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Dossier de Candidature de Samari Rolle

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Sam 20 Fév - 12:13

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DOSSIER DE CANDIDATURE DE Samari Rolle
ATLANTIS


Dossier de Candidature de Samari Rolle Samari10

Carte d’Identité

» Nom : Rolle
» Prénom : Samari
» Âge : 44 ans
» Date et Lieu de Naissance : 5 Janvier 1971 à Fort-de-France, Antilles françaises
» Nationalité : Américain / Français
» État Civil : Célibataire
» Arrivée sur Atlantis : Mars 2014
» Poste occupé : Militaire
» Spécialité : Tireur de précision


Informations Médicales

» Groupe Sanguin : 0-
» Gène des Anciens : (à remplir par l'administration après le lancé du dé) ...
» Inoculation du gêne des Anciens ? : (à remplir par l'administration après un mois de jeu et une demande d'inoculation) ...
» Pathologie : Aucune
» Antécédents médicaux : Aucun et en très bonne santé


Personnalité & Objet choisi

» Caractère : Avant toute chose, ce qui fait d'ailleurs office d'introduction pour ce qui va suivre, il faut savoir que Samari aime particulièrement son travail et ce, depuis son entrée à l'académie militaire de West Point. Âgé uniquement de 17 ans à ce moment là et donc le minimum requis afin de sortir Sous Lieutenant trois ans plus tard, il était déjà forgé à ce milieu. Né de l'union de deux parents servant dans l'U.S Army, le jeune enfant de l'époque fut élevé avec une discipline de fer qui ne laissait que peu de place à l’erreur et aucune à l'échec. Quand on lit ce genre de chose, on se dit forcément que Samari a du en baver toute sa jeunesse et pourtant, c'est tout l'inverse. Il eu très tôt deux exemples de droiture et de fierté en l'image de ses parents, qui n'avaient pas le temps nécessaire pour pouvoir s'occuper comme il se devait de leur enfant, étant beaucoup trop concentrés sur leurs carrières respectives. S'est donc en partie seul que Samari s'est forgé, en prenant lui même la décision de rejoindre l'académie de West Point dans l'état de New-York, avant de passé dans le service avec en rejoignant les Forces Spéciales. Chose qui énerva au plus haut point ses parents et leur fils décida de coupé tous les ponts à ce moment-là. Fort de son éducation, il fut en mesure de rebondir très tôt au sein de l'armée.

Toujours optimiste, dévoué à la cause qu'il sert tout en étant sans arrêt fière du métier qu'il exerce, il ne vise qu'une chose : Monté en grade le plus rapidement possible et en servant de manière exemplaire. Droit dans ses bottes, fière de lui et exigeant le meilleur parmi ceux de son entourage, il s'avéra être un chef charismatique et compétant au fil de sa carrière, tout en sachant se remettre également en cause. Par ailleurs, un véritable contraste a lieu entre le soldat en service et celui qui est de repos. Il reste avant tout un militaire, que ce soit en mission ou non, mais Samari se voit particulièrement souriant et enjouer lorsqu’il est sur la base ou en permission. Dans le cadre de son travail par contre, il est ferme, stricte et au tempérament parfois froid. Ceci n'est pas quelque chose de véritablement voulut mais plutôt quelque chose qui est solidement ancré dans sa personne. Lorsqu'il reçoit ses ordres de mission, il les exécutes avec minutie sans contre partie, avec la volonté tenace de remplir tous ses objectifs principaux ainsi que ceux qui sont optionnels. Il ne cherche pas la gloire ou à obtenir la Medal Of Honor, loin de là, mais son travail doit être reconnu et il fait tout pour avoir entière satisfaction vis à vis de ça, en refusant catégoriquement d'être un lèche botte. Un ordre est comme sacré, on peut le discuter mais en aucun cas le négocier.

» Phobies : L'obligation de désobéir à un ordre et être mis aux arrêts. Voir la mort pour les autres sans pouvoir agir contre celle-ci.
» Objet choisi : Une chaine en argent avec une croix chrétienne en pendentif.


Compétences

Personnel Militaire

Compétences Primaires Compétences Secondaires

  • Corps à corps : 2 (2)
  • Précision du tir : 9 (11)
  • Infiltration : 3 (14)
  • Pilotage :0
  • Esprit d'équipe : 5 (19)

  • Explosif : 0
  • Résistance à la douleur: 1 (20)
  • Influence : 6 (26)
  • Sang Froid : 3 (29)
  • Soins : 1 (30)
  • Technologies : 0
  • Mécanique : 0

