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Saisir le moment

 :: Cité d'Atlantis :: Les autres ailes de la Cité :: Piscine intérieure
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Cody Fuller
Caporal
Maître Chien
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√ Arrivée le : 01/07/2014
√ Date de naissance : 19/09/1995
√ Nationalité : Américain

√ Age : 28
√ Messages : 578
√ Localisation : Atlantis

Liste de vos DC : Aucun

Dim 28 Mai - 10:03

Cody Fuller
Cody Fuller & Isia Taylor Laurence
Saisir le moment
Depuis quelques jours je suis de retour sur Atlantis. Depuis quelques jours j'ai repris le service. Je ne peux pas dire que la Terre m'a manqué. Après tout, la cité est devenue mon nouveau chez moi. Quant à notre bonne vielle planète bleue, elle est presque devenue un lointain souvenir à présent. Je passe mes journées sur Atlantis. Je suis là pour des missions militaires, mais avec le temps, j'ai appris à apprécier la cité. Je ne peux pas espérer mieux comme mission. C'est différent de la Terre avec toutes ces nouvelles planètes à explorer et ces créatures à combattre. C'est justement cette affection pour la cité qui m'a poussé à quitter. Pendant un moment, suite aux récents événements de janvier, je n'ai pas pu continuer à travailler à travers les murs. Mais je suis là maintenant et prêt à reprendre le service.

La journée a été longue et tendue. Mouvementée ? Non, pas vraiment. Aucune menace à signaler, à l'extérieur comme à l'intérieur des murs. Juste tendue. Cela fait quelques mois que les événements ont eu lieu, mais les habitants de la cité se reconstruisent petit à petit. Savoir que des gens se sont fait agresser et arrêter est difficile pour le moral. Le plus dur est de regarder quelqu'un dans les yeux et ne pas se mettre à leur place une seconde. Mais bon, c'est du passé et il faut avancer de l'avant. Après un long tour de garde, je décide d'aller me détendre un peu. Au lieu d'aller dans une salle de repos et lire un livre, je choisi d'aller faire un saut dans la piscine intérieure de la cité.

J'enfouis dans un petit sac un maillot et une serviette. Fin prêt, je laisse Zelda dans ma chambre. Elle a tout ce qui lui faut avec elle. Je me dirige vers le téléporter le plus près pour me rendre au niveau où se situe la piscine. Je me souviens encore de la difficulté que j'ai eu à utiliser cet engin les premiers jours sur Atlantis. Un léger rire s'échappe alors que je me remémore quelques souvenirs. Je passe ma main devant l'écran et me dématérialise pour ensuite arriver au niveau désiré. Je me dirige vers la salle où se trouve l'endroit où je veux aller. Une fois à l'intérieur, je part enfiler mon maillot. Je vais sous une douche avant de sauter dans la piscine. Une fois chose faite, je prends ma serviette et me dirige vers le grand bassin.

Lorsque j'arrive près du bord, je peux distinguer une personne déjà présente. C'est une femme blonde. Mon cœur fait un bond dans ma poitrine, mon estomac se noue et je me retourne brusquement, sentant mon cœur palpiter. Et merde... Je fais quoi, là ?

*Bordel, saute, Cody ! C'est juste elle. C'est pas un wraith. Va-s'y. Après tout le temps que t'essaie de lui parler, mais tu trouves pas le courage de le faire. C'est le moment ou jamais.*

Je prends une inspiration et me retourne pour me diriger vers le bassin. À mesure que je m'approche, je peux sentir mon cœur palpiter. Il bat tellement vite et fort que je crains qu'elle l'entende. Je peux pas quitter. Si je fais ça je vais avoir l'air de quoi ? Normalement, j'ai pas peur de rien, mais là... Moi qui s'est promis de ne plus jamais ressentir ce genre de chose. Faut croire que je ne m'y attendais pas. Des choses arrivent lorsqu'on s'y attend le moins.

Je descends et atteint finalement l'eau. Non pas que c'est quelque chose de difficile à faire. Je veux juste pas montrer que je suis nerveux. L'eau est tiède, parfaite température. Presque immédiatement, mes muscles se détendent. Y a rien de mieux après une longue journée ! Je fais quelques longueurs, prenant le temps de me calmer avant de parler à la fille présente. C'est pas génial d'être en compagnie de quelqu'un de nerveux.

*Elle est juste là. Dis quelque chose, bordel !*

« Corrige-moi si me trompe, mais ton nom ne serait pas Isia ? »

Rien de plus simple pour commencer une conversation. Quoi de mieux que de se présenter. C'est pratique, facile et simple, rien de bien compliqué.

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Dim 28 Mai - 17:14

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❝Saisir le bon moment❞
- Cody & Isia -
Chronologie 28 mai 2017


Cette journée avait été globalement calme. Quelques patients par ci par là, souvent de militaires rentrant d'exploration. Le capitaine Farawella qui avait eu la bonne idée de se faire courser par un Wraiths avait écopé d'une belle entaille dans le bras. Non pas à cause du vampire, mais bel et bien à cause de sa chute malencontreuse dans la forêt, se faisant entaillé par les branches d'un arbre aussi accueillant qu'un buisson de ronce. Ce brave capitaine, n'avait pas cilié et s'était laissé faire pimentant ses aies, par quelques blagues. Son équipe avait réussi à tuer la petite troupe de Wraiths avant de se faire manger. Je passai donc, mon temps à soigner cette équipe plus ou moins blessé gravement. Puis enchaîna avec des rendez-vous.

À mon plus grand malheur je devais ausculter un Athosiens, qui souffrait de l'appendicite. Son opération était prévue dans l'heure et se fut vite réglé. Je n'aime pas vraiment ce peuple, surtout depuis que je me suis agrippée avec leur chaman en cheffe. J'ai déjà eu des sortes de pseudo soigneurs qui ont voulu faire des études avec nous. En toute franchise, j'ai arrêtée de prendre dans mon service les Athosiens qui savent soigner. Je finie par péter un câble avec eux, ne supportant pas leurs manières assez primaires de fonctionner et leurs besoins de garder leur réflexe de singes arriéré ! ce n'est pas du racisme non ! Je n'aime simplement pas bosser avec des gens qui refuses de concevoir que la technologie est plus utilisée que de faire appel aux esprits.

Enfin bon, ce fut rapide et je pue terminer ma journée qui avait commencé bien tôt et je fus ravie d'y mettre un terme. Lasse, à force de piétiner toute la journée, mes petits petons criaient grâce dans mes éternels escarpins à petits talons de bois. Vu la chaleur de cette fin d'après-midi, un tour à la piscine ne serait pas de refus. Adorant nagée j'étais un tantinet frustré de ne pas pouvoir plonger dans la mer, alors que là où nous vivons nous étions entourés d'un magnifique océan ! Mais bon c'est interdit soi-disant. Je ne m'étais jamais faits prendre, mais bon, il valait mieux éviter de trop fréquenter les eaux aux abords d'Atlantis, apparemment il y aurait des gros poissons amateurs de jarrets.

Après une douche, histoire d'enlever la sueur et autres saletés de ma journée de chirurgienne et médecin. Je partie dans mes quartiers, pour m'apprêter à mon rendez-vous quotidien avec madame la piscine ! Enfilant mon maillot de bain noir deux pièces, nouant mes longs cheveux blonds en chignon, je mis par-dessus, une tenue décontracté, un jean bleu slim et un haut blanc légèrement plongeant. Enfilant des escarpins beiges, je partis avec mon sac de piscine, pour me déshabiller dans les vestiaires.


Il n'y avait que peu de monde dans le vaste endroit de ce point d'eau. Cela m'allait bien. Déposant ma serviette rouge sur l'un des transats, je commençai ma progression dans l'onde. Elle était tiède, pile poil à la bonne température sans grelotter et se donner du courage pour tremper le reste.

J'adore cette sensation, ou rien ne pèse tout semble léger…l'eau sur son corps… étant seule dans le grand bassin, j'en profitai pour faire des longueurs, nageant en brasse simple, pour laisser mes pensées divaguer. Alternant avec un beau de nage sous l'eau. Occupée dans mes pensées, je ne fis pas gaffe à mon environnement. À vrai dire j'étais en pleins débat intérieur sur la marche à suivre, pour donner une réponse positive ou non à la prochaine opération délicate d'un soldat qui avait pris un bout de métal dans l'œil. Cela demandait quatre heures dans le bloc et une bonne maîtrise. Étant la meilleure, il était tout indiqué que j'y participe, mais dans un autre côté il serait bien que mon collègue le Dr Roy fasse aussi ses preuves… enfin bon, cela était prévu demain tard.

Je plongeai sous l'eau, remarquant qu'il avait une autre personne qui barbotait. Sans faire attention je continuais perdue dans ma réflexion. Et soudainement, alors que je nageai vers ladite personne, du moins passait à proximité, celle-ci m'interpella d'une bien étrange manière. Je relevai la tête tout en m'arrêtant. Il est bien marrant celui-ci là. J'eue un rictus amusé, avant de lui répliquer du tac o tac.

« Non c’est Bérénice. Mais ce n’est pas grave soldat Fuller » Je lui fis un rictus et un clin d’œil. Il m’avait tutoyé, cela ne me dérangeait pas plus que ça et j’allais aussi faire la suite de mes phrases sur ce ton.

Je le connaissais puisque je l'avais ausculté à son 1er jour d'arrivée sur Atlantis et surtout qu'il avait une superbe chienne Berger Allemand. Une chienne que je verrai bien porter les bébés de super chien (Kalash) le chien mâle d'Hamilton, plus couramment surnommé Panda. C'est marrant, que je le croise maintenant, j'avais relancée Panda, sur le fait qu'il serait bien d'avoir des chiots. Bon, certes, ce n'est pas réglementaire, mais le jour où la toutoune à Fuller à ses chaleurs ? Bah il faudra bien trouver une solution. Si elle est entière bien entendu. Sinon adieu rêve de baby. Machinalement mon regard alla sur la berge pour voir si je n'apercevais pas la fourrure de feu de ladite femelle. Mais rien. J'adore les animaux et j'avais une certaine addiction envers ce Kalash qui me le rendait bien, puisque à chaque fois, il me faisait la fête et son maître comme toujours boudait. Mais c'est panda, il passe son temps à bouder. J'espère que Fuller est plus sociable… ça redorait l'image des maîtres-chiens. Par contre, j'avais zappé qu'il était mignon avec deux jolis yeux bleus sur son visage jeune et lisse.


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Cody Fuller
Caporal
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Mar 30 Mai - 1:28

Cody Fuller
Cody Fuller & Isia Taylor Laurence
Saisir le moment
Je l'ai tutoyé. On ne se connaît pas tant que ça. Honteux, je ferme les yeux par pur réflexe alors que je me rends compte de mon erreur. Vu la façon dont elle répond, je suppose que ça ne la dérange pas tant que ça. Si elle n'a aucun problème à ce que je la tutoie, alors elle peut utiliser cette façon de parler avec moi. D'ailleurs, je préfère l'être. On dirait que je prends quelques années de plus quand on me vouvoie. Je sais que le nom de cette fille est Isia. J'ai simplement voulu confirmer que c'est bien elle. Et avoir une excuse pour lui parler. Bon, j'aurais pu faire mieux, mais les filles n'ont jamais été mon truc. J'ai jamais su comment leur parler et me comporter en leur compagnie.

Mon souffle se coupe l'espace d'un instant. Isia est tout près. À peine mon cœur s'est calmé, il recommence à palpiter. Plus concentré à me calmer et à la fixer qu'autre chose, les mots pour lui répondre ne sortent pas immédiatement. Elle est magnifique avec ses traits délicats, ses cheveux blonds et ses yeux bleus. J'imagine qu'elle le sais qu'elle l'est. Je ne me doute pas que c'est agréable d'entendre quelqu'un d'autre le dire, mais je pense qu'elle souhaite plus avoir une conversation sensée avec quelqu'un que de se faire complimenter sur son physique. Un léger rire m'échappe alors qu'elle répond du tac au tac. Elle est marrante.

Au moins je me retrouve dans un endroit que j'affectionne. C'est plus facile parler avec quelqu'un dans un endroit où l'on se sent à l'aise. J'ai toujours aimé l'eau depuis mon tout jeune âge. C'est agréable de sentir le liquide sur son corps, tout autour de soi. On se sent plus léger, plus libre même. Mes bras et mes jambes bougent alors que je me déplace dans le bassin. Il y a tout un large espace autour de soi alors autant en profiter.

