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[Moment fort 14] : La fin de la comédie

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Atlantis
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Mar 7 Fév - 11:15

Atlantis
Intrigue Grande Lessive


La fin de la comédie


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Point de vu : Julia Woosley
Personnes impliqués : Julia Woosley & Alexander Hoffman & Karola Frei & Aiden Ford
Interventions autres ? : Aiden Ford-Karola Frei
chronologie : : 6eme jour 09h00

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Julia était en plein bad trip. Elle émergeait seulement de sa folle nuit avec Doti’chou et franchement, elle avait mal partout. Ce petit salopard s’en était donné à cœur joie, et elle ne pouvait pas lui en vouloir. Elle rêvassait dans son lit, sentant qu’elle était seule.

« Chou ? »

Personne ne répondit. Bon, il avait dû s’en aller commencer sa journée, ou elle ne savait pas quoi. Bref, elle regarda l’heure. 8h55.

« Merde ! »

Elle se leva d'une traite en petite tenue. Elle était à la bourre. Sa soirée lui revint en mémoire et notamment le fait que l’anglais l'avait repoussé à cause de Steele et de Hirsh. Elle allait sûrement avoir des problèmes et elle ne savait pas trop comment gérer ça. Elle espérait être suffisamment crédible en femme droguée.
Elle jeta un coup d'œil dans son miroire et elle vit que ses pupilles avaient une taille normale. Mais bon la prise de sang prouverait qu'elle avait été shootée.

Quelqu’un frappa à la porte de ces quartiers. La jeune femme, sursauta et alla ouvrir malgré sa petite tenue très osée. Elle passa la main sur les cristaux, pour découvrir le visage d’Alexander Hoffman. Elle ne pue pas encore voir qu’il n’était pas seul. Il était dans l’encadrement, il lui fit un petit rictus aimable.
« Bien dormi major ? »
« Trop seule, vous m’avez manqué. Vous revenez sur votre décision ? »
Le regard bleu acier de l’homme se figea dans les prunelles vertes de la militaire.
« Oh, vu votre état, je suis certain que je ne vous aie pas autant manqué. » Son regard alla un peu dans les quartiers de la demoiselle, qui ne laissait pas de doute sur son activité nocturne. Avant de se poser une nouvelle fois sur elle « Après une prise de sang et une discussion peut-être » il était charmant.
« Il faut bien se consoler de se faire éconduire… quoique je crois que je n’ai pas eu le choix. » Elle grimaça. « C'était comme ci je ne pouvais pas dire non. » Elle finit par revenir sur la prise de sang. « Vous souhaitez me faire une prise de sang ? »

« Oui, je connais ça, ce n’est pas plaisant » dit-il simplement. Il hocha la tête « Oui et vous interroger. » Il se décala, laissant voir le visage peu aimable du major Karola Frei et du lieutenant Aiden Ford qui attendaient de pouvoir embarquer la major.
« Je suis une victime… mais vous le constaterez en temps et en heure. », dit elle avec un air suffisant.
« Oh mais j’en doute pas, que vous aurez le talent nécessaire pour nous le faire croire » il lui fit un rictus absolument charmant, pour reculer et laisser les militaires faire leur travail.

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ACTIONS :
-Arrestation de la major par Karola & Aiden
-Vous êtes libres
-On se tiens à disposition pour tout dialogue

° CODAGE PAR DITA | EPICODE °

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Karola Frei
Major
Second responsable militaire
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Mar 7 Fév - 22:44

Karola Frei
Karola émergea de son profond sommeil au petit matin. Le jour se levait à peine comme pouvait en témoigner l’obscurité régnant dans sa chambre. Il était tout juste 7h30 et la jeune femme se réveilla en pleine forme. Sa nuit avait été réparatrice, sans rêves, ce qui ne lui été pas arrivé depuis un bon moment. De fait, en se levant, elle se dit que cette journée n’allait pouvoir qu’être bonne. En tout cas, on ne pourrait difficilement faire pire qu’hier. D’ailleurs, à présent qu’une nouvelle journée avait débuté, elle entendait bien ne plus penser ni entendre parler de tout ce qu’elle avait vécu la veille.

Une fois prête, 30 minutes plus tard, elle sortit de ses quartiers où l’attendait, fidèle à son poste, le sergent Lawson. Ils se saluèrent de la tête, au moins lui faisait-il le plaisir de ne pas revenir sur ce qu’il avait vu la nuit dernière lorsqu’elle avait été prise d’une crise d’angoisse dans les couloirs menant aux laboratoires. Ils gagnèrent tranquillement son bureau, au passage le major prit soin de prendre un petit déjeuner au mess qu’elle mangerait une fois installée dans son antre.
En allumant son ordinateur elle constata que pendant la soirée et la nuit elle avait reçu de nombreux mails dont des résultats d’analyses de sang de Weir et de Hoffman. La conclusion du biologiste était sans appel, ils avaient bien été drogués par le biais d’un baume à base de plantes trouvées sur Frozen. Cela rappela quelques souvenirs à la jeune femme qui avait visité la planète et avait été exposé à cette fameuse plante que les Puntas utilisaient. Elle passa ensuite au plus intéressant, un mail d’Alexander qui lui faisait un rapport d’un rendez-vous assez étrange qu’il avait eu avec Woolsey la veille au soir et pendant lequel elle l’avait drogué et tenté de le soumettre à sa volonté. Les détails la rendirent perplexe, son front se plissa et ses sourcils se froncèrent.

