Wayne Curtis - The "BOSS" arrive et ca va chauffer

Données de compétences

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Données d'une personnalité

Dossier Psychologique :


Wayne Curtis n’est pas connu comme quelqu’un d’ambigu et retords. Au contraire, le lieutenant est quelqu’un d’assez simple, si on pourrait le dire. Droit dans ses actes et fidèles en ses convictions. Pour preuve, dans n’importe quelle conversation, le lieutenant Curtis se montrera toujours aussi franc. Il ne semble avoir peur de donner son opinion, même si elle peut être contraire à celle de la hiérarchie. Bien qu’il reçoît facilement les ordres venant de ses supérieurs, Wayne Curtis considère souvent tout le monde à un même pied d’égalité. Il a une vision assez traditionnelle de l’armée et désire la rappeler à tous ceux qu’il juge trop s’éloigner du droit chemin.

Toutefois, ce qui pourrait le plus déranger dans son franc-parler, c’est sa manière d’être cru dans ses paroles. Il s’adresse sans détour, manquant souvent de diplomatie, choquant plus d’une fois. Mais on peut être conscient que Curtis n’est pas porter sur le mensonge ou qu’il est mauvais menteur. Pour lui, l’honnêteté est ce qui aide une équipe à fonctionner, à une armée être bien diriger, des vies pouvant être sauvées.

Autre caractéristique importante chez le lieutenant Curtis, il s’agit d’un homme entièrement dévouer à l’armée et à son devoir. Descendant d’une longue lignée de militaire, Wayne a développer un patriotisme très fort ainsi qu’une orientation pro-militairebien marqués. Il défend les valeurs liées principalement à la nation et considéré le métier de militaire comme sacré. Si par moment il peut semblait radicale dans ses positions, ceci en fait un excellent soldat, qui se battra toujours pour sa nation et les valeurs qu’il lui connait, le rendant quelque peu incorruptible, d’après les dires de ses anciens compagnons d’armes.

Cependant, quand on interroge pour savoir quel serait son principal défaut, la réponse revenant le plus souvent est son côté autoritaire. Ayant gravit les échelons, entrainer depuis tout jeune à devenir un chef militaire et devant commander plusieurs unités, le lieutenant Curtis a bien prit l’habitude de diriger autrui. Quand il est en présence de civils ou avec des soldats moins gradés que lui, Wayne Curtis peut rapidement prendre les commandes, prenant les décisions dans une optique du bien d’autrui. Cependant son leadership est loin d’être sociale. On le rapporte comme quelqu’un d’assez dur, aboyant facilement et poussant toujours autrui à se dépasser, pour son bien même s’il doit être détester après. Curtis ne semble chercher l’affection d’autrui, mais un minimum de respect.

On le dit aussi déterminé. Quand on l’écoute parler de ses objectifs et ce que raconte encore ceux partis en mission avec lui, on note qu’il est difficile de faire changer d’avis ou abandonner quoi que ce soit ou qui que ce soit. Un objectif à remplir coute que coute en quelque sorte. Ceci lui valu plusieurs missions remplies avec succès et la reconnaissance de beaucoup, même si parfois, certains de ses objectifs peuvent virés à une forme d’obsession comme venir à bout d’un ennemi comme en témoigne certains rapports d’anciennes missions.

Il est clair que le lieutenant Curtis a tout du redoutable soldat inspirant autant qu’il pouvait faire craindre. Beaucoup de gens se disent impressionner dans tous les sens du terme quand ils parlent du « grand gaillard », décrit comme un géant ou quelqu’un pouvant vous broyer un crâne entre les mains. Pourtant, des traits de caractères dit plus doux, peuvent ressortir et qu’il faudrait bien écouter et regarder pour les discerner. La première pourrait être la loyauté. Cela pourrait être la loyauté envers son pays et l’armée comme mentionner plus haut, mais le lieutenant Curtis est aussi quelqu’un de loyal envers ses proches. Il respecte les hommes qu’il a en charge, veillant sur eux et se montrant protecteur à sa manière. De même, toute personne se retrouvant dans son cercle intime et ayant obtenu sa confiance, semblent gagner son soutient et son aide.