« Juste Cody, s'il te plait. »

Je me surprends à penser qu'il est facile lui parler. Les réponses ne sont aucunement forcées, tout ce qu'il y a de plus simple. Je secoue légèrement la tête et lui retourne son sourire. Je sens mes joues s'enflammer alors qu'elle m'offre un clin d'œil. Elle veut me faire rougir ? C'est simple, il suffit juste d'un beau sourire, d'un clin d'œil ou d'un compliment bien placé et le tour est joué. Le sourire toujours sur les lèvres, je détourne le regard quelques secondes pour essayer de ne pas laisser paraître ma nervosité. Je lève une main et grate ma nuque, réflexe que j'ai quand je suis nerveux.

« Toutes ces formalités me vieillissent. Je suis pas rendu à marcher avec une canne, moi. »

Et voilà que le naturel revient. Il y a rien de mieux qu'une bonne petite remarque bien placée. Ça détend l'atmosphère et ça rend un peu plus sociable. C'est rien de bien méchant, juste pour plaisanter. Même sur le terrain j'arrive à lancer des remarques pour me calmer. Ce n'est aucun problème si la situation demande d'être sérieux. Il faut savoir l'être lorsque la situation le demande. On ne plaisante pas quand une personne est en train de mourir, quand même !

Je vois le regard bleu d'Isia dévier par-dessus mon épaule. Cherche-t-elle quelque chose ou quelqu'un ? Attend-t-elle quelqu'un ? Un autre mec ? Merde... et si elle a déjà quelqu'un dans sa vie ? Je suis bien idiot à essayer de lui parler dans ce cas. Mon estomac se noue à cette idée. Je ne peux pas vraiment m'en vouloir. Je ne la connais pas. Je suis son regard et ne vois rien. Il y a seulement des chaises le long de la piscine et nos serviettes sur deux d'entre elles. Je me retourne vers Isia et lève un sourcil, me demandant ce qu'elle peut bien chercher.

« Tu attends quelqu'un ? »

Alors que je nage dans le large bassin, je tente de me rapprocher d'elle du mieux que je peux. Si elle passe près de moi, j'essaie d'être près d'elle le plus possible. Pas de panique, je ne suis pas un tueur en série quand même ! Je suis juste un soldat bien ordinaire, rien de spécial. Je ne suis pas dangereux. Pas comme mon chien en tout cas. Non, je rigole !

« Ça été ta journée ? » je demande doucement. J'ai envie de savoir comment elle se porte. C'est une personne comme les autres. Je crois que mon côté militaire fait ressortir ce trait de caractère chez moi. J'aime porter assistance aux gens, les aider pour faire en sorte qu'ils se portent bien.

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Mar 30 Mai - 20:06

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❝Saisir le bon moment❞
- Cody & Isia -
Chronologie 28 mai 2017


Mon tacle le fit rire, machinalement je souris, étant quelqu’un d’un naturel joyeux ou enflammé, je passe beaucoup par l’humour. Je continuais à nager un peu, le temps qu’il me réponde, tout en restant non loin de l’homme, puisqu’il avait engagé la conversation. Bon, certes maladroitement, mais qui n’avait jamais été maladroit pour parler à un inconnu ? Cela avait dû m’arriver dans ma jeunesse, même si maintenant je n’hésite pas à aborder les autres. Toujours avec une introduction détonante. Petite marque de fabrique. Quand il me demanda de juste le nommer par son prénom, je me retournai d’un mouvement gracieux faisant du sur place. Le jeune homme commençait à rosir de ses petites joues quand je lui offris un clin d’œil. Oh tiens donc ? Il détourna même le regard… quelques signes marquant qu’il était émue ou bien mal à l’aise. Mon regard l’observa dans sa gestuelle, je fais toujours cela, plantant mes prunelles azure dans son regard fuyant. J’ai une manière de toise autrui assez direct et franche. De nombreuses, fois, on avait du mal à soutenir mon regard à cause de ‘l’affront dont il était porteur.

« Bien, juste Cody alors. Enfin, ça sera le temps, que je te ne trouve pas un surnom. » Oui, j'avais tendance à occulter les patronymes, pour les remplacer par des sobriquets. Tout le monde le savait. C'est une constante et je pouvais être fier que certain était de plus en plus utilisé par d'autre personne. Au point qu'on pouvait oublier comme se nommait quelqu'un. Le meilleur exemple était « Katty » mon infirmière en cheffe, elle s'appelait Catherine en vrai et comme ça m'emmerde de cire Catherine, ça fait pompeux « Katty Kat » va très bien. Elle se présentait maintenant comme ça.

Cody, évoquant la lourdeur de la formalité dont les humains s'encombraient. Oui, cela était chiant après ce sont des signes de respect et j'adorais, quand Weir était là, la reprendre sur la totalité de mon nom de famille long. Juste parce que je ne pouvais pas me la voir. « Le pire sera pour sortir de la piscine, je te préviens je te tracte pas pour ressortir, je n'ai pas les petits muscles faits pour ça » J'avais tendance à répondre immédiatement. Mon rire se fit entendre, un rire cristallin et pas très fort. Je ne suis pas le genre de femme à rire à pleins poumons et à faire un bruit fou, malgré mon caractère excentrique.

Mon regard parcourra la salle, dans l'espoir de voir une fourrure feu et cela intrigua l'homme. Je reportai mes perles d'eau sur son visage harmonieux. Il avait le visage qui allait faire des jaloux dans quelques années, puisqu'il paraissait jeune et ne faisait pas son âge. Il avait ce petit air gamin espiègle et profondément timide. Étrangement et vu sa gestuelle, je ne pouvais pas affirmer qu'il profite de son physique pour séduire, mais au contraire…pourtant, il devait avoir des nanas qui se retournaient. Qu'il aille côtoyer l'infirmière deux minutes avec mes nymphos d'infirmières et ça sera la nouvelle coqueluche. Enfin j'abuse en disant nympho, mais les infirmières pour la plupart sont réputées pour être de sacrées coquines. Suffit de se rendre en salle de repos et ça jazze sur les mecs !

« Non du tout. Je me demandai si tu étais venu avec ta chienne. Navré je ne sais plus comment elle se nomme » Je ne me souvenais plus du nom. Me semble que Panda me l’avait dit, quand je lui avais évoqué l’idée que Kalash soit papa…Je lui fis un sourire charmant. Je repris ma nage un peu, pour délier les muscles des cuisses. Je ne nageais pas très vite, puisque je faisais travailler les muscles des cuisses, il y a 1 an j’avais été blessée à la cuisse en mission, pour trouver le nouveau site alpha. Un robot m’avait transpercé pour prendre mon énergie tel un Wraith. J’avais boité un peu et de nombreuses heures de rééducation dans la piscine, puisque le muscle de la cuisse avait été endommagé et j’avais gardé l’habitude de nager de cette manière pour entretenir celui-ci.

Apparemment Cody, voulait taper la discute plus longtemps se rapprochant de moi, je le laissai faire. J'aimais bien la solitude mais la compagnie aussi et cela ne me dérangeait pas du tout. Au contraire, une nouvelle rencontre était toujours intéressante.

« Pour une fois calme. Une équipe à soigner en urgence puisqu'il avait eu la bonne idée d'aguicher des Wraiths. L'équipe du capitaine Farawella, je ne sais pas si tu connais. Sinon ce fut ma journée des rendez-vous médicaux. Rien de bien extravagant sauf peut-être la chochoterie de certains militaires qui font les fières en gonflant les pectoraux pour impressionner les minettes et qui hurle en voyant une seringue » je ricanai une nouvelle fois. Alala, ils veulent faire les beaux paons en roucoulant et quand la femelle arrive avec du désinfectant ou une piqûre il n'y a plus de roue, mais un poussin ! « Et toi ? Palpitante ou monotone ? » Je me mis à nager sur le dos, pour le regarder dans les yeux et changer de position par la même occasion.

Soudainement, je fus surpris et je poussai un petit cri étouffé de surprise, machinalement, ma main s’agrippa à ce qui était à côté de moi, c’est à dire le bras de Cody. Je me remis droite, quelque chose était passé sous moi. Étonné je baissai la tête pour chercher l’origine de ce désagrément soudain. En réalité, ce fut le tuyau du robot d’entretiens, qui était encore là. Profite de la faible influence pour s’activer. Je tenais encore le bras du militaire, sans vraiment me rendre compte que je l’avais touché. Mon regard suivis le robot au fond. « Wall-E c’est activé…on ne fait pas suffisamment de remoue » Mon regard se décala sur le visage de l’homme. Puis sur ma main…
« Navré » je lâchai immédiatement le pauvre homme. Parfois, j’ai des réflexes bizarres, dès que je surprise j’ai tendance à agripper quelque chose.



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Cody Fuller
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Jeu 1 Juin - 4:04

Cody Fuller
Cody Fuller & Isia Taylor Laurence
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Un surnom, vraiment ? Je n'en ai jamais eu. Non pas que je n'en mérite pas, mais parce que mon prénom ne me permet pas vraiment d'en avoir. Mes lèvres se recourbent pour lui offrir un faible sourire amusé. Elle a l'air de vraiment vouloir m'en donner un. C'est charmant.

« Je t'offre une médaille or pour les surnoms. »

Petit à petit, je commence à me sentir moins nerveux. Comme si... comme si je deviens un peu plus à l'aise avec elle. Normalement, je ne le suis pas avec des gens que je ne connais pas. Que se passe-t-il ? C'est nouveau, flippant et excitant à la fois de ressentir ce genre de chose. Il y a longtemps que j'ai ressenti cela. La dernière fois a été quand j’ai eu seize ans. Je l'ai tellement aimé cette fille, mais l'histoire s'est mal terminée.

Le rire d'Isia est cristallin et doux, pas du tout insupportable. Mon sourire s'élargit en entendant ce son et je ris suite à sa réponse. Je me surprends à penser qu'elle a un beau rire. À cet instant, je me promets d'essayer de la faire rire pour pouvoir entendre ce son encore une fois. Isia semble avoir un caractère joyeux. L'idée d'être en compagnie de quelqu'un qui peut comprendre mon sens de l'humour me fait sourire.

« Je suis sûr qu'il y aura une magnifique chirurgienne pour m'aider si je me blesse en sortant. À moins qu'elle me laisse couler. »

Viens-je de dire qu'elle est magnifique ? Soudain, j'ai de la difficulté à avaler ma salive. Ma bouche est sèche. Je ne veux surtout pas qu'Isia pense que je m'intéresse à elle seulement pour son physique. D'après ce que je vois, elle a l'air d'être sympathique. Bien entendu, son physique m’a intéressé en premier. Quel homme serait assez fou pour ne pas vouloir être en compagnie d'une belle femme ?

Puis notre conversation dévie vers les chiens. C'est un sujet qui m'intéresse à tous les coups. Elle cherche Zelda. Un large sourire se dessine sur mes lèvres et mes yeux s'illuminent alors que l'image de mon chien apparait dans mon esprit. Elle est mon amie. Elle est tout ce que j'ai. Ça me réjouis de voir qu'elle semble aimer les chiens.

« Zelda ? Non, je ne l'ai pas emmené. » je secoue la tête. « Je ne crois pas que tu aimerais avoir des poils dans l'eau. Je peux oublier l'océan qui nous entoure. On dit qu'il y a des poissons dangereux. Je suis certain qu'elle aimerait te revoir. »

Ma dernière phrase est ma façon à moi de faire comprendre à Isia que je veux la revoir plus souvent. En même temps, je veux bien qu'elle passe du temps avec mon chien, ce dernier est juste adorable.

Pour me déplacer dans l'eau, j'utilise mes mains et mes pieds pour faire de petits cercles. Le regard bleu d'Isia croise le mien. Je le soutiens quelques secondes puis regarde ailleurs, sentant mes joues s'enflammer une fois de plus. Je peux presque me noyer dans ses yeux tellement ils sont captivants. Je fais un tour sur moi-même pour la regarder lorsqu'elle me parle de sa journée. Elle a été plutôt calme. Quelque fois, c'est bien qu'une journée le soit. En même temps, il ne faut pas trop qu'elle le soit sinon je vais m'ennuyer. Je suis un militaire, moi. J'ai besoin d’un peu d’action. Les wraiths sont d'horribles créatures. Je frissonne à l'idée d'en combattre. Tout dépend du dernier repas qu'ils ont mangé.

Je lève les sourcils, surpris d'entendre que des hommes ont peur en voyant des seringues. Bon, il peut arriver que certaines personnes aient peur des aiguilles et je ne leur en veux pas, mais pour les autres qui crient à l’idée d’une seringue...

« Si tu veux mon avis, la piqure d'une seringue est bien moins pire que presque tout le reste. »

Puis, elle me demande comment a été ma journée. Je ne vais pas dire palpitante. J'ai dû faire un tour de garde pour vérifier s'il y a quelque chose à signaler. Je me suis également entraîné au tir et après une promenade à l'extérieur avec Zelda, je l'ai fait travailler en cachant des objets à certains endroits pour qu'elle les trouve. La routine, quoi.