Apparemment, le major aimait à s’adonner à des pratiques sado-maso… La suite du message l’invitait à lire un fichier MP4 d’une conversation captée entre Woolsey et le capitaine Harris. Karola le démarra et fut sidérée par les propos entendus. Bien sûr, ces deux-là faisaient bien ce qu'ils voulaient de leur vie privée. Cependant, outre le fait qu’ils avaient fraternisé alors que cela était interdit par le règlement, ils semblaient s'être l'un et l'autre emportés dans ce réseau pernicieux et s'en enorgueillissaient. Elle coupa l’enregistrement à un moment où cela commençait à devenir vraiment bizarre et gênant. La vie sexuelle de ses subordonnés ne l’intéressait nullement et cela n’aurait en rien servi l’enquête.

Avec tous ces éléments, la culpabilité de ces deux scélérats était on ne peut plus claire. Toutefois, comme elle l’avait pu l’entendre, aucun des deux n’étaient le « boss » aussi une grosse part d’ombre demeurait. Néanmoins, leur arrestation était inévitable et à ce sujet, Hoffman écrivait tenir au courant la jeune femme dans la matinée et qu’elle aurait lieu avec l’aide de Ford. Il ajoutait ensuite que les docteurs Femens et Wilde étaient en ce moment même en train de plancher sur un antidote. Enfin, son long mail s’achevait sur des informations médicales au sujet de Weir et de John. Tous les deux se trouvaient à l’infirmerie. Ces deux-là out, Harris et Woolsey sur la touche également, Karola comprit qu’elle était donc à ce moment-là le seul officier supérieur encore opérationnel. De ce fait, elle ne pouvait faire autrement que de revenir temporairement la nouvelle responsable militaire de la cité. Ce n’était pas quelque chose dont elle se réjouissait étant données les circonstances. Mais au moins, elle était sûre que dorénavant les choses allaient de nouveau marcher au pas, avec l’aide de Steele et Hoffman bien sûr.

Elle ferma le mail et décida de contacter l’infirmerie afin de prendre des nouvelles de tout le monde. Beckett se montra très rassurant d’autant plus que Mike et Victoria avaient fini par trouver un antidote au baume empoisonné, quant à John il était stabilisé. Tout cela la rassura et elle se promit d’aller rendre visite au colonel dès que possible. Aussitôt eut-elle terminé sa communication qu’elle fut contactée par Alexander qui lui demandait de le rejoindre lui et Ford à son bureau. La jeune femme ne se fit pas prier, elle sortit de son bureau et accompagnée de Lawson, fit un rapide crochet vers l’armurerie afin de s’équiper en vue de l’arrestation. En passant, Karola aurait très bien pu profiter de son nouveau statut pour démettre Lawson de ses fonctions de garde du corps, mais elle ne le fit pas, consciente que cela pourrait lui porter préjudice.

Karola et Lawson arrivèrent en vue du bureau d'Alexander. Discret, le sergent passa derrière Karola et la laissa s'occuper de ses affaires tout en veillant sur elle de loin. La jeune femme toqua à la porte et attendit l'autorisation d'entrer. Une fois cela fait, elle entra et se retrouva nez à nez avec Ford planté devant la porte. La jeune femme lui adressa un salut de la tête à lui ainsi qu'à Alexander.

- Ford, Monsieur Hoffman. J'ai cru comprendre que vous avez été quelque peu "chahuté" hier soir. Comment allez-vous ?

- Bonjour Major ! Ravi de vous savoir en vie ! Et ici aujourd'hui ! lui répondit Ford, souriant et au garde à vous.

L’anglais était debout adossé au coin de son bureau en train de discuter avec Ford, quand quelqu’un frappa. Comme prévu ce fut la major avec son fidèle garde du corps. Chacun le sien. Comme d’habitude Ford, fit du Ford, limite s’il n’aurait pas la fait la fête à la dame, tellement il serait de bonne humeur. Alexander, fit un sourire de salut aux deux militaires.

« Bonjour major et sergent » dit-il poliment comme à chaque fois. La jeune femme s’enquit de son état, le terme chahuté amusant le jeune homme, qui ne laissa cependant rien paraitre. « En effet. Je vais bien mieux merci » Oui, car bon on ne va pas dire qu’hier soir, il était en forme…enfin d’une forme assez discutable et ciblé.

