Denise Andrés ~ the french touch

Carte d’Identité » Nom : Andrés » Prénom : Denise » Âge : 35 ans » Date et Lieu de Naissance : Strasbourg, France » Nationalité : Française » État Civil : Veuve » Arrivée sur Atlantis : Avec l’expédition de base » Poste occupé : Militaire » Spécialité : Pilote

» Groupe Sanguin : B+
» Gène des Anciens : Non
» Inoculation du gêne des Anciens ? : (à remplir par l'administration après un mois de jeu et une demande d'inoculation) ...
» Pathologie : Aucune pathologie à ce jour
» Antécédents médicaux : Aucune blessure notable



» Caractère : Je dois bien l’admettre je n’ai pas un caractère facile. Mon passé d’enfant battue ne m’a pas vraiment aider à avoir confiance en moi et en les autres. Cette notion je l’ai apprise à l’armée et pourtant. Aujourd'hui encore j’ai du mal à accorder ma confiance à des personnes qui me sont totalement étrangères.

Le bon petit soldat que je suis respecte énormément la hiérarchie sauf si cette dernière me prend pour une débile profonde. Dans ce cas je ne me gêne pas pour dire ce que je pense. Pour faire simple je ne suis pas du genre à me laisser marcher sur les pieds.

Je suis également capable de faire preuve d’une loyauté à toute épreuve envers mes coéquipiers et mes amis. Je sais que je serais prêtes à partir en dernière d’une zone, disons, dangereuse, histoire de m’assurer que tout le monde soit en sécurité.

En ce qui concerne ma réaction en cas de stress, je ne sais pas trop en fait. Etant pilote d’hélico de combat, je ne me suis jamais vraiment sentie visée personnellement. J’ai toujours sus mettre de la distance entre le danger et moi. Je ne suis pas vraiment sûr de ma réaction si l’on me prenait directement pour cible.


» Phobies : Cela peut paraître complètement absurde mais j'ai une peur bleue des guêpes et des frelons. La présence d'une seule de ce petite bestiole me tétanise entièrement.

» Objet choisi : Une petite figurine représentant la Loreleï, une légendaire sirène du Rhin.

Compétences Primaires	Compétences Secondaires
Corps à corps : 3 Précision du tir : 4 Infiltration : 0 Pilotage : 8 Esprit d'équipe : 4	Explosif : 0 Résistance à la douleur: 3 Influence : 0 Sang Froid : 4 Soins : 0 Technologies : 1 Mécanique : 3

Si naître dans une famille aimante, pas forcément riche mais qui fait tout pour satisfaire vos désirs est avoir de la chance, alors moi je suis extrêmement chanceuse.
Une mère absente et un père violent, quoi de mieux pour se forger une carapace inébranlable. Au moins leur amour débordant m’aura permis d’être sur Atlantis aujourd'hui. Bien que cela me coûte de l’admettre je leur doit tous.

Je m’explique.

Ma vie a commencée en avril 1977, le 13 plus précisément, dans une petite ville au nord de Strasbourg. D’après ce que je sais, s’il n’y avait pas eu de complication à l’accouchement, si ma mère n’avait pas été obligé de rester à l’hôpital pour sa survie, elle serait tout bonnement partie sans moi. C’est dire à quel point j’étais une enfant attendue et désirée. Les choses se compliquèrent quelques années plus tard. Quand après s’être occupé moi pendant cinq ans, pour ne pas aller en prison bien sûr, mes chers parents ont commencés à me reprocher tout leurs malheurs. A les entendre, moi, une petite puce de cinq ans à peine, j’aie provoquée le chômage de mon père ainsi que son alcoolisme. Ah oui, c’est aussi de ma faute s’il frappait ma mère.

De ce fait on comprend mieux pourquoi elle passait ses journées à errer en ville ou à m’engueuler pour un oui ou un non. Jusqu'au jour où elle a tout simplement décidée de ne plus rentrer. Je ne sus, que des années après, qu'elle avait quitté le pays avec un homme, pas plus jeune mais plus riche. J’avais huit ans à cette époque et, comme mon père n’avait plus ma mère sur qui frappait il me frappa moi, logique.

A mon grand malheur, même bourré, il restait maître de sa force et ne m’a jamais rien cassé. Je n’avais donc pas de plâtre tous les deux jours et mon dossier médical était blanc comme neige. Hormis une petite varicelle à sept ans. Personne ne se rendit compte que j’étais une enfant battue et je ne réussis à me défaire de ce monstre qu'à l’âge de quatorze ans, en classe de 4ème.