Si on lui dresse l’image d’un soldat assez violent et dur, on ne peut nier qu’il porte le qualificatif de bon. S’il peut s’emporter et punir un groupe par la faute d’une seule personne, Wayne Curtis ne poursuit jamais des objectifs personnels, ou très rarement. Il voit le plus souvent l’intérêt collectif et quand un danger arrive, sa principale préoccupation est la mise en sécurité d’autrui. Il ne cherche à nuire à personne, voulant le bien à chacun, même si ses manières sont discutable.

Enfin, un trait qui peut surprendre, le lieutenant semble quelqu’un d’introverti. Il ne va jamais à la rencontre de quelqu’un de son plein grès. Sauf si c’est pour une raison professionnelle, il ne va vers qui que ce soit pour discuter de n’importe quoi. On le voit souvent seul, peu de liens connus. Il mange dans son coin. Ce qui est assez ironique pour quelqu’un valorisant le travail d’équipe.

Données d'un passé chargé

Le lieutenant Wayne Curtis est né le cinq septembre mille neuf cents cinquante-neuf, dans la ville d’Aurora, dans l’état du Colorado. Il descend d’une longue lignée de militaire, surtout du côté paternel où chaque homme ou presque, s’est engagé. Certains étant de simples soldats, d’autres ont put devenir de hauts gradés, devenant tous des exemples pour chaque nouvelle génération.
Le père de Wayne, Noah Curtis, a un CV de missions et de parcours militaire bien remplit. Il gravit les échelons pour devenir capitaine et ce n’est que deux ans avant la naissance de Wayne qu’il rencontra et épousa sa future femme, Mia Wilson, qui était infirmière dans la base où Noah fut affecter.

La naissance de Wayne apporta beaucoup de joie au couple. Noah disait que son fils était déjà une fierté et espérait qu’il irait aussi loin que son paternel voir plus. Néanmoins, Curtis père connu un premier drame. Suite à une mission ayant mal tournée au Moyen-Orient, il fut rapatrié à cause d’une blessure invalident. Forcer de prendre sa retraire, Noah consacra son énergie à faire devenir Wayne le digne héritier de cette dynastie militaire.

On pouvait dire que la vie de Wayne n’avait pas grand-chose à voir avec celle des autres enfants de son âge. Là où beaucoup s’amusaient et formaient des groupes, Wayne connu surtout la solitude et l’éducation stricte et rigoureux de son géniteur. Il eut plus d’une fois, des conflits entre les deux hommes. L’un voulant pousser à son maximum son cadet, l’autre exigeant plus de liberté et moins de surveillance. Mais aujourd’hui, quand on en parle, c’est avec fierté que Wayne parle de sa jeunesse. Il raconte qu’il est au final reconnaissant pour son père, l’ayant fait devenir l’homme qu’il était aujourd’hui, avec un but et des valeurs. Durant son enfance et adolescence, Noah inculqua justement des principes, comme toujours veiller à la survie et le bien être de la nation, protégé sa famille et ceux qu’on aime. Toujours respecter son devoir.

Tout ceci finit bien par payer. Certes, le parcours fut difficile, surtout sur le plan sociale et affectif, mais en contrepartie, Wayne Curtis devint un excellent un élève. Frôlant souvent le maximum niveau note, il était surtout bon en sport et en langue. Tout le monde même, rapportait qu’il était toujours l’élève le plus sérieux, le plus mature et parfois le plus autoritaire, quelque peu moralisateur. Remarque qui plaisait au père. Tout ceci l’aida facilement à se faire intégrer dans l’US Army, qui comblait de joie toute sa famille, attendant ce jour comme un passage initiatique. On organisa même une grande fête le soir même, avec barbecue, musiques et boisson. Sans doute une des premières fêtes qu’assistait le jeune homme, alors qu’il entrait à peine dans sa majorité. On racontait à ce sujet d’ailleurs, que seul les invités et plusieurs membres de la famille s’amusait. Wayne serait resté stoïque, se mêlant peu à la foule et participant encore moins aux festivités.

Son père expliquera qu’en réalité, son fils était au-dessus de tout cela, qu’il était bien trop sérieux et avait des choses plus importantes en tête que de perdre son temps à danser. Mais la réalité était un peu plus sombre. L’éducation stricte qu’il reçu en réalité, pouvait ressembler à celle de ces moines enfermés dans leur monastère à apprendre les arts martiaux. Wayne n’avait que très peu d’expérimenter les relations. Ses amis souvent disaient qu’il était trop sérieux, barbant, associable même et restaient peu de temps avec lui. Question romance, ses quelques conquêtes ne duraient pas longtemps. Si plus d’une aimaient son côté romantique et attentionné quelques fois, il était trop obnubilé par le métier de soldat. Une obsession qui décourageait chaque femme partageant sa vie. La dernière même, le critiquera violemment, en disant qu’il n’était qu’un robot, avec un seul programme et qu’il n’avait aucune personnalité.