Karola hocha la tête en écoutant ses paroles. Si l’anglais avait été drogué hier soir, il n’en laissait quasiment rien transparaitre devant eux. La jeune femme s’avança jusqu’à devant lui et alla droit au but. Il n’y avait pas de temps à perdre.

- Vous avez demandé à nous voir ?

Après un salut à Lawson Ford ferma la porte et revint vers le bureau en présentant une chaise au Major. "Oui mais d'abord on a des trucs à écouter !" et il s’installe dans un autre siège " Alors on l'écoute cette bande de pervers ?"

L’anglais regarda Ford qui était véritablement impatient. « Oui. Vu ce qui s’est passé hier avec votre collègue, il faudra l’arrêter. » Il sortit sa tablette, regardant Ford, comme pour lui dire de se calmer, on aurait dit un enfant à Noël « Mais, avant, nous avons reçu ce genre d’échange compromettant, des mirco placés dans sa chambres. Je vous laisse faire votre avis. Par contre, il n’y a rien de très chaste » surtout qu'a moment les deux protagoniste parlait de Karola.

// Lancement de l'enregistrement //

Karola se mit assise sur la chaise que Ford lui avait tirée. Alexander ne perdit pas de temps et démarra l'enregistrement, la jeune femme elle savait à quoi s'attendre puisqu'elle l'avait déjà entendu. Les bras croisés, elle resta calme, quant à Ford, à l'écoute des abjectes propos, il se lèva d'un bond "Putain je vais les crever ! Les charognes !". Karola tourna alors la tête vers lui afin de le recadrer.

- Gardez votre calme, Ford.


De nouveau la jeune femme entendit distinctement Woolsey prétendre vouloir la briser elle et Steele. La jeune femme pinça les lèvres et cela éveilla sa colère qu'elle tenta cependant de ravaler. Une fois l'écoute terminée, elle lança un regard à Alexander, préférant le laisser prendre l'initiative.
L’anglais, avait déjà écouté. Il mit fin au petit échange quand les bruits, ne furent que ceux de deux amants un brin bestial et sans intérêt pour la suite. Il ne dit rien, laissant le major recadrer son soldat, par contre il observa Karola. « Vous allez l‘arrêter et la conduire à l’infirmerie, pour faire son petit bilan sanguin. Elle ne sait pas qu’elle était sous écoute et va nous faire son petit numéro de victime. Légalement, il est plus préférable de ne pas la bousculer avant son interrogatoire… » Il les regarda, son visage fut suffisamment expressif, pour donner l’accord tangible aux militaires de le faire et qu’ils seront couvert.

- La CIS va arriver vers 10h00, le DR Weir étant à l’infirmerie, elle ne peut assurer ses fonctions, cela sera reprit par Mr Berckarm et Mr Woosley » Il regarda les deux militaires sérieusement « Secondés par Steele et moi-même. Mais le changement de tête va être délicat avec la CIS. Le colonel Cadwell va prendre la place de responsable militaire étant le plus haut gradé et participera à l’interrogatoire avec vous major. Pour ma part, je ne pense pas participer, en pleine lecture du résultat d’enquête. Mais, je garderais contact avec vous major, pour vous informer de certaines informations ou dans le cas inverse. » Il se leva « Aujourd’hui les loups tombent ou c’est nous »

Ford se tourna alors vers eux deux "Et le dotichou ? On le laisse tranquille ?", ce à quoi Alexander répondit « Il y a de grande chance qu’il soit dans les quartiers du major. Sinon, faudra l’arrêter en effet »

Karola approuva le plan qu'Alexander lui dressa satisfaite que la cavalerie arrive enfin en la personne de Caldwell. Quant à la CIS, il fallait s'y attendre bien sûr, mais elle espérait que les délégués ne feraient pas de zèle. Elle fut tout aussi ravie d'apprendre qu'elle participerait à l'interrogatoire de Woolsey. Ford souleva le cas Harris, Karola espéra qu'il se trouve dans les quartiers de sa "maîtresse" adorée, cela leur permettrait de faire d'une pierre deux coups.
Puis la jeune femme se leva "Bien, alors qu'attendons-nous pour aller voir le loup ?"

L’anglais hocha la tête amusée. « Tout étant clair, allons donc à la chasse » et Ford de se diriger vers la porte, déjà prêt à l'ouvrir pour ses supérieurs hiérarchiques " Après vous !" Karola passa devant lui, et tous les trois ou plutôt tous les quatre, Lawson étant toujours de la partie, descendirent vers les quartiers des officiers.

Alexander toqua à la porte et c’est une Julia en petite tenue qui lui ouvrit, visiblement tirée du lit elle fut cependant suffisament en forme pour s’adresser à l’anglais de façon aguicheuse. Karola hasarda un regard à Ford, un regard plein de consternation face à cette femme qui ne doutait visiblement de rien. Cette idée ne fit se renforcer lorsque l’anglais la laissa se rendre compte qu’il était accompagné de Ford et de Karola. Cependant, en étant bien attentif, on pouvait tout de même déceler qu’elle n’en menait pas large. Sans demander son reste, Karola passa devant Alexander, suivie de Ford et entra dans les quartiers de la jeune femme. Le major affichait son air impassible et se planta devant elle avant de faire un geste de la tête vers une pile de vêtement probablement jetés au sol la veille.