« La mienne a été assez calme également. Quelques tours de garde, un entraînement au tir et après une promenade avec Zelda, je l'ai fait travailler un peu. La tienne a été beaucoup plus intéressante que la mienne en tout cas ! » Je ris doucement et lui offre un sourire.

Soudain, une exclamation de surprise et une main agrippant mon bras me sortent de mes pensées. Mon coeur fait un bond dans ma poitrine, mon estomac se noue et un frisson parcourt mon dos suite à ce contact. Lorsque je lève les yeux, ma main vient prendre son avant-bras par réflexe, comme pour la retenir, même si je sais qu'elle ne peut pas tomber. Pendant une fraction de seconde mon regard croise le sien et je le soutiens beaucoup plus longuement cette fois-ci. Après un moment, je me racle la gorge, détourne le regard et me recule.

« Ce... ce n'est rien. »

Étrangement, j'ai encore envie de sentir son contact. À cette pensée, mon estomac se noue et mon cœur se met à palpiter. Lorsqu'elle retire sa main, la mienne essaie de retenir la sienne. Lorsque je me rends compte de mon action, je rougis et retire ma main. J’espère ne pas l’avoir trop gênée en faisant cela.

« Heureusement qu'il n'y a pas de créature dans la piscine. » je ris doucement et me déplace un peu plus loin du robot. « On devrait bouger plus vite, je n’ai pas envie qu'il t'attaque encore ! »

Je sais que ce truc n’est pas dangereux, mais on peut bien rire, non ?

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Jeu 1 Juin - 19:00

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❝Saisir le bon moment❞
- Cody & Isia -
Chronologie 28 mai 2017

Il était mignon dans ses mimiques, il avait vraiment l'air assez timide et pourtant il était là, à me parler, me faire gentiment la conversation. « Tu m'en offriras une quand je t'aurais nommé » Un autre rictus charmant.

Je me comportais de façon naturelle, de toute manière, je ne cherche pas à montrer autre chose. Pas de faux semblant, sauf quand je décide de manipuler quelqu'un, comme cette Nelly quand elle a eu cette idée stupide de m'inviter à un anniversaire surprise de la major frigide. Surtout pour faire de Frensh cancan ! Faut en avoir de l'imagination pour me demander ça… enfin bon, je ne sais pas ce que ça va donner si je vais y aller. Je n'en ai pas envie. Et j'avais autre chose, que de lever mes gambettes pour une nana aussi peu expressive que Frei. Surtout qu'elle n'apprécierait pas ce genre de surprise.

Il est facile de me faire rire, je suis bon public et puis bon j'ai la réplique facile aussi et celle de Cody, sur son état de vieil homme était amusant. Pourtant, le formalisme chez les militaires, c'est important, allez nommer sans son grade Caldwell, il va tirer une tronche de dix pieds de long ! Volontairement ou non, il me complimenta, rho qu'il est chou. J'aurais pu affirmer qu'il me draguait à cet instant, sauf que sa gestuelle et son air un peu surpris de lui-même, me confirmerait qu'il avait dû fourcher. Qu'il le pense, c'est normal, je n'ai jamais rencontré quelqu'un qui ose me dire que je suis moche ou simplement « belle ». Après, qu'il tente sa chance, il peut, il ne sera pas le premier ni le dernier. Enfin, pour le moment, cela n'en était pas là.. En tout cas, il me fit rire une nouvelle fois.

« Oh je suis sûre qu’elle pourrait te couler et te soigner après » dit-je par provocation espiègle, en lui envoyant un peu d’eau dessus.

La conversation alla sur les chiens, vu la lueur d’intérêt qu’il avait dans son regard, ce sujet le touche, ce qui est logique sinon il ne serait pas maître-chien, mais simple soldat. Quelque ricanement en entendant sa réplique. Il est vrai que des poils dans la flotte n’est pas top. Mais bon, vu le contenu qu’il y a, cela ne serait pas plus grave. Dommage, qu’il ne l’ait pas emmené, j’aurais bien aimé voir à quoi elle ressemblait réellement, enfin de plus près. J’ai toujours crus que j’étais plutôt chat que chiens, mais bon vu ma relation avec Kalash j’ai revu à la hausse ma préférence. De toute manière j’aime les animaux et ça me manque de ne pas avoir un compagnon à patte avec moi.

« Avec mes cheveux ont aurait fait la paire » Il mentionna l’océan « Tu sais, je me suis déjà baignée plusieurs fois… » J’allai dire : et je n’ai jamais été attaquée… oui bon ok avec Panda, j’avais été attaquée… et ce fut la première fois. Bon à force de le dire que je brave les interdits je vais me faire engueuler…oh tant pis, pour ce que j’en ai à faire des règles.
« Je n’ai été attaquée qu’une fois par une sorte de grosse anguille… Vaut mieux faire le voyage en navette jusqu’au continent pour profiter de la mer en effet » Sa dernière phrase me fit tiquer. La revoir ? Je l’avais… ah si je l’avais vu durant l’examen, mais de loin, puisqu’elle avait eu le droit à toute l’attention du vétérinaire.
« Pourquoi pas » dis-je avec un sourire. Et puis, bon fallait bien voir la
« chérie » de Kalash. Je me fais des films franchement. Après, je ne compte pas rester barboter pendant 3 heures à la piscine, s’il me propose d’aller la voir ou même de la sortir, je serais la première à dire oui. De toute façon, on me parle d’animaux, que je suis directement intéressé pour les rencontrer. Et puis, je verrai bien si elle me kiff autant que Kalash, car ce chien direct il est tombé amoureux de moi. « Elle n’est pas stérilisée ? ».

Bon je devais lui plaire vu la couleur de ses joues quand il croisait mon regard. Il en devenait mignon. Oui, c’est le mot, je ne sentais rien de « prédateur » chez lui ni même de gros dragueur usant de son physique pour choper les nanas. Tout semblait être « naturel » sa timidité, sa gestuelle pas toujours assuré et son besoin de faire la discussion sur des sujets banaux, comme là, ma journée. Cela ne me dérangea pas, ça change, que je ne me fasse pas directement accosté au moins, il était intéressant comparé à d’autre. Cela semblait le surprendre que ses compatriotes aient peur des seringues. Eh bien oui, ces messieurs n’avaient pas peur des Wraiths mais d’une petite piqure c’est la croix et la bannière. Des vrais gamins. Après, il est courant de redouter cet outil.

« Certains préférais que je les vide de leur énergie que de les piquer » dis-je amusée.
« Enfin ça c’est quand ils n’ont jamais eu de coloscopie de leur vie, après ils ont peur de ça » dit-je doublement amusé ricana à ma blague. Oui, blague de chirurgien et puis blague un peu trash quand même. Et j’avoue que j’adore ce mot, car c’est typiquement le genre d’évocation qui fait blêmir plus d’une personne et comme menace, franchement il n’y a pas plus efficace.

Ah il avait déjà baladé sa chienne. J’avoue, que raconté comme ça, seul le moment avec son animal était intéressant. « Hum oui, j’avoue que cela n’a pas l’air palpitant un tour de garde… » Je tournai sur moi-même dans l’eau, pour faire travailler ma cuisse anciennement blessée. Je me ferais chier à surveiller un endroit qui est presque à 98% calme « Après bon, mes activités peuvent t’ennuyer aussi, soigner des patients recoudre des plaies, c’est le quotidien. Quand je ne suis pas au bloc ou au laboratoire pour mes recherches ».

Venu le moment où je me fis attaquer par mister Wall E. franchement, je me maudis de n'avoir pas fait gaffe à ce tuyau. Par réflexe il avait pris mon avant-bras et ce geste me passa au-dessus puisque je cherchai ce qui m'était passé entre les jambes. C'est con mais quand on ne s'attend pas à se faire effleurer les cuisses eh bien ça surprend. Il soutenu le regard que je lui lançai à son contact, le soutenant, avant que je le décale pour suivre les bulles. Il finit par me lâcher via un petit raclement de gorge qui me fit faire un faible sourire. La menace identifiée, je retirai ma main, qui rencontra une résistance imprévue, je tournai mes deux bille d'azure vers lui d'un air interrogateur…une tomate il était devenu tout rouge comme un champ de coquelicot. J'eue un autre sourire taquin. Je n'étais pas gênée par son geste, il en faut bien plus pour déclencher ce sentiment chez moi. J'étais en train d'hésiter sur son surnom : Coccy comme coccinelle et Cody ? À voire, fallait que ça sorte tout seul.

« Oui heureusement » Je le suivis en pouffant « Oui, cela fera un entrainement pour éviter de se faire croquer les petons par les bestioles de l’océan ! » Je le rattrapai facilement, plutôt bonne nageuse, je me faufilais aisément dans le liquide. Alors, que nous nagions, j’allais lui lancer un pari, quand une voix de sentor très peu féminine se fit entendre.

« Vous devez sortir de l’eau, pour que le robot nettoie la piscine. Vous n’avez rien à faire là ! » Je me tournai avec un regard furibond vers la pauvre femme qui allait se prendre une volée dans les plumes, non mais sérieusement ? Elle ne peut pas être aimable ? Être rousse et en surpoids lui donnait le droit d’être désagréable ? Cette femme d’entretiens, me sortait déjà par les yeux. Bon, il ne fallait pas grand-chose parfois. Je la foudroyai du regard.

« Quand vous serez aimable et dire s’il vous plait » mon ton était glaciale. La femme me regarda en plissant du nez.
« Vous allez débarquer le robot. Sortez au lieu de barboter comme des canetons ! »
« Non. » bah tiens, on ne demande pas un chaotique de sortir sans avoir utilisé sa demande au préalable. Il en a qui ne sont pas futé… le pire c’est qu’elle était agressive maintenant. Mais bon, niveau caractère je suis plus enflammée et elle m’avait agacée.
« Pardon ? » Je sentais son regard me lancer des éclairs
« En plus d’être impolie vous êtes sourde ? »
« Je ne vous permet pas » elle renifla bruyamment
« Eh bien moi non plus et si vous voulez continuer à récurer la piscine, je vous conseille d’avoir un peu plus de savoir-vivre ou de prendre des cours du soir pour rattraper l’erreur de vos parents en vous éduquant ! »
Elle me regarda complètement mouché… sa bouche s'entrouvrit. Oui, j’y étais allé un peu fort et mon accent français se sentait bien sous l’agacement.

« Euh… sortez s’il vous plaît ? » sa voix fut un murmure incrédule. Tu vois quand tu veux ma petite impolie ! Je nageai vers la berge, sortant dans un mouvement gracieux soutenue par mes bras.
« La prochaine fois, mettez un panneau et vous n’aurez pas de canetons dans votre mare ! »

Si Cody, n’avait pas eu vent de mon caractère certes enjoué et joyeux mais surtout de tigresse, et bien voilà. Un chirurgien sans caractère c’est comme un tiramisu sans café ça n’existe pas ! Et parfois, pour ne pas dire souvent, je suis une grâce quand on me mettait en rogne. Je passai vers elle, n’ayant que faire de son regard empreint de colère et de jalousie sur mon corps. Je pris ma serviette pour m’essuyer le visage. Mes longs cheveux tombaient en cascade sur mon dos gouttant. Je l’ignorais clairement, sa présence n’avait plus lieu d’être et je la vis partir en grognant. Supposant que Cody était sorti aussi ou s’apprêtant à le faire.

Je tournai la tête vers l’homme, un petit sourire espiègle sur le visage, sur le coup, j’avais bien envie de le pousser dans l’eau et lui sortir une connerie. Histoire de faire un peu de provocation à cette femme de ménage. Certes elle était partie mais bon… je ne vais pas rester là à ronger mon frein suite à l’affront qu’elle nous a fait. Et puis franchement, je n’avais aucune raison d’être agacée plus longtemps, j’avais eu ce que je désirais : la réédition de la femme de ménage et sa fuite.

Sérieusement, la politesse ça règle pleins de conflit. S’il vous plaît gentiment et ça serait passé. Mais non. Bref, j’avais envie de d’emmerder Cody. Je me sentais à l’aise avec lui donc automatiquement je suis encore plus taquine. Et il est rare que je lutte contre mes envies. Je lançai ma serviette sur la chaise longue et je m’approchai du jeune homme avec un certain calme, ne laissant pas présager mes attentions… alors qu’il était toute juste sortie et pas loin de l’eau. Je me stoppai devant lui à moins de 1 mètre… puis avec un petit rictus je le poussai dans l’eau. Je ne m’approchai pas trop de la berge, histoire d’éviter qu’il m’attrape. Je me penchai une main sur une hanche, le hélant quand il releva la tête hors de l’eau.
« Rho vraiment Coccy …. Tu exagères, on a dit qu’il fallait laisser Wall E faire sa tâche ! Tu abuses !! Sale gamin va ! » Oui je le taquinais clairement, en prenant une fausse mine sévère. Il me faisait rire.