Histoire


Chapitre I / Comme un avant goût du futur

Né Samari Louis Rolle-Maisonnet à Fort-de-France, sur l’île de la Martinique, il est le fils d’un père afro-américain et d’une mère afro-américaine aux origines française, ses plus proches ancêtres venant de cette même île des petites Antilles. Samari a donc la particularité d'être né à la fois français et étranger. Ils y résidèrent quelques mois avant de retourner, pour raison professionnel, à La Nouvelle Orléans, aux États Unis. Fils unique de deux soldats de la l'U.S Army, la naissance de cet enfant mit quelque peu ses deux parents dans l'embarras, ceux-ci travaillant au sein du même centre de recrutement, selon le terme américain. Pendant un temps, le commandement eu l'idée de poussé à la mutation un des deux soldats, mais il s'avéra au bout de quelques mois que leur relation conjugal n'avait aucun impacte sur la qualité de leur travail, voir même au contraire. L'objectif pour ce centre était de poussé un maximum de jeunes à la signature de contrat au sein de l'U.S Army, cette dernière devant renouveler continuellement les effectifs, les dénonciations de contrat étant tout de même nombreuse. Hormis cette parenthèse, les premiers mois se firent de manière normal. Au bout d'un certain temps, sa mère fut cependant dans l'obligation de faire un choix entre engager une nourrice et continuer sa carrière militaire, ou quitté l'institution et retourner à la vie civile afin de s'occuper pleinement de son fils. Dans la volonté d'ouvrir très tôt le jeune Samari aux autres, la première solution fût retenue. Le hasard, qui en réalité n'en était pas vraiment un, fit que cette nourrice était une immigrée française, venant elle aussi de la Martinique. Ce fut donc là aussi très tôt que le garçon se mit à parler anglais et français, s'améliorant au fur et à mesure qu'il grandissait, tout en ayant une culture américaine et antillaise.

Déjà destiné à une carrière militaire par un choix imposé par ses deux parents, le nom de famille d'usage Rolle-Maisonnet fut vite abandonné, pour évité ne serait-ce qu'une suspicion de non patriotisme complet aux États Unis, ce qui ralentirait d'une façon non négligeable son début de carrière dans l'armée. En attendant, il se devait d'avoir une scolarité comme tous ses camarades et celles-ci se fit dans un milieu très strictes, tout en étant dans une école publique, là encore pour correspondre à l'ouverture aux autres qu'il se devait d'avoir. Ayant un encadrement très présent et en particulier ses parents, ces derniers étaient intransigeants sur les résultats scolaire de leur enfant et le forçant, en parallèle, à suivre des cours de Baby Judo à l'âge de quatre ans. Les années filaient, il n'y avait pas un jour dans la semaine durant lequel Samari ne faisant pas quelque chose, hormis le dimanche, si l'on met à part l'obligation se rendre à la masse de l'église du quartier. Ceci se faisait uniquement en compagnie de celle qui fût et restera sa nourrice pendant un temps, ses parents n'étant pas croyant. Durant cette même année, il fût inscrit à des rencontres appelé d'Éveil à la foi, un nom asse parlant destiné aux enfants de 3 ou 4 ans. Avec le temps, cette femme eu donc une certaine importance dans l'éducation de celui qui aura, plus tard, une carrière militaire bien remplie sous la bannière étoilée. Cet aspect religieux fit parlé de lui une dernière fois lors de son catéchisme, à sa septième année, avant que cette femme ne soit remerciée et ce malgré ses services. Ce qui n'empêchera pas Samari de resté un fervent croyant tout au long de sa vie.

Lors de sa neuvième année, une réel activité physique se profilait et cette fois-ci à la demande de l'enfant, qui jusque là se contenta de choix imposés. Comme un certain nombre d'autres américains, il demanda à ses parents de l'inscrire dans une Pee-Wee League, du football américain pour les enfants avec un règlement très simplifié et avec des contacts adaptés pour leur âge, qui sont très encadrés d'ailleurs. Bien que n'ayant pas encore un comportement perfectionniste et ce, aussi bien à l'école que dans le domaine sportif, on pouvait dire qu'il se débrouillait pour son âge. Chose beaucoup plus simple lorsque l'on est encadré par deux militaires, qui eux sont extrêmement exigeant et intransigeant, il est vrai. Malgré ses très bon résultats scolaire, il ne sautera jamais de classe cependant, là encore par désaccord de la part de ses parents. Pendant son passage en High School, qui est l'équivalent des lycées en France, il excellât sur les terrains aussi bien qu'en cours, ce qui lui valut d'être courtisé par de nombreuses universités prestigieuses, comme Miami, Texas et même Duke. Mais comme on pouvait s'y attendre, ce fut la The United States Military Academy at West Point (USMA) de New York qui l'emporta et surtout, ce fut Samari lui même qui en décidât ainsi. Pour sa première année, les études prirent le dessus sur les entraînements de football américain, comme en atteste chaque année les résultats sportifs des Army Black Knights et ce, dans tous les sports, alors que l'on pourrait les attendre au sommet avec leurs entraînements militaire face à des universités civils.

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Match de Gala entre l'académie de West Point (U.S Army) et de Minneapolis (NAVY).

