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Bureau A. Hoffman : Retour au bercaille - [Solo] Elia avec la participation d'Alex

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Mar 18 Oct - 11:30

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Chronologie : Lundi 21 octobre

Les semaines de sa formation au sein de la Falcon, sous l'égide de la fameuse Brigitte avait filées bien plus rapidement que ce qu'elle aurait pu penser. Le jour de l'embarquement sur le dédale pour le retour sur Atlantis, Elia eut l'impression qu'elle en avait débarqué la veille... et des siècles plus tôt.

Les premiers jours avaient été éprouvant. Brigitte ne semblait pas ravie de devoir former celle qui allait lui succéder auprès d'Alexander, mais l'opulente jeune femme avait une personnalité bien trop solaire et profondément bienveillante pour tenir rancœur bien longtemps à quelqu'un. Et puis, elle avait rapidement compris que la pauvre petite Elia ne savait pas vraiment encore ce qui lui arrivait ni la chance qu'elle avait. Et puis elle la trouvait trop timide, trop réservée, trop renfermé... et surtout bien trop solitaire.

Moins de quinze jours après son arrivée, Brigitte l'avait prise sous son aile, commençant une formation efficace tant au niveau professionnel qu'au niveau personnel. Pour commencer, elle trouvait qu'Elia était bien bête de ne pas profiter de sa finesse pour porter des vêtements plus seyant. Elle décida de s'occuper de son relooking.

Elia se rappellerait longtemps de l’après-midi shopping débridé dans lequel l’excentrique blonde l'avait embarqué. Brigitte c'était beaucoup amusé à lui faire essayer des styles et des vêtements plus excentriques les uns que les autres, poussant la petite souris grise jusqu'à ses dernier retranchement pour qu'elle ose enfin se rebiffer et s'affirmer un peu.

Une fois ces détails vestimentaires réglés, et intégrés, Brigitte s'attaqua justement à son problème de poids. Elle ne lui fit jamais aucune réflexion, contrairement à d'autres personnes moins délicates qui n'hésitait pas à les appeler Laurel et Hardy, mais curieusement, Elia se retrouva régulièrement à devoir goûter les plats que son opulente amie commandait lors de leur pause méridienne, sous prétexte qu'Elia était seule et sans relations dans cette ville, Brigitte en profita régulièrement pour l'inviter à dîner. Et curieusement, à chaque fois, elle avait préparé des plats riches et calorique qu'Elia n'osait pas refuser de peur d'offenser sa nouvelle amie.

La tactique de Brigitte fut efficace. Assez rapidement Elia appris à associer nourriture et bonne compagnie. Elle réapprit le goût des aliments, et le plaisir qu'on pouvait trouver à manger quand c'était en bonne compagnie.

En fait, les deux jeunes femmes, aussi différente que le jour et la nuit avait découvert qu'elle s'entendait très bien et qu'elles avaient bien plus de point communs que ce qu'elles pensaient. Brigitte non plus n'avait pas eu une vie facile, et elle portait une reconnaissance sans borne à Alexander. Elia avait sourit en écoutant son ami lui parler de son futur patron, et avait faillit mourir de rire quand Brigitte lui expliqua qu'un jour, elle avait perdu son sens commun et lui avait littéralement sauté dessus.

Elia ne se moquait pas de la jeune femme, mais cette dernière lui avait raconté cette anecdote de telle façon qu'il n'était pas possible de ne pas rire, même si en filigrane la jeune ex-femme de ménage entendait à quel point Brigitte était toujours très éprise de Mr Hoffman. Elle en avait été émue. Elle eut la tentation de conseiller à sa nouvelle amie de profiter de la chance qu'il lui avait offerte pour aller de l'avant, tant professionnellement que personnellement, mais elle savait que le cœur peut être tenace et qu'il ne servait à rien de le brusquer.

De toute façon, elle savait que Brigitte avait beaucoup de ressource, et qu'elle finirait par se remettre et par rencontrer quelqu'un de bien. Il lui fallait juste du temps, parce que même si elle n'en était pas consciente, elle faisait déjà battre quelques cœurs au sein de la Falcon.

