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C'est un nouveau chapitre qui commence (PV : John Sheppard)

 :: Cité d'Atlantis :: Niveau 8 - Zone Médicale :: Infirmerie
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Jeu 10 Déc - 22:07

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- Donne-moi ton bras que je prenne ta tension une dernière fois avant que le colonel Sheppard arrive.

Je regardai la jeune femme de haut en bas, elle tendait une main vers moi pour m’attraper le bras. C’était une jeune infirmière, qui me souriait pour me rassurer surement. Mais je me leva de mon lit et me dirigea vers la fenêtre qui donnais sur l’extérieur, l’ignorant totalement. Je l’entendis soupirer, faire un pas vers moi puis faire demi-tour accompagner d’un soupir, plus désespérant que le premier. Je sentais le regard du militaire, qui me surveillait, peser sur moi. Il devait me trouver idiote de refuser ainsi la moindre aide surtout de la part d’une personne dont le métier était de soigner et de s’occuper des autres. Mais je ne lui faisais pas confiance, je ne faisais confiance en personne d’ailleurs. Je permettais juste à une femme médecin de s’occuper de moi et encore j’étais toujours sur mes gardes, on ne sait jamais. Je l’avais appris à mes dépend malheureusement… Chêne, ce Wraith en qui j’avais eu confiance avait failli me tuer, enfin… Ce n’était pas de sa faute, mais de la mienne après tout. Si je l’avais laissé de nourrir autant de fois qu’il le souhaitait, je serais encore dans une forêt surement entrain à l’instant entrain de chasser mon petit déjeuner : un petit lapereau et quelques baies pour accompagner. Depuis mon arrivé ici, c’est-à-dire à peine quelques jours, je mangeais que très peu. Je mangeais assez pour qu’il me laisse tranquille, mais pas trop au cas où ils essayèrent de m’empoisser ! Pour quelle raison ? Je l’ignore enfin pour l’instant, je trouvais leur gentillesse trop étrange à mon égard. On ne peut pas être gentil comme sa avec une inconnue… Enfin je crois, non ? Je posa ma tête contre la fenêtre et soupira, j’essayais de me rappeler de la vie au village. Est que les gens étaient aussi avec moi ? Mais ces gens me connaissaient j’étais leurs voisines et puis mes parents avaient une grande réputation donc c’était normal qu’ils m’appréciaient et qu’ils étaient gentils.


- Oui mon colonel, elle est réveillée.


Je tournai la tête vers le militaire, qui avait une main sur son arme et une autre à son oreille. Mais à qui il parlait ? Je le dévisagea étrangement, il parlait tout seul je ne voyais que sa comme réponse ou alors à son oreille ce qui était peut-être encore plus étrange à mon gout. La main qu’il avait porté à son oreille, se posa sur son arme et me regarda en souriant très légèrement.


- Le colonel Sheppard sera là dans cinq minutes, il vous montrera vos nouveaux appartements.


Le colonel Sheppard ? J’avais souvent entendue son nom être prononcer, mon colonel par-ci et mon colonel par-là. Sa avait l’air d’être une personne assez importante, alors pourquoi s’occuper d’une simple inconnue tel que moi, il devait surement avoir des choses plus important que de me faire découvrir ma nouvelle chambre. D’ailleurs pour combien de temps ? Combien de temps allait-il accepter que je reste avant de me renvoyer quelque part seul et à l’abandon. En tout cas il risquait pas de me renvoyer chez moi, car je ne serais pas dire où il se trouvait mon chez moi. Et puis de toute façon, il n’y avait plus personne… Dévorer par les Wraiths, je devais la seule survivante. Par ailleurs personne ne connaissait mon histoire ici, la seule chose que je leur avais dit était mon nom et mon prénom. Il m’avait pourtant posé des tonnes, mais je ne leur jamais répondu… Je ne voulais pas parler de mon passé, je n’étais pas prête, je sentais encore une boule dans ma gorge, retenant mes larmes, à chaque fois que je pensais à mon passé. Ma famille, ma Reine et Chêne… J’avala avec ma difficulté la boule qui commençait à se former dans ma gorge, ne voulant pas pleurer devant qui que ce soit ici. Soudain j’entendis des pas derrière moi, le militaire qui me surveillait échanger quelques mots avec un homme qui venait d’arriver. Je me tournai vers l’homme qui venait d’arriver, surement le fameux Colonel Sheppard.


- Bonjour, Colonel Sheppard c’est ça ? J’avais dit cela d’un ton dès plus neutre.