Deux facteurs ne furent cependant pas pris en compte. Déjà celui que Samari n'en pouvait plus des cours, à la limite du Burn Out, et le désire de se tué à la tâche physiquement se faisait de plus en plus présent. Rien ne pouvait donc le maintenir dans cette académie, bien qu'il continua une année de plus ses études. Après ces deux ans, au diable la sortie de West Point au grade de Sous Lieutenant. S'il atteignait un jour ce dit grade, ce serait en démarrant en tant que simple troufion en ayant fait ses preuves sur le terrain et non grâce à un niveau d'étude.

Chapitre II / Le début d'une vie dans l'ombre


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Insigne des Forces Spéciales américaines.

Le choix de Samari ne fut pas des moindres, puisqu'il fit la demande de rejoindre les forces spéciales, au sein du 5ème Groupe de Forces Spéciales, qui est parmi les plus décorés des États Unis avant d’être accepté au sein du 1er Bataillon de la compagnie Alpha, à l'âge de 19 ans avant l'intégration complète à l'aube de ses 21 ans. Ceci se fit sans consultation de ses parents, ce qui eu d'ailleurs pour en effet de les rendre furieux, au point que le jeune adulte décidât de coupé purement et simplement les ponts. Ce qui était un mal pour un bien, car au final il n'y avait plus aucune pression de la part de ses proches. Désormais, place à une nouvelle famille, celle de l'armée. Bien que les débuts furent difficile, le groupe de jeunes engagés eu tôt fait de se soudé face aux obstacles qui les attendaient. Nombreux furent ceux à abandonner en cours de route, pour relâchement aussi bien mental que physique. Samari lui même, qui n'était pourtant pas en reste au vu de ses capacités athlétiques, fut dans l'obligation de repousser de nombreuses fois ses limites et ce, quasiment tous le temps. Il n'était pas dans un régiment lambda, il le savait, tout comme ses camarades, et il fallait assumer toutes ces épreuves.

Au bout de deux mois, certaines personnalités émergeaient à l'instar du martiniquais d'origine, qui poussait ses coéquipiers à chaque fois qu'il en ressentait le besoin, mais à sa manière, proche de celle d'un instructeur d'ailleurs. Ceci agaçât très vite les copains de la section, qui le lui avouèrent très rapidement. Comme on peut s'en douté, en plus de tous les efforts physique et mentaux dont il fallait faire preuve pour surpasser les dites épreuves de la sélection, ceci irrita encore plus le jeune homme, qui se mit rapidement en question sur son importance au sein du groupe. Ce fût également à ce moment là que la notion de fraternité d'arme se fit. Dans une section, on ne pouvait s'appuyer uniquement sur un Homme, chacun apportait d'une manière ou d'une autre une pierre à l'édifice en tant que frère d'armes. Samari abandonna donc son rôle de petit chef, se voyant au dessus des autres parfois, pour entrer en véritable symbiose avec son groupe. Contrairement à ce que l'on pouvait croire, les sélections ne servaient pas simplement à repéré des individus pour leur prouesse, mais aussi à leur façon de s'adapter à un groupe. On avait beau venir de West Point, rien ne remplaçait la réalité du terrain. Ce que Samari espérait trouver en quittant l'académie, il le trouva. Malgré les difficultés, le jeune homme était fière de lui et de son choix, s'épanouissant dans ce qu'il faisait bien que, disons le clairement, il en chiait grave, tout comme ses copains.

Au bout de cinquante cinq semaines, il voyait enfin le bout de Special Forces Qualification Course et se profilait enfin une permission d'une durée de quinze jours, après autant d’efforts. Ce laps de temps devait leur servir à la fois à retrouver leur famille, leurs amis, se rafistolé un peu les bobos et surtout, prendre une décision sur le module de compétence avancée qui suivrait leur première formation. Et la route était loin, très loin d'être terminée, ce n'était que la moitié de la formation complète avant un début de carrière. Une fois de retour au Fort Campbell, Samari fut dans l'obligation de choisir de module de spécialisation et ce fût celui de Special Forces Sniper Course (SFSC) qui fût choisit après une longue hésitation avec le Military Free Fall Parachutist Course (MFF). Les spécialisations sont bien entendu beaucoup plus nombreuses, mais ces deux spécialités sont parmi les trois plus élitistes avec celle des plongeurs de combat. Lui qui avait quitté l'académie militaire de West Point pour avoir plus d'action sur un théâtre d'opération et arrêter les cours gonflant, savait-il dans quoi il s'engageait ? Ce que l'on appel vulgairement un sniper, ce n'est pas simple regard à travers une lunette visée et ouvrir le feu et uniquement sur ordre. Loin de là. Être un tireur isolée, c'est aussi et surtout avoir une totale maitrise de sa personne et de son corps, en plus d'être un matheux. Car on le dit trop peu souvent, mais pour qu'un tir fasse mouche il faut prendre en compte la météo, la puissance du vent, le poids de la balle et la pression atmosphérique, entre autre. Il est donc très courant que l'on retrouve des hommes en binôme, comprenant un tireur et en second celui qui fait les calcul tandis que le premier fait les ajustement avec sa lunette.