Le jour de son départ avait été éprouvant pour Elia. Elle avait réalisé que c'était la première fois qu'elle avait une vrai amie. Une copine avec qui elle pouvait parler de tout et de rien, avec qui elle avait vécu des grand moment de fou rire... quelqu'un qui lui avait appris à rire, à s'amuser, à s'assumer et à s'affirmer. Elle s'était rendu compte que Mr Hoffman lui avait offert bien plus qu'une possibilité d'évolution de carrière. Il n'était probablement pas conscient du merveilleux cadeau qu'il avait offert à Elia, et que l'avoir confiée à Brigitte pourrait également faire beaucoup pour sa vie personnelle, et probablement encore moins que les deux jeunes femmes allaient rester en contact malgré l'éloignement.

Les trois semaines de trajet à bord du Dédale parure à la fois interminable et très cours à Elia. Elle était impatiente de prendre ses nouvelles fonctions, et tout à la fois inquiète à l'idée de ne pas être capable d'assumer, même si quand elle s'était ouvert de ses doutes à Brigitte quelque jours avant la fin de sa formation, cette dernière avait faillit s'étouffer de rire en lui disant qu'elle ne devait pas s'inquiéter.

Brigitte avait prit soin de lui expliquer ce que Mr Hoffman attendrait d'elle, la rassurant en lui disant qu'elle avait toutes les dispositions pour lui donner satisfaction. Sachant ce que la blondinette éprouvait pour cet homme, Elia avait été touchée.

Quelques heures avant son retour sur Atlantis, Elia avait sentit le stress l'envahir. Elle avait vérifié trois ou quatre fois qu'elle avait les documents que le directeur des Ressources Humaines de la Falcon lui avait remis, mais surtout, elle avait vérifié encore plus souvent qu'elle n'avait pas perdu la lettre personnelle que Brigitte lui avait demandé de remettre à Alexander.

Elle avait occupé les dernières heures à se préparer. Auprès de Brigitte, elle avait pris goût à se pomponner, par pour les autres, mais pour elle. Lorsqu'elle débarqua enfin du dédale, elle n'avait plus grand chose à voir avec la petite fille timide et discrète qu'elle avait été la première fois qu'elle avait foulé le sol d'Atlantis.

Cette fois, elle portait un tailleur, bien loin des vêtements trop grand qu'elle portait avant son départ, qui mettait en valeur des formes féminines qu'elle ne se serait jamais soupçonnées et la finesse de sa taille. Des chaussures à talons carré allongeaient sa silhouette. Alors qu'elle débarquait avec les autres passagers du Dédales, certains, nouveaux arrivants, un peu perdues, d'autres de retour d'une permission ou d'une mission sachant exactement où ils allaient, elle soupira de plaisir. Curieusement, elle avait l'impression de rentrer chez elle. Elle sourit en pensant que Mr Hoffman aurait probablement dit que la pirole rentrait au nid.

Comme dit l'adage, quand on parle du loup (ou dans ce cas précis, qu'on y pense,) on en voit la queue. Elle haussa un sourcil surprit en reconnaissant sa haute silhouette élégante dans la salle d'embarquement. Elle se dirigea vers lui, s'efforçant de ne pas trébucher, même si elle était bien plus à l'aise avec des talons qu'au début, elle n'était pas encore totalement stable quand elle était perturbée. Et elle l'était assurément un peu.

« Bonsoir Monsieur » dit-elle d'une voix douce mais assurée avant de lui tendre les documents que lui avait remis le directeur des Ressources humaines. « Je sais que vous en avez déjà reçu une copie, mais je pense que vous préférerez les originaux » ajouta-t-elle avec un sourire.

Alexander était venu l’accueillir à sa sortie du dédale. Quand il la vit arriver, il ne cacha pas sa surprise, puisque celle-ci était bonne. Qu’avait donc fait Brigitte avec la jeune et frêle Elia ? Il avait l’impression qu’elle avait bien changée en si peu de temps.

« Bonsoir … en effet »


Il prit les documents, restant quelque instant un peu stupéfait des changements très positifs sur la jeune femme. Son regard bleu acier l’observa de la tête au pied d'un œil appréciateur.

« Excuser moi, mademoiselle, j’ai perdu mon assistante, vous ne l’aurez pas vue ? ». dit-il d’un ton taquin, malgré son flegme évidant.