Wayne Curtis entra donc à l’armée avec tout le soutient de sa famille, ainsi qu’une vielle montre. C’était un cadeau de son père, qui lui expliqua cette tradition. A chaque fois que le fils ainé rejoignait l’armée, son père lui transmettait cette montre qui incarnait l’héritage des Curtis depuis la guerre d’indépendance. C’était comme si elle emportait avec elle, une part de chacun de ses porteurs pour que la génération suivante se souvienne d’eux et de pourquoi ils se sont toujours battus.

Les débuts dans l’armée ne furent pas faciles non plus. Bien que le nom des Curtis pût parfois faire écho, on accorda aucun traitement de faveur bien sûr au nouveau soldat. Wayne n’en demandait pas, mais se montra surprit quand il se fit bizuter par ses camarades. Au début il encaissait, laissant chaque épreuve l’endurcir, devenir plus fort. Il ne se plaignait pas quand il retrouvait ses affaires vandaliser, sa nourriture modifiée ou qu’on collait dans son casier quelques images douteuses. Et tout ça, c’était ce qu’il y avait de plus sympathique. Fort heureusement, Wayne trouva un peu de soutient auprès d’un de ses jeunes camarades, rentrer peu de temps avant lui, prénommé Peter Martin.

Martin voulu rassurer et soutenir le nouvel arrivant. Mais Wayne, peu sociable, mettait de la distance entre. Mais rapidement, une forme de lien amical se créer entre eux, même si Curtis ne se montrait pas plus démonstratif, mais une complicité naissait entre eux et chacun s’entre aider pendant les entrainements, devenant soldats de seconde classe tous les deux. Hélas, Peter était le bouc émissaire, la tête de turc comme on dit, d’un des gros bras de la base. Une cible facile car il était plus chétif que les autres. La hiérarchie elle, fermait les yeux, trouvant que c’était bon pour le moral. Mais Wayne à un moment en a eu assez et intervint. Il mit à terre l’agresseur pour protéger son camarade. Et là, avec autorité, devint l’entraineur personnel de Martin, pour le pousser à se perfectionner et ne plus se laisser marcher sur les pieds. Cet épisode attira le respect de beaucoup dans la base.

Par la suite, ils participaient à de nombreuses expéditions ensemble puis séparément. On rapporta à chaque fois le professionnalisme de Wayne, son sang-froid, ses prises de décisions qui ont sauvé plus d’une fois son équipe. Comme par exemple la fois où lui et ses compagnons furent envoyé en mission dans la jungle et devaient neutraliser un groupe terroriste. Ils tombèrent dans un piège, mais Wayne prit les rênes et donna les bonnes instructions pour que tous puissent s’en sortir indemne alors que leur chef était tétanisé.

La mission la plus éprouvante ceci dit, fut celle en Proche-Orient. Il faisait équipe à nouveau avec Peter Martin. Il s’agissait d’une mission de reconnaissance et prendre contact avec un groupe d’individu venant demander de l’aide aux USA. Mais une fois de plus, il s’agissait d’un piège. Dans l’affrontement, Wayne manqua de recevoir une grenade sur lui. S’il a eu la vie sauve, c’est grâce à Peter qui a poussé à temps son ami et prit la déflagration. On l’envoya à l’hôpital militaire le plus proche, mais c’était peine perdue. Martin mourut dans le transport. Wayne fut bouleversé et avait du mal à s’en remettre. Même, on doute qu’il s’en soit complétement remit.

Il est fort possible que ce soit l’élément moteur ayant encourager Wayne à se spécialiser en tant que moniteur EPMS. Toujours entrainer au maximum les autres, les préparer au mieux afin de leur donner toutes leurs chances de survivre. Il était plutôt bon entraineur. Ses élèves arrivaient toujours à de très bons résultats, même si presque tous disent qu’il était le moniteur le plus sadique de toute l’armée américaine, le traitant de fou ou de psychopathe.

Ceci ne l’empêcha pas d’être envoyer en mission au contraire. On le qualifia même d’excellent soldat. Quelque peu froid et moins sociable qu’avant, il se contentait de toujours suivre la mission. Les hommes qui travaillaient avec lui, ont du mal à discuter d’autre chose que de leur objectif. Ceci dit, cette carapace ne semblait résister complétement. C’était durant justement une de ses missions, qu’il fit la rencontre de Lamaï. Il s’agissait d’une femme travaillant pour les services secrets en Thaïlande. Une histoire assez étrange, avec ses hauts et ses bas, mais tous deux connurent durant leur mission une passion. Et même après, ils restèrent ensemble un petit moment. On disait que c’était la première fois qu’on voyait Wayne amoureux.

Ceci dit, leur couple était voué à l’échec. Constamment séparer et ayant que peu de permission de se voir, la flamme menaçait de s’éteindre. La situation devenait pesante, et ni l’un ni l’autre ne voulait quitter son pays pour vivre chez l’autre. Au final, Lamaï proposa de rester en bon terme et de se séparer. Wayne ne pleura pas, mais cette rupture lui fit tout de même mal, et l’accepta.

Wayne fut promu Lieutenant. Un grand honneur qui ravit une fois de plus sa famille. Son père, bien malade, put assister à la cérémonie avec sa femme, alors en fauteuil roulant. Il béni son fils et lui prédit que son histoire en réalité ne faisait que commencer. Se doutait-il de la suite ?

Tous ses efforts eurent une récompense dont il ne soupçonnait pas. Alors qu’il faisait son footing, une limousine vint l’accoster. Sans doute un peu clicher, mais c’était ainsi que cela fonctionnait souvent. Il reconnu un ancien caporal sous qui, il avait servi. Ce dernier voulait lui faire une proposition, quelque chose qu’il ne pourrait pas refuser et ferait honneur à sa patrie et sa famille. Intriguer, Wayne monta dans le véhicule et écouta ce qu’on avait à lui dire, ce qui allait bouleverser sa vie à jamais…

Données d'arrivée

Les renforts 2015 arrivent. Wayne semblait fidèle à lui-même. Calme, détacher, droit. Comme si tout cela était normal. Il est connu pour ne pas montrer facilement ses sentiments, sauf ceux où il peut exploser. Car intérieurement, il est impressionné. Voyager dans un vaisseau spatial, qui l’imaginerait ? Il avait du mal à croire à cette histoire de Porte des Etoiles et mondes visités. Mais quand il eut preuve sous les yeux, il était comme figé et n’en revenait pas de cet honneur que son pays lui offrait. Il aurait aimé prévenir sa famille, dire pour quoi il embarquait. Mais c’était tenu secret défense, et fut obliger de se contenter de raconter que c’était pour un voyage à l’autre bout du monde, avec un projet spatial en cours. Rien que ça, suffit à rendre fou de joie ses parents, surtout son père qui allait de plus en plus mal. Ceci peinait Wayne de voir son modèle, son mentor dans ce triste état. Car il savait que les chances de le revoir, ainsi que sa mère, restaient mince. C’était sans doute ses derniers adieux. Mais Noah l’encouragea en disant de ne pas se soucier de lui et faire ce qu’il devait faire.

Un vaisseau c’était une chose, mais Atlantis… Wayne Curtis ne pouvait s’empêcher de constamment lever les yeux en l’air en entrant dans cette cité alien titanesque. Il n’arrivait pas à y croire, se permit quelques questions sur les lieux et se sentit pendant les quelques jours qui suivirent, déboussoler. Pour ne pas se laisser submerger par la surprise et le dépaysement, « Boss » se mettra rapidement au travail pour occuper son esprit et ne pas regretter en même temps, tout ce qu’il a laisser derrière lui. Mais comme pour beaucoup de monde présent ici, il découvrait de nouvelles choses qui à la fois, l’émerveillait, sans jamais le montrer, et l’inquiétait, ceci il le montrait bien par contre.

Il reste un peu l'homme à part. Il semble toujours avoir du mal à se faire des relations, tout le monde le trouvant assez dur et sadique et donc, on se fait aussi bien un mauvais avis de lui, aussi bien du côté civil que militaire. Ceci dit, on ne peut mettre en doute ses compétences d'instructeurs qui ont aider plus d'un sur la base et de son efficacités sur les quelques missions dont il est participer, veillant à ramener tout le monde vivant.