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UN GOÛT DE PARADIS

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Invité
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Dim 24 Juil - 19:07

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Un goût de Paradis en douce compagnie
feat. Nathalie Dumond



• Celle du plaisir, répond-dit je simplement d’une voix lourde de sous-entendus face à sa question.

Je ne comptais pas m'arrêter en si bon chemin. La tension qui se propageait dans mon corps commençait à être insoutenable, l'envie de la prendre devenant de plus en plus fort à chaque de ses gémissements. Pourtant, je m'accrochais à ce but précis, essayant de contrôler l'envie malgré ses caresses impudentes sur mon entre jambes.

Quand je sentie, qu'elle ne tarderait point à monter dans le paroxysme de son plaisir, je la laissai partir, sachant pertinemment que l'orgasme féminin étant plus, long j'aurais le temps de remonter jusqu'à elle, pour soulever son bassin et la pénétrer augmentant son stade d'excitation. Cela se fit et après des cris mués par l'étouffement le silence se fut dans la tante.

Une douce sensation de bien-être noua mon corps, tout me semblait doux et accueillant. Je me laissai tomber sur le côté de ma compagne, sur le dos, soufflant de bien-être. À cet instant, je ne sentais plus rien, tout était inhibé par cette onde de plaisir. Seule la respiration encore haletante de Nathalie, était encore perceptible par mon être. Je fini par me tourner, pour me caler contre elle, ronronnant de plaisir. Mes bras trouvèrent son corps, le ramenant au plus près du miens.

Je restai là, lover contre elle, quelques minutes d'extase, ne remarquant pas la chaleur douce de la casserole sur ma cuisse. C'est quand le nuage cotonneux redescendit que le contact avec le métal me dérangea. Surprit, je quittai la chaleur enivrante de ma compagne, pour voir quel objet imprudent me chauffait les jambes. En voyant la casserole, je soupirai, levant les yeux au ciel, je l'avais complètement oubliée celle-là, pour sortir de la tante et y mettre un peu d'eau dedans.

C'est à ce moment-là, que je me rendis compte que je sentais fort, dû au plaisir du coquelicot. Cela ne me dérangea pas particulièrement, mais je savais que certaines femmes, ne supportait pas cette alléchant breuvage. Je me rinçai donc le visage et les mains, près du lac. L'eau était d'une fraîcheur impressionnante et je ne tardai pas à retrouver mon petit radiateur… enfin mon congélateur favori.
Je ne mis pas beaucoup de temps à m'endormir, a vrais dire, je me souviens, juste de l'avoir embrassé avec une passion sûrement inégalé à ce jour, limite en l'étouffant dans les draps, avant de m'écrouler dans ceux-ci et partir rendre visite à Morphée.

C'est les rayons, du soleil, chauffant la toile de tissu, qui m'éveilla le lendemain. Ne désirant pas me mettre sur mes pieds tout de suite, je profitai de quelques instants affectueux avec Nathalie, réclamant des câlins et autres caresses douces. Elle était à demi endormie et je poussai le vice jusqu'à m'endormir moi aussi une heure.

Mais, n'étant pas matinal, mon corps me rappela à l'ordre, me disant qu'il était 9h et qu'il était bien temps de se lever et de faire actionner les muscles. Je m'étirai et embrassa le corps nu et soyeux de ma belle chérie, avant de quitter la tante, me fichant de savoir si j'étais en tenu d'Adam. En quittant notre nid, je fus surprit de me retrouver nez à nez avec notre copain le renard, qui détala à toute vitesse.
Il faisait encore bien chaud … trop même et je piquai une tête dans l'eau gelée, grelottant un tant soit peu, puis, je m'essuyai et m'habillai. Préparent un petit déjeuné à base de fruit et de café pour nous deux. Quand Nathalie pointa son petit museau blanc, je commençai directement à lui parler.

• Le renard était au pied de la tante ce matin
Elle rit de cette entrée ne matière un peu surprenante.,
• Et bien, il semblerait que tu te sois fait un nouvel ami au pelage roux. Me taquinai-t-elle en jouant avec mes cheveux.