La jeune femme se sentit légèrement rosir de plaisir. Visiblement, ses efforts étaient payant, et même si Mr Hoffman n'était pas forcément très expressif, elle le connaissait déjà suffisament pour avoir décelé la lueur appréciative dans les yeux du jeune homme. Elle masqua son trouble derrière une note d'humour.

-"heu ... eh bien le stage chez Brigitte ça change une petite fille en femme !"


« Je vois ça, il faudrait qu’elle envisage de se réorienter cette brave Brigitte »

Il ne mentionna pas, qu’elle avait fait un miracle car le cas d’Elia n’était pas désespéré. Mais il faut avouer, qu’elle avait pris de l’assurance, autant niveau vestimentaire parlant que dans sa courbe de poids. C’est une bonne chose, pour sa santé et malgré que cela ne le regardait pas, il était content pour elle.

Elia lui sourit.

« Je vais prendre ça pour un compliment. » dit-elle d'un ton taquin.

« Oui, vous êtes très bien ainsi »
il n’était pas encore suffisamment familier avec elle, pour lui faire de plus « beaux » compliments.

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Mar 18 Oct - 11:41

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Chronologie : lundi 27 octobre


Mr Hoffman lui avait laissé une semaine pour régler les détails de son changement d'affectation et reprendre ses marques dans la citée. Il lui avait donné rendez-vous le lundi suivant, à 8h30 précise, pour prendre ses nouvelles fonctions.

Même si elle se savait prête, et que de toute façon, elle n'avait plus vraiment de possibilité de faire demi-tour, Elia eut un peu de mal à trouver le sommeil cette nuit-là, mais à l'heure dite, elle frappait à la porte du bureau d'Alexander, revêtu de son plus beau plumage. Elle avait choisi un élégant tailleur d'un vert qu'elle espérait suffisament sombre pour ne pas heurter la vision délicate du jeune homme.

Lundi 27 octobre, Alexander avait gagné son bureau, habillé d’un costume trois pièce gris sombre avec une chemise bordeaux en dessous. Trente minutes plus tard, Elia frappa à son bureau. Il se leva pour lui ouvrir, Harry très curieux se faufila pour accueillir la nouvelle venue.

« Bonjour Elia, comment allez-vous ? »


Elia sourit à Mr Hoffman, gratifia Harry que quelques caresses en répondant :

« Bien, je vous remercie, même si je dois reconnaître que je suis un peu nerveuse. »


Il lui sourit, l’invitant à pénétrer dans l’office, en fermant la porte derrière elle.

« Pourquoi donc ? Vous avez peur que je vous noie sous le travail ? » répondit-il calmement.

Elle entra en le remerciant tandis qu'il refermait la porte derrière elle.

« Oui, il paraît que vous êtes un bourreau pour vos assistantes ! »
le taquina-t-elle. « Non. C'est juste que c'est un sacré changement pour moi. Il me faudra un peu de temps pour trouver mes marques et me prouver que j'en suis capable. »

Il eut un fin sourire amusée, il était moins « radin » niveau expression maintenant qu’il allait la côtoyer plus régulièrement. Et faut dire qu’elle avait de l’humour.

« Faite gaffe j’ai aussi des placards pour les assistantes »


Elle rit a ce rappel d'une de leur première conversation. « Et combien avez vous de placards déjà pleins pour les assistantes ? »

Il ne lui répondit pas tout de suite, lui offrant un regard mystérieux « Il ne vaut mieux pas savoir » répondit-il sur le même ton.

Il hocha la tête, il ne doutait pas qu’elle allait réussir. Il marcha jusqu’à une porte vitrée avec un motif géométrique en opaque. Celle-ci était juste avant le bureau du chef de projet. Il l’ouvrit faisant signe à Elia de passer.

« Mais avant de vous montrer ce placard, venez voir votre bureau »

Il se dirigea vers une porte en verre dépolie, Elia n'était pas sûre mais il lui semblait bien qu'elle n'était pas là avant son départ. Il l'ouvrit et la précéda en lui disant de venir voir son bureau.