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Lun 21 Déc - 14:26

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Apprenons a nous faire confiance
PV Louna Dubois







Voilà quelques jours, que nous avions ramené de notre mission, une jeune fille. Elle devait avoir aux alentours de 15 ans, même pas. Et pourtant son visage de poupée, était aussi froid que la pierre. Elle était marquée par la vie et la peur.
Je me souvenais sans peine, de cette mission assez étonnante. Arrivé sur P3X480, nous avons trouvé un peuple plutôt « primitif » pas plus avancé que le moyen-âge. Empreint de croyance, mais surtout très rurale. Ils nous offrirent un peu de soupe, tradition très agréable pour les inconnues. Puis en voyant nos armes, enfin ils supposèrent, a juste titre que s'en fut, qu'une bête vivaient dans les montagnes. Cette planète n'était plus fréquentée par les Wraiths depuis longtemps. Mais avec le réveil de ceux-ci, je craignais qu'en réalité leur tranquillité ne soit de courte durée.

En tout cas, une bête, venait les tourmenter et ils désiraient qu'on la traque. Ils avaient retrouvé que deux corps depuis 4 mois. Mais, beaucoup d'entre eux, en chassant, avait entraperçut l'étrange créature, a la peau blanche. Certain disait, qu'elle avait un petit. Qu'importe, selon les descriptions, il ne pouvait s'agir que de l'une de ses saloperies de Wraiths. Et ce fut, avec beaucoup de mal, que je ne pus retenir Ronon, pour ne pas partir à la chasse. Dans un sens, ma mentalité, d'américain un peu trip héroïque et le besoin de gagner la confiance d'un peuple, qui pourrait nous êtres utile pour avoir des cultures, me poussa à entamer cette stupide chasse.

Je pensais encore, que cela ne soit que mythe et légende, des hallucinations de pauvres personnes terrifiées, quand l'hiver approche. Mais en réalité, l'instinct si étonnamment vivace de Ronon ne donna pas tort aux racontars des paysans. D'habitude je suis enclin à la chasse aux sorcières euh Wraiths… mais bon, voilà plusieurs fois que nous rendions service sur une planète et la seule chose que nous avions récoltée fut les ennuis ou être enfermé. Je voulais juste négocier un accord commercial et puis m'en aller. Mais comme à chaque fois, qu'on est en mission, ça ne se passe jamais comme prévus…

La piste du Wraiths était fraîche et un peu désordonnée, signe qu'il avait faim et la folie semblait le prendre. Des cris nous alarmèrent et comme deux missiles, nous partirent à travers le bois, armes en mains pour trouver l'origine de ces cris.
La créature était de dos, elle semblait dominer quelque chose ou quelqu'un. C'est en s'approchant en douceur, qu'on tira en même temps, quand nous reconnurent la forme d'un être humain. Le Wraith s'écroula dans des soubresauts, dû aux chocs de nos armes sur son corps. Il s'écroula sur le corps de la jeune fille.

Quel fut notre surprise de voir une enfant, une enfant qui n'appartenait pas au village… alors, nous l'avions ramenée, un peu trop curieux de savoir ce qu'elle faisait là… seule.

À aucun moment, nous nous doutions qu'elle avait un lien avec la saloperie blanche. À nos yeux, elle était une rescapée, une survivante d'une attaque Wraiths et qu'elle n'était pas bavarde. Dans un sens, elle devait avoir eu un sacré choc. Sans parler que nous ignorons tout de son passé. Avait-elle été abondée sur cette planète par les siens ? Un vaisseau crashé ? Une équipe, avait parcouru de nombreux kilomètres en Jumper, pour trouver des résidus de vaisseau… en vain. La présence de Louna, était tout bonnement un mystère.

Je m'étais pris une certaine affection, pour cette jeune fille, qui me rappelait sans peine un chaton effrayé. Cette affection soudaine, n'était pas dû au fait que je lui ai sauver la vie, mais dû à ma grande compassion et amour pour les enfants. Étant, moi-même un grand gamin, je ne pouvais qu'avoir de l'affection pour les personnes de « mon âge mental » si je peux dire cela ainsi. Et puis peut-être, que je retrouvais une part de mon propre passé, abondé et seule, même si j'étais entouré. C'est bête, mais on ne peut pas expliquer pourquoi, vous, vous intéressez à une personne. La curiosité y était aussi pour beaucoup. J'aime bien savoir, la fin des histoires.

Depuis son arrivée, elle avait été muette, donnant comme seule indication, son prénom et son nom. Elle refusait, la plupart des examens et semblait assez rétive en général. Ce qui désespérait les médecins, qui lui offraient un trésor de patience et de compassion. Mais sa bouche était sellée. Et on n'y pouvait rien. Peut-être devions-nous, simplement attendre, attendre qu'elle nous fasse confiance, qu'elle soit moins traumatisée et plus apte à parler. C'est aussi, pour cela que je suis là. Pour lui changer les idées et lui faire découvrir la cité. Pour qu'elle comprenne que nous ne sommes pas une menace.

