Lyanna - Fiche terminée

Marques : Plusieurs cicatrices
Groupe Sanguin : Inconnu
Gène ATA : Oui
Pathologie(s) : Aucune
Phobie(s) : On peut dire que j'ai deux peurs. La première, c'est la claustrophobie. Habituée à vivre à l'extérieur, me retrouver enfermée dans un espace très restreint, sans possibilité de m'échapper, me terrifie. Mais la peur qui est viscérale chez moi, c'est de subir ce que mes ancêtres ont vécu sous la domination des hommes. Etre réduite en esclavage par les mâles, et subir toutes leurs lubies violentes et perverses, j'en mourrais si cela devait m'arriver.
Antécédents médicaux : Plusieurs blessures, entorses et quelques fractures vu ma vie de guerrière. Que ça soit lors des entraînements ou lors des combats, aucun membre n'a été épargné. S'en est presque devenu une routine, comme une cheville foulée, un poignet cassé, une épaule déboîtée. Ainsi que plusieurs cicatrices sur le corps. Côté maladies, des rhumes, des otites et autres maladies bénignes.

¤ Corps à corps (5) : je suis une guerrière, une combattante née pour les batailles. Bien que le maniement des armes blanches soit ma spécialité, je connais des techniques de combat au corps à corps pour affronter mes adversaires. Une guerrière ne sachant pas se battre n'est pas une guerrière.

¤ Résistance à la douleur (4) : je ne suis pas une fillette, je ne hurle pas de douleur quand je me prends un coup. Depuis mon plus jeune âge, j'ai appris à me battre, alors des blessures, j'en ai connu. Je ne reste peut peut être pas stoïque avec un membre cassé, mais je prends souvent sur moi en grimaçant et en gémissant le moins possible, pour ne pas montrer de faiblesse. Par contre, pour les blessures sérieuses, je réagis comme tout le monde, en disant "aïe, j'ai mal".

¤ Soins (1) : la médecine, ce n'est pas du tout ma vocation. Mais étant donné que je suis amenée à me blesser souvent, ou à être entourée régulièrement de combattants, je connais le minimum en soin, histoire de savoir quand même faire un bandage, mais pas plus.

¤ Esprit d'équipe (5) : mon village, c'est ma famille. Il ne faut pas les toucher, au risque que je réagisse. Si je vois quelqu'un que j'apprécie en danger, ou quelqu'un que je protège menacé, je n'hésite pas à tout faire pour aider cette personne, quitte à me mettre en danger pour ça. Je ne suis pas vraiment solitaire, j'aime vivre en communauté, surtout avec des femmes comme dans mon village, et je pense aux autres.

¤ Influence/leadership (5) : que serait un chef sans prestance ni autorité ? Dans mon village, je suis une chef de guerre, un leader charismatique qui mène les autres au combat, qui prend les décisions, parfois difficile, et que ses troupes respectent et suivent. J'ai du tempérament, je ne me laisse pas faire, je suis du genre à commander et non à suivre sans cesse les ordres, surtout s'ils me paraissent injustes.

¤ Sang froid (3) : je peux me montrer maîtresse de mes émotions pour beaucoup de situations, mais parfois, je réagis à l'instinct ou sous mes pulsions. Par exemple, si je vois quelqu'un se faire torturer, je ne vais pas rester là sans rien faire. Je vais foncer dans le tas. Si on me cherche de trop, je finis par craquer et je réponds, souvent avec les poings.

¤ Rapidité d'esprit (3) : bien que je vive dans un village faiblement avancé technologiquement parlant, je me dois d'élaborer des stratégies d'attaque et de défense pour protéger les miens. Rien de bien exceptionnel, mais je ne cours pas vers le danger sans réfléchir un minimum à un plan.

¤ Artisanat (1) : cet art regroupe tellement de choses qui ne me concernent pas, mais je sais quand même forger une arme blanche. Mes compétences ne s'étendent hélas pas à d'autres objets.