Lorsqu'elle pénétra dans la pièce, Elia resta sans voix. La pièce était claire, agréable, sur le bureau, une magnifique orchidée offrait une touche de verdure. Pour ce qu'elle savait du boulot qui l'attendait, il semblait également très fonctionnel. Une tache de couleur sur le mur attira son regard, et elle vit un tableau qu'elle ne connaisait pas. Il était clair que c'était une des œuvres du jeune homme. L'avait-il fait exprès pour elle ? Au vu du choix des couleurs, elle était tentée de le penser et en fut extrêmement touchée. Dans un réflexe quelque peu enfantin, elle se tourna vers lui et lui sauta au cou

« Merci !!! C'est magnifique ! »

Elle réalisa ce qu'elle venait de faire et se rejeta en arrière avec un petit sourire contrit. Elle savait qu'il était réticent aux contacts physiques :

« Je vous pris d'excuser cette démonstration d'exubérance. »

Quand elle pénétra dans son nouveau bureau, il l’observa. Elle était complétement bouche-bée. Cela l’amusa de voir les yeux enfantins de la jeune femme, imaginant sans peine qu’elle devait découvrir pour la première fois, un endroit « a elle » et rien qu’à elle. Quand son regard se posa sur le tableau vert, qu’elle lui avait demandé, elle se retourna vers lui, tel un enfant hystérique, le prenant de court en se jetant à son cou. Il fut stupéfait et eu un petit mouvement de recul face à ce geste surprenant. Elle n’était pas bien lourde, oulà, non, il était certain de pouvoir la porter pendant des heures avant de ressentir une gêne musculaire.

« Euh … bien de rien » dit-il un peu décontenancé. Il n’était pas très contact, fuyant plutôt ceux-ci (sauf exception). Mais bon, il ne la rejeta pas non plus.

Elle prit conscience de son geste et s’excusa en retomba sur ses petits pieds. Il la regarda légèrement amusé (en réalité il l’était, il était facile pour lui de trouver du divertissement dans les gestes d’autrui, même à ses dépens).

« Oh, nous sommes plus à ça prés » dit-il en rappel du jour où elle avait signé son contrat. D’ailleurs, ce fut une journée absolument merdique pour l’anglais. « Ravi qu’il vous plaise autant »

Elia sourit à l'évocation de cette journée si particulière et du petit plus qu'elle avait obtenu de son employeur pour fêter la signature de son contrat. Son sourire s'adoucit

« Je suis très touchée. Et ce bureau est... » elle était tellement émue qu'elle ne trouvait même plus ses mots. Elle se contenta d'ajouter simplement « Je sens que je vais m'y sentir très bien. Merci beaucoup. ».

Si elle savait la journée qu’il avait passée, sans aucun doute qu’elle se serait bien marrée. Mais bon, peut-être qu’un jour il lui racontant, en croisant Hanz dans les couloirs pourquoi il longe les murs.
Il lui sourit « Mais de rien, vous allez passer maintenant le plus clair de votre temps dans ce bureau, autant que vous y soyez bien »

Il s’avança un peu dans l’office, suivit d’un Harry, qui galopa jusqu’à l’immense coussin en pile de polystyrène pour se vautré dedans comme une patate. L’anglais, eu un rictus en voyant son animal aussi foufou.il se tourna vers Elia, toujours en pleine admiration de son lieu de travail.

« Mercredi, vous viendrez avec moi en réunion, histoire qu’on commence à vous connaître et aussi pour vous habitué à ce type d’échange, je compte bien faire en sorte que vous soyez avec moi à chaque réunion. » cela n’était pas anodin, et une preuve de confiance « Ça risque d’être peu agréable, l’un des invités est un homme détestable ».

Il fit une pause, regardant autour de lui, avant de reporter son attention vers Elia. « Il faudra aussi que je vous présente une collègue et amie de travail, qui sera très régulièrement aux réunions et dans mon bureau » il eut un sourire un peu plus expressif en repensant à l’une des premières phrases que lui avait sortie Elia quand ils s’étaient rencontré, (J'ai pas pu me retenir de caresser Erin. Et elle est tellement familière, que j'ai commencé à jouer avec elle, et je n'ai plus vu le temps passer) il essayait de ne pas rire et d’être sérieux. « Vous me direz si elle est aussi familière qu’Harry. » Il détourna la tête, pouffant un peu, cette phrase le faisait toujours autant rire. « Elle se nomme Erin Steele, consultante au CIS. Et elle a grande hâte de vous rencontrer » Oui cela était vrais et surtout pour comploter contre lui.