Un sourire amusé teinta mes lèvres, qui trouvèrent leur place sur celle de ma rouquine.

• Aurais-tu un attrait particulier pour les pelages de feu ?
• J’aime bien ce type de pelage lui dit-il d’un ton lourd de désir.

Elle rougissait, j'aime bien la voir parer de ces belles couleurs, cela la rendait encore plus attendrissante et belle à mes yeux. Mon regard suivis ses mouvements gracieux jusqu'à l'eau, la reluquant sans aucune gêne.

• Tu aimes le spectacle ? Me lança-t-elle d’un ton moqueur
• Assez oui !
• Alors qu'est-ce que tu attends pour me rejoindre ? Répondit-elle en riant et en ayant la coquinerie de m’envoyer une éclaboussure

Je la regardai, retirant mes vêtements, pour la rejoindre dans les ondes fraîches. En la serrant contre mon corps, je la fis tomber à l'eau, lui croquant le cou. Une nouvelle fois, cela partis en petit jeu de gamin. Très vite mes lèvres trouvèrent les siennes et je sortis, attrapant nos serviettes pour nous essuyer et commencer le repas.

Le repas fait et une fois préparé, je lui indiquai qu'on devait rentrer. Le campement plié et ranger, en s'engouffrant sur un autre chemin, pour gagner la forêt et découvrir l'autre partie de celle-ci. De temps à autre, le pelage couleur feu du renard fit son apparition. On devait être sur son territoire et l'animal était bien curieux. Quand le sable remplaça la terre, cela faisait déjà une heure que notre ami, nous avait laisser. J'étais intrigué par ce comportement. Après tout, l'animal, n'avait rien à craindre des hommes et n'en avait sûrement jamais vraiment vus.
On passa l'heure du repas de midi au bungalow. La suite de la journée, entre deux câlins exquis, fut le rangement et le chargement du jumper. Il faut avouer, que cela me déplaisait de me dire qu'on devait rentrés sur Atlantis. Je serais bien resté encore un jour ou deux, à profiter de ce paysage et de son corps sans aucun besoin de se cacher. Je soupirai, lui faisant part de ma non-envie.

• Bon, on va partir dans quelques minutes. Lui dit-je d’un ton lasse.

Je la rejoignis sur la terrasse pour la câliner et profiter de son corps en toute impunité. Dans la tête je fis la rétrospective de ses 3 jours… me confirmant avec une certaine chaleur au creux de mes reins, que Nathalie était une belle rencontre qui me donnait envie de continuer sur ce chemin. Et ironiquement, je me sentais incroyablement accrocher à cette belle rouquine… peut-être même un peu trop… je l’embrassa

• J’ai passé de belles vacances, merci jolie coquelicot

Un nouveau baiser et je la serrai contre moi, profitant des dernières minutes avant qu’on saute dans le jumper direction Atlantis. Bien sûr l’envie de lui dire un autre mot, manquai de franchir mes lèvres, mais je ne tiens rien, mes expressions parlait clairement pour moi.

• Par contre ce soir, je garde ma petite renarde avec moi, lui dit-je d’un ton amusé.

Quand c e fut l’heure, je soupirai et c’est avec regret que je fermai la petite maison et que je décollai avec Nathalie vers la cité. À notre arrivé, je déchargeai les affaires du jumper, la laissant rejoindre ses quartiers, la rejoignant 1h30 après dans les siens, pour continuer encore un peu nos vacances dans un lieu intime et dormir à ses côtés.

Fin Pour John

FICHE ET CODES PAR ILMARË

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Invité
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Lun 25 Juil - 11:42

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Nathalie frémit quand John lui répondit d'une voix lourde qu'il dessinait sur sa peau l'adresse du plaisir.