- Mettez une tenue décente.


- Vous n'êtes pas censée être relevée de vos fonctions vous ? répondit-elle mauvaise tout en enfilant son uniforme. Pendant ce temps, Karola prend soin à observer les alentours, toute sa chambre suintait le sado masochisme. Elle voyait des objets au sol dont elle préféra détourner le regard, préférant continuer à ignorer leur existence.

- J'ai bien peur que non, je suis désolée que tous vos efforts pour que cela arrive n'aient servis à rien. Elle marque une pause et lui annonce : J'ai repris mes fonctions de responsable militaire ce matin même.

Elle haussa des épaules. « Ce n'est pas plus mal, je pense que je viens de passer d'un statut de responsable à celui de victime. Je ne me sens plus d'assurer mes fonctions. » Elle termina de s'habiller distraitement.

Quelle habile comédienne se dit alors Karola qui ne croyait pas un mot de ce qu’elle disait. Elle attendit patiemment qu'elle ait fini de s'habiller et lui fit signe de se tourner. Elle attrapa les serflex et les lui enfila tout en ajoutant.

- Dans ce cas, vous ne verrez pas d'inconvénients à la destitution de votre grade de major, n'est-ce pas Julia ?

Karola insista bien sur son prénom pour lui montrer qu'à présent elle n'était plus membre de l'armée, du moins jusqu'à nouvel ordre. C'était une décision un peu extrême mais étant donné les circonstances, elle estimait que c'était mérité. Julia n'était plus digne de porter son grade. Elle eut un petit ricanement.

- Vous n'avez pas ce pouvoir. Qui plus est, vous étiez vous aussi une victime et vous n'avez pas été destitué. Alors ne racontez pas n'importe quoi. J'exige d'être examinée par un médecin.

Karola lui rendit son petit sourire ironique, quelle audace elle avait d’oser quémander des choses ! Vivement qu’elle soit confondue qu’on ne l’entende plus !

-Vous me connaissez, vous savez que je ne raconte jamais n'importe quoi, lui repondit-elle droit dans les yeux pour lui montrer qu'elle ne bluffait pas. Où se trouve Doti’chou ?

C’était vrai, en arrivant il n’y avait eu aucune trace du capitaine Harris qui était censé avoir passé la nuit avec elle. Il devait très certainement avoir quitté les lieux avant qu’ils n’arrivent, c’était dommage. Après avoir prononcé ces mots, Karola sentit la jeune femme tressaillir.
Woosley resta impassible mais c'était dur de se contenir. La salope savait.

- Doti'Chou ? C'est comme ça qu'il me forçait à l'appeler... J'ai honte.

Karola leva les yeux au ciel, c’est qu’elle y croyait vraiment à son petit manège. En tout cas, elle y mettait du cœur et de la conviction. Le major entreprit alors de faire une petite vérification avant qu’ils ne partent pour l’infirmerie. Elle la fouilla en la palpant afin de voir si elle n’avait pas une quelconque arme sur elle.

- Charmante histoire, j'ai hâte de l'entendre lors de votre interrogatoire.

- Tant mieux.
Marmonna-t-elle dans ses dents, n’ayant pas d’autre choix que de se laisser faire docilement. Karola termina sa vérification puis la poussa légèrement au niveau de l’épaule pour l’inciter à avancer vers la sortie.

- Ford, escortez là donc jusqu'à l'infirmerie. Ne soyez pas trop dur avec elle, j’ai peur qu’elle aime ça. Ironisa-t’elle en faisant référence aux pratiques de Julia pour la titiller. Ford réceptionna Julia d’un air jovial.


- On se connait elle et moi, elle sait que je suis un gars très tendre !
Il l'attrape par le bras droit et commence à la faire avancer. Karola repassa devant l’anglais qui avait laissé la scène se dérouler sans intervenir et échangea un regard avec lui. Il allait à présent pouvoir conduire la jeune femme à l’infirmerie afin qu’elle y voie un médecin comme elle l’avait demandé. Comme Ford s’occupait de Julia, Karola en profita pour marcher un peu en retrait et activer son oreillette.