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Cody Fuller
Caporal
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√ Arrivée le : 01/07/2014
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Ven 2 Juin - 19:07

Cody Fuller
Cody Fuller & Isia Taylor Laurence
Saisir le moment
Depuis combien de temps sommes-nous à la piscine ? Une heure, une demi-heure, dix minutes ? Je ne sais plus. Le temps passe vite en compagnie d'Isia. Elle est charmante, marrante et intéressante. On nage, elle me taquine et je fais de même. Même si je passe un excellent moment en sa compagnie, je ne peux pas m'empêcher de me sentir effrayé. Je ne sais pas comment me comporter avec les filles. Le pire est que j'ai déjà été blessé par une dans le passé. Je ne veux surtout pas revivre ce genre de chose. Mais... c'est quoi la citation déjà ? Ah oui, qui tente rien n'a rien.

Isia répond par provocation espiègle qu'elle peut me couler et me soigner après. Je ris et lui lance de l'eau en retour. Quoi ? J'ai rien fait, c'est elle qui l'a cherché !

Puis elle accepte de revoir Zelda. Comme je suis heureux qu'elle accepte. Ensuite, elle demande si ma chienne est stérilisée. Pourquoi ? Ah oui, si je me souviens bien, il y a un chien mâle sur la cité. Souhaiterait-elle que Zelda soit maman ? Ce ne serait pas une mauvaise idée. Après tout, ses chiots permettraient d'aider d'autres militaires sur le terrain. Ce sont des animaux qui aiment travailler et apporter leur aide. Je secoue la tête pour lui répondre qu'elle ne l'est pas.

« Je crois qu'elle va t'adorer. »

Merde... un autre compliment pourri. Si elle n'a pas compris immédiatement qu'elle me plait, alors là elle doit sûrement le savoir. Je veux bien qu'elle sache ce que je ressens envers elle, mais j'ignore si elle peut être le moindrement intéressée.

Après l'attaque surprise de Wall-E et notre... rapprochement ? On va dire rapprochement. Une femme arrive et nous demande de sortir de la piscine. Oui, je vais le faire, mais pas avant qu'elle nous le demande gentiment. Quelle délicatesse. Je plisse les yeux et fixe la femme, pas du tout prêt à bouger. Isia semble être du même avis et elle le lui fait savoir très clairement. Mais elle a un caractère de feu ! C'est hyper sexy. Elle sait ce qu'elle veut et elle le lui fait savoir. Elle ne l'a pas traité de toutes sortes de noms vulgaires. Pas besoin d'envoyer balader quelqu'un pour leur faire comprendre son mécontentement.

« Ça fait tant de mal que ça dire merci et s'il vous plait ? »

La femme finit par nous demander poliment de sortir. Bon, c'est juste ça qu'on a voulu, madame. Pas besoin d'en faire tout un plat ! Je la regarde partir et me dirige vers la berge pour sortir de l'eau et rejoindre Isia. Alors que cette dernière rejoint les chaises, mon regard s'attarde automatiquement sur son corps. Je ne peux pas m'en empêcher. Surtout pas avec une femme aussi belle qu'elle. Je détourne le regard, mal à l'aise, ne voulant pas trop la fixer. La mégère lance un regard rempli de jalousie envers Isia. Elle a raison de l'être.

C'est alors qu'au même moment où je m'apprête à poser le pied sur le bord de la piscine, quelque chose ou quelqu'un me pousse vers l'arrière. L'eau m'attire au fond de la piscine, mais l'oxygène dans mon corps me pousse vers la surface. La tête hors de l'eau, je prends une profonde inspiration, car j'ai eu le souffle coupé l'espace d'un instant. Je lève la tête et vois Isia tout près, la main sur une hanche.

Je plisse les yeux, secoue la tête et éclate de rire. Cela fait un moment que je n'ai pas autant rit. Et ça fait fichtrement du bien !

« Alors comme ça j'abuse ? » je lève un sourcil et sors de la piscine. Je prends ma serviette que j'ai laissée sur une chaise et m'essuie le visage. « Coccy ? Je crois que tu mérites ta médaille d'or. »

Je termine de m'essuyer et juste pour l'embêter, je décide de lui balancer ma serviette. Après tout, elle l'a mérité pour m'avoir poussé dans la piscine.

« Ça c'est pour m'avoir poussé. J'ai presque failli me noyer. »

Je reprends ma serviette lorsqu'elle me la redonne et la pose sur ma large épaule.

« Vu qu'on n'a plus rien à faire ici... Je ne veux pas revoir cette vielle mégère. » Je roule des yeux. Non, mais pour qui elle se prend ? « Si tu veux et si tu as rien à faire... » Je me masse la nuque, nerveux. Je ne veux surtout pas la forcer, mais disons que je n'ai pas envie qu'on parte chacun de notre côté tout de suite. « Je me suis dit que peut-être tu aimerais voir Zelda. »

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Dim 4 Juin - 19:30

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❝Saisir le bon moment❞
- Cody & Isia -
Chronologie 28 mai 2017


J'ignorai qu'il était complètement effrayé, il le cachait bien sous ses airs joviaux. Enfin bon, certes, je me doutais qu'il était impressionné mais effrayé non. Et puis bon, cela n'était pas bien, grave. Tel des enfants, nous étions en train de nous chamailler gaiement, répondant du tac o tac à ses remarques. C'est facile, je ne cherche que ça, le jeu constant. Et puis bon, avec Cody renommé fraîcheur Coccy, ça passait bien, pas besoin de tourner autour du pot, nous avons réussi sans le vouloir à créer une petite symbiose de blague. Cela me fit du bien, ma journée n'avait pas été palpitante, mais ma semaine agaçante en toute franchise. Et ce petit moment de détente était bienvenu.

Il m'annonça que sa chienne allait m'adorer. J'espère bien ! Vu mon appréciation plus que positif avec Kalash, je comptais bien me trouver une seconde copine à quatre pattes ! Après, ça se trouve elle ne me sentira pas. Cela m'étonnera, les animaux sentent quand on les aime et il y a bien une chose que j'aime dans ce bas monde : c'est les bêtes ! Bien plus que les hommes à dire vrai. Les humains sont décevants, destructeur et insignifiants. Tout le contraire des animaux, qui ne vous déçoivent que rarement et pour les chiens jamais. En tout cas, Zelda était entière et il ne me fit aucun commentaire sur ma phrase un peu étrange.

Enfin pour moi non, cela est normal, avec mes idées de reproduction canine. Je sens qu'Hoffman, va m'envoyer bouler si je lui demande l'autorisation d'avoir des chiots sur Atlantis. Déjà qu'il me charrie, avec mon refus de mettre en place un service pédiatrie…alors là avec les chiots il va me rire au nez. Oui mais bon entre les bébés et les chiots… les chiots sont nettement moins relou que les humains non ?
« J'espère bien » Je n'y compris pas le double sens caché du jeune homme, dans un sens je ne cherchais pas à déceler un quelconque compliment ou autre chose. De toute manière, c'est dit d'une manière tellement détourné…

Mais bon, tout bon moment à une fin et on s'est vu déranger par miss mal baisé du service nettoyage ! En toute franchise et vu mes propos d'une agressivité digne d'un fauve enragé. Je m'attendais à avoir une remarque de Cody ou qu'il essaye de calmer le jeu. Bien au contraire, il fut du même avis ce qui me fit sourire. Brave gars ! Heureusement, que tu es d'accord, car je n'aurais pas été des plus tendres si par malheur il m'aurait fait la morale. J'assume complètement d'être une garce. Il ne faut quand même pas abuser, la politesse c'est LA chose la plus normal…elle aurait fait la maline l'autre vache si elle avait eu dans la piscine le Directeur ou les deux RDA ? Remarque conne, comme elle semble l'être, elle ne les aurait pas reconnus. Si cela est le cas, alors elle est doublement bête, puisque moi aussi je fais partie du CODIR.

Mais passons, j'avais autre chose en tête et je trouvai une bonne raison d'embêter mon pauvre compagnon de mésaventure en le poussant à l'eau. Allant jusqu'à le provoquer avec une taquinerie. Il ricana de plus belle, suivit par mon rictus. Amusée, regagnant ma serviette pour finir de m'essuyer et tordre mes cheveux.

« Oui tu abuses ! Quelle étrange idée de retourner à l'eau vraiment… » dis-je en levant les yeux au ciel.
« Chouette, je la mettrais sur mon étagère avec mes diplômes ». Je lui jetai un regard espiègle
« Je suis gentille, j'accepte les médailles d'or fourré au chocolat ».

Alors, que j'entortillais ma serviette autour de mes cheveux, je me pris celle de Coccy dans la tête. Surprise, j'eue un rictus, il cherche la guerre là ?
« Ohhhhh Bichette, tu n'as qu'à fermer la bouche aussi ». J'hésitais à lui balancer ladite serviette dans l'eau pour lui apprendre les bonnes manières. Mais finalement, je fais quelques pas vers lui, pour tendre, puis lui retirer avant qu'il ne la saisisse. Oui, je suis chiante et finalement je lui lance dessus, prenant soit qu'elle lui tombe sur la tête. Mon regard s'attarda sur lui, alors qu'il était masqué. Comme tout militaire qui se respecte, il était bien foutu, il devait éviter de se balader en slip de partout sinon il serait gourmandé par la plupart des nanas. Il était large et séduisant.

Je repartie vers ma chaise, regroupant mes affaires, rejointe par le jeune homme, qui me fit pouffé avec sa réplique sur l'autre connasse.
« Je suis certaine qu'elle veut bien te voir, maintenant que tu es hors de l'eau. Ça lui rappellera les souvenirs quand elle allait mater en cachette les mecs du club de rugby ». Une femme, qui jalouse le corps d'une autre, ne peut que baver face à un corps masculin d'apollon. Enfin, si elle ne bave pas, je pense qu'elle a un problème, ou qu'elle est lesbienne. Et même en étant gays, elle pouvait apprécier les belles courbes. Je ne me formaliserai pas de ma phrase, assez provocante et qui était un compliment en somme, j'ai tendance à dire ce qui me passe par la tête que ça plaise ou non, avec tout l'art et la manière. Enfin ce fut un peu familier, mais qu'importe.

Voilà qu'il se masse la nuque, j'identifiai ce geste comme de la nervosité et quand il va demander quelque chose. Il en ait trop mignon. Je lui fis un rictus au coin. Eh bien va y ? Tu veux boire un verre ? Ah non mieux !
« Oh j'ai cru que tu n'allais jamais me le proposer ! » Dis-je ironiquement pour l’embêter. Je n’avais rien de prévue après donc cela m’enchantait de voir la chienne. Mon regard se posa sur lui. « Bien sûre que j'aimerais ! On se change et on s'attend devant les vestiaires alors. À tout de suite », je lui fis un signe de main, avant de marcher vers les vestiaires pour femmes.

Arrivé devant, il était ouvert…chouette ma copine rouquine était là, en train de nettoyer le sol. Sa présence ne m'enchantait pas, mais je n'allais aucunement lui porter de l'attention pour autant. Ainsi donc, je l'ignorai clairement, retirant mon maillot, pour le déposer et me mettre sous la douche, histoire de retirer le chlore. Une fois propre et sécher j'enfilai mes vêtements civils, que j'avais pris en rechange. Un débardeur rose pâle sans décolleté et un pantalon en faux cuir
avec les escarpins poudre. (Tenue d’Isia
Spoiler:
).

Je me séchai les cheveux, sous le regard furibond de la femme de ménage qui mâchai bruyamment son bonbon. Un court instant, je m’étais demander si je n’aurais pas dû aller me changer dans le vestiaire des hommes, histoire de m’épargner la vue scandaleuse de cette connasse... Au moins j’aurais été peinarde. Mais bon, cela aurait été choquant pour ces messieurs et lui accorder beaucoup trop d’importance. Tsss, pauvre femme. Une touche de maquillage, pour raviver ce qui était délavé avec l’eau de la piscine et voilà. Je ne me maquille jamais beaucoup en réalité, je n’ai pas besoin de ça. Ma crinière encore humide, elle tombait sur mes épaules dénudées et je sortie du vestiaire, avec mon sac de piscine, pour attendre Cody. Il avait été plus rapide que moi, sans grande surprise.

« Bon allons y alors. Si elle est dans tes quartiers j’espère que c’est ranger soldat » Fis je pour le taquiner une nouvelle fois. Décidément je suis survoltée.