¤ Tir avec arme primaire (1) : le tir à distance n'est pas ma vocation. Cependant, à cause de mon entrainement de guerrière, j'ai appris à manier l'arc et la lance. J'utilise peu les armes à distance, mais je sais tirer une flèche quand il le faut. Cependant, je connais seulement le minimum dans l'utilisation de ces armes.

¤ Maniement d'arme blanche (7) : mon domaine de prédilection. Guerrière, j'ai choisi d'utiliser les armes blanches, surtout les épées. Je suis une experte dans ce domaine, maniant mes deux lames en même temps avec adresse et vélocité. Redoutable avec ces deux armes, je ne me sépare jamais d'un couteau qui peut me permettre de me défendre si je perds mes épées. J'ai passé de nombreuses années d'entrainement à perfectionner cet art qui font de moi un adverse au corps à corps coriace.

¤ Courageuse : je n'hésite pas à mettre ma vie en danger quand c'est nécessaire, que ça soit pour protéger quelqu'un, ou pour mener un plan à bien. Pour autant, je ne fonce pas dans la bataille sans réfléchir à un plan, j'essaie de mettre toutes les chances de mon côté, mais je n'envoie jamais quelqu'un à la mort à ma place. Je ne dis pas que je ne crains rien, car tout le monde a des faiblesses. Mais, je suis bien loin d'être une chochotte terrifiée par tout ce qui l'entoure. Affronter un ennemi ne me fait par peur, et je n'hésite pas à aller au devant du danger si c'est pour une bonne cause, quitte à devoir me sacrifier.

¤ Réactive : inutile de dire que, en tant que chef, j'ai des décisions à prendre rapidement. La passivité peut être fatal. Si on prend trop de temps à faire un choix, ou si on reste sans rien faire, des vies peuvent être condamnées. De part mon expérience au combat, je prends peu de temps pour réagir, afin de maximiser les chances qu'un plan fonctionne, aussi bien pour la défense que pour l'attaque. Ou pour tout autre décision à prendre. Je n'aime pas rester sans rien faire, à attendre que le temps passe.

¤ Loyale : une fois que ma confiance est accordée à quelqu'un, je peux presque le suivre aveuglément. Je ne suis pas du genre à retourner ma veste au moindre problème, sauf si bien sûr, quelqu'un en qui j'ai confiance me trahit ou me fait du mal. Excepté ce cas là, je considère ceux que j'apprécie comme proches de moi, et je n'hésite pas à les protéger si c'est nécessaire comme s'ils faisaient partis de mon peuple.

¤ Méfiante : je fais plus facilement confiance à une femme qu'à un homme. Même si vous êtes un étranger, vous aurez plus de chance de m'approcher si vous n'êtes pas un mâle. Je n'accorde pas ma confiance à tout le monde, je me méfie beaucoup des hommes, après ceux que j'ai affronté sur ma planète. Pour moi, ils sont tous pareils, ou presque. Il faut du temps pour que je fasse confiance à quelqu'un, surtout si c'est un homme. Ce genre de situation peut très vite m'amener à des affrontements d'autorité ou physiques.

¤ Têtue et insoumise : je peux me montrer très têtue quand il le faut. Ne croyez pas que vous pourrez faire de moi un petit chien obéissant sous prétexte que nous sommes alliés. Si je ne suis pas d'accord avec un ordre donné, surtout s'il est donné par quelqu'un en qui je n'ai pas confiance, je n'hésiterai pas à refuser cet ordre et à faire autre chose. Et pour ceux qui tenteraient de me chercher des ennuis, vous devriez peut être tourner les talons, car je peux réagir violemment, quitte à me lancer dans un combat qui m'apporterait des ennuis.