En arrivant à l'infirmerie, je saluai mon soldat, que trop ravie de me voir arriver. La garde de môme n'était pas son fort apparemment. Louna était adossée à la vitre et elle m'accueillit d'une voix neutre. En tout cas, elle semblait avoir entendu de nombreuses fois mon patronyme. Dans un sens, qui ne l'avait pas déjà entendu au moins 3 fois en une journée ?

Je m'approchai d'elle, un ton chaleureux, comme à mon habitude. J'avais la chance d'avoir cet aspect amical et sereins constamment. Elle était habilitée de vêtements que des Athosiens nous avait généreusement prêtés. Car il faut dire nous, n'avions pas beaucoup d'adolescent sur la cité, jusqu'à maintenant.

• Bonjour, Louna. Tu peux m’appeler John.

J’avala m salive, pour jeter un coup d’œil à la fenêtre. Que regardait-elle mise à part l’océan a perte de vus ?


• Comment te sens tu ? ça te dirais de changer de lieu ? Visiter la cité ?






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Mar 22 Déc - 13:14

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Spoiler:

- Bonjour, Louna. Tu peux m’appeler John

- Très bien... John...


Louna fut surprise par le fait que l'homme face à elle, lui demander de l'appeler par son prénom. Elle fut si surprise que cela s’entendit dans sa voix, car elle répondit d'une voix basse comme si elle était intimider par la présence du soldat. Dans son village on n'appeler toujours les voisins et les gens, qu'ils ne connaissaient pas assez, par leurs nom de famille, c'était une marque de respect, envers la personne qu'il avait face à eux. Le fait d'appeler quelqu'un par son prénom était réserver au personne de sa famille, aux amis proches et bien entendu à la personne que l'on aimer. Alors quand le colonel Sheppard lui demanda de l’appeler par son prénom, elle sentie en elle quelque chose se briser.

Depuis qu'elle était arrivé ici, elle avait former en elle des barrières invisible pour se protéger contre ces inconnus. Ainsi elle rester froide envers les gens qui s'approchaient d'elle, elle ne souriait pas, elle ne parler pas ou voir très peu. Mais le fait que l'homme lui demande de l'appeler par son prénom avait fait tomber une barrière. Louna tourna la tête vers la fenêtre pour éviter le regard du colonel Sheppard car elle avait peur qu'il ne fasse tomber toutes ces barrières une à une. Et pourtant elle avait besoin de parler, d'être réconforter, d'avoir un ami à qui se confier... Mais se faire un ami c'était le risque de le perdre un jour ou l'autre et Louna avait assez perdu d'ami et même de membre de sa famille. Et voilà elle sentait à nouveau les larmes lui monter aux yeux et une boule se former dans sa gorge. Par chance, John la sortie de ses pensés en lui posant quelques questions.


- Comment te sens tu ? Ça te dirais de changer de lieu ? Visiter la cité ?

- Visiter la cité ?
Elle se retourna vers lui d'un coup avec des grands yeux remplie de curiosité. J'adorais!

Pendant un instant elle avait faillit lui sourire, mais elle se repris aussitôt en éclaircissant sa voix. Mais dans sa tête elle ne pu s'empêcher de sourire et d'être heureuse, elle adorait faire le tour de cette immense cité. Il faut dire qu'elle en avait marre de rester dans cette infirmerie, plusieurs fois elle avait essayer d'aller jeter un coup d’œil derrière la porte de l'infirmerie mais entre les médecins, les infirmières et surtout avec un militaire qui la surveillait sans arrêt, elle n'avais réussit qu'a voir au plus loin du couloir qui donner derrière la porte. Elle avait envie de sautiller vers la sortie avec l'envie irrésistible de visiter chaque recoins de la cité avec un guide pour répondre à toute ses questions, enfin elle espérait qu'il répondrais à la moindre des questions.

Elle se dirigea vers la sortie, sentant le colonel Sheppard lui emboîtant le pas. En arrivant à la porte de l’infirmerie, elle remarqua que le militaire qui la surveiller habituellement était partie. Elle ne pu s'empêcher de soupirer à voix basse, comprenant qu'elle était toujours sur surveillance. Pendant un instant elle avait associer John à un guide et non à un nouveau soldat la surveiller. Elle ouvrit à la porte, la tête basse et laissa passer le colonel Sheppard.


- Je vous suis... John...