C’était le jour où des gendarmes ont fait leur speech sur, justement, les violences au domicile. A la fin de la séance j’ai pris mon courage à deux mains et je suis allé les voir. Les choses se sont alors très vite améliorées pour moi. Moins d’un an plus tard je fus placée en famille d’accueil et à l’âge de seize ans je fus officiellement adoptée par cette même famille.

Il avait déjà une fille et un garçon, nous nous entendions à merveille, comme les doigts de la main. Ma nouvelle famille, que j’aime appeler ma vraie famille, parvient à faire tomber une partie du masque et la carapace que mes parents biologique ont mis des années à forger. Quand j’eue dix-neuf ans on déménagea près du 1er RHC (Régiment d’Hélicoptère de Combat) à Phalsbourg. A vingt ans je débutai une formation de 5 mois avant de rejoindre l’EAALAT (l’Ecole d’Application de l’Aviation Légère de l’Armée de Terre).

Sortant major de ma promotion, au bout de trois ans de formation, je pu décider de ma première affectation. Il était pour moi tout naturel de prendre l’unique poste libre au 1er RHC du Camp La Horie. J’étais la plus jeune pilote du régiment et l’une des meilleurs. Suite à un exercice dans les Alpes qui faillit tourner à la catastrophe, les hommes avec qui je travaillée me donnèrent le jolie surnom de Loreleï. Ils disaient que j’étais comme la sirène du Rhin, aussi belle que dangereuse. Nous étions en 2006, j’allais fêter mes vingt-neuf ans. Ce fut d’ailleurs lors de cet exercice que je fis la connaissance de celui qui allait faire de moi Mme Andrés deux ans plus tard.

Ma vie s’écoula le plus normalement du monde, avec ses hauts et ses bas. Mon père biologique décéda en 2008 et cela ne me fit ni chaud ni froid. Même si je vis rouge en apprenant que malgré tout c’était à moi de m’occuper des obsèques. Suite à cet épisode tragique pour mon compte en banque vint le moment pour moi d’organiser le plus beau jour de ma vie, mon mariage.

L’homme de ma vie, médecin militaire, né dans une famille riche, s’occupa de payer toute la cérémonie, la robe, la réception, tout. Et ce en dépit de mes protestations. Après ce moment magique et une lune de miel merveilleuse en Andalousie, nous dûmes retournée à notre petit train-train quotidien.

En octobre 2009, ont partit tous les deux pour l’Afghanistan. Au moment de nous séparer et de rejoindre chacun notre base d’affectation, aucun de nous deux ne se doutait qu’on ne se reverrait pas. J’eu la permission de rentrer quelque temps pour m’occuper de son enterrement avant de retourné auprès de mes collègues et amis. Je n’oublierais jamais le soutient qu’ils m’ont apportés à ce moment-là.

A partir de ce jour, je devins encore meilleure qu’avant, je repoussais sans cesse mes limites et celles du Tigre que je pilotais. Nous sommes rentrés une première fois en 2010 avant de repartir mi 2011.
A peine étions-nous rentré, début 2012, que je fus convoquée au Haut-Commandement. Me demandant quelle connerie j’avais bien pu faire pour intéresser d’aussi haut gradé, je ne fus que plus surprise quand je compris que j’étais recrutée pour le programme Atlantis. Je signe où fut ma première question.

N’ayant pas trouvé le courage d’affronter ma famille, de leur mentir, je parti sans un bruit en pleine nuit en leur laissant simplement une petite lettre pour leur dire à quel point je les aime…


» Comment votre personnage a-t-il vécu la première grande bataille sur Atlantis ? Où était-il à ce moment-là ? : Lors de l’attaque des Wraiths je me trouvée sur l’une des terrasses, avec les renforts qui venaient tout juste de débarquer par la Porte. Je ne me souviens plus où j’étais exactement, au-dessus de la digue Nord je crois.

Mes souvenirs sont un peu flous, la seule et unique chose dont je suis sûre c’est la terreur que j’avais ressentie ce jour-là et la sensation d’impuissance.

La dernière image que j’ai en mémoire et celle d’un Dard s’écrasant juste en-dessus de nous. Etant la plus proche du crash je fus "soufflée" par la déflagration et ce fut le mur juste derrière moi qui m'accueilli avec tendresse.

Je me suis réveillée dans le Dédale un peu avant la réussite de l'idée de génie du Major Sheppard.
Autant dire que je ne fus pas très utile dans cette bataille...



» Prénom ou Surnom : Laure
» Âge : 19 ans
» Célébrité de votre avatar : Marion Cotillard
» Comment avez vous connu Atlantis Insurrection ? Dans les partenaires du forum NCIS-RPG
» Connaissez vous les séries Stargate ? Oui et même je les adore, bien que je ne puisse pas souvent les regarder --'
» Multicompte ?Nope
» Codes du Contrat :