Avant de vous parler de moi, je vais vous parler de ma planète, Kirana. Il s'agit d'une planète où les océans sont peu nombreux. Excepté ce détail, elle ressemble beaucoup à la Terre, avec des terres boisées, des lacs et des rivières, des déserts arides, quelques espaces glacés. Une planète dotée d'une Porte des Etoiles terrestre, au beau milieu d'une vaste plaine. Située aux confins de la Galaxie de Pégase, c'est une planète reculée et plutôt tranquille vu de l'espace, excepté les quelques sélections des wraiths qui arrivent de temps à autre. Mais bien peu par rapport à d'autres mondes. Pourtant, à la surface, elle n'est pas calme du tout. D'un point de vu extérieur, on pourrait même qualifier ma planète d'hostile. Certes, elle est sujette à des séismes, des éruptions, des sécheresses et des tempêtes de sable par endroits, mais ce monde est surtout hostile à cause de ses habitants.

En effet, plusieurs villages sont érigés sur la planète, plus ou moins grands. Et ces villages se livrent à une guerre sans merci pour le pouvoir, le contrôle et la domination de nouvelles terres. Chaque clan possède ses ennemis et ses alliés, et aucun n'est épargné par des rudes batailles. A cause de ces guerres de clans, et des quelques sélections wraiths, la technologie n'a jamais évolué. En comparaison avec la Terre, notre technologie serait située au moment de l'Antiquité. Autant dire que nous n'étions une menace pour personne du monde extérieur, seulement entre nous. Même les autres mondes ne viennent plus faire du commerce sur Kirana depuis très longtemps. Jugée comme dangereuse et violente, aucun peuple n'a franchi la Porte des Etoiles depuis des décennies. Avec le temps, le fonctionnement de la Porte s'est perdu, plus personne ne sait s'en servir car les adresses ont été oubliées. A force, elle est devenue inutile, aucun clan ne se la dispute, et elle trône dans une plaine située à seulement trente minutes de marche du premier village.

Parmi les différents clans qui peuplent Kirana, il y en a un de particulier. Il est constitué presque entièrement de femmes. Celui dans lequel je vis. L'une des plus jeunes tribus, âgé de moins de 500 ans. Et pour comprendre son fonctionnement, il faut remonter dans le temps. La plupart des villages sont composés d'hommes en majorité. Des êtres violents, barbares et bestiaux qui ne pensent qu'à dominer son prochain. En particulier les femmes, qui ne sont à leurs yeux que de simples objets chargées de leur donner une descendance, de faire les basses besognes, ou tout simplement pour leur plaisir personnel. Certaines étaient même vendues à d'autres villages comme des vulgaires marchandises. Un jour, un groupe de femmes se rebella et s'enfuit du clan. Elles fondirent leur propre village, créèrent une société féminisée que vous autres terriens pourraient comparer avec le peuple des Amazones. Voulant rivaliser avec leurs adversaires, ces femmes apprirent à se battre pour se défendre, mais également pour attaquer. Avec le temps et plusieurs générations, elles devinrent de redoutables guerrières, capturant quelques hommes pour devenir à leur tour des esclaves, travaillant pour construire le village, ou tout simplement pour enfanter. Les filles sont gardées à la naissance, les garçons sont tués avant même que leurs yeux ne s'ouvrent. Toutes les femmes de ce village savent se battre dès leur plus jeune âge, mais elles ont des spécialités. Certaines sont faites pour la guerre. D'autres s'occupent de subvenir aux besoins du peuple, comme la chasse, la pêche, l'agriculture, etc. D'autres encore s'occupent de la médecine et connaissent très bien la vertu des plantes et des fleurs. Quelques femmes étaient plus diplomates, effectuant du commerce avec des villages alliés. Et à la tête de cette tribu, se trouve une femme puissante. La plus ancienne. La matriarche. La chef suprême. Il s'agit de Toriel, celle ci guide son peuple depuis plus de trente ans. Bien qu'il s'agisse d'un peuple de femmes, ces dernières ont survécu plusieurs siècles, se livrant à de terribles batailles, maniant l'épée et l'arc aussi bien que les barbares. Et c'est là que commence mon histoire.