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Cody Fuller
Caporal
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Mer 7 Juin - 3:32

Cody Fuller
Cody Fuller & Isia Taylor Laurence
Saisir le moment
La réponse d'Isia retire un poids de sur mes épaules, comme si je peux respirer à nouveau correctement. Un sourire se dessine sur mes lèvres et je me dirige vers le vestiaire pour hommes. Lui parler est aussi facile que respirer. Les blagues et les taquineries sortent d'elles-mêmes. Je n'ai pas besoin de retenir quoi que ce soit. Elle semble même plus qu'apprécier mon attitude jovial et timide. Quelques fois, je me demande si elle ne fait pas exprès pour me rendre nerveux. Même si mon coeur palpite et mon estomac se noue en sa compagnie, je me sens tout de même beaucoup plus à l'aise. Je n'ai jamais cru qu'il serait aussi facile de lui parler.

Une fois dans les vestiaires, je retire mon maillot et vais sous la douche pour retirer le chlore. Chose faite, je me sèche et m'habille en tenue un peu plus civile. Je ne vais quand même pas mettre mon équipement militaire à cette heure-ci de la soirée ! Bon, à moins que le devoir m'appelle, mais cela m'étonnera. Je m'habille d'un débardeur blanc, d'un jean et de souliers de la même couleur que mon débardeur. Une fois habillé, je prends mon sac de piscine et sors des vestiaires. Quelques minutes à peine, Isia vient me rejoindre. Un faible rire s'échappe de mes lèvres suite à sa remarque.

« On est impatiente à ce que je vois. Oui, elle est dans mes appartements. »

Je me mets en marche, invitant Isia à me suivre pour nous rendre aux quartiers personnels. Je peux sentir mon coeur marteler mes côtes avec chacun de mes pas. Je me concentre sur ma respiration quelque peu saccadée pour tenter de calmer le rythme de mon coeur. J'emmène Isia dans mes appartements. Il est vrai que dit comme ça c'est un peu étrange. Je n'ai aucun autre motif derrière la tête. Le seul que j'ai est de lui permettre de faire un peu plus connaissance avec Zelda. Bon ok, je vais être honnête avec moi-même. Si je fais ça c'est également pour apprendre à mieux la connaître.

Après avoir emprunté le téléporter le plus près, nous arrivons dans l'aile des quartiers personnels. Je me tourne vers elle et lui offre un sourire pour tenter de me calmer. Mon coeur martèle si fort mes côtes, tellement que que je craigne qu'elle l'entende. Il peut pas se stabiliser une seconde ?

« On est presque arrivés. »

Comme promis, nous arrivons rapidement devant une porte de chambre similaire aux autres dans l'aile. Je peux entendre plusieurs pas sur le sol de la chambre de l'autre côté de la porte. Sachant que Zelda est de l'autre côté, je me tourne vers Isia pour lui demander de bien vouloir rester derrière moi le temps que nous entrons dans la pièce histoire de ne pas trop surprendre Zelda. Celle-ci risquera de se mettre en mode chien de garde.

« S'il te plait, reste derrière moi le temps que nous entrons. »

Je ne veux pas lui faire peur, Zelda est vraiment un chien adorable, mais elle se méfie énormément des étrangers, surtout ceux qu'elle ne connait pas.

J'ouvre la porte et à peine les pieds à l'intérieur nous sommes accueilli par les jappement du Berger Allemand. Sa fourrure a un peu plus de feu que de noir. Ce qui l'identifie en tant que membre de cette race est bien évidement ses grandes oreilles. Son visage semble être beaucoup plus petit qu'elles tellement elles sont grandes. Il suffit d'un « Non » ferme et elle se tait. Je peux voir son poil se hérisser sur son dos. Elle n'a pas l'air du tout contente de voir un étranger pénétrer dans la chambre qu'elle considère comme son territoire.

Ma chambre n'a rien de bien spécial, elle possède à peu près les mêmes fournitures que les autres. Il y a un petit lit et une table de nuit avec un simple cadran et une photo d'un groupe de soldats que j'ai connu sur Terre, mais que je n'ai plus revu. La plupart des gens place des photos ou des objets ayant appartenu à des amis ou à de la famille, mais moi, ma seule famille est l'armée. Mes parents n'ont pas été très présents et des amis, bah je n'en ai pas beaucoup. Plus loin, il y a une armoire où sont rangés mes vêtements et mes équipements, un bureau avec mon ordinateur, une petite salle de bain et pour terminer un petit frigo où sont rangés quelques boissons. Au sol, il y a deux gamelles contenant des croquettes pour chien et de l'eau. Bien entendu, mon arme de prédilection se trouve près de mon lit. C'est tellement plus simple de s'en emparer lorsqu'il y a une urgence. Pour les mêmes raison, dans un tiroir de ma table de nuit se trouve un pistolet avec des cartouches.

« Voilà ma Zelda, mais je suppose que tu la connais déjà. » Je ris doucement et m'approche calmement du chien pour la caresser.

Le temps qu'elles font connaissance toutes les deux, je vais déposer mon sac de piscine près de mon lit. Je retourne ensuite vers Isia pour voir Zelda demander et redemander des caresses. Elle appuie même sa tête contre sa main.

« Bon chien. » Je la félicite pour avoir bien réagit en présence d'Isia et lui caresse doucement la tête.

« Je t'en pris, fait comme chez toi. » dis-je, montrant la petite chambre d'une main.

Je lève ensuite la tête et plonge mon regard dans celui de la chirurgienne. Sentant mes joues s'enflammer, je regarde ailleurs et m'installe sur le lit, face au chien. À la place de venir me voir, elle se dirige vers Isia et je ris doucement.

« C'est moi son maître, ne l'oublie pas. »

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Ven 9 Juin - 14:23

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❝Saisir le bon moment❞
- Cody & Isia -
Chronologie 28 mai 2017


Il était tout vêtu de clair le jeune homme. Des souliers blancs, il faut osé ! On aurait dit un italien. Mon regard le parcouru quelques secondes. Toujours, dans l’observation, je ne me gêne pas pour regarder les autres. Moi impatience ? Oh ça dépend pourquoi, je ne peux pas vraiment dire si je suis quelqu’un avec une patience énorme ou si au contraire elle est subjective selon les sujets. Je suis capable, de patienter pour avoir quelques choses des heures et des heures… ou faire l’inverse m’impatienter pour une broutille. En réponse, je lui fis un beau rictus.

« Qui ne le serait pas ? La promesse de rencontrer une princesse ! » Après tout il avait nommé sa chienne, comme la célèbre demoiselle que devait sauvé à chaque fois Link. À croire, que les princesses ne savent pas faire autre chose qu’être captif !

Je le suivis, me mettant à ses côtés. Mon pas était dynamique, comme toujours, amplifié par les talons, cela donnait un « clac clac clac » régulier. Sac en main, mon regard papillonnait dans mon environnement, observant toutes les interactions et mouvements des humains qu’on croisait. En tournant vers un couloir, je croisai de loin une petite troupe d’infirmière. Elles sont tel des hyènes, toujours en troupeaux. Enfin, pour les infirmières sans responsabilités. Très clanique tout ça. Je les entendais pouffer dans leurs coins, se racontant surement des blagues et autres ragots. Durant, cette marche, nous n’avons pas parlé. Cela ne me gênait pas du tout, je n’éprouvais pas le besoin de discuter dans le vent ni de mal être à ne pas le faire. Faut dire qu’avec les téléporter, nous arrivons très vite à destination. L’aile des quartiers, bien entendu, il prit la direction de ceux du pôle militaire. Sur le coup, je serais bien passée dans les miens, déposé mon sac. Oh en sortant de chez Coccy, je ne pense pas qu’on restera dans ses appartements trois heures. Finalement, il tourna la tête vers moi, machinalement, je fis de même supposant qu’il allait me parler. Un rictus se forma sur mes lèvres par mimétise, il était à nouveau nerveux ? Il semblait plus raide.
« D’accord. » fit-je simplement.

Comme beaucoup de quartiers, les portes étaient identiques. Mon regard s’attarda sur elle celle-ci, prenant un pas en arrière, non pas par peur, mais je connais les toutous… ils n’aiment pas vraiment, qu’un étranger débarque comme ça dans leur petit chez eux. Ce que me confirma Coccy qui me demandait de rester derrière lui. J’obtempéra sans sourcilier. C’est lui, qui connaît son chien après tout. J’étais assez curieuse, de voir comment allait réagir Zelda. Et puis, surtout de la voir. Panda, m’avait dit qu’elle était magnifique et je ne pouvais que le croire, vu l’amour qu’il portait aux Berger Allemand. La porte coulissa et immédiatement des aboiements furent leurs apparitions, elle devait m’avoir sentie à travers la porte sans aucun doute.

Très obéissante, elle ferma son museau, dès que l’ordre de son maître fusa. Faut dire, que les chiens militaires étaient excessivement bien dressés. Et fort heureusement. C’est aussi pour cela, que j’aime bien ce genre de chien : dressé et obéissant. Je n’aime pas les toutous des vielle mémères qui jappes et écoute que les lendemains de pleine lune du mois 36 ! Et je pense, que ce fut une des raisons, de pourquoi, je me pensais plus « chat » que « chien », puisque ma tante avait un horrible caniche qui n'écoutait rien, et m’enmerdais. Alors que mon angora aussi félin soit-il, était mieux éduquer, il me ramenait même sa balle en tissus parfois, alors que l’autre canin, je pouvais me brosser.

Il passa dans sa chambre, pour flatter sa bête. Je le suivis, restant derrière lui, laissant la chienne me sentir sur tous les coutures. Pour montrer que je n’étais pas hostile, je me baissai, me mettait accroupie. Pendant que Zelda, m’identifiait mon regard parcouru les quartiers du jeune homme. Austère et sans décoration, tout était « pratique », rien de personnel. N’avait-il pas eu le temps ? Ou une rigueur martiale ? Je pu même voir son arme près de son lit, servant, justement à être empoignée en cas d’urgence. J’avais déposé mon sac à mes pieds et la chienne apprécia mon geste, pour venir, me sniffer le visage. Dès que sa queue se mit à remuer, j’approcha mes mains, pour qu’elle les sente et je pus la caresser à mon tour. Elle était douce en plus d’être très belle. Plus clair avec son pelage roux flamboyant, elle avait certes du noir, mais bien moins présent que sur Kalash.
Elle avait la silhouette fine et élancée. Finalement, le courant passait bien, puisque la chienne me redemandait des caresses, chose que je lui donnai en toute sympathie. Mon visage était éclairé d’un sourire. Il était évident de consacrer que j’aimais réellement les animaux.

« Eh bien, princesse tu es bien chipie », dit-je en la flattant, lui caressant la tête, alors qu’elle sortait sa langue sur le côté. Mes mains lissière sur son cou, alors que son maître, la félicitait. La queue remuante, elle leva les yeux vers Cody, lui offrant le regard de « l’amour ». Celui qu'ont tous les chiens heureux. Après, une petite séance papouille, je me relevai, observant la pièce un peu mieux, alors qu’il m’invitait à faire comme chez moi. J’eue un petit sourire.

« Tu n’as pas eu le temps de décorer à ton goût tes appartements ? » Il y avait un catalogue riche et varié pour se faire plaisir et importer un peu de « soi » dans son unique « maison », seul endroit qui nous appartenant sans être le lieu de passage d’autrui.

Je fis quelques pas, pour me dégourdir les jambes. La position accroupie, coupe la circulation dans les veines, entraînant des fourmillements. Cody, avait pris place sur son lit, appelant sa chienne, qui préféra venir me voir, pour réclamer du contact. Mon regard azur quitta le visage de l’homme, pour pétiller vers Zelda. Je me baissai pour la caresser à nouveau, pouffant à la phrase de Cody.
« Oh oui, Hamilton a cru la même chose avec Kalash… et finalement son chien, me préfères » dis-je malicieusement. Faut dire que le Berger Allemand, me faisait à chaque fois la fête dès qu’il me croisait « J’ai un bon feeling avec les chiens, je vais finir par croire que je sens la croquette ». Je tapotai la tête de la demoiselle poilue. « Elle est belle en tout cas. C’est quoi sa spécialité ? »


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Cody Fuller
Caporal
Maître Chien
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√ Arrivée le : 01/07/2014
√ Date de naissance : 19/09/1995
√ Nationalité : Américain

√ Age : 28
√ Messages : 578
√ Localisation : Atlantis

Liste de vos DC : Aucun

Lun 12 Juin - 8:17

Cody Fuller
Cody Fuller & Isia Taylor Laurence
Saisir le moment
Il est vrai que ma chambre ne possède pas beaucoup de décoration. Je n'ai pas trouvé le temps de m'en occuper et puis l'intérêt a disparu avec le temps. Peut-être qu'un jour je prendrai le temps de le faire. Je hausse les épaules et secoue la tête en guise de réponse à sa remarque. Je lui offre ensuite un faible sourire et lui réponds.

« Disons que je n'ai pas pris le temps de le faire et puis l'intérêt a disparut. Peut-être que je vais le faire plus tard. »

Assis sur le lit, j'observe Isia et Zelda interagir ensemble. Le courant semble bien passer. La femme lui offre des caresses et Zelda lui en demande plus, toujours plus. Elle se roule même sur le dos pour lui montrer qu'elle l'apprécie déjà. La plupart des chiens ont ce genre de comportement parce qu'ils apprécient la personne qui lui procure du contact. Certaines personnes disent qu'ils font cela pour démontrer qu'ils sont soumis, mais je ne suis pas d'accord. Certains chiens peuvent faire ce geste et avoir un comportement dominant. Dans le cas de Zelda, cela signifie qu'elle apprécie Isia. Un sourire se dessine sur mes lèvres et je caresse le ventre du Berger Allemand.

« J'avais raison, elle t'adore. Elle doit sûrement te prendre pour Link. »

Une remarque un peu pourri, mais je m'en fous. L'essentiel est qu'elle peut réussir à faire sourire quelqu'un. Si je pouvais lire dans les pensées du chien, je pense que j'y verrai Isia dans un costume de Link. Je secoue doucement la tête, le sourire toujours sur les lèvres.

Ensuite, étant dans ma chambre, je prends mon sac et vais ranger les articles dans l'armoire. Je termine de placer le sac dans l'armoire et me rends au frigo. Je me tourne vers Isia pour lui demander si elle souhaite avoir quelque chose à boire. Je ne peux quand même pas me prendre quelque chose sans lui offrir quoi que ce soit. Ce serait impoli de ma part.

« Tu veux un truc à boire ? J'ai de l'eau, de la bière et des boissons gazeuses. »

Je dois avouer que le sucre est extrêmement bon au goût, mais en énorme quantité, il est très malsain. Je veux rester en forme, moi. Je n'en bois pas à tous les jours. Je dirai une ou deux fois par mois minimum. Le reste du temps je bois de l'eau ou de la bière. Après une longue journée de travail sur Atlantis, ça aide à se détendre.

Je me dirige vers le frigo et sors une bouteille de bière pour moi ainsi qu'une boisson pour Isia si elle en désire une. Avant de m'installer sur le lit, je lui tends sa boisson et reprends ensuite ma place sur le matelas. J'ouvre ma bouteille et prends une gorgée alors qu'Isia m'explique que le chien de l'autre maître-chien Hamilton la préfère elle à la place de son maître. Je lui offre un léger sourire et un rire suite à sa remarque. J'ai aperçus son chien et je dois admettre qu'il est magnifique. Il a un peu plus de noir que Zelda, mais il reste qu'il a tout de même une belle fourrure.

« Sentir la croquette ? Je pense que tu as raison vu comment Zelda t'a reniflé. Prends garde au chien sinon elle va te manger » Je pouffe et caresse Zelda alors que pour une fois depuis notre arrivée elle demande des caresses de la part de son maître. Par accident ou non, mes doigts viennent rencontrer ceux d'Isia. Surpris, mon coeur se met à battre rapidement et mon estomac se noue. Mes joues s'enflamment et je détourne le regard, priant pour qu'elle ne remarque pas la couleur sur mes joues.

« Préfères-tu Isia ? » Je sais bien que Zelda ne comprends pas ce que je dis, mais lui parler de cette façon est amusant. Comme si elle comprends ce que je dis, elle se dirige rapidement vers la femme et lui donne un petit coup avec sa tête pour réclamer d'autres caresses.
« Je suis plus ton maître, c'est ça ? Non, je comprends, tu préfères elle. Va la voir si tu veux. »

Je lève la tête vers Isia et la secoue avec un sourire malicieux, comme pour dire que je sais bien que Zelda m'aime quand même.

Sa spécialité ? Ah oui, ce qu'elle sait faire. Bonne question. Elle est un chien militaire. Elle peut faire à peu près tout ce qu'ils savent faire comme par exemple secourir, chercher des objets ou sentir des substances illicites et explosives. Dans le cas de Zelda, celle-ci se concentre sur les substances. Elle peut les sentir et les trouver. Moi, je les désamorce ou les neutralise et ensuite je les envoie se faire analyser.

« Elle sait faire à peu près tout ce qu'un chien militaire sait faire, comme secourir, chercher des objets et sentir des produits chimique ou explosifs. Par contre, elle se concentre plus sur les substances. »

Je offre un sourire rempli de fierté à Zelda et bois une seconde gorgée de ma bouteille.

« Ah oui, j'oubliais ! Elle est un excellent chien de garde. Mais ne t'inquiète pas, je suis là s'il t'arrive quoi que ce soit. »

Mes lèvres s'élargissent pour offrir à Isia un sourire lumineux. Alors que je prends une nouvelle gorgée de ma boisson, mon regard s'attarde sur elle. Je suis loin d'être ce genre d'homme, mais je dois admettre qu'elle est plutôt jolie. Non, plus que jolie. Magnifique. Oui, c'est le meilleur mot à utiliser. Je dépose ma bière et me reporte mon attention sur elle.

« Et toi ? Tu te spécialises dans quoi exactement ? Y a-t-il des cas similaires ou bien ils sont tous assez différents les uns des autres ? »

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Lun 12 Juin - 19:51

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❝Saisir le bon moment❞
- Cody & Isia -
Chronologie 28 mai 2017


Il m'informa qu'il n'avait pas eu le temps de s'occuper d'une quelconque décoration. Chacun, ses priorités, j'avoue, que ce fut l'une des choses que je fus en premier : personnalisée ma chambre, pour me sentir « chez moi ». J'avais besoin, de construire mon environnement à ma sauce. Même mon bureau est agencé d'une certaine façon, qu'il est unique et qu'il me représente. Je fais partie de ses personnalités, qui ont besoin de modifier leur lieu de vie, pour se sentir bien. Je lui fis un hochement de tête en guise de réponse, n'ayant rien à ajouter. Le maigre sourire qu'il m'avait fait, me fit penser que ce sujet n'était pas des plus intéressants pour lui.

Bon, je crois que je vais être gaga de Zelda, c'est quand même impressionnant, en compagnie d'animaux, je suis une autre femme. Certes, je suis toujours enjouée et assez fantasque, mais avec un animal, je me montre douce, aimante et très gaga. Cela contraste avec mon aspect froid, fougueux et prédateur. Apparemment, j'avais une réputation de sans « cœur » dû à mon manque d'empathie. J'eue un rictus ravi quand elle se coucha sur le dos, m'offrant son ventre. Vraiment, elle me faisait du charme. J'émis un petit rire à la mention de Cody.

« Sûrement, remarque-nous sommes blonds tous les deux. Par contre, je ne suis pas très vert désolé Zelda » Je n'aimais pas vraiment cette couleur à dire vrai, je suis plus couleur chaude, comme le rouge, le jaune, l'orange, ou le pâle comme le rose poudré ou le crème. De toute façon, cela se voyait, déjà avec mon haut.

Je m'assis en tailleur par terre, ma position attira d'autant plus la chienne, qui mit sa tête entre mes jambes. Bon, je ne sais plus qui m'avait sorti, que les chiens entraînés par les militaires ne sont plus de « vrais » chien, mais des outils de travail. Franchement, quand on voit Zelda et l'affection dont elle fait preuve, je ne voie pas comment on peut dire qu'elle n'est qu'un simple outil. Elle est adorable voir même « kiki », faisant preuve d'une grande socialisation. Et même, si elle devait sentir que j'aimais les bêtes, il fallait bien avoir une bonne base de bienveillance chez ce chien pour se donner le ventre à un humain qu'elle connait depuis 5 minutes.

Je n'avais pas fait gaffe, obnubilé par la chienne, que mon brave Coccy était partie vers son frigo. Hum…je n'avais pas spécialement soif sur le coup, mais cela allait arriver vite, le chlore de la piscine m'assèche la gorge à chaque fois.

« Une bière alors s'il te plait » N'étant pas boissons gazeuses, la bière me tentait plus et j'avais fini mon service, sauf si on m'appelle en urgence. Quand il me tendit ma boisson, elle était décapsulée « Merci Coccy », je bue une gorgée rafraîchissante. Oui, en effet j'avais soif en fait.

Je pouffai doucement, tout en flattant Zelda, qui se remit droite, pour demander les mains de son maître. Véritablement, elle nous faisait la fête et elle voulait toute l'attention. Par inadvertance le jeune homme toucha mes longues mains, mon regard bleu azure se lève vers son visage alors qu'il détourne la tête. Eh bien, je lui fais de l'effet, c'est une des rares fois, avec Mike, que je vois un homme autant nerveux en ma présence. Je ne lui fis aucune remarque, décalant ma main sur la tête de la chipie, afin de ne pas renforcer son état de torture interne. N'empêche, qu'il est kiki lui aussi. Ça m'a l'air d'être quelqu'un de très gentil et véritablement timide. Il changea de sujet, demandant à sa chienne si elle me préfère. Question qui ne devrait pas se poser, je suis la nouveauté, normal qu'elle aille vers moi. Mais sa fidélité serait envers son maître.

« Rho tu ne vas pas me faire ta crise de jalousie ? Promis-je te la rendrais avant minuit si je pars avec » Dit-je taquine, alors que la chienne, viens me donner un coup de tête à la mienne. Étant en tailleur, par terre je suis à sa hauteur donc elle en profite.

Je bue quelques gorgées de bière alors que la chienne se coucha entre les pieds de son maître et posant sa grosse tête sur mes jambes. Elle était en rond, on aurait dit un gros renard. Je laissai ma main, sur son encolure, perdant mes doigts dans cette fourrure douce et chaude. Cody, m'informe de la spécialité de sa chienne et je dois avouer que j'en fus très intéressée. J'avais pensée à demander à Hamilton de m'aider, mais Kalash étant plus type de combat, il aurait fallu un entraînement spécial pour développer encore plus sa truffe. Alors, que Zelda, était déjà sensibilisée à ce type de recherche. Mon regard pétillant d'intérêt tout en lui offrant un rictus à sa mention de sécurité.

« Merci c'est gentil. Depuis l'épuration de janvier, je n’espère ne pas être agressée une nouvelle fois » dis-je simplement. J'avais su me défendre, mais cela n'avait pas suffi, mais bon j'avais été secouru à temps. Je n'avais pas de problème à parler de ça, c'est du passer et il ne faut pas avoir honte ou souffrir de celui-ci.

« Ça tombe bien, qu'elle puisse sentir des substances, j'avais en tête de faire travailler des chiens, pour identifier des substances, comme le filtre « d'amour » qu'avait pris les violeurs pour soumettre certaines victimes ou manipulée Weir. Comme c'est un produit dangereux que nous gardons sous clé et qu'il a été volée une fois, je ne voie pas pourquoi, cela ne pourrait pas tenter certain. Les chiens, pourrait sentir les personnes qui le portent. Ou pour d'autres substances. » Je fis une pause, quand je pense que je fis partie des personnes qui avaient bossées sur le projet des plantes Püntas et qui était à l'origine de la création de plusieurs remèdes dont ce baume. Après, notre but n'avait pas été de créer ça, le résultat avait été à l'encontre de notre désir et utiliser de la pire des façons. « Ainsi, que de tests pour sentir les organismes vivants dans un corps humain, comme les Golda'uld ou autre parasite ». J'avais pleins d'idées, toujours pour améliorer la science et l'efficacité de la cité. Après, je m'entourais de personne ayant les compétences que je recherchais. Je ne sais pas tout faire.
« Il serait intéressant que vous soyez intégré dans ce projet » dit-je en le toisant dans les yeux.

Je bue une nouvelle fois ma bière, il en restait la moitié. Mon regard s'attarda sur Zelda, me demandant bien si Cody allait accepter. Cela permettrait de mieux nous connaître et d’avoir enfin un chien entraîne pour ce projet.

« Je suis de base une chirurgienne spécialisée dans les opérations à haut risque. Les opérations particulières qui nécessitent une intervention minutieuse avec le risque de la mort du patient dans 70% des cas. J’interviens donc, pour éviter cette fatalité. Après ce n’est pas le quotidien, je suis une sorte de super chirurgien tout risque » Je ricanai avant de reprendre
« Après, quand j’ai intégré le SGC, j’ai commencé à être très polyvalente, soignant en médecine générale et comme j’avais fait une année de spécialisation en ostéopathie, j’ai de bonne base pour commencer un travail sur le squelette humain, avant que le patient aille voir un ostéopathe. » Je bue une gorgée « Et depuis 1 an, je m’occupe des projets médicaux, comme je suis second responsable du pôle médical, je supervise où créer des projets avec d’autres pôles. Comme nous recevons beaucoup d‘opportunité des recherches faites sur le terrain, comme les plantes issues du peuple Püntas par exemple. Grace à ça, nous apportons des innovations médicales non négligeable aux équipes du SG » Oui cela faisait beaucoup, mais mon métier est riche. Cela étant dû aussi à mes responsabilités.