La théorie, il en boufferait jusqu'à ne plus savoir qu'en faire et la mise en pratique durant une situation de combat serait rare. Car là aussi il ne faut pas le cacher, mais il y a une grosse différence entre un tireur qui n'es pas repéré et celui qui doit protéger ses arrières. La partie qui va suivre, bien que très énervante et contraignante est obligatoire, celle du nettoyage de son arme et de la connaître dans les moindres coins, pièces par pièces, aussi petites soit-elles. Il fallait démonter son arme, la nettoyer, la remonté dans un ordre bien précis, le démonté, la remonté dans un autre ordre avant de la démonté pour la nettoyer à nouveau et la remonter dans l'ordre contraire. Samari, tout comme ses coéquipiers, en venait à mieux connaître son armement que l'âge de sa mère. Et ça, ce n'était que pour l'arme principal. On ne pouvait laisser un tireur d'élite sans arme de poing, sans matériel de nuit et sans équipement divers et varié. Ce fut probablement la période la plus difficile de sa vie, quarante semaines à frôlé le Burn Out à chaque cours et tout le monde n'eut le courage d'aller au bout. La recrue Rolle, lui, a toujours tenu tête, du moins en apparence. Intérieurement il était tout aussi fatigué que les autres, il avait simplement cette faculté à ne pas le montré. Au bout des 665 jours de formation, ce qu'ils se souviendraient à jamais serait la douleur physique, le doute moral, les pétages de plombs et les dépressions pour certains, qui ne finirent pas la formation d'ailleurs. Mais au delà de ça, il y avait cet esprit de corps qui s'était formé, cette fraternité d'arme que l'on recherche en s'engageant, sans distinction de sexe, de couleur de peau ou de convictions.

Du début à la fin, ils vécurent ensemble, changeant de comportement les uns envers les autres jusqu'au point de se connaître par coeur. Deux cent soixante cinq jours, avec à l'arrivée l'immense honneur de porté les insignes de son régiment et le fameux béret vert, les faisant ainsi devenir de véritables membres des forces spéciales autant que leurs ainés, bien que le respect restait encore en suspend. Peu importe les insignes, les galons ou le grade par lequel on nous appel. Peu importe la façon dont on s'adresse à nous, il faut toujours garder en tête que c'est l'Homme qui honore le titre et non l'inverse afin de toujours visé plus haut. La formation des forces spéciales ne s'arrêtaient jamais contrairement aux autres armées, il n'y avait pas une année durant laquelle on n'apprenait pas tout un tas de choses. Désormais, il y avait la fierté de l’objectif accomplie, le sentiment sincère et profond d'être devenu quelqu'un de meilleur pour sois et pour les autres ainsi qu'une profonde dévotion pour son pays ajouté au fait que Samari sorti major de promotion. Le monde devait sans cesse faire appel à ces hommes d'élites agissant dans l'ombre et en particulier les USA, présents aux quatre coins du globe pour des raisons qui ne regarde en rien les soldats et propre au pays à la bannière étoilée. Samari était donc prêt à servir celui-ci à compté du 6 Février 1990, date à laquelle il rejoignit officiellement sa compagnie, passant par la même occasion de soldat de deuxième classe à soldat de première classe.

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Force et Honneur est la devise du 5th Special Forces Group.
Les informations suivantes étant classé Top Secret, le sujet ne sera que survolé.

Operation Desert Storm (1990 à 1991)

Et servir, il en aurait l'occasion presque six mois après son incorporation. En effet, la Guerre du Golf commençait, face à un ennemi vu comme particulièrement belliqueux en la personne de Sadam Hussein. Les Forces Spéciales furent parmi les premières troupes militaires déployées sur place, afin de préparer le terrain. Les missions furent extrêmement nombreuses et toutes les capacités de Samari et ses équipiers furent misent en avant. Allant de l'exfiltration de ressortissants, à l'infiltration et au minage en passant par le pointage de lieux de bombardements, assassinat et j'en passe, tout ce dont disposait les FS était sur place. Celles-ci devaient, bien entendu, n'être vues et entendues de personne, une totale discrétion était de mise. Ils participèrent également à la formation de l'armée Saoudienne, manquant cruellement de professionnalisme, pour être une résistance non négligeable face à l'armée Irakienne. En février 1991, il était de retour au Fort Campbell, à la maison. L'opération fut un succès et le Soldat de première classe Rolle reçu la Southwest Asia Service Medal. Il fût aussi cité dans le rapport de mission fait par son chef d'équipe au chef de compagnie pour son attitude irréprochable et exemplaire lors d'une première mission. Chose courante, mais qui mérité d'être mentionné.

