Le Deal du moment :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : ...
Voir le deal

Le début de la fin

 :: Cité d'Atlantis :: Niveau 4 - Quartiers du Personnel
Aller en bas

Invité
Invité

Lun 3 Fév - 21:56

avatar
Je me levais de mon lit. Plusieurs jours étaient passés depuis la sortie avec Eiden et j’avais du mal a dormir la nuit. Je ne savais plus trop quoi penser. Peut être que je devais lui dire, peut être que non. Il faudrait peut être que j’en parle a quelqu’un. Non, non pas une bonne idée. Et puis a qui je pourrai en parler avant que ca se sache ? Personne. Je me dirigeai vers ma douche, passais de vêtement et sortit. Je marchais dans la cité un peu au hasard, sans trop savoir. J’arrivais au bar et y pris un verre. Je regardais les gens qui y étaient. Certains seul, certains en couple… en couple. Ce que j’allais annoncer a Filippa allait surement briser le notre. Je soupirais, finit mon verre et quittais le bar. Je savais ou j’allais cette fois. Je frappais a la porte de la chambre de Filippa. Lorsqu’elle ouvrit la porte, je restais dehors. Je lui annonçais ce que j’avais a lui dire et ca réaction était normale. J’avais fait une connerie, et une belle.

Revenir en haut Aller en bas

Invité
Invité

Jeu 6 Fév - 23:05

avatar

Perdue dans mes pensées, j’enfilais pour la troisième fois ma veste en moins de cinq minutes. La journée commençait mal, après avoir loupé mon réveil, puis avoir manqué de renverser un vers d'eau sur des dossiers, je n'arrivais pas à m'habiller. En réalité, j'étais préoccupée. Rentrée depuis deux jours de ma mission avec Eversman, Spence et Jones, je n'avais eu aucun signe de vie de William. Hors je savais très bien qu'il était rentré de mission. M'évitait il ou tout simplement m'avait il oublié ? Telle était la question qui m'avait empêché de dormir une bonne partie de la nuit.

Alors que je m’apprêtais à me rende à mon laboratoire, quelqu'un toqua à la porte de ma chambre. Surprise, j'en sursautai. Pratiquement personne ne venait jamais me voir dans ma ''maison'' lorsque cela était important. A tout les coups, c'était à cause de ce qui c'était passé sur la planète. Un peu au ralentie, j'ouvris la porte. Au lieu de me retrouver face a un militaire de grande taille, a l'air sévère, je me trouvait en face de William. Le sourire au lèvre je m’apprêtais à l'embrasser mais je fus stopper pas ses mains. Que lui arrivait il ?

Il m'expliqua... Il me raconta de A à Z tout ce qu'il avait fait avec Eiden sans oublier les moindre détaille, la sensation délicieuse qu'il avait d'abord eux, l'envie... Pendant qu'il me racontait tout sa, je me sentais tomber en morceau, me détruire. Mon alliance, toujours a mon doigt me servait de déstressant, je la faisais tourner autour de mon doigt... Comment avais je pus etre cnne à se point et croire en lui. Il était semblable à tout les hommes de cette cité. Les femmes n'étaient que des jouets pour eux... Lorsqu'il eu fini son récit, je récupérais mon dossier fermais la porte de la chambre.

- Nous n'avons plus rien a nous dire. Vous aurez la gentillesse de ne plus m'adresser la parole dès cette instant !

Je partis en direction du laboratoire avec une envie de pleurer, une envie de me faire toute petite et de mourir...

Revenir en haut Aller en bas

Invité
Invité

Sam 8 Fév - 16:14

avatar
Je courus derrière elle. Je la rattrapais rapidement et l’attirais dans un couloir ou il n’y avait personne. La planquant contre un mur, retenant ses bras dans les miens, je la regardais droit dans les yeux. Enfin j’essayais de la regarder dans les yeux. Elle détournait la tête pour ne pas me voir et je dus la lâcher pour la faire doucement regarder vers moi. Je commençais a lui murmurer des paroles :

- Ecoute-moi un peu, s’il te plait. Je suis désolé. Vraiment désolé pour ce que j’ai fait. Je ne voulais pas le faire. Je ne voulais pas et pourtant c’est arrivé. Je ne vais pas te raconter des salades. la dernière mission nous a laissé avec les nerfs a vif et je ne pensais plus a rien en rentrant. Et même les jours suivant je ne pensais plus.

Je ravalais ma salive et attendis que des hommes passent au bout du couloir. Je la regardais dans les yeux. J’y voyais une profonde tristesse et, peut être, un début de dépression.