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Cody Fuller
Caporal
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Mer 14 Juin - 6:10

Cody Fuller
Cody Fuller & Isia Taylor Laurence
Saisir le moment
Il faut vraiment que j'arrête de me sentir nerveux en présence d'Isia. C'est facile lui parler, mais ma nervosité prend toujours le dessus. Il y a longtemps que j'ai eu un béguin pour une fille. Je ne sais même plus comment on fait pour lui faire savoir que l'on veut apprendre à mieux la connaître et voir si quelque chose de plus profond que la simple amitié peut se développer. Comment est-ce qu'on parle à une fille tout en faisant attention pour ne pas lui faire peur ? Comment on se comporte avec une fille pour ne pas qu'elle parte et ne nous parle plus jamais ? Comment... Je prends une inspiration et bois une gorgée de ma bière pour m'occuper l'esprit. J'ai plein de questions et ça me donne un foutu mal de crâne. Je dois relaxer et juste... profiter du moment présent. Je suppose que c'est la meilleure chose à faire.

Je m'installe sur le sol avec eux, posant ma bière à côté du lit. Zelda se replace confortablement, sa grosse tête noire sur les jambes d'Isia et le corps contre les miennes. Je laisse courir mes doigts dans son poil doux. Il faut que je la brosse, elle commence à perdre du poil. Ça doit la démanger. Alors que je prends une gorgée de ma bière, je manque de m'étouffer avec la boisson. Écarquillant les yeux de surprise, j'avale le liquide ambre et tousse. Je pouffe et lui donne une légère poussée, juste pour la taquiner.

« Tu ferais bien de la ramener avant minuit. »

Je suis un maître qui permet beaucoup de choses à Zelda. Je ne peux quand même pas l'empêcher d'aller vers des gens qu'elle semble apprécier. Ce sera limite ridicule. Non, mais quel genre de maître ferait une chose pareille ?

Isia se montre charmante, douce et attentionnée, une femme un peu différente de celle que j'ai vu à la piscine. Je dois admettre que Zelda a raison de vouloir recevoir des caresses de sa part. Elle doit sûrement sentir que l'inconnue n'a pas peur d'elle. C'est attendrissant à regarder. Je souris doucement et fais courir mes doigts dans son poil une fois de plus alors qu'Isia m'explique le genre de métier qu'elle exerce. Je lève la tête et la fixe silencieusement, buvant chacune de ses paroles. Quelques fois, je prends une gorgée de ma bière. Il en reste à moitié. Une chirurgienne tout risque et de la médecine général. Ouais, ça je le sais, car elle m'a fait un check-up lors de mon arrivée. En plus de cela, elle est second responsable !

Le plus intéressant est probablement son projet de recherche et détection de substances. D'après ce qu'Isia raconte, je comprends qu'elle cherche à améliorer la cité ainsi que la science. Elle semble assez dédiée à son travail. Je suis ce genre de personne également. Zelda a un excellent odorat. Je pense que lui prêter mon chien serait une bonne chose. Celle-ci se sentirai utile pour une fois. Et si cela peut aider la cité... Pourquoi pas. Je ferai n'importe quoi pour venir en aide à Atlantis. En plus, cela me permettrai d'apprendre à mieux connaître Isia.

« Je peux t'appeler Wonder Woman ? » je la taquine, un doux sourire se dessinant sur mes lèvres alors que je soutiens son regard et pose une main sur la sienne. C'est juste fascinant ce qu'elle fait. « Je veux bien te prêter Zelda à condition que tu me la ramène entière ! Elle est excellente pour ce genre de travail. »

Je me rends compte de mon acte, mais Isia n'a rien fait lorsque mes doigts ont touché les siens quelques instants plutôt... Je jette un coup d'œil au chien et lui ébouriffe un peu les poils de sa tête.

« Hein, Zelda ? T'es même plus excellente. C'est grâce à toi que plusieurs attentats à la bombe ont été arrêtés en Irak. »

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Mer 14 Juin - 17:31

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❝Saisir le bon moment❞
- Cody & Isia -
Chronologie 28 mai 2017


Mon regard se releva quelques secondes pour voir Cody nous rejoindre au sol. On aurait vraiment dit la petite famille avec leur chien, c’est marrant. Enfin bon, il pouvait se gargariser d’avoir illuminée ma journée avec la simple présence de miss Zelda. C’est quand même dingue, mon amour pour les bêtes. Faudrait que je me trouve un compagnon à poil aussi.

Coccy la coccinelle, se mit à s’étouffer à cause de ma remarque sur la permission de minuit, immédiatement, je ricanai de plus belle, me laissant poussée.
« Sinon quoi ? Je serais punie ? » Ce fut un peu de provocation, c’est dans ma nature de le faire et étrangement, il en avait pas eu beaucoup depuis la piscine. Je toisais Zelda, lui papouillant la tête en jouant avec son museau. « Tu as vu comment il est ? Il ne veut pas qu’on fasse une soirée entre fille… » La chienne, leva le museau vers mon visage plus proche du siens, puis tourna la tête vers son maître, elle ne comprenait pas, mais elle aboya une fois, pensant sûrement que ce fut un jeu. Quant à moi, je relevai la tête vers Cody, l’air triomphant en relevant les sourcils, de la fille qui aurait dit : haha tu vois elle est d’accord nanananère ! Oui, je l’embêtais clairement.

Je bue une gorgée de ma bière, la reposant à mes côtés, alors que j’expliquai en long et en large mon rôle dans cette belle cité. Cody était attentif et ne m’interrompit jamais. Je m’emballai un peu en lui parlant de mon projet, projet que j’espèrerai bien qu’il adhère avec Zelda. Mon autre projet, sur les plantes étant fini et celui avec les nanites prenait du retard à cause de la complexité et que de toute manière c’est aux informaticiens de se bouger le cul... j’avais pleins d‘autres idées à mettre en place. Surtout que j’avais le budget pour.

Quand j’eue finit de parler, telle une véritable pie jacassant, il me qualifia de Wonder Woman… enfin me demandait l’autorisation de me nommer ainsi. J’eue un petit rictus amusée, alala il me fait penser à un enfant sur le coup.

« Si tu veux, mon égo va encore grossir, déjà qu’il est bien élevé ! Une déesse s’il vous plaît ! » Je ricanai de plus belle. Quel chirurgien n’a pas d’égo sérieusement ? Et personnellement, je me savais assez sûre de moi, voir même trop, pouvant passée pour l'égocentrique de service. Mais qu’importe j’assume, c’est un défaut et personne n’est parfait. Sauf, que je ne me la joue pas comme Mckay. Enfin passons, il toucha ma main, étant tactile, le contact physique ne me gêne nullement. Je suis toujours, en train de toucher quelqu’un, enfin pas là, mais cela ne me rebute pas et j’accepte ce genre de chose sans arrière-pensée.

« Oh oui, ce n'est pas un humain donc elle sera entière… » Dis-je sérieusement, pour le laisser mouliner un peu. Avant de lui donner un tacle sur l'épaule de la main qu'il avait touchée quelques minutes avant. J'avais déjà testé des trucs sur des « volontaires » humains et tous n'étaient pas morts. Enfaite personne n'était mort, puisque les tests étaient quand même presque sûrs à 100% quand je les réalisais, ne voulant pas risquer d'avoir un stupide accident.
« Oui, de toute façon, tu y seras, je ne peux pas manipuler ta chienne aussi bien que toi et elle aura besoin d'être rassurée dans un laboratoire avec des machines étranges ».

Ce n'est pas évident pour un animal d'être sans son maître dans un environnement inconnu et sacrément angoissant, à cause du bruit. Il parla à son chien, qui se releva pour lui lécher la figure avec amour.

« Vous êtes libre demain ? 14h30 ? » Puisqu'il avait accepté autant en profiter le plus tôt possible. « Si tu as des obligations, je peux demander au colonel, de te libérer, comme étant volontaire pour ce projet. Je peux lui demander maintenant » De toute façon, il n'aurait pas le choix. Machinalement, je regardai ma montre, il n'était pas très tard à peine 18h00.


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Cody Fuller
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Dim 18 Juin - 9:13

Cody Fuller
Cody Fuller & Isia Taylor Laurence
Saisir le moment
L'air triomphant sur le visage d'Isia lorsqu'elle relève la tête pour me regarder me fait pouffer de rire. Elle est marante et adorable. Mon épaule vient se cogner à la sienne, chose que je fais quand cela m'amuse lorsque quelqu'un m'embête comme elle le fait. À vrai dire, ces petits airs d'emmerdeuse ne m'énerve pas du tout. Ils me font plus rire que d'autre chose. Du moment que ses propos ne sont pas blessants, je veux bien me joindre à elle et l'embêter un peu également.

« Oui, une énorme punition. » Je lui offre un petit sourire espiègle. « Tu as droit à des chatouilles. »

Je ne peux pas vraiment punir Isia pour vouloir avoir Zelda rien que pour elle. Le chien est juste adorable et je ne peux que la comprendre. Avec une tête comme celle du Berger Allemand, comment ne pas vouloir l'avoir rien que pour soi ? Je me rapproche de la femme et tente d'atteindre ses côtes. Zelda, quant à elle se joint à moi. Elle se met à lui lécher le visage. Je ris et tente de la pousser. Étant quelqu'un qui respecte les gens, lorsque Isia me demande d'arrêter je m'exécute et secoue la tête, lui offrant un sourire. Comprenant que le jeu est terminé, Zelda reprend sa place.

« La prochaine fois, je ne serai pas gentil. » mes lèvres se recourbent en un léger sourire amusé.

Je bois une gorgée de ma bière et écoute Isia attentivement alors qu'elle m'explique ses fonctions et son projet. Elle semble avoir énormément d'idées pour contribuer à la science. Lorsqu'elle termine de parler, je lui demande si je peux l'appeler Wonder Woman et elle répond par déesse.

« Tu es une déesse. »

Mon regard vient se planter dans le sien et un léger silence s'installe entre nous deux. Est-ce que je viens de penser tout haut ? Je fais de mon mieux pour ignorer le rouge qui colore mes joues alors que je balaie son visage de mes yeux.

Sa main vient à la rencontre de mon épaule et elle me sort de mes pensées. Elle a mentionné quelque chose à propos de Zelda qui sera entière. Tant mieux. Je ne veux surtout pas la perdre. Je cligne des yeux quelques fois et lui offre un léger rire. Laisser Zelda seule dans cet environnement serait bien trop angoissant pour elle. Je me dois d'être présent pour la rassurer et lui faire exécuter les tests correctement pour leur donner le meilleur résultat possible.

« Je l'espère bien. »

Je termine ma bière alors que Isia me demande si je suis libre le lendemain. Je devrai l'être, à moins que j'aie des obligations. Je me lève du sol pour aller placer ma bouteille dans une boîte tout près du frigo. Cela fait un moment que je suis sur le sol. J'ai besoin de me dégourdir un peu les jambes.

« Je crois qu'il serait possible de se voir à cette heure-là. Je suppose qu'il serait préférable de le contacter pour me libérer pour cette heure-là. » je réponds et me prends une seconde bière. Je me tourne ensuite vers Isia. « Tu en veux une autre ? » je lui demande poliment.

Non, mon intention n'est pas de la saouler. Une chirurgienne avec une gueule de bois le lendemain ? Je ne veux surtout pas lui infliger ça. C'est horrible. Elle a besoin d'être en forme pour travailler le lendemain.

[HRP: J'espère que ça t'ira. J'ai l'impression d'oublier quelque chose.]

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Lun 19 Juin - 18:13

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❝Saisir le bon moment❞
- Cody & Isia -
Chronologie 28 mai 2017


Voilà qui me cogne l’épaule avec la sienne ? Il cherche la guerre ou bien ? Naturellement et sans aucun remord, je lui rends le coup un peu plus fort. Étant dans la surenchère régulièrement, ça risque de se finir en baston tout ça.

Finalement il répond à ma provocation sur la punition. Une énorme, j’arque un sourcil, le toisant dans les yeux ? « Ah oui ? ». Cela partait dans des gamineries sans nom et je m’en contre fiche bien ! Le courant passait bien et j’avais l’impression de le côtoyer depuis plus longtemps que quelque heure. « Des chatouilles ? Oh mais quelle punition horrible ! » J’eu une expression du visage mi surprise et mi chipie tout en y mettant de l’ironie. Je ne suis pas vraiment chatouilleuse, sauf dans une zone bien précise que je comptais bien protéger pour ne pas hurler de rire. Et cette zone c’est vers les aisselles et la zone qui l’entoure. C’est juste insupportable !