Une routine pas si habituel (1991-1995)

Jusqu'à la prochaine opération, la carrière de Samari se contenait à des entraînements et des missions à des endroits éparses du globe. Ce fût durant cette période qu'il fut promu au rang de Spécialiste au bout de deux ans d'ancienneté et grâce au module de perfectionnement en tant que tireur de précision. Il atteint quelques mois plus tard le grade de Caporal, conformément à son ancienneté, commençant à gérer quelques hommes lors d'entrainements de l'escouade par accord de son supérieur, étant en voie de devenir Sergent. En plus du travail acharné de Rolle et de la bonne entente qu'il avait avec son supérieur, sa carrière était, en effet, en phase d'avancé rapidement.

Operation United Shield (1995)

Pour cette opération visant à extraire des forces militaires et civils servant au sein de l'Organisation des Nations Unis, plus couramment appelé ONU, ce fut la Navy qui officiait le commandement, les départs se faisant depuis les bateaux d'une coalition. L'opération eu lieu du 9 Janvier 1995 au 3 Mars 1995, en Somalie.
A son retour, il fut élevé au grade de Sergent et il reçu la Armed Forces Expeditionary Medal pour avoir servit aux côtés des casques bleus.

Une longue attente (1995-2001)

Cette fois, ce fut une longue attente de six ans avant de participer à une telle opération. Par quelques concours internes et surtout citations pour mérite, il fut promu Sergent peu de temps après son retour de Somalie et enchainât les titres jusqu'à être Staff Sergeant, pouvant désormais mené jusqu'à dix hommes au maximum et devant avoir une attention particulières aux entraînements de ces derniers, qu'il prenait désormais en charge. Le module Military Free Fall Parachutist Course (MFF) fut effectué durant cette période ainsi que celui de la survie en milieu notre et hostile. Son ancien chef d'équipe venant d'être promu à son tour, ce fut Samari qui assuma les responsabilités, alors âgé de 30 ans tout pile. Par des accords mutuelles avec ses alliés, les USA organisaient ou se rendaient à des stages multi-nationaux pour le perfectionnement mutuelles des armées. Les plus connus sont ceux qui sont faits avec la France, qui représente une puissance majeur sur le plan mondial. Samari étant parfaitement bilingue, bien qu'avec le temps le français n'était plus devenu une langue régulièrement utilisé, il s’affirma encore plus en tant que chef pendant ces rencontres. Ajouté aux nombreuses missions et modules de perfectionnement que faisait Rolle, sa carrière décollait véritablement une fois au statut de chef d'équipe. Profitant de l'occasion et du calme qu'il régnait, Samari ne cachait plus son désire de devenir un sous officier de talent et surtout, d'accéder à la Delta Force. Son existence n'était plus à prouvé, mais le flou et la composition de cette unité militaire est si importante que certains se posent encore des questions.

Le dossier de Samari Rolle fut alors complètement épluché et ce, dans les moindres détails. La Delta Force étant une organisation militaire extrêmement pointilleuse, tout passait au microscope, de son enfance jusqu'à ces années de service, fort heureusement irréprochable. Volontaire, droit dans ses bottes, d'une volontés incessante de progresser et de s'investir dans sa compagnie, sur le papier tout semblait se profiler pour le mieux. Au bout d'une année d'étude de la part de l'armée et des prises d'informations de Samari, ce dernier eu l'accord de quitté temporairement la 5th Special Forces Group pour effectuer ses tests à Fort Bragg, en Caroline du Nord. Ils furent un succès et le 11 Janvier 2001, il eu l'autorisation de rejoindre définitivement l'escouade B de Delta Force.

Operation Enduring Freedom (2001-2002)

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Insigne de la Delta Force.

Qui ne sait pas ce qu'il s'est passé en Septembre 2001 ? Ce qui c'était passé à New-York ne concernait pas uniquement les États Unis, mais bien le monde entier, qui prenait les USA comme l'exemple et le phare du monde. Le gouvernement américain, lui, n'était pas en deuil et la réponse du président de ce moment fut immédiate, car deux jours après une partie de la Delta Force fut envoyé sur place, bien disposé à trouvé celui qui incarnait le mal : Oussama Ben Laden. Une véritable coalition se mit en place et très vite, la présence américaine ne fut pas la seule sur le sol Afghan, bien que largement représentée. Le fait notable fût l'assaut héliporté contre la résidence du mollah Omar le 19 octobre 2001 près de Kandahar. Samari participa à ce premier saut HALO, aussi appelé Chute opérationnelle, nocturne en zone de combat depuis la guerre du Vietnam. Son module MFF prenait à cet instant toute son importance, qui n'est pas à confondre avec un simple saut en parachute, mais les sauts à très haute altitude. Ceux qui se font de façon à ce que l'on n'entende aucun bruit de moteur et que l'on ne voit rien en raison de la hauteur de largage et exigent tout un tas de matériel pour respirer malgré le peu d'air présent à cette altitude.

