre nos personnages, Matt, je suis d'accord. C'est évident qu'en deux ans des liens se créent. Il faudra que l'on réfléchisse à la question un de ces quatre !

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Invité
Invité

Mer 12 Sep - 18:38

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3ème VALIDATION / 3 — Validation finale ! Amuse toi bien chez les fous ! Tu peux faire ta fiche de « dossier personnel » et tu peux commencer à RP.


Sympa comme personnage :)1 Au plaisir de rp avec toi avec l'un de mes personnages

Je te ferais ton rang sous peu :p

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Hailey Spalding
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Liste de vos DC : Lorn Fawkes

Mer 12 Sep - 20:25

Hailey Spalding
Merci mille fois !
Ce serait un plaisir de te croiser en rp, avec un personnage ou un autre !
Serait il également possible d'afficher gene ata sur le dossier top secret vu que je l'ai ? C'est malheureusement pas modifiable pour un simple péon de mon niveau !

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Invité
Invité

Mar 16 Avr - 20:28

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Point Pâques (dont Skyler)
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