Elle écouta attentivement Alexander quand il lui expliqua ce qu'il attendrait d'elle pendant les jours suivants , tout en regardant Harry se fautrer sur un coussin installé dans un coin du bureau. Elle ramena son regard sur le jeune homme en levant un sourcil dubitatif quand il lui parla de la réunion qui risquait d'être un peu éprouvant à cause d'un homme détestable.

« Je devrais survivre. » elle haussa les épaules « J'ai déjà eut l'occasion de fréquenter des gens détestables. ».

Il hocha la tête, quand elle mentionna qu’elle avait déjà côtoyé des personnes détestables. De toute manière, il n’allait pas laisser Berkam s’en prendre à son assistante.

« De toute façon, il est rare qu’une réunion soit plaisante avec cet homme, surtout quand on est une femme. Pour cela, que s’il un jour vous recevez un mail, où un appel de sa part, je vous demanderais de soi : ne pas répondre et de me transférer le tout, soit de le remettre à sa place de n’importe qu’elle façon, en mettant en copie. Je prendrais la responsabilité d’un accident diplomatique » répliqua-t-il d’un air sérieux.

Il préféra la mettre au courant de certain agissement de cet homme, qui n’avait pas vraiment de limite niveau mépris. Il lui laissait le choix, de se défendre par elle-même, car il ne lui porterait nullement ombrage, qu’elle agresse un connard pareil.

La jeune femme se demanda quand même où elle avait mis les pieds quand Alexander la mis en garde contre un appel ou un mail du « détestable individu », mais elle apprécia qu'il prenne la précaution de lui dire qu'elle avait le droit de se faire respecter, quitte à déclencher un incident, qu'il prendrait sa défense.

« Je vous remercie, je ne manquerais pas de vous signaler tout comportement déplacé de la part de cette personne. »

« De cette personne, ou de toute autres personnes »

Cela n’arrivait pas qu’aux autres, d’avoir des problèmes ou des sujets d’harcèlements. Et ce n’est pas parce qu’on ait dans une autre galaxie, que les humains changent. Il était alors, nécessaire qu’elle sache qu’il était certes son patron, mais pouvait la soutenir et l’aider en cas de difficultés. De toute manière que cela soit sur terre où ici, cela n’aurait pas changer son discours. Il avait presque toujours eu des femmes dans son service et il était malheureusement, rôder sur certains sujets épineux. Surtout quand, la jeune femme est jeune et jolie.

La discussion, alla sur Erin, il se mordit l’intérieur de la bouche, pour ne pas rire, quand elle mentionna le pelage d’Erin. Mais son regard était rieur.

Le sourire moqueur qui anima le visage d'Alexander quand il lui parla de la collègue qu'il souhaitait lui présenter, une collègue qui était impatiente de rencontrer la nouvelle assistante d'Alexander, éveilla la curiosité d'Elia. Elle éclata de rire quand il lui dit qu'il espérait qu'elle lui dirait si elle la trouvait aussi familière qu'Harry. Elle se rappela sa confusion lors de leur première rencontre.

Elia surveillait du coin de l'oeil la réaction du jeune homme à sa petite note d'humour, il se contenta de l'encourager à lui faire toutes les remarques qu'elle voudrait, mais elle vit bien qu'il faisait de gros efforts pour ne pas rire et ses yeux luisait d'amusement.

« Je m'abstiendrais de tout commentaire sur la douceur de son pelage. »

« Oh, mais ne vous gênez surtout pas, pour lui faire des remarques… »


- « J'attendrais de lui avoir été présentée avant de me permettre ce genre de privauté. »
déclara sérieusement la pirole.

Il essaya de se reprendre un peu de tenue. Elle ne savait pas où, elle mettait les pieds en rencontrant Erin. Et il redoutait un peu cette rencontre entre les deux femmes. Vue leur caractère il était presque certain, qu’elles s’entendraient bien… et Erin, ne manquerait pas d’utiliser Elia pour des paris et le pire c’est que l’assistante ne serait pas contre,

« Bien entendu »

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