Les combats dans cette région du monde furent particulièrement intense et de très nombreux morts furent à déploré dans les deux camps, au point que l'on se demandait si la coalition était réellement victorieuse de ce combat, à la vue de l'instabilité de la région après ce qui s'apparentait clairement à une invasion. C'était, tout de moins, la vision de certains pays. Samari, lui, n'était pas du tout concerné par ce genre de chose. Il exécutait les ordres, peu importe les raisons qui entouraient ceux-ci. Cela ne veut pas dire qu'il n'avait pas ses propres opinions ou pensées sur la question, mais qu'il exécutait les ordres en essayant aucunement de traduire ou négocié ces derniers. Il ne s'était pas engager pour ce genre de choses et était encore moins payé pour.

Lors de cette opération, d'une durée extrêmement longue, il traitât un grand ombre de cible en tant que tireur isolé. Ce dernier mot, très important, prit tout son sens lors d'une mission bien particulière. Lors d'une mission d'infiltration visant à volé des plans, Samari était positionné à une centaine de mètre, à flanc de montagne et en amont d'un village de la vallée de la Kapisa, "loin" de toute vie humaine. Le tireur isolé devant, grâce à sa lunette de vision, guidé son équipe en fonction des présences ennemies et agir le cas échéant pour permettre une exfiltration d'urgence. Le Sergent Rolle n'était pas le chef d'équipe et donc, se contenta d’exécuter les ordres et consignes qui furent, par ailleurs, respectés à la lettre. Les informations furent incorrectes et le groupe de trois hommes situé en aval se trouva prit dans une embuscade, depuis les bâtiments limitrophes, qui aurait pu s'avérer dévastatrice sur les insurgés n'avaient pas lancé l'attaque beaucoup trop tôt. Les équipiers de Samari eurent le temps de se mettre à couvert derrière un muret pendant que le Sergent arrosait la zone. Il n'avait pas le temps de visé juste tous le temps au risque de mettre ses coéquipiers en pérille, et prit donc à plusieurs reprises la décision de faire des tirs de suppression, servant à "faire baisser les têtes" en attendant l'extraction qui viendrait par voie aérienne. La mission fut donc un échec mais fort heureusement, il n'y eu aucun mort. Juste un blessé au niveau du bras, ce qui aurait pu être bien pire sans le sang froid de toute l'équipe et les décisions de Rolle qui, de son nid, voyait tout le champ de bataille. L'extraction pu se faire beaucoup plus rapidement lorsque des F-16 bombardèrent la zone, à la demande du chef d'équipe, le Sergent entendant l'appel de soutien depuis sa radio.

Une année plus tard, alors qu'il était à peine retour au pays, il se vit élevé au rang de Sergent-Major et l'obtention de la Bronze Star Medal, la Combat Readiness Medal et la National Defense Service Medal, pour son action méritoire en Kapisa, qui sauva probablement les trois autres soldats de son équipe, mais également pour toutes les autres missions durant l'opération. La cérémonie se terminait à peine que sa hiérarchie le convoqua. Ce fût dans le bureau du Colonel que Samari se vit dans l'obligation de se rendre, chose qui était très loin de lui plaire. Dans toute sa carrière, il ne rencontra jamais une aussi haute autorité à l’abri de ses camarades. Se disant qu'il avait probablement fait une erreur, cette option fut vite balayée d'un revers de la main, car après tout il venait d'avoir une promotion juste avant. Ce fut toujours avec cet particularité, qu'il n'était plus le seul à avoir, qu'il se rendit dans le bureau du chef de corps, tête haute avec le torse bombé afin de montré décorations et insignes en faisant le salut après avoir enlevé son couvre chef. Sur ordres, il se mit ensuite au repos constat que son colonel était loin d'être seul. L'officier qui s'avéra être de l'armée de l'air lui tendit un dossier, avant de lui demander de bien vouloir fermer la porte, sans pour autant lui en donner l'ordre.

Chapitre III / La tête dans le vortex

Stargate Command (2002 - Mars 2014)

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Logo du Stargate Command.

Un choc, un véritable choc, cela faisait déjà une année que le Sergent Major, devenu Sergent Maître suite à son transfert dans l'Air Force, se vit offrir cette proposition qui vu les conditions, sembla être une obligation de choix de carrière. Au Diable les Forces Spéciales et la Delta Force, il voyageait à travers les étoiles désormais. Son côté religieux et croyant en fut d'ailleurs extrêmement mis à mal, venant se placé directement devant les enseignements de l’église. Tenu par le secret défense, Samari ne pouvait parler de toutes ces magnifiques choses qu'il avait vu, tout comme de cette menace bien plus grande que celle de l’échiquier diplomatique terrestre. Ce mal plus grand que tout autre était incarné par une race belliqueuse sous forme de symbiote nommé Goa'uld et des hordes infatigable de Jaffas, que le monde n'était pas encore prêt à connaître et ne le serait probablement jamais. Prenant leurs hôtes en otage, cela revenait automatiquement à tué le porteur de la larve, qui lui n’avait en général pas demandé a subir ce genre d'implantation directement à la base du cou.