Elle avait un peu de mal à l’appeler par son prénom sans baisser la tête et en rougissant très légèrement. Elle le laissa donc passer devant elle et lui emboîtant le pas, la tête baisser et avec un nouveau léger soupir. Une fois sortie de l'infirmerie et avoir fait quelque pas, son comportement changea de tout au tout. Elle leva la tête et regarda tout autour d'elle, tellement curieuse, sans qu'elle s'en rende compte ses yeux pétiller de curiosité. Elle se retenais pour ne pas sourire bêtement devant tout ce qu'elle voyais autour d'elle. Elle rester près du colonel Sheppard, chaque fois qu'il rencontrais quelqu'un sur leurs chemins, elle se rapprochait encore plus de lui comme si elle essayait de se cacher derrière lui, mais dès qu'elle s'en rendait compte elle faisait un pas en arrière pour s’éloigner de lui. Voilà une nouvelle preuve qu'une barrière en elle c'était bel et bien brisé.

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Jeu 7 Jan - 16:51

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Apprenons a nous faire confiance
PV Louna Dubois







La jeune fille qui se dressait face à moi, semblait si timide. Sa voix était base et hésitante. J'avais dû la surprendre, du moins je conclue cela … car sa voix restait neutre. Mon regard resta le même, amical et joyeux. Aujourd'hui, rien ne pourrait entacher cette bonne humeur. Il le fallait, autant pour elle que pour l'avenir qu'elle passera ici. D'ailleurs, je me demandais bien, ce qu'en pense Élisabeth de tout ça. J'avais proposé de la garder, ou qu'elle aille avec les Athosiens, si elle préférait. Car elle semblait abondée. Mais, du moins, tant qu'on ignore si elle a une famille, nous devrions rester sur le fait qu'on la ramène auprès des siens. Que ferons-nous d'une adolescente de 15 ans sur Atlantis ? J'ai envie de dire, qu'elle aura la chance de pouvoir bénéficier de nombreux savoirs et de vivre dans cette belle cité. Surtout qu'elle avait le gène. Faudrait juste trouver des volontaires pour jouer au professeur. Nous, ne pouvions pas appliquer des normes ou des « règlements » sur l'enfance, car nous étions bien loin de la terre dans un contexte bien différent.

Je l'avoue, j'avais une certaine hâte, à mieux connaître cette étrange jeune fille. Beaucoup de questions étaient en tête, mais il fallait prendre son temps et attendre. Parfois, je me dis qu'avoir des dons en télépathie, serai quand même bien utile. Que cela soit pour les négociations, pour savoir si le peuple qu'on visite est un copain des Geniis, etc. cela nous éviterai d'avoir certain problème, je trouve. Mais en créeraient d'autre… enfin c'est ce que Zelanka m'a sorti, quand je lui aie parler que les anciens avaient ce super don.

Louna, détourna la tête, regarda à nouveau la fenêtre, comme si, celle-ci avait quelque chose de fort attirant. À mes yeux, elle semblait perdue et assez indécise, devait-elle nous faire confiance ? Je me mettais à sa place, je pense que je serais tout aussi méfiant.

Elle ne répondit pas, si elle allait bien. Ces grands yeux s'écarquillèrent de curiosité et c'est un petit sourire satisfait que je hochai la tête. Je trouvais dommage, qu'elle se retienne de faire de même. Elle partit vers la sortie, quelque chose semblait l'arrêter… je l'observai intriguer, que ce passait-il dans sa tête ?

Elle me laissa passer, tête baissée, me suivant comme mon ombre. Je ralentissais pour qu’elle arrive à ma hauteur. Hors de question, qu’elle soit derrière moi, comme un petit chien.

Je commençais à me questionner sur son comportement, quand celui-ci changea radicalement. Tête levée, regardant les moindres détails des couloirs ou des salles que je lui présentais. L’association que j’avais faite avec le « chaton effrayé ce confirma. Quand on rencontra quelqu’un, elle se rapprochait de moi de plus en plus près, comme pour se cacher. Puis elle s’éloigna, comme pour réparer son erreur. La plupart des personnes, rencontrées me saluèrent et regardèrent d’un regard bienveillant cette « enfant », avec surtout de la curiste et l’envie de s’arrêter pour lui parler. Mais par chance aucun ne tenta de me retenir ou de l’approcher.

Je commençai ma visite, par les allées aux alentours de l’infirmerie. Puis en allant vers les quartiers personnels.

• Voici les quartiers personnels. Quand l’un des docteurs aura valider ton état de santé, nous t’en aménagerons un. Ainsi, tu auras ta propre chambre.


Je manquais de lui dire « en attendant qu'on trouve ta famille », mais cela aurait été maladroit de ma part. On ignorait tout d'elle et pour le peu que les Wraiths se sont régalés des siens … cela l'aurait rendue triste.

Je l'emmenai jusqu'au gymnase, ou quelques soldats et Ronron s'entraînaient. Celui-ci me fit un signe amical de la main avant de donner une raclée à l'un des militaires. Je lui fis voir la piscine, puis nous remontions vers d'autres sections d'Atlantis, dont la salle d'embarquement. Élisabeth était dans son bureau et je sentie son regard se poser sur nous. Elle sortit même, pour nous observer, hésitant à venir. Je lui fis un signe que non.