//Lieutenant Ross ? Ici le major Frei.//

//Je vous reçois Major.//

//Prenez une petite équipe avec vous et trouvez-moi Harris, fouillez toute la cité s'il le faut.//

//Bien compris Major, je vais dépêcher une équipe pour les recherches. Qu'est-ce que nous devons en faire lorsque nous l'aurons trouver ?//

//Mettez-le en état d'arrestation et placer le en cellule. Soyez prudents lieutenant, c'est un homme dangereux. //

//Bien compris Major. Je vous recontacte lorsqu'on aura du nouveau. Lieutenant Ross, terminé.//

Heureusement qu’elle pouvait compter sur certains de ses hommes. Elle espérait que Ross et son équipe parviendraient à mettre la main sur le crapuleux capitaine. Il était impératif d’avoir son témoignage afin de mettre un nom sur leur fameux « boss ». En coupant la communication, elle constata que Ford et Woolsey était en pleine discussion amicale, Karola, laissa l’afro-américain agir à sa guise avec la jeune femme tout en gardant tout de même un œil sur lui pour intervenir si jamais ne il commençait à aller trop loin. Le but n’était pas non plus de s’en prendre méchamment à Julia, seulement de la bousculer un peu comme le leur avait fait comprendre Alex.

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Invité
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Mer 8 Fév - 17:35

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J'avais pas très bien dormi cette nuit, en fait pas du tout : quand Hoffman m'avait congédié pour la nuit, ça m'avait déplut, dire que je me foutais des gros du secret service ou de ces gardes du corps de VIP, je ne me doutais pas que protéger une personnalité c'était aussi devoir se battre contre elle, je comprends que la présence d'un tiers tous les jours doit être pesante mais merde ! On est là pour les protéger des malades de tout poil ! Mais je suis un soldat : obéir est une seconde nature, enzymé-mutant ou pas ! Et puis comment me fâcher avec l'un des rares à m'appeler en précédant mon nom de mon grade ? Alors je suis parti, mécontent et vexé ! Mais j'ai obéi, bon ! Au détour d'un couloir, l'idée m'a passée par la tête de me faufiler dans les conduits d'aération et puis je me suis dit que ce serait abuser de la confiance d'un type bien.

Alors j'ai continué et je suis partit faire ce que je fais chaque soir, et non, Minus ! Ce n'est pas tenté de conquérir le monde ! Je suis allé me changer et direction la salle de gym pour mon troisième ou quatrième entrainement journalier, depuis mon retour c'était ma nouvelle drogue. Je suis allé me pieuter vers 00h00, levé à 0500 et dehors pour un footing de 50km sur le continent, retour pour le petit dèj' à 630 au mess et là un message radio de Hoffman qui me demande de venir le prendre vers 8h comme disent les civils. A 700 je passes dire un petit bonjour a l'infirmerie et à mes protégés, là-bas c'est le chaos ! Coralie attaquée, ce qui me rend malade à chaque fois que je la vois ! Les grosses têtes attaquées aux labos, leurs héros, sauf moi, au repos forcé, les criminels encore en vie à surveiller. Bref, on avait pas besoin de moi !


Bref a 8h00 je suis allé chercher Hoffman dans ses quartiers et sur le chemin, jusqu'au bureau on se tape la discute :

« Bonjour lieutenant. Comment vous allez ? »

J'ignores s'il en avait conscience mais avec mon nouveau regard sur les choses je voyais bien qu'il avait une petite mine, sa sueur sentait bizarre et, malgré le dentifrice, son haleine sentait la maladie.

" Moi, vous savez je vais toujours bien, mais c'est à vous que je devrais demander ça, vous avez une sale tête, sir !", n'y voyez aucun irrespect mais bien une sincère inquiétude

L’anglais eu un fin rictus « Oui, j’ai été drogué hier soir » il toisa quelques minutes Aiden « Une sorte de drogue euphorique et qui inhibe la volonté. Par chance, cela n’a pas servi à l’agresseur puisque qu’Hanz et Erin son arrivé à temps »

Je fis la grimace : "Vous voyez que j'aurais dû rester avec vous hier tant que vous n'étiez pas rentré !" je tape contre le mur "Et vous avez choppé le coupable ou la ?"

(Plus expressif avec les gens qu'il aime bien, Alexander était moins froid avec Aiden)
« C’est vrai. Je vais finir avec un dortoir dans mes quartiers si ça continue » dit-il avec un brin d’humour pince-sans-rire typiquement anglais. « Oui, vous allez l’arrêter ce matin, avec la major Frei » il lui fit une petite œillade complice. « Depuis, le temps que vous voulez la coincé, c’est Woosley »

Air de stupeur de ma part, oui, apprendre qu'on a raison depuis le début ça fait cet effet-là ! Puis grand sourire carnassier " Je l'ai eu dans le nez dès le début celle-là ! J'aimes pas vraiment les brutes de quel genre que ce soit !" je réalises ce que vient de dire Alexander et sourit "Le Major Frei va jubiler elle aussi, elle mérite bien cette joie ! " un soudain arrêt "Et du coup pour Harris et elle j'ai bon ? Ils nous font un cinéma pas possible, hein ?"