Au début, Samari voyagea entre de nombreuses équipes SG en fonction des besoins et des spécialités requises en tant que membre de SG-2, 3, 5, 6, 10, 12 et 18 et ce pendant treize ans. Le Sergent Maître Rolle était un pure et simple soldat de l'armée, sans expertise autre que tirer avec une extrême précision il est vrai, extraire des personnes, survivre en milieu hostile et effectuer des évacuations d'urgences en étant capable d'intervenir médicalement. Son contact avec la troisième équipe SG se fit sans heurts, mais Samari n’appréciait pas vraiment ses coéquipiers, tout comme la cinquième et la quinzième ou tout du moins, pas tous. La mentalité des Marines était réellement destructrice, de simple machines de guerre étant certes très bon dans ce qu'ils faisaient, mais ayant très peu de réflexion au delà de ça. Si le commandement ne les envoyaient pas en mission d'exploration et très rarement en prise de contact direct, ce n'était pas pour rien. Ils servaient d'appuis feu uniquement dans la majorité des cas. Après ce premier passage, le Sergent Maître ne se voyait plus comme un simple troufion, mais un soldat ayant plus de questionnement et de réflexion que certains de ses camarades. Ce qui, attention, ne veut pas dire qu'il les prenait de haut, simplement que bien qu'ayant le même sens du devoir, ils n'avaient pas le même répertoire de compétences.

L'équipe dans laquelle il s'était le plus épanoui fut sans aucun doute SG-2, mais celle-ci était déjà composé de soldats capables et n'ayant plus rien à prouvé, fonctionnant très bien dans leurs différentes compositions. Malgré les rotations d’effectifs, ce fut dans SG-6 que Samari revint le plus souvent. Lui qui voyait ses changements d'équipes en permanence, se demandait s'il était réellement un soldat comme on en attendait ici, dans la base de Cheyenne Mountain. Ce fut une grosse période de doute, jusqu'à ce qu'il décide d'en parler directement avec son chef d'équipe au bout de son cinquième départ d'une SG. Celui-ci lui répondit que si le commandement ne parvenait pas à le fixé dans une équipe, il fallait peut-être envisagé le problème dans l'autre sens. Peut-être que ses compétences étaient utiles à chacune d'entre elles à un moment voulu et que Samari s'avérait être le plus qualifié à ce moment. On ne pouvait tous le temps avoir le besoin d'un soldat étant Tireur de Précision aussi bien que Tireur isolé. En dix années, il prouva qu'il n'avait en rien perdu ses facultés en tir, continuant d'être, d'après les dires d'un ancien chef d'équipe de l'époque, autant convoité.

Ce fut également la période où de nombreuses médailles furent effectives pour des époques passés comme la Iraq Campaign Medal, la Afghanistan Campaign Medal, la Global War on Terrorism Expeditionary Medal, dont Samari fut logiquement éligible pour chacune d'entre elles.
Bien qu'il ne le montrait pas, Samari commençait à se posé de réels questions. Au delà de son changement régulier d'équipes, sa carrière militaire n'avançait plus, comme enlisée depuis son arrivée au SGC. Contraint d'être cantonné à un grade, les récentes médailles ne lui suffisant plus, il commençât à être troublé psychologiquement. Du genre à ne pas être démonstratif, Samari montrait très rarement ses sentiments et encore moins ses différents malaises. Peut-être que le Sergent Maître Rolle lâcha un indice de trop sans même s'en rendre compte, ou pas, mais il se vit confié le commandement de SG-18 le temps d'une mission. A la tête de cette équipe de Marines n'ayant plus de vétéran de ce corps d'armée pour occupé le poste, l'équipe du venir en aide à l'extraction d'un groupe de jaffas rebelles et ce, en toute hâte. Ils partirent donc quasi immédiatement en salle d'embarquement avant de traversé la porte avec très peu de consignes de missions devant l'urgence de la situation. Ce fut donc Samari qui prit un ensemble de décisions qui s'avéra décisive, repérant très vite les lieux et positionnant ses hommes de façon à permettre à l'équipe d'exploration SG-10 qui était sur place et aux jaffas de s'extraire le plus rapidement possible, en ouvrant la voie avec des tirs nourris contre le peu de jaffas encore fidèle à un petit Goa'uld local.

Après cette mission, il reçu sur demande du SGC la Good Conduct Medal pour l'intégralité de sa carrière, portant ainsi à 9 le nombre de médailles en sa Possession, au grade de Sergent Maitre et à l'âge de 43 ans.

Stargate Atlantis ( Mars 2014 - Présent )

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Logo de Stargate Atlantis.