Je naquis il y a 28 ans, lors d'un printemps très pluvieux. Comme mes "soeurs", je n'eus pas d'enfance car très rapidement, j'appris à devenir indépendante en apprenant l'art de la chasse, de la pêche, de la médecine, et surtout le combat. Ma vie fut assez chaotique car mon village était régulièrement attaqué, en particulier par un peuple de barbares, plus violents que ceux des autres villages. Nos ennemis de longues dates. Une véritable guerre s'était installée entre nos deux villages, les combats étaient violents. Cependant, les femmes braves et courageuses qui défendaient notre chez nous, appartenant à ce que l'on appelait "la Garde Protectrice", parvenaient à chaque fois à repousser ces agresseurs, ces mâles qui n'attendaient qu'une seule chose : que nous tombions toutes à genoux devant eux afin de leur céder nos terres. Mon maître d'arme m'appris tout ce qu'elle savait, aussi bien le combat à mains nues que l'usage de différentes armes. Agée de 8 ans, la matriarche remarqua mes talents pour le maniement des armes, en particulier les épées. Sans pouvoir donner mon avis, je sus déjà quel serait mon avenir. Une guerrière chargée de protéger notre peuple. Et j'aimais beaucoup me battre. J'y accordai plus d'importance que l'agriculture, la médecine ou la diplomatie. Je m’entraînai très dur, et à l'adolescence, je pus entrer dans la Garde Protectrice du village, en compagnie de nombreuses jeunes filles. Au fil des ans, je devins une guerrière redoutable, et avec l'une de mes amies, Mélina, les ennemis n'avaient qu'à bien se tenir, car nous étions un tandem efficace. Mélina était douée pour le tir à l'arc, et elle m'épaulait lorsque j'étais au prise avec un assaillant. Nous formions un duo de choc.

Un jour, notre petit groupe attaqua un village ennemi, mais celui ci était bien préparé. L'attaque échoua, et Mélina fut sauvagement tuée sous mes yeux. Le chagrin m'envahit, mais hélas, je ne pus rien faire, et je fus ramenée de force jusqu'à mon village sans avoir réussi à la venger. La perte de mon amie, ma soeur, me permit de m'endurcir. Plus téméraire et froide, je me perfectionnai dans mon art, et je gagnai même en charisme, apprenant à celles qui avaient besoin d'aide. Je finis par prendre la place de la chef des guerrières, trop âgée pour mener ses troupes au combat. Malgré mon jeune âge, 25 ans, je réussis à m'imposer et à me faire respecter. Me battant aux côtés de mes soeurs, je n'hésitai pas à les protéger au péril de ma vie. J'étais leur leader, je devais montrer le bon exemple à suivre. Et elles étaient sous ma responsabilité. Mes choix avaient des conséquences, et je faisais tout pour qu'elles ne payent pas le prix d'un échec. Même si cela arrivait. La vie était très difficile sur Kirana, il fallait savoir se débrouiller et s'entraider. De temps à autre, je surveillais nos prisonniers mâles qui s'occupaient de labourer les champs, couper du bois, ou effectuer d'autres tâches manuelles pour le village. Il m'arrivait quelques fois d'en exécuter un, mais cela m'indifférait. Je ne haïssais pas les hommes, sauf ceux qui nous attaquaient régulièrement. Mais, je m'en méfiais beaucoup. Même ceux qui appartenaient à des peuples alliés, et qui venaient chez nous pour faire du commerce. Je les tenais toujours à l'oeil, car il en allait de la survie des miens.