L’anglais eut un petit rire face à la réaction du lieutenant en hochant la tête. « Oui, ils ont bien joué la comédie, nous avons reçu une communication très intéressante de leur lien, enregistré par micro. Je vous la ferai écouter dans mon bureau. Sachant, que je pense que c’est lui, qui à drogué le Dr Weir» il haussa les épaules « De toute façon, il y a de grande chance que les deux soit à ce moment actuelle encore ensemble, vu la teneur de la communication »

Plus j'en apprenait et plus je sentais monter une colère et une impatience de plus en plus irrésistible. Les mots sortaient comme me venaient mes réflexions :

" Les charognes ! J'en étais sûr ! Weir et vous ? Qui d'autres ? Une écoute cachée ? Oui, j'ai hâte de l'entendre !"

« Weir a été droguée et manipulée. Des prises de sang ont été faites hier, pour identifier la nature de la drogue. Mais le but a été très visible, pour le Docteur, qui n’est qu’un pantin à l’heure actuelle et complétement déboussolée » il tourna vers son bureau

Du coup je comprends qu'il ait une telle mine, et que sa nuit fut aussi courte que la mienne, les soucis en plus ! Je regardes un peu partout pour éviter les mauvaises surprises " Nous voilà dans l'antre du savoir, faites-moi connaitre la teneur de cet échange entre le Cap' "pain rasHarris" et Julia "Woolsey pas se retenir "!", on est entrés, l'extérieur étant sécurisé et l'intérieur aussi clean, on a commencé à attendre le Major Frei !

Elle ne se fit pas attendre, et on frappa bientôt à la porte, j'ouvris et me retrouvai face au Major. Je lui fait un super garde-à-vous avec un beau sourire, genre de ceux qui la gonfle prodigieusement, oui, c'est pas parce qu'elle à vécue l'horrible que je vais la traiter en victime, elle veut montrer qu'elle est une guerrière, donc je la traite en conséquence. Mais ça n'empêches pas d'être courtois un minimum.

Donc, salutations d'usage, banalités du style "comment allez-vous ? " "oh moi ça va on m'a juste drogué pour me violer et vous ?" "oh ben moi on m'a fait ça à l'ancienne : coups et zat !" "et à part ça ? Partante pour dégommer de la pétasse ?". Puis on écoute la bande, je me fais recadrer deux fois : une par Hoffman qui se méprend sur mon excitation (en fait c'est l'impatience de coincer la sale paire de grosses ordures ) et par Frei quand je manifeste ma colère en entendant les comploteurs se faire du bien en dégoisant sur les personnes que j'ai appris à apprécier et respecter.

Bon je vous la fait courte, on est sortis, ou du moins, je leur ai ouvert la porte et on est aller tous ensemble vers les quartiers de Miss sado-maso. Elle a ouvert en nuisette, elle portait encore sur elle les odeurs de sa nuit de débauche, écœurant ! Croyant Hoffman seul et imaginant sûrement qu'il avait des remords, elle se met à l'aguicher puis elle nous voit et là elle déchante et commence un bobard sur le fait d'avoir été droguée elle aussi ! Frei n'en a cure et entre comme je l'invite à le faire : je tiens à lui laisser le plaisir de l'attacher. Elle lui annonce qu'elle la dégrade, la fouille, l'autre pouffe se défend dis que ses droits sont bafoués etc..., puis le Major m'annonce :


"Ford, escortez là donc jusqu'à l'infirmerie.Ne soyez pas trop dur avec elle, j’ai peur qu’elle aime ça."

"On se connait elle et moi, elle sait que je suis un gars très tendre !" Je l'attrape par le bras droit et commence à la faire avancer

« Super après le frigo, l'insecte. On ne m'épargne rien à ce que je vois. », dit elle en mettant un coup d'épaule pour avancer toute seule comme une grande.

Elle rêve ! Vous avez pas idée comment un wraith peut se débattre avant que je prélève sa poche à enzyme, alors si je peux maîtriser un wraith vivant, elle n'a aucune chance d'y arriver. Donc je ne la lâche pas au contraire "Pas la peine de vous débattre madame Woolsey ! Et l'insulte ne vous mènera nulle part !"et suite à son geste pour se libérer, j'en profite pour l'envoyer cogner le mur du couloir, malencontreusement bien sûr !

Les mains dans le dos, elle ne peut pas faire autrement que de se prendre le mur. « Quel homme, je suis impressionnée. ». Elle se redressa et avança toute seule. Elle était à deux doigts de faire un peu plus de provocation mais elle devait quand même passer pour une victime, non ?

Je la reprend par le bras en serrant fort "Je ne suis pas un homme vous vous rappelez ? Mais un insecte ! Alors je n'éprouve aucune joie ni colère, je fait mon job ! N'est-ce pas Major Frei ?", pour lui faire comprendre que j'ai carte blanche pour la bousculer comme je veux dans certaines limites plausibles

« C'est ça on compense comme on peut quand on a pas ce qu'il faut où il faut. Quand je reprendrai mes fonctions vous vous en mordrez les doigts. », là je rit franchement et rebondit sur la pique de Julia " En parlant compensation, il m'avait semblé que vous aviez votre compte ! Pourquoi avoir craquée comme ça ? C'est très bête de votre part !"