Au bout d'une deux heures de visite, des différentes salles de la cité. Nous arrivons vers le Mess. Où je lui demandai de m'attendre au bas de la porte.
Je revenu, quelques minutes les bras chargés de trois grand sacs en papier brun. J'avais fait exprès de la laisser seule, pour lui montrer que je n'étais pas un « surveillant », mais que je lui faisais confiance.

• Il est 16h30. Chez nous, c’est l’heure du gouter. Je vais t’emmener vers une salle secrète

Je lui fis un clin d'œil et je m'engouffrai dans un des couloirs peu visités. Une des salles était ouverte sur une grande baie vitrée. Je l'ouvris pour aller sur le grand balcon, sentant les ondes marines. Ainsi, nous avions une superbe belle vue sur l'océan infini qui brodait Atlantis. Parfois, on y voyait des sortes de baleines.
J'installai notre piquenique, par terre, avec une couverture, ouvrant le sac plein de victuailles. Il y avait des pains au chocolats des croissants, de la pâte à tartiner, des fruits, des barres de céréales et deux thermostats : un de café et un de chocolat chaud.

Je sortie deux tasses, l'une remplie avec le café et l'autre de chocolat. J'ignorais ses goûts. Alors, je lui proposai les deux. Je boirais celle qu'elle ne veut pas.
Une fois tout cela en place, je lui expliquai chaque aliment. J'avais même amenée des briques de jus de fruits.

• Bon goûté Louna ! Plutôt café ou chocolat ?

Je m’assis sur la couverture, et prit un pain au chocolat, croquant dedans. Je pris cette initiative, pour lui montrer qu’elle ne risquait rien.






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Jeu 14 Jan - 21:04

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La visite commença tout simplement, Louna écoutait attentivement ce que lui disait le colonel Sheppard regardant les lieux qu'il lui présentait. Elle comprit vite qu'elle n'allait pas marcher derrière lui mais bien à côté de lui. Elle ne se sentait pas trop à l'aise par cette situation au début, mais finit par se détendre tout doucement au fil de la visite.

- Voici les quartiers personnels. Quand l’un des docteurs aura validé ton état de santé, nous t’en aménagerons un. Ainsi, tu auras ta propre chambre.

-Ma propre chambre ?
Elle regarda très étonné le militaire, comme si il ne parlait pas du tout la même langue. Ça veut dire que je peu rester ici ? Que je ne suis pas obligé à retourner vivre dans les bois...

Elle en avait presque les larmes aux yeux en disant cela, on lui proposait une chambre endroit ou elle pourrait dormir en toute sécurité loin du froid de la forêt ou des Wraith mangeur d'hommes. Mais pourquoi il faisait tout ça pour elle, il ne savait rien d'elle à prêt tout. Pourquoi lui faire autant de confiance ? Tant de questions se bousculèrent dans sa tête, elle avait envie de pleurer de joie et de peur. Car soudain, elle se demander si elle ne devait pas se méfier d'eux pour tant de gentillesse, mais elle envie au fond d'elle de leur faire confiance. Elle avait envie d'avoir sa chambre à elle, de se sentir en sécurité quelque part, de ne plus avoir à mourir de faim et peut être avoir... Des amis...

Louna suivit le colonel Sheppard pour poursuivre sa visite, mais sa tête était quelque peu ailleurs, toujours perdu dans ses pensées par cette fameuse chambre. Elle avait continué à le suivre tête baisser, elle leva les yeux se trouvant devant un gymnase. Des soldats se battaient avec un homme, qui ne portait pas l'uniforme, ses vêtements étaient différents. Elle se mit à se demander si cet homme était un Atlante ou est qu'il venait d'ailleurs. Elle se sentit un peu rassurer en pensant à cela, quelqu'un qui serait un peu comme elle : ne venant pas de cette cité directement. Louna continua de suivre John, encore plus perdu dans ses pensées qu'avant. Tellement de questions se bousculèrent dans sa tête qu'elle ne faisait plus tellement attention au lieu ou elle se trouvait et à ce que pouvait dire le colonel Sheppard.

Soudain, on arriva devant une immense pièce ou quelques personnes mangeaient. Alors qu'elle allait continuer à marcher derrière le militaire, se dernier lui dit de l'attendre sur le pas de la porte. Elle vit s’éloigner, le suivant des yeux. Premièrement, elle se sentit heureuse qui lui fasse confiance et le laisse seul sans surveillance, même s'il devait sûrement la guetter du coin de l’œil. Mais ce sentiment ne dura pas longtemps, la peur vient vite l'envahir. Les personnes qui étaient en train de manger dans la pièce, se mirent à la regarder et à murmurer entre eux, ne cessant de la quitter des yeux. Louna baissa sur le coup les yeux, avant de les relevaient vivement vers le militaire ayant hâte qu'il revienne près d'elle. Elle ressentait exactement la même chose à chaque fois que la Reine la laisser seul avec d'autres Wraith dans la pièce. Une peur de se faire dévorer... Ils ne s’écoulèrent quelques minutes avant que John revienne vers elle et pourtant pour elle, cela lui sembla une éternité de solitude. Quand le vit revenir, elle sourit et fit un pas vers lui comme si elle était heureuse de le revoir, ce qui était en quelque sorte le cas...


-Il est 16h30. Chez nous, c’est l’heure du goûter. Je vais t’emmener vers une salle secrète

En à peine, quelques phrases, il venait d'éveiller toute la curiosité de la jeune femme. Ils ne s’écoulèrent quelques minutes avant que John revienne vers elle et pourtant pour elle, cela lui sembla une éternité de solitude. Enfin ça ressemble plus un goûter pour les enfants et un apéro pour les enfants. Tous les samedis, les familles et amis se réunissent autour de ce goûter pour parler et profiter des gens qu'on aime. Louna aimait beaucoup ce jour-là, car elle pouvait profiter de ces deux parents, son père ne partait pas à la chasse sauf cas exceptionnel.

Louna sourit timidement au clin d’œil que lui fit le colonel Sheppard et elle le suivit curieusement vers cette fameuse salle secrète. On s'engouffra dans un couloir tous les deux, on marchait quelques minutes ensemble avant d'arriver dans une salle donnant sur une grande baie vitrée que John ouvrit. Louna avança timidement sur ce grand balcon, les yeux grands ouverts admirant l’immense océan s'ouvrant face à eux. Elle ne put s'empêcher de lâcher un ''ouah'' devant tout ce bleue infini de l'océan. Louna avança timidement sur ce grand balcon, les yeux grands ouverts admirant l’immense océan s'ouvrant face à eux. Elle se sentait bien et détendue, pour la première fois depuis sont arrivé sur Atlantis.

Une derrière grande inspiration et expiration de cet air marin, avant que Louna se retourne vers le colonel Sheppard qui était en train d'installer le pique-nique. Elle s'assit délicatement sur la couverture, regarda avec une certaine envie chaque aliment se trouvant sous yeux. Un vrai festin royal pour elle, elle ne connaissait presque aucun aliment présent sous yeux a part bien sur quelques fruits, qu'elle avait eut la chance de déjà goûter a l'infirmerie et goûter pour elle est un bien grand mot.


-Bon goûté Louna ! Plutôt café ou chocolat ?

-Je ne connais ni loin, ni l'autre... J'en ai déjà entendu parler à l'infirmerie surtout de ce café, beaucoup de monde ont l'air accro et de l'apprécier. J'en vois même certain ne pas arrêter d'en boire, on dirait qu'il ne se nourrisse que de ça.


Elle dit cela, tout en rigolant doucement, même très doucement en regardant le colonel Sheppard. Puis elle baissa les yeux se sentant presque honteuse d'avoir osé rigoler. Elle sentit ces joues rougirent quelque peu, elle se mit à tousser comme pour essayer d'arrêter ces joues de devenir rouge tomate.

-Je devrais goûter les deux pour savoir lequel je préfère...

Elle leva timidement les yeux vers John, pour voir sa réaction avant de prendre les deux tasses qu'il lui avait proposé décidant de goûter les deux. Elle regarda les deux tasses, prenant le temps à regarder la couleur de chacun et respirant l'odeur que chacune dégager. Louna se sentait bien et détendue, elle avait remarqué que le militaire s'était servi à manger pour lui montrer qu'elle n'avait rien à craindre. Peut-être avait-il entendu parler du fait que Louna ne mangeait que très peu depuis son arrivé sur Atlantis, à l'infirmerie. C'est peut-être pour ça qu'il avait décidé d'organiser un petit goûter rien que tous les deux loin de toute cette foule se trouvant à l'infirmerie. Car entre les médecins, infirmiers et patients qui n'arrêter pas de passer toute la journée devant son lit, elle avait l'impression d'avoir vu tous les membres de l'expédition d'Atlantis en à peine quelque jours.