- « Hmmm, je ne pense pas que tu ais besoin d'une carte pour ça. »
murmura-t-elle

Ses lèvres sur son intimité la firent crier de surprise et de plaisir, et aussi d'une légère gêne. Mais, cette dernière se dilua bien vite à la chaleur du plaisir que cette caresse exotique faisait naître en elle. Elle sentait que John aussi prenait du plaisir à cette situation, elle le sentait palpiter et se tendre sous son pied.

Rapidement, elle perdit le contrôle de son corps, ondulant et gémissant sous les assauts de son compagnon. Elle se tendait, haletait, ses mains se crispèrent sur les coussins qui recouvraient le matelas pneumatique. Ses gémissement se muèrent en petit cri d'extase.

John ne lui laissait aucun répit. Il était clair qu'il était décidé à la conduire jusqu'au plaisir avec ses caresses, et il était clair qu'il allait était doué et qu'il n'aurait aucun problème à atteindre son but. D'ailleurs, elle se sentit basculer dans un dernier cri, cherchant à se libérer de l'emprise de John pour reprendre son souffle.

Il ne lui laissa pas le temps de redescendre avant de la recouvrir de son corps, glissant ses mains sous son bassin pour le surélever avant de glisser en elle, et de lui offrir une nouvelle extase, partagée cette fois. John se laissa glisser sur le côté, l'enlaçant et se calant contre elle en ronronnant de plaisir. Nathalie était bien, elle se sentait en sécurité dans ses bras, et elle adorait ce petit bruit qu'il faisait après l'avoir aimée, ce doux ronronnement qui l'apaisait. Elle ferma les yeux en se blottissant contre lui, enfouissant son nez dans le cou de John, savourant l'odeur apaisante de sa peau.

Elle grogna un peu de frustrations quand il se leva et quitta la chambre pour se débarrasser de la casserole qui faisait barrage entre leurs corps. Quand il revint, sa peau était fraîche et encore humide. Elle se rendit compte que ça n'aurait pas été du luxe qu'elle aille se rafraîchir elle aussi, mais elle était bien, encore dans les brumes du plaisir. Lorsque John se lova à nouveau contre elle, elle l'enlaça pour répondre au baiser passionné qu'il lui offrit. Elle le regarda s'endormir avec un sourire attendrit. Nathalie glissa ses doigts dans la chevelure ébouriffée de son amant endormi.

Nathalie soupira un peu, c'était leur dernière nuit ici. Demain, il leur faudrait retrouver la « civilisation », et la nécessité de rester discrets sur leur relation, de se voir en cachette, de faire comme s'ils ne se connaissaient pas quand ils se croisaient. Elle soupira. Elle avait prit goût à la liberté, elle avait adoré pouvoir être elle-même avec lui, se blottir contre lui, lui prendre la main ou l'embrasser quand elle en avait envie, sans se demander s'il y avait une caméra dans les parages ou si quelqu'un risquait de les surprendre. Elle se dit qu'il allait lui falloir être très vigilante pour ne pas faire d'impairs,

Le réveil fut tendre. Le jour éclairait l'intérieur de la tente d'une lumière tamisée et chaude. Nathalie, encore endormie se tourna vers John, lui réclamant des câlins et des baisers, qu'il se fit un plaisir de lui offrir. Après quelques câlins et baisers, ils finirent par se rendormir, enlacés.

Au bout d'un moment elle le sentit bouger contre elle, s'étirer. Elle se retourna de l'autre coté en marmonnant.

Elle ne fut bien obligée de quitter les bras de Morphée. Le soleil tapant sur la toile commençait à transformer la tente en hammam, et même si elle aimait la chaleur, elle commençait à avoir du mal à supporter. Elle hésita, devait-elle se couvrir ? Non. Finalement, elle décida qu'elle n'avait pas besoin de dissimuler à John le corps qu'il avait serré, possédé et admiré pendant ces trois jours.

Dés qu'elle pointa le nez hors de la tente, John lui apprit que le petit curieux au pelage roux l'avait accueillit. Elle s'approcha de lui et l'embrassa doucement, glissant ses doigts dans ses cheveux en le taquinant sur son nouvel ami au pelage de feu.