Julia regarda Frei. « Il cause, il jacasse, et je comprends rien à ce qu'il raconte. » Elle soupira. « Je n'ai plus rien à dire. »

Frei haussa les épaules, continuant à avancer en regardant devant elle et se moquant bien de ce que Woolsey pouvait bien penser. "Vous avez raison, autant garder votre salive pour ce qui vous attend par la suite."

Nous continuons donc en silence et arrivons bientôt devant l'infirmerie. Pendant qu'Alexander allait parler aux médecins et infirmiers présents, Karola se rapprocha de Ford afin de lui chuchoter pour que seul lui l'entende, un œil tout de même surveillant Julia.
- Ford, vous allez rester ici pour la surveiller de près. Vous avez carte blanche pour intervenir si elle tente quoi que ce soit, dans la mesure du raisonnable bien sûr.

J'ai un petit sourire " Comptez sur moi Major ! Content de pouvoir de nouveau recevoir mes ordres de votre part ! Faites gaffe à vous ! Son copain est encore en liberté, et aux abois !"

- Ne vous inquiétez pas pour moi, Lawson veille au grain. Et avec la cavalerie qui arrive je ne suis pas sûre qu'on risque encore grand chose.

Je la salue " Vivement que ce merdier finisse ! Quittes à être surveillé, je préfères que ce soit par des gens biens !"

Karola hocha de la tête pour me signifier qu'elle était d'accord avec moi, après avoir lancé un dernier regard froid à Julia, elle nous tourna le dos et se rendit en salle d'embarquement afin d'accueillir la délégation du Dédale.

Et moi j'amenais ma prisonnière vers la salle d'examen, j'espérais bien qu'elle jouerait les cadors encore une fois, histoire que je puisse m'amuser !

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Mer 8 Fév - 19:06

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[Moment fort 14] : La fin de la comédie



La fin de soirée et nuit avait été mouvementée. À dire vrai l'anglais se doutait qu'on allait l'attaquer, mais de cette façon-là pas vraiment. Il avait été bête de congédier Ford, hors, il ne comptait pas avoir un rencard quand il avait demandé au brave militaire de retourner vaguer à ses occupations. De base, l'anglais, était dans l'optique de rentrer dans ses quartiers, retrouver Erin, discuter avec elle, manger et supporter l'envahissante présence du soldat Hirsh. Il avait eu même l'idée d'inviter Ford, puisque histoire d'avoir une grande saucisse allemande passablement agaçante autant partager la soirée avec son garde du corps. Cela aurait fait, le lot de bizarrerie et Aiden, malgré ses phrases un peu étranges n'était pas de mauvaise compagnie, surement bien meilleur que l'allemand qui fantasmai sur l'anglais.

Enfin bon, il avait fini par conclure, que vu la journée merdique du lendemain, avec l'arriver de son grand copain Berckam et du CIS, il valait mieux, se reposer et donc congédier le soldat, penser à virer Hanz et se pieuter avec Erin tranquillement. Enfin… à voir si cela aurait été tranquille, ses blessures allant bien mieux, il avait le corps, moins douloureux et certaines envies logique d'un jeune couple le tiraillait. Faut bien, faire redescendre la pression.

Vu le contexte c'est particulier comme genre de désirs, mais faut pas chercher, l'esprit humain est un merdier sans nom. Et de toute manière, l'anglais ne put rejoindre son petit programme, car la major Woolsey avait eu la charmante idée de l'alpaguer dans le fin espoir de passer une nuit avec lui. De préférence droguer. Qu'elle horrible expérience, il avait eu la brise de rester et finit en beauté avec un malaise en plus d'avoir eu l'impression d'être une bête se languissant de sexe. Cette drogue était véritablement, une arme et la pauvre Weir, qui était soumise à celle-ci depuis plusieurs jours… le retour à la réalité allait être difficile pour elle. Surtout, que son amant était passablement tordu autant que Julia. Il ne vaut mieux ne pas imaginer ce qu'il lui a fait.

En tout cas, drogué, malaise et partie de jambes en l'air, cela devait se voir sur sa petite mine. Il était un grand habitué de masquer ses sentiments et ses états, alors quand il sortit de ses quartiers pour rejoindre Ford. Il était plutôt satisfait d'avoir juste le teins un peu plus blanc que d'habitude. Mais, le même flegme et élégance qu'à l'accoutumé. Sauf, que bon, Ford et ses super sens de mutants avait dû percevoir quelques choses au vu de la petite remarque. Il faudrait qu'un jour l'anglais, lui demande l'étendue de ses « pouvoirs », car par moment-ci cela était un brin flippant. Surtout, pour un homme comme l'anglais qui contrôle le moindre de ses faits et gestes.