-Je vais être honnête avec toi. Je t’ai évité pendant 2 jours parce que je ne voulais pas te montrer a quel point la mission m’avait affecté. J’ai rarement eu aussi peur de toute ma vie et… c’est a ce moment que je me suis rendu compte a quel point je tiens a toi. Je t’aime, Filippa Akerfeldt. Je t’aime comme jamais j’ai aimé quelqu’un. Ce que j’ai fait avec… le docteur Andrews est inexcusable je le sais. Mais je n’étais pas moi. Je me suis arrêté avant que ca aille trop loin et que je…

Je soupirais et la lâchait. Je reculais un peu pour la laisser respirer et pour reprendre le mien. Je finis par me mettre a genou devant elle et levait vers elle un regard empli de tristesse et d’espoir.

- je ne me pardonne pas ce que j’ai fait. J’en dors plus la nuit et je suis au plus profond des précipices. Je sais que je t’ai fais beaucoup de mal mais j’ai préférer te le dire maintenant plutôt que tu le sache autrement. Je serais toujours honnête et franc avec toi. Je sais que ce que je vais te demander peut prendre du temps mais… pourra tu me pardonner un jour ?

Revenir en haut Aller en bas

Invité
Invité

Dim 9 Fév - 20:56

avatar
Bien évidemment, il me courut après pour me rattraper. J'accélérai le pas, je ne voulais plus jamais avoir à le regarder, à lui parler. Cette homme m'avait trahie, tout comme je l'avais fait avec mon mari.. Lorsqu'il m'agrippa le bras pour me conduire dans un couloir plutôt calme, sûrement pour me parler, ou pour autre chose qui sait. Une chose dont je ne voulais vraiment pas et surtout que je ne voudrai jamais de ça part.. Je commençai à me débattre mais la pression de sa main commença a me faire mal se qui m’arrêta rapidement.

- Lâche moi, je n'ai rien a te dire, sale enflure !

Malgré mes protestations, il ne m'écouta guère. Il me bloqua contre le mur, qui me donna comme première impression, qu'il m'embrasse. Mais il ne le fit pas, à mon plus grand soulagement. Néanmoins, il me cramponnais tout de même les bras, trop solidement pour que je ne me libère. J'avais envie de crier, pour que quelqu'un vienne m'aider, me libérer de se barge, mais je n'y parvins pas. Aucun son ne sortie comme si une partie de moi me dictait de ne pas le faire. Qu'au font je ne voulais pas, que j'aimais cette situation, que je n'attendais qu'une chose, qu'il m'embrasse et que tout soit oublié. Mais ce n'était qu'une partie infime de moi qui dans le moment actuel, n'était pas actif. Chaque mot qu'il prononçait était bien jolie mais ils me blessaient tous, les un après les autres..

- Cela ne me fera en aucun cas changer d’avis. Au revoir Premier soldat de première classe Winkle !

Je m’apprêtais à partir comme la première fois mais il me retenu encore une fois, en me tournant vers lui pour protester, je vis de la douleur dans son regard. Je ne sais pourquoi, mais je le fis tout de même. Je lui mis une gifle, juste avant de l'embrasser en me mettant à pleurer.

Revenir en haut Aller en bas

Invité
Invité

Mer 12 Fév - 22:21

avatar
Je lui tenais la main. Elle allait partir. Elle se retourna et me regarda… dans les yeux. J’étais fixé sur ses yeux et je ne vis pas le coup arriver. La gifle qu’elle me mit me fit chanceler mais ne me fit pas tomber. Elle m’embrassa juste après et se mit a pleurer. Je la pris dans mes bras. Je n’avais jamais ressentit une telle peur et une telle tristesse a l’idée de la perdre. Tout comme je n’avais jamais ressentit un tel soulagement quand elle m’embrassa. Mais je me doutais que tout n’étais pas finit et qu’elle allait avoir besoin de temps pour s’en remettre. Sans vraiment m’en rendre compte, je m’étais moi aussi a pleurer. J’avais sa tête sur mon épaule et la mienne sur la sienne. Une main dans son dos et l’autre caressant ses cheveux. Je murmurai son nom :

-Filippa. Fillipa. Je suis vraiment désolé de… de ce que j’ai fait. Pardon, pardon, pardon. Je… je t’aime. je t’aime a la folie. Filippa.

Je la serrais un peu plus, la berçant doucement contre moi, balançant d’avant en arrière pour la réconforter et aussi pour me réconforter. Je la redressais doucement, lui relevant son visage d’une main douce. D’un doigt je lui essuyais ses larmes et l’embrassais encore une fois, longuement, passionnément, amoureusement.