Louna bue quelque gorgée du café avant de se mettre à tousser fortement, le goût si amer et bien connu du café la surprit. Elle posa la tasse tout en continuant de tousser, au moins c'était clair le café n'étais vraiment pas à son goût. Elle ne pue s'empêcher de regarder la tasse de chocolat chaud d'un mauvais œil, il faut dire qu'elle n'avait aucune envie de se faire avoir une deuxième. Alors elle approcha doucement ces lèvres de la tasse, fermant les yeux comme si cela allait diminuer le goût de la boisson. C'est peut-être pour ça qu'il avait décidé d'organiser un petit goûter rien que tous les deux loin de toute cette foule se trouvant à l'infirmerie. Elle trouva cette boisson si délicieuse qu'elle ne pue s'empêcher de la boire cul sec sous les yeux du colonel Sheppard. Elle sourit une fois la boisson finie, elle n'avait jamais rien bu d'aussi bon de toute sa vie, de plus elle se sentit réchauffer rien qu'en buvant cette boisson même s'il ne faisait guère froid dehors. Elle regarda le colonel Sheppard en souriant, tout en disant :


-Le café est vraiment trop amer pour moi, comment les gens peuvent boire sa toute la journée ? Il devrait plus boire du chocolat chaud toute la journée, ça a bien meilleurs goût à mon avis. Mais toi que préfères-tu ?

En posant la question, elle se mit à se mordre les lèvres comme honteuse d'avoir posé la question et c'était bel et bien le cas. Elle ne pue s'empêcher de se dire qu'elle avait passé beaucoup trop de temps avec les Wraith et surtout avec la Reine. On lui donnait la permission de parler, de poser des questions et si on lui demander rien, elle devait tout simplement se taire. Mais les Wraith sont les Wraith et les hommes sont les hommes, ils n'ont rien en commun. Elle regarda John dans les yeux, prit son courage à deux mains et dit avant même qu'il est eut le temps de lui répondre quoi que se soit.

-Je... Est que j'ai le droit de vo.. De te poser des questions ?

Elle avait eut du mal à poser la question, les mots avaient eut du mal à sortir de sa bouche. Pourtant, Louna était miss curiosité, elle qui posait mille et une question. À l'infirmerie, elle avait cessé d'en poser au médecin qui s'occuper d'elle. Il faut dire que c'était la seule personne, pour le moment, en qui elle avait un minimum confiance, après tout une personne qui vous soigne n'ai pas une personne mauvaise, non ? Louna avait besoin de parler au fond d'elle-même, de se confier et de poser des questions en quelqu'un dont elle aurait plus confiance. Et avec John, elle se sentait comme rassurer par sa présence, qu'elle pue se permettre de poser cette question. Elle sera sa tasse vide entre ces mains, les yeux fixer dans le fond de la tasse comme perdu en attendant la réponse du militaire.

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Mer 27 Jan - 17:50

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Apprenons a nous faire confiance
PV Louna Dubois







Je ne m’attendais pas à cette réaction, quand je lui proposai une chambre. Cela me sera le cœur. Pauvre enfant, retourner dans les bois…qu’avait-elle vécue pour que la simple évocation d’un lit douillet, lui soit la plus belle chose au monde ? Son regard presque emplis de larme, me toucha davantage. Je retenue une moue compatissante. Ne voulant pas lui offrir de la pitié, car ce n’est pas chose qu’elle aimerait.

• Oui, tu peux rester ici. Du moins le temps qui faudra pour que ta famille vienne te chercher.

Si famille il y a… mais ça je le gardai pour moi. Je ne voulais pas, remuer le couteau d'avantage, elle finirait par me raconter d'où elle vient... Ou du moins, éclaircir et son passé, qui me semble bien sombre et traumatisant.

Durant le reste de la visite, ma petite touriste était perdue dans ses pensées… tête baisées ou le regard contemplatif sur les murs de la cité. Je ne fis rien pour la sortir de sa torpeur, continuant mes commentaires. Mais de temps à autre, je la regardai pour voir si elle était avec moi ou non et qu'elle me suivait bien. Elle avait le droit à ses propres pensées et ses propres interrogations. Même si, ma curiosité avait bien envie qu'elle m'exprime à voix haute les potentielles questions, qu'elle pouvait avoir en tête. Je trouvais cela dommage qu'elle ne soit que peu loquace. Enfin, bon, il ne fallait pas trop lui en demander, elle se retrouvai dans un lieu fondamentalement différent de ce qu'elle avait connue et surtout avec une civilisation aux mœurs toutes aussi singulières.

Mon test au mess avait porter ses fruits, elle ne s’était point enfuis … mais quand je revenu vers elle, elle m’afficha un superbe sourire de joie. J’y voyais aussi un soulagement assez fort, comme si restée seule, au milieu des autres Atalantes, avait été une expérience des plus difficile. Machinalement je regardai autour de nous… le mess était pleins et les murmures étaient bruyants. Oui, en effet, elle avait dû être fort impressionnée et peut-être effrayée de voir les regards se poser sur elle quelques instants. Hum, je me montrerai plus prudent la prochaine fois. Mais au moins, je pouvais lui faire confiance, elle ne me fera pas courir dans toute la cité, ou ne sa cachera pas comme un chaton apeuré. Et puis, ainsi, j’espérais instaurer une relation de « confiance » entre nous et l’amener à s’ouvrir.