-Et bien, il semblerait que tu te sois fait un nouvel ami au pelage roux.

- « Aurais-tu un attrait particulier pour les pelages de feu ? »
lui demanda-t-elle avec une lueur taquine au fond des yeux.

Le ton avec lequel il lui confirma qu'il aimait ce type de pelage était lourd désir, et la fit rougir et frissonner de plaisir.

Elle décida d'aller se rafraîchir, et se dirigea vers la pièce d'eau, sous le regard appréciateur de son amant.

- « Tu aimes le spectacle ? » lui demanda-t-elle d'un air moqueur.

Il lui confirma que c'était assez à son goût.

« Alors, qu'est-ce que tu attends pour me rejoindre » lui demanda-t-elle en riant avant de lui envoyer une éclaboussure.

Il ne se fit pas prier, il la regarda tout en retirant ses vêtements avant de venir la rejoindre. Il la serra contre lui, la bouscula pour la faire tomber dans l'eau, lui mordillant le cou. Elle se vengea en lui faisant un croche patte, pour le faire tomber à son tour. Évidement, ce genre de jeu dans l'eau entre deux amants ne mit pas très longtemps à dégénérer. Leurs lèvres se trouvèrent, leurs corps s'enlacèrent, Nathalie profita de l'eau pour l’enlacer, glissant ses long bras blanc autour de ses épaules et enroulant ses jambes autour de sa taille et se blottissant contre sa poitrine.

Après quelques minutes de câlins, ils sortirent de l'eau et déjeunèrent tranquillement. Finalement, John lui fit l'annonce qu'elle redoutait depuis quelques minutes. Il était temps de rentrer. Les vacances touchaient à leur fin. Elle ressentit un petit pincement au cœur, et l'aida à plier le camps en y mettant quand même une certaine mauvaise volonté. Elle aurait bien profité encore un peu de ce petit paradis.

Pendant tout le trajet de retour, le petit canidé roux les accompagna, jusqu'à ce qu'ils rejoignent la plage.

Ils regagnèrent le bungalow, profitèrent encore un peu de leur dernière journée entre rangement et câlins. Il soupira, visiblement, il n'était pas plus enthousiaste qu'elle à l'idée de rentrer. Mais ils n'avaient pas le choix.

Avant de regagner le jumper pour le voyage de retour, elle fit un dernier tour sur la terrasse. John vint la rejoindre, la prenant dans ses bras, son regard se perdit un instant dans le lointain, la serrant un peu plus fort contre son torse avant de l'embrasser. Il lui dit qu'il avait passé de belles vacances, la remerciant en utilisant le joli surnom qu'il lui avait choisit, la lueur tendre et presque amoureuse qu'elle vit dans ses yeux fit battre son cœur un peu plus fort. Le regard qu'elle lui rendit n'avait rien à envier au sien. Elle lui rendit son baiser en lui caressant la nuque.

- « Moi aussi j'ai passé de merveilleuses vacances. » répondit-elle

Elle rit quand il ajouta qu'il avait bien l'intention de garder près de lui sa petite renarde pour la soirée, même une fois rentré.

- « J'en serai ravie »
susurra-t-elle.

Avec regrets ils fermèrent la petite cabane et rentrèrent sur la cité. Nathalie profita du trajet pour se changer et renfiler son uniforme avec regrets. Une fois arrivée, elle quitta John, lui laissant décharger les affaires, pour rejoindre ses quartier. Lorsqu'il vint la rejoindre dans sa chambre, elle achevait de défaire sa valise, remisant a regrets le maillot de bain, la robe dos nu et la nuisette dans son placard.

Dés qu'il entra dans sa chambre, elle lui sauta au cou, comme une adolescente, comme si elle ne l'avais pas vu depuis des lustres. Elle était contente de cette petite rallonge de vacances, et de savoir qu'elle pourrait s'endormir contre lui avant de reprendre le cours de sa vie.

Fin pour Nath 25/07/16

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