Je devins une redoutable guerrière, protégeant efficacement mon village en mettant au point des plans de défense presque infaillibles. Je suis devenue une jeune femme assez grande, plutôt agréable à regarder d'après l'avis des mâles que nous réduisions en esclavage. J'ai déjà tenté quelques fois de concevoir une descendance, mais je n'ai pas encore réussi à en avoir, et ce n'est pas une priorité. Certaines femmes sont faites pour engendrer la vie, moi je suis née pour me battre. D'allure sportive selon le terme terrien, je suis élancée et svelte, en bonne condition physique vu mes entraînements quotidiens. Toutefois, je reste une femme à part entière, avec tous les atouts physiques donnés par la nature avec générosité, sans tomber dans l'excès. Des cheveux bruns que j'attache souvent en queue de cheval, des yeux marrons, je pourrais être une femme faite pour séduire et faire craquer les hommes, mais ce n'est pas du tout mon intention. Certes, assez jolie au naturel, mais je ne cherche pas à plaire. Question vestimentaire, là encore je reste féminine. Ma tenue reste simple, mettant cependant mes atouts en valeur. Un haut à bretelles qui recouvre seulement ma poitrine, avec un léger décolleté. Une jupe arrivant à mi-cuisses, fendue de moitié sur un côté pour faciliter les mouvements. Des bottes montant jusqu'en dessous des genoux. Une tenue de femme, mais je suis néanmoins à l'aise pour me déplacer et me battre. Je porte presque tout le temps deux fourreaux en X dans le dos, en bandoulière, afin d'y glisser mes épées courtes. Une ceinture fait le tour de ma taille, avec une dague sur le côté droit. Une couteau est glissé dans ma botte droite, où je peux y avoir toujours accès si jamais je me retrouve désarmée.

L'année de mes 28 printemps, un malheur s'abattit sur notre planète. Un vaisseau wraith arriva et fit une sélection. Cela faisait longtemps que nous n'avions pas vécu cela. Plusieurs villages furent détruits, beaucoup de personnes perdirent la vie ou devinrent les proies de ces créatures. Les survivants prirent la fuite en attendant la fin de la tempête. Mon village ne fut pas épargné. Les wraiths firent de sérieux dégâts, et une grande partie de mes soeurs furent tuées ou capturées. Ces monstres étaient très coriaces, presque impossible à tuer. Quelques uns tombèrent sous mes lames, mais leur nombre était trop important, et l'épuisement m'envahit rapidement. Incapable de leur faire face, je préférai cesser le combat, retournant m'occuper de mes soeurs autrement. J'aidai certaines d'entre elles de se cacher jusqu'à la fin des hostilités, mais très peu survivent à cette attaque. Après le départ des wraiths, je retournai au village avec ce qui restait de mon peuple. Un village ravagé et en feu. De nombreux corps jonchaient le sol. La matriarche avait également perdu la vie. Nous pleurions nos morts, mais hélas, le destin s'acharna contre nous. Nos ennemis de toujours, épargnés par la sélection parce qu'ils avaient eu le temps de tous fuir, profitèrent de notre faiblesse pour nous attaquer et achever un village presque anéanti. Un vrai massacre auquel nous n'avons pas résisté longtemps. Ces lâches avaient attendu le bon moment pour avoir ce qu'ils voulaient. Les dernières survivantes de la sélection furent violées puis exécutées. Les barbares ne firent aucune prisonnière, pour l'exemple. Me battant avec mes dernières forces, emplie de rage, je tuai tout ce qui passait à la portée de mes épées. Mais, je fus rapidement submergée, me battant contre plusieurs adversaires qui arrivèrent à me porter des coups. Blessée, je finis par fuir, délaissant ce qui restait de mon village consumé par les flammes. Les barbares avaient gagné la bataille après des siècles de lutte, ils venaient d’acquérir une nouvelle terre et anéantir un peuple ennemi. Dernière survivante, je courus dans la forêt, les yeux remplis de larmes, furieuse et anéantie par le chagrin d'avoir tout perdu. Mon village n'était plus, et me voilà seule sur une planète hostile depuis plusieurs heures, sans savoir quoi faire pour survivre, blessée aussi bien physiquement que dans mon honneur. Jusqu'à ce que des étrangers arrivent par la Porte des Etoiles pour la première fois depuis des siècles.

Je ne suis pas encore arrivée sur Atlantis. Une équipe devrait me rencontrer sur ma planète, alors que je suis l'unique survivante de mon peuple, décimé.