Revenir en haut Aller en bas

Invité
Invité

Sam 15 Fév - 22:26

avatar
Je mis fin à ce baisé en le repoussant doucement. Je le regardais dans les yeux, tendrement, j'avais de la peine pour lui. Je savais que ce que j'allais lui dire allait le blesser mais lui aussi me l'avais fait.. Je cherchais mes mots pour ne pas trop le faire souffrir mais surtout pour bien lui faire comprendre qu'il n'y aurait plus jamais rien, que c'était la fin.

- Je suis désolée mais tout est fini. Définitivement.. J'ai bien réfléchie, cela ne peut plus continuer, continu ta vie de ton coté, sans moi. Je suis mariée et j'aime mon marie plus que tout au monde. Ce qui c'est passé entre nous n'a été qu'une grossière erreur de ma part. Je m'en excuse.

Tout n'était pas vrai, mais après réflexion, être franche n'aurait servit à rien. Il aurait continué a cherché à me convaincre. Ce n'était plus possible. J'étais marier, MERDE !! Je le laissais sur place et partit sans le moindre regard. Je partis dans mon laboratoire, ma destination de base, pour y travailler toute la journée et une bonne partie de la nuit. Enfin plutôt à pleurer.

Revenir en haut Aller en bas

Invité
Invité

Sam 22 Fév - 0:57

avatar
Je la regardais partir le long du couloir. Elle venait de m’infliger un sévère coup mais je tenais le choc. J’étais entrainé pour résister a la douleur, fusse elle morale ou physique. Mais les coups comme ça, je n’y étais pas habité. J’étais un soldat et j’avais eu très peu de femme dans ma vie. Elle disparut a un carrefour et je me sentais seul. Plus seul que je ne l’avais jamais été. J’aurais voulu lui courir encore après, l’embrasser une nouvelle fois. J’aurais du, mais cela n’étais plus possible. Je retournais dans mes quartiers et m’y enfermais.

*** Trois jours plus tard***

J’avais vécu ses trois derniers jours loin de tout. Loin de l’expédition, loin des autres soldats, loin des nouvelles des autres planètes… loin d’elle. Loin de ma… non elle n’était plus ma Filippa. Mais je l’aimais encore. Je m’étais enfermais dans mes quartiers, dans l’obscurité, dans le noir de mon monde. Quelques personnes venait frapper a ma porte, l’ouvrait quelque fois mais personne ne me cherchais plus en détail. Ils crurent sans doute que je n’étais pas la. Ils auraient du mieux fouillé.

Je réapparus à la société trois longs jours après cette discussion avec Filippa. Je m’étais a peine rasé, je n’avais rien mangé, j’étais toujours triste et quelque peu déprimé. La lumières me fit cligner des yeux quelques minutes. Trop de lumière a mon gout. Mes pupilles rétrécirent et le fond de mes yeux ne laissait voir que la tristesse et le vide que j’avais. Le peu de personne que je croisais évité de croiser mon regard ou me laissait passer. Malgré mon état, mon pas était sur et ferme. Manifestement, on me cherchait pendant mon absence et plusieurs personnes me pressèrent de me présenter devant le commandant d’urgence. J’allais passer un sacré quart d’heure mais cela n’était en rien comparable à ce que j’allais faire. Je portais, sur mon bras gauche, un bandage blanc qui descendait jusqu'à la main. Je n’avais pas nettoyé ma main et quelque trace de sang y était visible. Je savais ou mes pas me guidaient mais je ne fis rien pour m’arrêter. Ses quartiers. Cette chambre. SA chambre. Elle était mariée, c’est ce qu’elle avait dit. Mais on était loin de la terre et l’amour sait être pervers dans des cas comme ça. Ma main se leva. Et ma main frappa. Une fois. Deux fois. Trois fois. Personne ne répondit. Je pris l’autre direction avant de me raviser. Je vis un de ses collègues au loin et lui demandais de transmettre un message au Docteur Akerfeldt. Me rejoindre sur un balcon qui donnait sur l’extérieur. Je m’y trouvais déjà quand elle arriva. J’étais en pleine lumière pour une fois, je ne voulais pas lui faire peur. Mon apparence ne me donnait pas beaucoup de crédit mais je devais tenter le coup. Je devais essayer de la reconquérir.

Revenir en haut Aller en bas

Contenu sponsorisé

Revenir en haut Aller en bas

Page 1 sur 1

- Sujets similaires

 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum