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On doit connaître la noirceur avant de connaître la lumière

 :: Cité d'Atlantis :: Niveau 8 - Zone Médicale :: Infirmerie
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Cody Fuller
Caporal
Maître Chien
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√ Arrivée le : 01/07/2014
√ Date de naissance : 19/09/1995
√ Nationalité : Américain

√ Age : 28
√ Messages : 578
√ Localisation : Atlantis

Liste de vos DC : Aucun

Sam 4 Aoû - 18:53

Cody Fuller
On doit connaître la noirceur avant de connaître la lumière
Cody Fuller & Isia Taylor Laurence
18 mai 2018
La vie était une chose si précieuse et courte. Elle nous était donnée et reprit. Comme ça, sans avertissement. Il fallait écouter les battements de notre coeur, la chose la plus précieuse. Beaucoup d'autres personnes ne pouvaient plus le faire. Ces derniers jours, nous avions perdus beaucoup de membres du personnel de la cité suite à l'attaque des morphéas. Des personnes compétentes et précieuses à l'expédition d'Atlantis. Des personnes qui avaient des proches.

Je n'avais jamais vu la véritable forme du morphéa et c'était mieux ainsi. La créature avait prit l'apparence d'Isia. C'était troublant parce que cette femme était bien plus qu'une simple amie à mes yeux. J'ignorais si je réussirais à la regarder dans les yeux et ne pas m'imaginer une créature immonde. Oui, peut-être un jour. Les cauchemars la nuit me hanteront toujours. Avec l'aide d'un psychologue sur la cité, j'allais faire le tour des missions et des horreurs que j'avais vu. Avec ses conseils et son aide, j'essayerais de trouver des moyens pour mieux fonctionner. Ce n'était pas facile à faire, le changement n'était jamais facile à réaliser. Surtout quand les souvenirs remontaient uniquement quand j'essayais de dormir. Durant la journée, je n'avais pas trop de problème. Enfin, mis à part celui de morphéa Isia.

Je passai deux jours à l'infirmerie pour désinfecter les plaies et solidifier ma cheville pour qu'elle guérisse au mieux. Si je souhaitais marcher, je le faisais avec des béquilles. Le médecin m'avait donné un rétablissement de trois semaines avec rééducation. Quoi ? Je devais réapprendre à marcher ? Sous ordre du médecin, je n'avais pas de tâches vraiment physique à effectuer. Malheureusement pour Zelda, je ne pourrais pas aller courir avec elle comme à chaque matin. À la place, j'irais dehors avec elle et lui lancerais la balle. Ça lui ferait un peu d’exercice. Isia était à l'infirmerie également, comme toutes les autres victimes de l'attaque. Se portait-elle bien ? Avait-elle des blessures graves ? C'était l'heure des visites et je demandai à l'infirmière de garde si je pouvais aller la voir. Il fallait que je la vois. Ça me rendait malade de ne pas savoir comment elle allait. Après avoir eu l'autorisation de m'y rendre, je me levai de mon lit et me rendis au sien.

J'arrivai devant où elle se trouvait et me figeai sur place. C'est alors que des flashs passèrent devant mes yeux. Je ne pouvais pas bouger. Mes muscles ne me répondaient pas. Je revis la créature lui ressemblant me malmener comme une poupée qu'elle manipulait comme bon lui semblait. Elle me traînait au sol, me jetait dans l'eau, les aligatroncs arrivaient vers moi, mais elle me sortait avant que je ne me noie ou qu'ils me tuent. Je pouvais encore sentir ses lèvres sur les miennes quand elle m'avait embrassé sauvagement. Elles étaient les mêmes que celles que j'avais embrassé au bar athosien. Sauf que ce n'était pas elle ! La véritable Isia était bien vivante et réelle. Je secouai la tête, tentant de reprendre mes esprits et me dire que c'était uniquement une créature cherchant à s'infiltrer dans la cité pour la faire tomber. La véritable Isia ne m'aurait pas traité de cette façon. Elle avait peut-être un caractère de feu, mais elle était douce et gentille avec moi. Pas violente comme cette créature.

Je revins à la réalité et pris place à ses côtés sur une chaise. Je levai les yeux vers elle, me disant que j'avais devant moi la Isia que j'avais rencontré à la piscine, celle que j'avais aidé avec ses recherches, celle que j'avais embrassé de mon plein gré et celle qui faisait battre mon coeur comme un gamin qui recevait un magnifique cadeau de Noël. Je m'approchai d'elle et lui déposai un baiser sur son front, faisant courir mes doigts dans ses cheveux blonds tendrement. Je me reculai et lui offris un sourire pour ensuite me rasseoir.

« Bonjour, toi. Tu vas bien ? » demandai-je doucement, inquiet.
© Laueee

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Mar 7 Aoû - 18:21

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FT. Coccy
J’en avais marre d’être ici, mais mon état ne permettait pas encore que je sois sortie de ma chambre. Je n’avais aucune nouvelle des personnes parties en guerre, il devait arriver demain ou après-demain je ne sais plus. Le temps défile dans cette chambre. Et entre mes cauchemars dus aux souvenirs et surtout pressentiments de la créature qui m’avait volé mon corps je ne dormais pas bien. Ma férocité avait entraîne des blessures, j’avais de nombreux bleu et les poignets en sang. Que ça soit de ma lutte deux semaines avant que le morphéa me prenne, quand il était venu nous mettre dans les arbres ou quand je m’étais éveillé ici en panique … j’avais essayé à chaque fois de me battre de me soustraire au danger en vain.

Je me sentais encore sale au fond de moi… j’avais l’impression d’avoir été violé une seconde fois, mais au fond de mon esprit. Quand j’y repensais un peu trop, des larmes coulaient le long de mon visage si blanc…j’avais perdue du poids, faut dire que le morphéa ne savait pas trop comment maintenir efficacement en vie des humains, il devait aussi galérer a chaparder de la nourriture sans se faire avoir… résultat perte de poids et forte d’hydratation et j’étais blessé, des blessures mal soigner. Au fond de ma gorge, quand la langue en pointe de cette odieuse créature venait se mettre à jour j’avais une entaille…. Quand j’avalais j’avais mal et je prenais un plaisir relatif à déglutir.

Ce que je trouve horrible dans cette histoire est : que je sentais tout ce qu’elle ressentait, ces envies, ces désirs et surtout ces sentiments… sentiments amplifiés et passionnelle ! Elle avait fait beaucoup de mal la salope et même à moi qui vivait à l’instant T toutes les émotions et son contentement. J’avais hurlé de rage en la sentant couché avec Pedge de manière si forte et si amoureuse… surtout la dernière nuit avant son départ… Quand elle avait essayé d’avoir des rapports sexuels avec Dan avant de le foutre dans le placard car le pauvre homme « me » trouvait étrange. Faut dire que je ne lui aie jamais fait d’avance sauvage dans les vestiaires en pleine vaccination du personnel. Quand elle avait un malin plaisir à rouler une pelle à Cody avant de lui abimer l’entre jambe tout en pensant qu’elle aurait aimé s’en servir avant de le tuer… et qu’elle avait voulue faire durer le plaisir car elle avait peur et mauvaise conscience de fracasser un homme que j’appréciai et donc qu’elle aimait. Car oui, un morphéa ça aime direct… tout amplifié c’est désagréable.

Je m’étais fait avoir si facilement… et bêtement aussi. Je le digérai mal et je ne pouvais rien changer, juste me lamenter dans mon coin de mon erreur. Qui n’en était pas une. Après tout, j’avais vu le major Trudeau blessé le soir, quand je rentrais d’une soirée au top avec ma meilleure amie Erin. L’homme avait le poignet en sang et le lendemain je partais en mission sur le continent voire les Natus, alors bon… je lui avais dit de rentré dans mes quartiers et il m’avait sauté dessus… le morphéa avait fait son œuvre avant de m’attacher et de dormir avec moi me promettant mille choses. Oui ça c’est horrible, car le morphéa était tendre et doux avec moi, m’aimant comme s’il s’aimait lui-même… puis me frappait quand je tentais de me soustraire à son amour et ces baisser de mise ajour que trop douloureux. La passion… la passion d’une créature qui pouvait être aussi gentille qu’un agneau avant de vous battre comme un cacatoès furieux et macho ! (Oui ces charmants perroquets battent leur compagne !

J’avais de quoi m’occuper avec les quelques visites, mes livres et ma tablette. Ma chambre était amplis de fleurs comme à chaque fois que je me retrouvai dans le lit de ma propre infirmerie. J’étais beaucoup aimée mine de rien, malgré mon tempérament de garce. J’avais l’air d’une princesse dans son jardin !

Je fatiguais assez vite… et vers 16h30 je m’endormis, livre à la main sans m’en rendre compte. Celui-ci glissa au sol sans que ça ne m’éveil et j’étais partie dans un sommeil sans rêve. Ainsi, je ne vis pas Cody pénétré dans ma chambre pour m’embrasser et caresser mes cheveux. Son contact me tira de mes songes et je clignai un peu des yeux avant de reconnaitre son odeur. Je lui attrapai la main qui était en train de glisser le long des mèches dorées et qui s’éloignait, pour arrêter son mouvement, je n’en désirais pas qu’il s‘assois à coté sur une chaise, mais il pouvait poser son popotin sur le bord du lit.

Je lui fis un rictus. J’étais contente de le voir surtout que mes derniers souvenirs étaient des ressentis du morphéa et cela était très désagréable.

« Salut Coccy » ma voix était enraillée et mes traits tirés. « Tu n’as pas de plâtre ? Me semblait qu’elle t’avait brisé la cheville… » Oui j’éluctais sa question, je n’allais pas très bien, j’étais angoissée intérieurement du retour des soldats de l’opération Normandie… je redoutais qu’on m’annonce la mort de mon frère de cœur et de mon amante en plus d’ami comme le colonel et Skyler ! Et mes rêves étaient ponctués des événements qu’avait fait cette pute de morphéa !


Alphonse de Lamartine ; le lac
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Cody Fuller
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Mar 14 Aoû - 17:39

Cody Fuller
On doit connaître la noirceur avant de connaître la lumière
Cody Fuller & Isia Taylor Laurence
18 mai 2018
La main de la femme m'agrippa, me faisant savoir qu'elle voulait que je reste. Un sourire se dessina sur mes lèvres et je pris place sur le bord du lit, tournant ma tête dans sa direction. La voir étendue dans son lit, le visage pâle et creux me rendait malade. Elle n'allait pas bien, mais au moins elle était en vie. C'était l'essentiel. Dans le labo, je croyais que la femme que j'aidais était Isia. Je croyais... je croyais l'avoir perdue. À la minute où je l'avais descendu de l'arbre avec Natasha, je fus soulagé de la voir, mais en même temps extrêmement inquiet pour elle. J'avais également envie de déverser ma rage sur le morphéa que nous avions tué, sauf qu'il était déjà mort. Brûler le corps était une possibilité, mais ça m'aurait traumatisé de voir la créature lui ressemblant brûler. En plus, nous n'avions rien sous la main. Tout était vivant dans ce labo.

« Oui, j'en ai un » répondis-je, faisant un signe vers mon pied pour mettre l'accent sur ma réponse. Je levai les yeux vers elle et la fixai, sachant qu'elle ignorait totalement ma question. En même temps quelle question ! Bien entendu qu'elle n'allait pas après cette lourde épreuve.

Je levai une main et pris la sienne dans la mienne, caressant doucement le revers de mes doigts. Je ne lui en voulais pas. Elle qui avait été victime à la place d'assaillante ? Non, je ne pouvais pas. Ce n'était pas justifié de ma part d'en vouloir à quelqu'un qui n'avait pas demandé qu'une créature prenne sa place et maltraite ses proches. Bon ok, j'avais droit à des troubles psychologiques, mais je faisais de mon mieux pour les gérer. Je ne connaissais pas sa situation à elle, mais je ne pouvais pas lui en vouloir d'avoir été dupée par un membre du personnel. Après tout, il devait sans aucun doute ressembler à l'original.

« Je ne t'en veux pas, Isia » dis-je après avoir avalé difficilement ma salive. Je m'approchai un peu d'elle et encadrai son visage de ma main pour lui caresser sa peau doucement. « Oui, c'était troublant voir cette créature te ressembler. Au début, j'ai cru que c'était toi. J'étais certain qu'elle l'était, mais après... »

Mes paroles se coupèrent net. Je n'arrivais plus à prononcer quoi que ce soit. La suite était bien trop difficile. Je n'avais pas à le dire, elle savait à quoi je faisais référence sauf qu'en parler avec la personne concernée faisait le plus grand bien. C'était libérateur. Cela me permettait de me mettre dans la tête que la chose qui m'avait attaqué n'était pas cette femme qui se trouvait devant moi.

« Je sais bien que tu m'aurais jamais maltraité de cette façon. Tu es une belle personne que j'apprécie beaucoup » Je brisai le silence qui s'était installé entre nous deux, lui offrant un sourire, tentant de faire un peu d'humour pour alléger la situation et essayer de la faire rire un peu. « Ce que cette pétasse à fait à Zelda... Tu l'aurais jamais fait. Tu aimes bien trop mon chien pour la traiter de cette façon. Et puis, je doute fort que tu aies des tentacules qui te sortes des fesses »

Je lui offris un baiser sur son front puis me reculai, caressant sa joue pour tenter de la réconforter un peu.

« J'aime pas te voir dans cet état. Je sais bien nous pouvons pas toujours être forts. Laisse-moi être présent pour toi, Isia »

Je me reculai pour la fixer silencieusement, attendant la moindre réponse de sa part. Ce que j'avais dit ressemblait presque à une déclaration d'amour. Ce l'était en quelque sorte. Après avoir passé proche de perdre la vie et perdre cette femme, il était certain que les événements m'avaient fait comprendre quelques leçons importantes. La vie n'était pas éternelle. Elle était empruntée et reprise, la plupart du temps sans avertissemet. J'aimais cette femme, je voulais la protéger et la rendre heureuse. J'ignorais si elle éprouvait la même chose que moi et cela me faisait peur, mais je voulais croire qu'elle ressentait un minimum d'affection envers moi. Je pinçai mes lèvres et détournai le regard, prenant des inspirations pour calmer mon coeur qui voulait sortir de ma poitrine.
© Laueee

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Dim 2 Sep - 17:47

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FT. Coccy
Il avait un plâtre ? Je me penchai un peu du lit pour voir si cela était vrai. Enfin je le croyais mais c'est mon côté médecin qui voulait vérifier... il semblait bien mis et heureusement sinon cela allait gueuler. Avec cette histoire de morphéa ce qui m'embêtait le plus était que cette immonde créature changeling avait pris mon apparence et avait réalisé des actes en mon nom et personne. Même si je savais que ce n'était pas de ma faute, je ne pouvais pas renier le sentiment de culpabilité qui me prenait, quand des personnes que j'ai blessées viennent prendre de mes nouvelles.

Je m'étonne toujours de la douceur de cet homme. Il a vraiment une gueule d'ange et son comportement colle bien avec l'image du gentil garçon qu'il véhicule par sa bouille de beau gosse un peu naïf. Je suis du genre dominante et les gentils je les bouffes, allez savoir pourquoi Cody n'est pas encore consumer par la fureur de mon tempérament de feu. Peut-être parce que même les dragons ont besoin d'un peu de douceur d'un proche ? Que parfois être dur comme un roc est fatiguant et se laisser recouvrir d'un peu de mousse ne fait pas de mal. Oui surement, parce que je l'apprécie bien et que je n'ai pas de raison de le rejeter. De toute façon, beaucoup de choses change chez moi, il y a des éléments auxquelles je ne voulais pas faire face que je suis forcée de contrer. Notamment avec Pedge, je ne sais pas véritablement ce qui se passe avec elle, mais bon, l'avenir nous dira.

Le silence s'était installé quelques minutes, je remis ma tête contre l'oreiller imposant, toisant les nombreuses fleurs qui entouraient mon lit telle une princesse endormie. Cela me fit sourie, j'étais la personne qui était peut-être le plus soumise à la critique, certain disait de moi que j'étais une garce, mais regardez-moi toutes ses fleurs et boites de gourmandises ! Je suis bien la seule à recevoir autant d'attentions alors que j'ai une réputation de connasse. Comme quoi, les gens aiment les pestes.

Ce fut les mains de Cody et son « je ne t'en veux pas Isia » qui me fit relever les yeux vers cet homme tout en douceur. Il me rappelait les nounours en guimauve. J'avoue que savoir qu'il ne me portait pas pour responsable de son attaque, me soulageai et je trouvais ça ironique à la fois. Heures muent qu'il n'avait pas de rancœur, cela serait stupide surtout que je n'y suis pour rien. Mais l'esprit humaine sont souvent bête. Il continua sa phrase qui fut coupée, sa gorge devait être trop étroite pour me dire la suite. Je soupirai, levant mes deux mains sur les siennes.

« Tu n’es pas obligé de le dire Cody » dit-je simplement, ne voulant pas qu’il se fasse du mal et aussi qu’on parte dans un domaine un peu trop sentimentaliste que je ne pourrais lui offrir. Mais il se lança et je ne savais pas où me mettre. Je suis quelqu’un un tantinet égocentrique et j’aime les compliments, mais me dire que je suis belle personne, cela me fit doucement rire. Je ne me considère pas très belle au fond, j’ai vécu choses traumatisantes et je suis quelqu’un qui ne connait pas la pitié. Cependant, le cœur un peu à l’étroit j’accepta cette phrase qui fais tout de même du bien à entendre Je lui souris avant qu’il enchaîne sur Zelda. Et ça je l’avoue ! Oui je n’aurais jamais maltraité un animal ! Un humain oui mais un chien ! Et surtout MA Zelda ! Ma princesse ! D’ailleurs elle n’était pas là…

« Non je n'ai pas ce genre de choses dans les fesses » dit-je en pouffant « Mais je suis certaine que certains aimeraient bien ! » je ricanai comme une idiote repensant au films prono japonais qui fantasmaient sur les tentacules. Il me fit un baiser sur le front que fit taire mon rire un peu déplacé sur le coup.

« Je n'aime pas non plus, mais ça passerait ne t'inquiète pas, j'ai vécu pire » dis-je simplement, je ne voulais pas d'aide, je suis quelqu'un de bien trop fière pour accepter ce genre de choses, même dite avec toute la bonté du monde. Je me redressai sur les coudes, pour me rapprocher de lui et lui prendre les joues et l'embrasser sur les lèvres avant de me décoller à quelques centimètres.
« Si tu veux m'aider reste un peu, me tenir compagnie, je m'ennuis et ça me fait penser à autre chose. D'ailleurs on ne pas autorisé à faire venir Zelda ? Elle va comment ? »


Alphonse de Lamartine ; le lac
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Cody Fuller
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Sam 29 Sep - 4:19

Cody Fuller
On doit connaître la noirceur avant de connaître la lumière
Cody Fuller & Isia Taylor Laurence
18 mai 2018
Assis sur ce lit à côté de cette femme, mes doigts caressaient le revers de sa main tout en douceur. J'espérais que ce geste réussisse à la réconforter un peu, qu'un peu de douceur de la part d'un proche l'aiderait à surmonter cette pente. Nous étions plusieurs dans cette histoire, toute la cité souffrait, mais... je m'inquiétais pour Isia. Je voulais uniquement qu'elle aille bien et qu'elle soit en sécurité. C'était tout ce qui importait pour moi.

Ma gorge se serrait alors que je parlais. C'était difficile m'ouvrir à une autre personne. J'avais toujours cette crainte qu'elle me juge ou me rejette. J'avais le droit d'éprouver ces émotions, elles étaient valides. J'expliquais que j'avais cru que je l'aidais, mais c'était le morphéa. Mes paroles se coupèrent. C'était bien trop difficile de continuer, de revivre ces événements traumatisants. Isia me dit que je n'avais pas besoin de le lui dire, mais cela m'aidait à me mettre dans le crâne qu'elle ne m'aurait jamais attaqué de cette façon. C'était libérateur.

Les mains d'Isia se posèrent sur les miennes et un frisson parcourut mon corps. Son toucher était agréable. Cela faisait du bien de sentir la chaleur de sa peau sur la mienne. Je levai les yeux vers elle et lui offris un sourire en réponse. Ma jambe était peut-être dans un plâtre, mais en ce moment, je me sentais super calme et heureux de voir qu'Isia allait bien. J'étais content de pouvoir lui parler un peu et de voir comment elle allait. Pendant tout le temps où je dû attendre pour la voir, j'avais senti l'anxiété et l'inquiétude monter.

« Ça fait du bien t'entendre rire comme ça » dis-je, le sourire toujours sur les lèvres.

J'étais content que ma blague réussisse à la faire rire un peu. C'était bien pour se détendre et décompresser un peu. Oublier la douleur l'espace de quelques secondes. La femme dit qu'elle allait bien et que cela passerait. Je voulais bien la croire. Nous avions connu pire, bien pire même... Mais je ne pouvais pas m'empêcher de me faire du soucis pour elle. Avec du temps, les choses se replaceront et nous reprendrons le court de notre vie. C'était difficile, mais nous allions réussir à nous en sortir. Je n'étais pas dans sa peau pour savoir comment elle vivait la situation. Elle non plus n'était pas dans la mienne. Elle ne m'avait pas beaucoup parlé, mais d'après ce que je voyais, elle semblait apprécier le réconfort que je lui apportais.

« Je veux te croire. Je veux juste que tu ailles bien » répondis-je.

Ce fut les lèvres d'Isia qui me surprirent. Le baiser était doux et d'une tendresse totalement différente de celui que nous avions échangé il y a quelques mois. Cela me surprenait qu'elle accepte de m'embrasser de son plein gré, mais je n'allais tout de même pas refuser. Je retournai son baiser, mais il fut plus court que je ne l'aurais voulu. Je me reculai et posai mon front contre le sien, fermant les yeux. Je levai une main et encadrai son visage puis relevai la tête pour déposer mes lèvres sur son front.

« D'accord, je vais rester pour toi. Non, ils ne l'ont pas autorisé à venir. Je vais lui rendre visite des fois. Elle va bien. Une patte de cassée, mais rien de plus » Il y eu un silence entre nous deux alors que mes doigts s'entremêlaient dans ses cheveux et je la fixais dans les yeux. « Je suis sérieux. Tu as besoin de moi, je suis là. J'étais sincère la fois où je te l'avais dit »
© Laueee

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Jeu 18 Oct - 17:48

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FT. Coccy
Je ne pus m’empêcher de stopper le geste de caresse de Cody, je sentais bien qu’il faisait ça pour me réconforter, or je n’en avais pas besoin. Je n’ai pas besoin qu’on me prenne en pitié ou en tristesse, cela est une chose qui me sort par les yeux.

Je lui fis un rictus amusé, oui je suis joviale mine de rien et j’aime rire pour tout et n’importe quoi. J’émis cependant un soupire quand il réitéra son besoin de savoir que j’aille bien, il était tout doux mais aussi protecteur.

« Arrête de t’inquiéter Coccy. » dis-je un peu sèchement avant de me lever sur les coudes et de l’embrasser. En tout cas, ce geste spontané semblait le surprendre, je sentais qu’il en avait envie et qu’il en avait aussi besoin. Après sa déclaration sur le morphéa le rassurer était la moindre des choses et j’en avais envie. C’est une manière de le faire taire et de changer de sujet. Je ne suis pas sentimentale et cela me met vite mal à l’aise ou m’agace. Et Cody avec toute sa douceur et sa rondeur dans les mots, était typiquement le genre de personne à être romantique et je ne voulais pas finir par être irrité par ses manières. Je l’appréciai et en conséquence je le protégeais de mon caractère destructeur. Et puis, il était le premier mec avec qui je flirt sans avoir même couché avec ou même être aussi doux. Cela était étrange et innovant à la fois. Il n’avait pas l’air avec sa gueule d’ange baraqué comme une armoire mais au fond ce n’était pas un kéké tombeur de nana mais un homme trop gentil et profondément humain. Il comblait la part manquante de mon manque d’humanité en somme.

Un geste humain assez agréable surtout qu’il était bouillant ! Il était incroyablement chaud et je me considérai comme glaciale à côté de son corps digne d’un radiateur ! Je ne sais pas pourquoi les hommes ont toujours l’air plus chaud que les femmes…Encore un mystère ou une impression. Je le laissai se coller le front contre le miens, en fait j’avais un peu froid et son contact me faisait du bien. J’ouvris les yeux quand il se décala pour me répondre au sujet de cette brave Zelda.

« J’espère qu’elle n’aura pas de séquelle pour sa patte… » Les chiens comme les hommes étaient mis à rude épreuves sur cette galaxie et heureusement que la technologie à la pointe permettait des miracles que sur terre il en aurait été impossible. Quand il me parla je lui donnai une tape sur les abdos, ça allait finir par rentré à la fin. Je ricanai en même temps sentant mes cheveux filer entre ses doigts comme un jeu.

« Tu as peur que je ne comprenne pas pour me le répéter une dizaine de fois ? Ou que je sois amnésique ? » Dis-je d’un ton cynique avec un sourire ironique. Je ne sais pas pourquoi, il avait ce besoin de le dire et redire. Cela commençait à m’énerver un tantinet. Je ne sais pas quelles sont les filles qu’il a fréquentées avant, mais je ne suis pas une nunuche qui a besoin d’un prince charmant. Je n’ai besoin de personne en générale. Mais je prends le soutiens qu’on me donne, puisque depuis quelques années je commence à ‘m’attacher aux gens et à former des liens, qui certes me briserons s’ils s’avère a se dissoudre, mais je prends des risque en m’attachant à certains… si seulement je savais à cet instant (et dans quelques semaines) que mon frère de cœur Panda était en train de se faire jeter et qu’il partirait dans la cité sans me le dire… si seulement à cet instant je le savais et bien je crois que je ne serais pas consolable du tout.



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Sam 8 Déc - 21:16

Cody Fuller
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Cody Fuller & Isia Taylor Laurence
18 mai 2018
Jamais je ne m'étais senti aussi protecteur envers qui que ce soit. J'avais toujours été du genre à être présent pour les autres et vouloir les aider, mais avec elle... c'était totalement différent et cela m'effrayait. Quel était ce sentiment que je ressentais ? De l'amour ? Non, je pouvais pas l'aimer. Cela faisait quelques mois à peine que l'on se connaissait. Pouvait-on apprendre à aimer quelqu'un en si peu de temps ? Je devais avouer que l'on s'entendait bien tous les deux. La conversation était facile et elle s'intéressait réellement à ce que j'avais à dire. En plus, elle avait l'air de bien apprécier mes blagues.


Elle ajouta par la suite qu'elle espérait que Zelda n'aurait aucune séquelle pour sa patte. Avec une bonne guérison, les os se ressouderont et ce serait comme si elle ne se l'était jamais brisés. Je m'assurais qu'elle ne marche pas trop dessus, mais par réflexe elle n'appuyait pas trop son poids. Elle était forte et courageuse. Elle avait connu bien plus pire. La chienne s'était lancée pour protéger son maître. C'était tout à fait normale de la part d'une race loyale et aimante comme la sienne. Je secouai doucement la tête, offrant un sourire en guise de réponse.

« Elle en aura pas. T'oublie qu'elle a un maître génial comme moi pour la surveiller ? » demandai-je sur un ton moqueur, soulevant un sourcil.

Je m'étais répété à propos de la sincérité de mon soutien envers Isia. Elle me le fit savoir qu'elle n'aimait pas que je le fasse. Je voyais bien qu'elle était un peu agacée et je n'avais pas envie qu'elle le soit. C'était une de mes habitues et il fallait que je travaille dessus. Des fois, je le faisais même inconsciemment. À force de le faire, mon subconscient s'est habitué et n'y pensais même pas. Je savais que ça pouvait agacer les gens et je faisais de mon mieux pour m'améliorer.

« Je suis désolé. Je— » répondis-je, fermant les yeux et détournant la tête. Je n'étais pas blessé ou autre. Non. J'étais agacé. Pas contre elle. Contre moi. Je devais arrêter de le faire.

Pourquoi m'excusais-je au juste ? Il fallait vraiment que j'arrête de me sentir coupable de ressentir quoi que ce soit. Je devais travailler un peu sur moi. Ce n'était pas facile à faire, mais c'était possible. J'avais toujours été du genre à me répéter. Peut-être que cela remontait à des blessures d'enfance non guéries. Il était vrai que mes parents avaient eu rien à foutre de moi. Avec le temps, je m'étais internalisé que je ne méritais pas d'être entendu. C'était un sujet de conversation pour une autre fois. Je ne connaissais pas assez Isia et je doutais fort qu'elle veuille entendre ce genre de chose.

« Non pas du tout. Je crois que... je crois que c'est de la peur » ajoutai-je, reposant mon regard sur elle, prenant sa main dans la mienne et enlaçant nos doigts. Ce n'était pas du tout un geste romantique. C'était plutôt pour me rassurer et essayer de passer au travers ce qui nous arrivait. « J'ai... j'ai flippé dans le labo. J'ai cru que je t'avais perdu »

Je me sentais si vulnérable et... faible. C'était la première fois que je m'ouvrais à une femme depuis des années. Je savais bien qu'elle souhaitait changer de sujet, mais j'avais besoin de le dire. Ça me rongeait de l'intérieur. Je levai les yeux vers elle, ne me souvenant pas de les avoir baissé et brisai la distance qui nous séparait. Je posai doucement mes lèvres contre les siennes puis me reculai. C'était ma façon à moi de dire qu'elle était là et que tout se passerait bien.

« Je vois que beaucoup de gens sont venus te voir. Y a pleins de fleurs et de jolis cadeaux pour toi. » dis-je alors que mon regard se posait sur les présents que les gens lui avaient donné. « Tu dois rester à l'infirmerie pendant encore combien de jours ? »
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Lun 10 Déc - 18:37

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FT. Coccy
La jeune femme lui fit un beau sourire en ricanant de plus belle. Oui, elle ne doutait pas un seul instant qu'il allait la bichonner sa chienne.

« Tu as intérêt sinon je la récupère pour maltraitance ! » Et elle était bien capable de le faire soyons clair. Isia adore les animaux et elle s‘était trouvé une vocation pour les chiens et plus particulièrement les bergers allemands. Elle qui depuis tout ce temps se pensait être une femme à chat. Mais, cela n'empêchait pas qu'elle aimait tout autant les matous.

La pique cynique avait marché, même s'il allait encore s'excuser une énième fois. Cet homme était véritablement, une boule de sentiment sur patte. La jeune femme le laissa prendre ses esprits, de toute manière, elle se sentait comment dire ? Lasse, son corps était fatigué et elle était moins vive que d'habitude. Elle avait encore l'impression que son corps était enfermé dans ce cocon et sa gorge subissait ce baisé non consentie du morphéa. Des douleurs ou des sensations fantômes, cela arrive toujours et c'est pénible. Sans s'en rendre compte, elle s'égarait un peu dans ses pensées. Elle releva les yeux vers lui, il lui avouait avoir eu peur, même elle qui avait un déficit en avait ressenti un peu. Quoique non en fait, elle avait ressenti de ‘l'angoisse et beaucoup de colère comme elle ressentait tout ce qu'avait fait cette horrible créature aux autres et aux personnes à qui elle tenait.

« Il en faut plus pour me tuer. » Dit-elle, on aurait dit un vieux militaire façonné par ses multiples missions sur le terrain. Cela la fit rire comme une idiote, mais elle s'en foutait. Elle voulait juste éviter d'être trop souvent une patiente quand même. Mais le rire fut éteint quand Cody l'embrassa une nouvelle fois, décidément ! Elle lui sourit, la tendresse lui allait bien aujourd'hui, elle avait surement besoin d'un peu de ça.

Son regard parcourra sa chambre, remplit de fleurs et d‘autres présent, elle avait toujours reçu ce genre d'accueil, elle avait beaucoup de fan et des amis sincères. Elle hocha la tête.
« Oui, je suis une véritable star ! Il me reste encore quatre jours et je prendrais mon repos dans mes quartiers ». Dit-elle simplement, mettant sa main devant sa bouche, la fatigue la prenait et elle sentait que Katy allait demander à Cody de partir sous peu.


Alphonse de Lamartine ; le lac
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Cody Fuller
Caporal
Maître Chien
Bannière perso (image 901x180px) : On doit connaître la noirceur avant de connaître la lumière 2019_c12
√ Arrivée le : 01/07/2014
√ Date de naissance : 19/09/1995
√ Nationalité : Américain

√ Age : 28
√ Messages : 578
√ Localisation : Atlantis

Liste de vos DC : Aucun

Sam 22 Déc - 0:09

Cody Fuller
On doit connaître la noirceur avant de connaître la lumière
Cody Fuller & Isia Taylor Laurence
18 mai 2018
J'étais un militaire et les soldats avaient souvent le stéréotype d'être des gros durs froids alors que c'était faux. Beaucoup de membres des Forces armées pouvaient être sensibles, aimants et profondément humain. Nous n'étions pas des machines. Oui, il fallait avoir un sang froid et un courage exceptionnel pour prendre une arme et enlever la vie à une autre personne. J'avais toujours fait de mon mieux pour ne pas laisser ma sensibilité prendre le dessus, mais c'était difficile et puis aujourd'hui, et surtout en présence d'Isia, je sentais qu'elle avait besoin d'un peu de douceur.

« Tu es une star » répondis-je, le sourire sur les lèvres alors que je plongeais les yeux dans les siens.

Bah quoi ? Elle l'était. Isia était une personne super appréciée même si elle avait une réputation qui la suivait, mais ça c'était à la discrétion des autres. Soit on aimait, soit on aimait pas et moi j'adorais ! Je lui aurais bien donné un petit quelque chose, mais quoi ? De plus, je savais qu'une simple petite visite lui ferait plaisir. J'aurais aimé emmener Zelda avec moi, mais la pauvre ne pouvait pas. Une autre fois peut-être.

« Je t'aurais bien donné un petit quelque chose, mais je savais pas vraiment ce qui t'aurait fait plaisir. Je connais même pas ton plat ou ta couleur préféré »

Je ne la connaissais pas assez pour le savoir. Il faudrait que l'on passe un peu plus de temps ensemble. Ces choses-là étaient la base d'une personne, ce qui faisait d'elle ce qu'elle était. Avec le temps, j'avais appris à connaître un peu son tempérament et j'en étais tombé sous le charme. Demandez-moi pas de lui donner un cadeau. Je pouvais essayer et risquer de lui donner un truc qui ne lui ferait pas plaisir. Bon ben au moins je le saurais la prochaine fois ! Je la vis qui commençait à fatiguer. L'heure des visites touchait à sa fin. C'était fou comme le temps passait rapidement !

L'infirmière de garde s'approcha de moi et me fit savoir qu'il fallait que je retourne à mon lit. Je lui fis savoir que j'avais compris et me tournai vers Isia pour la saluer et lui souhaiter de bien se reposer. J'avais apprécié le peu de temps accordé pour lui parler. Ça me soulageait de voir qu'elle allait bien et qu'elle savait que je ne lui en voulais pas. Je m'étais approché d'elle, avait posé une main sur sa joue, enfouissant mes doigts dans ses cheveux.

« Je vais devoir te laisser. Repose toi bien. Je reviendrai plus tard, avec Zelda peut-être » dis-je, lui offrant un sourire et m'approchant d'elle pour lui offrir un dernier baiser sur ses lèvres. Celui-ci fut légèrement plus long que les autres, sans pour autant trop m'attarder étant donné que je devais la laisser.

Je me reculai, agrippai mes béquilles posées contre le lit où elle se trouvait et me mit en marche, la laissant seule afin qu'elle puisse récupérer au mieux. Comme promis, je revins plus tard à la même heure le lendemain, cette fois-ci accompagné de mon amie à quatre pattes. Elle était heureuse de voir Isia et lui avait réclamé quelques caresses. Elle était un peu excitée, mais je l'avais fait asseoir et la caressait pour mieux la calmer.
© Laueee

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Lun 11 Fév - 21:12

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FT. Coccy


La belle jeune femme hocha la tête, oui c'est une star et elle cultivait cette adoration avec une certaine passion. Elle détesterait qu'on lui vole la vedette. C'est ainsi, elle aime être dans la lumière, comme quoi elle peut dire qu'elle se fou des autres mais elle aime leur présence. Sans comprendre pourquoi, elle était une véritable personnalité de cette cité, alors qu'elle avait un caractère de chien ! Comme quoi, il fallait être une emmerdeuse pour être LA femme qu'on voulait avoir en amie. Comme les pétasses du lycée en somme. Même si la belle ne se considérait pas aussi pathétique que ses salopes en jupes courtes qui ne dépassaient pas le stade de caissière a champion ou de toxico.

« Le rouge, même si j'aime bien le rose pâle et j'adore les sushis et les California roll saumon avocat… en gros le saumon crut j'adore grave ! » Répondit-elle du tac o tac. Cela lui donnait envie de manger japonais d'ailleurs.
La fatigue la prenait et elle était contente d'avoir vu Coccy et elle était contente aussi de le voir partir pour pouvoir se laisser allez à un sommeil qui la titillait de plus en plus.

« Non, pas peut-être mais avec elle point » dit-elle de son petit air effronté avant de sourire à Cody et l'embrasser à son tour.« Fait attention avec ta patte folle et à bientôt ! » Dit-elle en baillant de nouveau. Étrangement, (ironie) elle ne tarda pas à sombrer dans le sommeil.


END 11/02/2019 pour Isia


Alphonse de Lamartine ; le lac
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