Étant désormais en âge de prendre sa retraite militaire, Samari se demandait s'il n'était pas plus judicieux de mettre fin à sa carrière militaire, qui était enlisée et sans relent depuis un nombre considérable d'année. A vrai dire, il se posait plus de question. Il voulait se mettre à la pèche et autre activité, pourvu qu'il cessait d'avoir l'impression ne rien faire de sa vie. Ce fût donc malgré-lui qu'il se mit à la rédaction de sa lettre de démission du service actif et qu'il l'a remit au commandant du SGC. A peine dans le bureau de celui-ci, le salut fut bref et le papier se retrouva sur le bureau de la plus haute hiérarchie de la base, prête à la lecture. Après avoir prit connaissance de celle-ci, le Brigadier Général Samantha Carter lui annonça clairement que la raison de son départ n'était pas bonne et donc irrecevable. Samari lui, insista quelque peu avant que la proposition de rejoindre Atlantis ne lui parvienne. Choix difficile, mais son supérieur lui annonça qu'il y avait de grandes chances que sa carrière prenne un autre tournant une fois sur place et que son expérience serait utile à toute la cité. Ce fut une très longue hésitation de six secondes avant que Samari accepte de partir pour la galaxie de Pégase.

Le départ viendrait très vite et on lui donnât l'ordre de faire ses préparatifs rapidement. Moins d'un mois plus tard, il se vit à nouveau convié à une cérémonie et promu au grade de Sous Lieutenant. Durant cette cérémonie, il fut rappelé à chacun le potentiel de Samari pour ce programme et ce qu'il apporterait sur la mythique cité des anciens, dans un nouveau cadre avec de nouveaux objectifs. Quelques jours plus tard, c'était le départ avec d'autres personne en direction des la galaxie des Wraith et des Geniis, dont la première année servit d'acclimatation afin de le préparer pleinement a, peut-être, prendre un commandement. C'est tout du moins ce qu'il espérait, à l'âge de 44 ans.

» Comment votre personnage a-t-il vécu le moment il a pu poser les pieds sur Atlantis ? Ses premiers pas sur la Cité des Anciens ? : Comment pouvait-on imaginer une telle chose, si grande, aux allures futuristes, qui ne ressemblait rien au silo de béton du SGC. Bien entendu, Samari eu l'occasion de voir des photos de la première équipe sur place, mais de ses propres yeux, cela était tout simplement extra ordinaire. Et ça, c'était uniquement pour la salle d'embarquement ! La vue aux balcons était tout simplement magnifique, qui donnerait lieu à des couchés de soleils mémorables. Aux anges, il était tout simplement aux anges et ce sentait ridicule devant l'imposante structure que l'on pouvait imaginer. C'était un nouveau départ, pour de nouvelles aventures face à de nouveaux ennemies, de nouveaux lieux, peut-être de nouvelles aspirations et une carrière loin d'être terminée avec cette fois, peut-être, le commandement à part entière d'une équipe sous le nom de SGA.



Vous derrière l’ordinateur

» Prénom ou Surnom : Romain
» Âge : 24 ans
» Célébrité de votre avatar : Anthony Mackie
» Comment avez vous connu Atlantis Insurrection ? (Google ? Ami ?) Par Evy !
» Connaissez vous les séries Stargate ? Yep
» Multicompte ? Nop
» Codes du Contrat : (Ils sont cachés dans le règlement ; copiez/collez les 3 entre les balises.)

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Matt Eversman
Caporal
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Sam 20 Fév - 12:21

Matt Eversman
Bienvenue par nous Samy !

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Sam 20 Fév - 12:21

Admin
Le membre 'Matt Eversman' a effectué l'action suivante : Lancé de dés

'Gêne ATA' :
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Résultat :
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Karola Frei
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Sam 20 Fév - 12:22

Karola Frei
Bravo pour cette somptueuse fiche H3

Je valide à fond les ballons :cheers: Welcome on board !

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Invité
Invité

Sam 20 Fév - 12:28

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Suis trop fière de t'avoir fait craquer H3

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Invité
Invité

Sam 20 Fév - 12:38

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Merci à vous ! H3

C'est un plaisir partagé Evy !

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Invité
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Sam 20 Fév - 12:55

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HOLY SHIT !!!
C'te fiche envoie du lourd !
Je suis fan !

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Matt Eversman
Caporal
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Sam 20 Fév - 13:07

Matt Eversman
Mais quelle put**** de fiche que tu nous as fait là Sam !
Je suis ultra fan !!

Tu obtiens ma validation haut la main !

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Invité
Invité

Sam 20 Fév - 13:26

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Après une longue attende, tu nous fait une présentation qui déchire grave :cheers:

J'adore ce que tu a écrit, même si sa ma prit un peu de temps pour tout lire lol!

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Invité
Invité

Sam 20 Fév - 13:46

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Merci à vous !
Heureux que vous ayez apprécié cette fiche, en prenant plaisir lors de la lecture de celle-ci. Vraiment !

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Invité
Invité

Sam 20 Fév - 14:54

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Bienvenu !

Wahou qu'elle fiche de malade !! Bravo !

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Invité
Invité

Sam 20 Fév - 17:07

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Woooooooo p'tain c'est du lourd!


Bienvenue l'ami!

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Invité
Invité

Sam 20 Fév - 17:46

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Merci à vous deux !

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