Enfin bon, les deux hommes arrivèrent au bureau du chef de projet. Alexander, aimait bien échanger avec Ford et sa petite annonce de l'arrestation de sa major favorite avait enthousiasmer le jeune homme, qui n'avait qu'une hâte, allé cueillir la « Juju sauvage ». Karola arriva quelques minutes après, elle avait reçu dans la nuit, son long mails, explicatifs sur les événements et la bande sons. Quelques échanges de banalités et les trois personnes arrivèrent devant la chambre de la coupable. Bien entendu, Julia fit du Julia, en draguant l'anglais. Elle ne doutait de rien et Alexander, joua un peu, avec histoire de. Et parce que c'est dans sa nature. Il laissa faire les deux militaires leurs travaux, écoutant attentivement les différents échanges.

Il était assez stupéfait de l'assurance et du culot de Julia, qui soi-disant au passage avait été déchue de son rang par Karola. Au moins, ça s'est fait niveau humiliation, il n'y a pas mieux. L'entretien allait être corsé. Julia, fut un peu malmené et le cadre ne dit absolument rien, comme promis dans son bureau. Il resta silencieux, ne parlant pas vraiment pour faire la pipelette. Il préférait ne rien dire et observer Karola qui demandait l'ordre à Ross de chercher Harris. Ce vieux chameau avait dû sentir le vent tourné et connaissant l'homme un brin violent et imbus de lui-même, il ne serait pas étonnant qu'il se trouve une planque avec un otage. L'anglais se rapprocha de la major, pour lui parler doucement.

« Il peut demander aux techniciens de les seconder via les drones ou le nouveau système de caméra » simple supposition, pour faire avancer les choses pendant que Ford discutait avec sa grande copine.
« Bonne idée, connaissant Harris, le trouver ne sera pas une chose facile »
« Oui. J’espère juste qu’il n’aura pas la bonne idée d’être accompagné » le sous-entendu était pour un otage.

//Lieutenant Ross ?//
//Major ?//
//Faites appel aux techniciens et à leurs drones ou au nouveau système de surveillance pour vous épauler. Et faites attention, Harris peut user de tous les moyens pour nous échapper. Hoffman pense notamment à la capture d’otages. //
//Bien reçu Major. Désirez-vous que nous lancions un appel dans toute la cité pour prévenir le personnel ?//
//Non, ne prévenez que le personnel nécessaire. Je ne veux surtout pas alerter Harris.//
//Compris. Je vais tout de suite prévenir les techniciens. Lieutenant Ross, terminé.//

L’anglais échangea un regard entendu avec la major. Le silence se fit et le petit groupe arriva jusqu’à l’infirmerie. Naturellement, l’anglais prit els devant, pour choper une équipe médicale et demander la prise de sang. Carson Becket se radina, observant la major Woolsey, et demander à la faire asseoir sur une table et de la démenotter. Il lui fit sa prise de sang.
« Aie ça pique ! »
« Ne fait pas votre douillette, vous en avez connu d’autre … »
« J’aurais aimez en connaitre d’autre surtout … » fit la jeune femme en toisant l’entre jambe de l’administratif d’une manière gourmande. L’anglais, soupira, se décalant pour la laisser en plan. Cette femme, avait un véritable problème.

Alexander, rejoignit Ford et la major.
« Bien, elle va rester ici, pour le reste du bilan. » Karola avait donnée l’ordre au militaire de surveiller la maitresse cuir moustache. L’anglais regardant sa montre juste avant.
« Le CIS ne va pas tarder à débarquer du Dédale » avant de relever les yeux vers la major « Vous m’accompagnez ? Histoire de savoir laquelle des peaux de loup vous siéra le mieux pour votre futur tapis major ? » cela était de l’humour bien entendu.
Karola réprima un petit rictus et suivit Alexander.
« Avec plaisir, moi qui rêve d'une fourrure depuis des années... » L’anglais lui fit un petit sourire amusé. Puis salua Ford.
« Bon courage Lieutenant, n’oubliez pas, que s’il doit manquer quelque chose, que cela ne soit pas visible au premier coup d’œil. »

Il réponse le soldat lui sourit « Voyons sir, je suis au-dessus de ça ! Je ne vole plus et je suis plus malin que ça maintenant, je carbure au sports extrêmes » un clin d'œil entendu, vu que la chasse aux Wraiths ou l'extermination de géant du moyen-âge, n'était toujours pas discipline olympique !
« Et pour Harris, je l'ai pas senti autre part que dans les quartiers d'habitations et sur celle-là ! donc il suffit de ferme l'étage et de fouiller les quartiers ! » le "celle-là" désignant Julia
L’anglais hocha la tête.
« Sauf s’il est partis plus tôt que prévu. Merci Ford » cela était un conseil à prendre en compte pour les futures équipes de recherche, il y a de grande chance que Ford soit utiliser pour cette tâche si d’ici 2heures ont ne trouve toujours pas le petit pain brioché « Doti’chou ». L’anglais et l’américaine partir donc en salle d’embarquement voire le choix proposé de peaux belles peaux de loups. L’hiver n’était pas fini alors autant bien s’équiper.



©Pando


END 08/02/2016

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