Cody comptait bien mettre sa menace à exécution, s’approchant de moi, pour me toucher. Naturellement, je me décalai mais je me fis prendre de court par Zelda, qui me lécha le visage. Naturellement, je me protégeais le visage des lèches faites avec amour.

Je pouffai et je tombai sur le côté. Grâce à la chienne, il put atteindre son objectif ! C’est bas ! À deux contre un ! Je ricanai amusé. J’avais le droit à une seconde douche ! À force de me tortiller pour me remettre sur mes fesses, Cody put toucher la zone fatidique et je pouffai de plus belle essayant de chasser ses mains. « Non ! » fut un petit cri aigu. Il avait très bien pu voir que les autres zones étaient un échec sauf là. Je roulai sur la droite, alors qu’il avait arrêté gentiment. En me releva, je pris des mouchoirs dans mon sac pour m’essuyer le visage. J’allais faire une remarque quand Cody m’en fit une nouvelle. Un rictus se dessina sur mes lèvres.

« Ah ? Et tu vas faire quoi ? » Je me redressai le toisa d’un air provocant, une nouvelle fois. Il cherche n’empêche. Je le rejoignis par terre après avoir jeté le mouchoir, pour reprendre ma place, l’air de rien. Lui expliquant mon métier et surtout un projet où il me serait très utile. Enfin sa chienne. Remarque, s’il m’apporte mon café vanille, il sera aussi une ressource inestimable, vu ma consommation irraisonnable de cette boisson.

Voilà qu’il vient de me nommer Wonder Woman, j’aimais bien l’idée, puisque c’est une femme forte et loin d’être dépendante de quelqu’un, tout comme moi. Après, bon niveau costume ont peu repassé. Dommage que je ne sache pas me battre aussi bien qu’elle. Après bon, je n’ai jamais eu besoin de mes poings pour me défende, un scalpel ou les mots suffire. Alors, que je pavane d’un air présomptueux, il me sort de but en blanc que je suis une déesse. Mon regard croise le siens le soutenant sans ciller et il eut un silence. Je le laisse s’installer, son petit aveu un peu gênant pour lui, me fit sourire. Oui, définitivement, je ne le laisse pas du tout indifférent. Il en est presque touchant et pourtant, il ne se la joue pas gros dragueur, au contraire. Je le sors de ses pensées en le secouant un peu, quand je le charrie sur sa chienne.

Il était libre, un beau sourire se dessina sur mes lèvres. Je me relevai, mettant une main au sol.
« Parfait, je vais le contacter maintenant, comme ça, pas besoin d’attendre ». Je fis quelques pas dans la pièce, quand Cody me proposa une autre bière, hum … non cela ne serait pas raisonnable, après j’aurais mal au ventre et comme je n’avais rien dans l’estomac, je ne voulais pas avoir plus d’alcool dans les veines, même si cela est moindre. « Non merci ». Un nouveau rictus charmant.

En activant ma radio oreillette, je pris le canal personnel du colonel.
// Colonel ? C’est le docteur Taylor Laurence//
// Oui ? J’espère que vous ne me contactez pas pour me dire que l’un de mes hommes et sur le corbillard ! //
// Non pas aujourd’hui// fit-je ironiquement
// Me voilà rassuré //
// Pas de trois par semaine, vous savez bien. // Je l’entendis ricaner, même si ma plaque d’humour noir était assez douteuse. // Vous pouvez dégager de vos effectifs, dès demain jusqu’à la fin de semaine, le soldat Fuller s’il vous plaît ? Il est volontaire pour m’aider pour le projet autour de la reconnaissance d’odeurs et de maladie //
// Hum d’accord. Vous me mettrez en copie des rapports ? //
// De toute façon, nous en parlerons en CODIR, mais si vous voulez. //
// Bien merci. Vous ne me l’abîmez pas //
// Au pire je le réparais ce n’est pas spécialité //
// Oui, enfin bon. Ça sera fait. Bonne soirée //
// De même colonel et merci //

J’avais été pro et calme tout le long de la conversation, même si plusieurs piques humoristiques avaient fusé. Je me tournai vers Cody.
« Voilà, tu es donc à ma disposition cette semaine ». Je préférais toujours demander aux supérieurs, histoire de ne pas avoir de problème autant pour moi que pour le soldat. Mon regard toisa ma montre, le temps était vite passée, il bientôt 19 heures.
« Je ne vais pas t’embêter plus. Merci pour la rencontre avec Zelda. À moins que tu veuille manger avec moi au mess ? » Je comptais bien manger tôt, pour dormir tôt comme j’avais commencé aux aurores justement. Et cela était aussi le cas de demain.


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Cody Fuller
Caporal
Maître Chien
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√ Arrivée le : 01/07/2014
√ Date de naissance : 19/09/1995
√ Nationalité : Américain

√ Age : 28
√ Messages : 578
√ Localisation : Atlantis

Liste de vos DC : Aucun

Ven 30 Juin - 18:11

Cody Fuller
Cody Fuller & Isia Taylor Laurence
Saisir le moment
Le courant n'a jamais aussi bien passé avec quelqu'un. Bon, ok, il y a déjà eu quelqu'un, mais cela remonte à plusieurs années. Je parle sur Atlantis. Nous voilà Isia et moi en train de nous chamailler avec un chien qui se joint à nous. Des gamineries sans nom. Elle semble apprécier que je me joigne à elle à son petit jeu. Notre professionnalisme a largement disparu et je m'en fiche. L'essentiel est que je peux être moi-même avec elle.

J'éclate de rire en voyant l'air provocant sur le visage d'Isia suite à sa remarque. Il est vrai que je ne serai pas gentil la prochaine fois. Ce n'est rien de bien grave, je vais juste la chatouiller tellement que le rire l'empêchera de respirer.

« Je ne crois pas que tu as envie de savoir. » dis-je, amusé.

Suite à mon aveu, Isia ne semble pas du tout gênée et cela me rassure. Elle semble même apprécier la comparaison. Ce personnage est une femme forte et indépendante qui défend ce qu'elle croit être juste. Un peu comme elle, d'après ce que j'ai observé en quelques heures. La tête qu'elle fait à me regarder est juste adorable. Un nouveau sourire se dessine sur mes lèvres et je me masse la nuque, riant nerveusement. Je secoue la tête et me lève pour aller mettre nos bières dans une boîte. Alors que je m'en prends une deuxième, je demande à Isia si elle en veut une autre. Elle refuse poliment et je hausse les épaules, pas du tout vexé qu'elle le fasse. C'est compréhensible.

Alors que j'ouvre ma bière et bois une gorgée, je peux entendre Isia parler avec le colonel pour s'assurer que je n'ai aucune obligation le lendemain. De cette façon, je n'aurai pas de problème avec mon supérieur. Une fois la discussion terminée avec lui, Isia se tourne vers moi pour me dire que je suis libre et je lui offre un sourire lumineux, heureux de pouvoir l'aider avec son projet et de pouvoir apprendre à mieux la connaître.

Isia me remercie ensuite pour la rencontre avec Zelda. Elle n'a pas voulu que la femme parte, mais il fallait qu'elle le fasse. Isia me propose ensuite de manger avec elle au mess. Je peux sentir mon cœur battre dans ma poitrine suite à son offre. Bien sûr que j'en ai envie. Cela me permet de passer un peu plus de temps avec elle. De plus, je meurs de faim. J'ai l'intention de manger et ensuite d'aller dormir tôt pour être disponible le lendemain, car la journée a été longue.

« Ne me remercie pas. Tout le plaisir est pour moi. Je lui offre un sourire. Oui, je veux bien me joindre à toi. »

Je place ma bouteille dans le frigo pour la garder au frais et me dirige vers Isia. Je me dirige ensuite vers la porte, offrant une caresse à Zelda au passage, invitant la femme à me suivre.

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Invité
Invité

Lun 10 Juil - 18:08

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❝Saisir le bon moment❞
- Cody & Isia -
Chronologie 28 mai 2017



Je gardais sur mon visage le regard provoquant pour le pousser un peu. Un rictus sur mes lèvres celui d'un chat jouant avec sa proie. Oh que si je voulais savoir tiens ! D’un je suis curieuse et de deux j'aime bien savoir, pour connaître les tenant et les aboutissants. Surtout qu’imaginative comme je suis, j’étais en train de me faire une pléthore de films ! Mais il ne semblait pas vouloir prononcer sa sentence. Tant bien, il laisse mon imagination faire, je ne sais pas si c’est une bonne chose a vrais dire.

Je lâchai un « Mouai » Haussant les épaules, avant de repartir à la charge en rabattant mes cuisses sur ma poitrine les encerclant avec mes bras « C'est plutôt, que tu n'as pas d'idée Coccy ». Je fis l'innocente alors que le sujet dévia sur une comparaison divine qui m'allait très bien. Ne jamais flatter l’égo d’un chirurgien ça le fait gonflé !

De fil et en aiguille, je lui avais parlée de mon projet et il se portait volontaire avec sa chienne, une bonne chose, j'avais hâte de me lancer là-dedans !! Ça se trouve, ça sera une catastrophe sans non et de l’argent jeter par-dessus les fenêtres, mais qu'importe qui ne tente rien, n'a rien dans la vie. Et franchement, ça valait le coup de tenter. C’est la première fois, que le travail allait se faire avec un animal… enfin un animal consentant et non pur des expériences dangereuse comme ces pauvres souris de laboratoire qui n’avaient rien demandé ! Naître pour n’être que des objets vivant…qu’elle tristesse. En tout cas je me demande bien comment ça va se passer avec Zelda.

L'accord du manitou gris, obtenu, je m'apprêtais à partir me releva avec une certaine élégance. Tout en dépoussiérant de mes mains mon pantalon plein de poil feu, je proposai à Cody de manger avec moi. Sa compagnie m’était agréable.

Ainsi, on se dirigea vers le mess, je me sentais un peu las à cause de ma fatigue accumulée depuis tôt ce matin. Et j'avais affreusement faim. Mon estomac émis des gargouillements audibles. Mes mains se posèrent sur l’audio castafior, comme pour le gronder de faire des siennes. J'eue un petit rire pincé. Toisant le visage de mon collègue Atlantes d’une petite moue amusée. À cet heure-là, il n'y avait pas la queue, faut dire, manger vers 19 heures ce n'est pas commun, souvent les gens arrivaient vers 20 heures ET TANT MIEUX !

« Parfait ! Je n'aime pas faire la queue c'est une perte de temps horrible » m'exclamait-je heureuse de ce fait. Avant de me servir d'un plateau et prendre une entrée du jour, composée de tomate et de mozzarella avec sa pointe de basilic mmm miam miam. Pour le repas chaud, ce fut une entrecôte et ses frites (le classique Taylor Laurence ça ! Comme le café vanille). Oui, cela était peut-être lourd pour un soir, mais je n'ai jamais eu de problème digestif de cet ordre. Et en dessert ce fut mousse au chocolat. Et oui, j'allai ingurgiter tout ça sans aucun problème. De quoi faire baver de jalousie toutes les nanas qui vont dire : « ce soir c’est salade pour garder la ligne ! ».

Je continuai à parler du projet ou d'autres sujets, m'intéressant à ce que faisait Cody de ses journées comme entraînement avec son chien etc. Afin de voir et comprendre comment il bossait avec l'animal. Alors, que nous allions attaquer le dessert, le moment favori d'une Isia un peu tarée que je suis… mon oreillette bipa… ce fut mon supérieur, qui avait besoin de moi pour une opération. La chirurgie ce n'est pas sa compétence principale à ce bon Beckett qui était biologiste avant tout. Et au vue la difficulté je lui était indispensable, un militaire s'était retrouvé avec un parasite semblable à une araignée, qui lui avait pondu des œufs proches de la colonne vertébrale… bref super après le repas. Heureusement que j'ai l'estomac bien accroché. Dans tous les cas, cela me fit chié ! J’avais envie de rejoindre mon lit !

Après ma communication, je soupirai, affichant une moue contrariée. Puis d’un geste tout aussi mesuré et gracile, je me levai, toisant de mes prunelles d’azure vers le beau visage de mon interlocuteur.
« Navré Cody, je dois reprendre du service. » J’adore faire deux journées en une ! Je déposai ma mousse au chocolat sur son plateau.

« A demain alors, 10 heures » Mon regard se figea sur le siens avec un beau sourire. Je lui fis un signe de mains, avant d’emporter mon plateau et le déposer sur le tapis roulant, filant à l’infirmerie le visage contrarié.

END 10/07/2017

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