La curiosité avait teinté ses prunelles, je m'en ravisai et ne tarda pas à lui ouvrir les portes de cette salle assez peu connue. La vue splendide de ce lieu, avait toujours comme conséquence sur les autres ce fameux « ouah », cet ébahissement primaire et pleins d'émerveillement. Louna, n'échappa à la règle.
La brise marine, fut un peu forte durant quelques minutes, le vent se levait pour mieux nous faire apprécier l'odeur si rafraichissante des vagues. Puis, le souffle d'Éole se calma pour faire place au silence de l'entendu d'eau et de ce beau soleil.

Louna était curieuse face à toute ces denrées, je lui souris attendant une réponse sur mon questionnement de boisson. Ainsi, elle avait remarqué que beaucoup d'entre nous carburaient au café. Cela me fit rire. Elle n'avait pas bougé de l'infirmerie et pourtant elle avait pu constater cette habitude purement terrienne. Comme quoi, on devait vraiment avoir l'air de drogué avec nos tasses de café.

• C’est vrais. L’avantage du café, c’est qu’il vous maintient éveillé et donne de l’énergie. Pour ça que beaucoup d’entre nous en boivent si régulièrement.

Louna semblait gène de rire, elle voulait faire taire celui-ci toussotant et rougissant quelque peu. Je ne comprenais pas le pourquoi et le comment, elle avait pourtant un rire plutôt agréable et enfantin. Mon regard fut intrigué par cette étrange comportement. Que ce passait-il dans la tête de cette jeune fille ?

• Oui, je pense que tu préféreras le chocolat. Le café est plus apprécié par les adultes

Enfin adultes… à nos yeux Louna était encore qu’une jeune fille et non un adulte… ça se trouve chez son peuple elle doit avoir la majorité…j’avais peut-être fait une bourde en disant cela.

La première gorgée de café ne fut pas très satisfaisante aux papilles de Louna. Un petit sourire amusé teinta mes lèvres. Je saisie sa tasse et la reposa près de moi. Ainsi, j'aurais le droit au café pour ce goûter marin. Elle se saisit de la seconde tasse d'une manière assez méfiante. Après l'expérience du café il était parfaitement normal qu'elle se demande qu'elle goût infecte devait avoir le chocolat.

Mon sourire était radieux et avenant. Apparemment le chocolat chaud lui plait énormément. Je ria à nouveau, elle avait bu cul sec, le liquide chaud sans se bruler. Et bah dis donc. Que ça soit sur les rapports de SG1, ou de mon propre constat, j'avais pu voir que les peuples ne connaissant pas le chocolat, avaient une nette addiction ou une préférence étonnante pour cet aliment. J'avais toujours trouvé cela assez amusant, mais en y regardant de plus près, nous, terriens avons énormément de procédés qui tournent autour du chocolat… que ferions-nous sans ce précieux aliment ?

Au moment où je lui tendis la tasse, elle me posa une question. Ma réponse allait se faire quand je remarquai sa soudaine gène et ses lèvres mordues. Ses deux grands yeux fixèrent les miens, j'étais assez dubitatif de sa seconde question, dite avec autant de mal, comme si cela lui en coûtait … tout cela, laissa quelques minutes… pantois.


• Eh … et bien oui Louna. Tu as le droit de me poser toutes les questions que tu veux. Cela n’est pas interdit. Et heureusement, car sinon nous serions bien malheureux de garder pour nous toutes nos interrogations.


Ainsi, elle devait vivre dans une civilisation, où les questions étaient interdites ? Ou pas à poser aux personnes plus âgées ? Je fus un peu dérouté mais, je repris vite de ma gaité, attrapant la tasse vide qu'elle serait contre elle, comme une boue de sauvetage, pour la re-remplir du breuvage qu'elle aimait tant. Heureusement que j'avais pris la dose niveau chocolat chaud.

• Pour répondre à ta question. J’apprécie aussi le chocolat. Mais je dois l’avouer le café est une boisson très pratique pour regagner son énergie perdue.

Je lui fis un clin d’œil.

• Et moi, puis-je te poser des questions Louna ?

Mon regard espiègle la toisa avec gentillesse. Puis-je lui tendis un pain au chocolat.

• Si tu aimes le chocolat chaud tu aimeras ceci. Beaucoup de nos sucreries sont faites avec le chocolat, je t’en ai apporté qu’une infime partie.

Je croquai une nouvelle fois dans le miens, profitant du paysage qui nous faisait face. Il n’y a pas à dire, je fais quand même le plus beau métier du monde. Responsable militaire dans une cité ancienne avec la chance de pouvoir voir de pareilles merveilles.







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