Daniela Payne

Carte d’Identité » Nom : Payne » Prénom : Daniela » Âge : 28 ans » Date et Lieu de Naissance : 2 juin 1984, Santa Clarita, CA » Nationalité : américaine » État Civil : célibataire » Arrivée sur Atlantis : Equipe de renfort » Poste occupé : militaire (Services Specialist, E-3) » Spécialités : intendance, restauration, thanatopraxie

» Groupe Sanguin : A+
» Gène des Anciens : Non
» Inoculation du gène des Anciens ? :
» Pathologie : allergie à l'urushiol
» Antécédents médicaux :
Appendicectomie (2000)
Fracture du radius gauche (2007)
Exérèse d'un carcinome basocellulaire, épaule droite (2011)



» Caractère :
Calme et patiente, Daniela Payne est pourtant plus connue pour son sens de l'organisation et sa rigueur. Toujours affable et souriante, elle aime user de la dérision, et plus encore, de l'autodérision dès que la morosité pointe son nez. Malgré un abord facile, elle sait être discrète et on ne l'entendra jamais colporter de rumeurs infondées ou blessantes. Ceci n'est pas dans ses habitudes.

Avec son enfance particulière, elle a développé une certaine sensibilité artistique qui étonne ceux qui ne jurent que par les stéréotypes sur les militaires. Elle s'adapte rapidement aux situations auxquelles elle peut être confrontée, en s'appuyant sur sa débrouillardise et son sens de l'improvisation. Elle a aussi appris à se montrer plutôt tolérante, car elle en a vu des personnalités atypiques à Los Angeles. Certaines personnes préfèrent la décrire comme conciliante. Toutefois, qu'on ne s'y trompe pas, ça ne veut pas dire qu'elle se laisse marcher sur les pieds.

Si tant est qu'on souhaite lister ses défauts, sa rigueur dans la conduite des affaires et le respect du règlement peut parfois frôler la rigidité. En tous les cas, dès qu'il s'agit de l'intendance ou des stocks, Dani ne plaisante plus et peut se montrer intransigeante. D'ailleurs, certains en ont déjà fait les frais. Non, il n'y a pas de passe-droit en ce qui concerne les rations de café ou de chocolat. Menaces et promesses n'y changeront rien. On retiendra que le soldat de première classe Payne est un gestionnaire né qui n'aime pas entendre l'expression « gaspillage de ressources » et encore moins en faire le constat.

Parce qu'un exemple est plus parlant qu'un long discours, elle s'astreint toujours à faire de son mieux dans tout ce qu'elle entreprend. S'il existe des défauts chez les autres qu'elle abhorre, ce sont la duplicité, la veulerie et la vantardise. Cependant, elle fait une grande différence entre être présomptueux et dire qu'on est content de ses prouesses.

Elle-même très fière de son travail, elle peut facilement prendre ombrage dès lors qu'on déconsidère son domaine professionnel. En effet, juger que l'intendance est un département mineur serait vraiment insensé. Tous ces petits détails comme la nourriture, les draps propres, les vêtements reprisés ou encore l'entretien des locaux semblent triviaux, mais cela peut affecter le moral de tous. Et puis personne ne voudrait se mettre à dos le cuistot, si ?

» Phobies : Daniela Payne n'a pas de phobie handicapante. Cependant, elle se montre prudente avec tout ce qui ressemble de près ou de loin à du sumac vénéneux. Elle sait qu'elle y est allergique et elle n'a franchement pas apprécié la dermatite qui a suivi son premier et unique contact avec la plante.

» Objet choisi : un ensemble d'outils pour travailler l'argile

Compétences Primaires	Compétences Secondaires
Corps à corps : 4 Précision du tir : 5 Infiltration : 3 Pilotage : Esprit d'équipe : 3	Explosif : 1 Résistance à la douleur: 4 Influence : 2 Sang Froid : 5 Soins : 2 Technologies : Mécanique : 1

Des extraterrestres ? Daniela « Dani » Payne a grandi avec. Betazoïds, Klingons, Vulcains, elle les a tous côtoyés. Évidemment, des personnages fictifs faits de latex et de silicone n'avaient rien à voir avec les Jaffas, les Asgards ou encore les Wraiths. Toutefois, l'univers de « Star Trek : The Next Generation » représentait une part importante de son enfance. Le plus drôle dans tout ça, c'est qu'elle n'avait jamais réellement suivi la série. Assister au tournage des épisodes de temps à autre ne signifiait pas qu'elle connaissait l'histoire dans son entier. Après tout, ce n'était jamais filmé dans l'ordre. Cependant, comme ses parents appartenaient à l'équipe des effets spéciaux, cela lui permettait parfois d'avoir une vague idée de l'intrigue. Bref, le terrain de jeu de la petite Daniela et de son frère cadet, Rafael, était les studios de télévision et de cinéma.

Dani naquit à Santa Clarita, dans le comté de Los Angeles, de Jeffrey et Carolina Payne qui oeuvraient dans le maquillage artistique et les effets spéciaux. Pendant que certains de leurs voisins installaient des piscines au fond de leur jardin, les Payne préféraient bâtir un atelier d'où sortaient divers monstres et créations. Leurs enfants avaient donc pour jouet des masques de zombies, d'extra-terrestres ou les accessoires comme les pistolets phasers. On pourrait presque affirmer que Dani était prédestinée à rejoindre le programme Porte des Étoiles, mais n'allons pas trop vite en besogne. Là n'est pas toute l'histoire.

Encouragée et influencée par ses parents, elle a développé sa fibre artistique, mais aussi un certain sens de l'improvisation, de la débrouillardise et, paradoxalement, de la rigueur pour tous les petits détails. Reconnaissons que Jeffrey et Carolina étaient souvent confrontés à des demandes plus ou moins saugrenues de la part des scénaristes, des réalisateurs ou même de la production. Ainsi quand on vous annonce que la corbeille de fruits, là-bas à l'arrière-plan, qui n'apparaît qu'une dizaine de secondes à l'écran, fait trop humaine, il faut trouver une solution et vite. Peindre les kiwis en rouge et les citrons en bleu peut sembler ridicule, mais ce qui compte c'est que le spectateur y croit.

Ses parents ainsi que les membres des équipes techniques sur les tournages ont enseigné à Dani quelques petits trucs et astuces en électricité, en électronique ou encore en photographie. Elle préfèrait néanmoins manipuler le crayon, le fusain ou l'argile. Elle a aussi aidé ses son père et sa mère dans la fabrication des masques ou des accessoires. Elle aimait faire couler le latex dans les moules ou d'y étaler la silicone. La finition restait l'apanage de Jeffrey ou sa femme, mais participer un tant soit peu à leur travail rendait leurs enfants très fiers.

D'ailleurs, dès dix ans, Dani tout comme Rafael pouvaient presque égaler un professionnel dans le domaine du maquillage. Bien sûr, cette affirmation provenant de leur famille ou des collègues de ceux-ci est sujette à caution. Malgré cela, Dani a été souvent sollicitée par ses camarades de lycée pour ses capacités dans le maniement des fards, et le résultat était le plus souvent très satisfaisants.

Pourtant, même si elle aimait aider ses parents ou jouer avec les produits cosmétiques, Dani préférait de loin suivre son grand-père sur la base de l'armée de l'air, à Los Angeles. Celui-ci travaillait au mess comme chef. Sa petite-fille se plaisait à le regarder élaborer les plats, fascinée par sa dextérité et son goût infaillible dans le mariage des ingrédients ; quoique la confection de menus à une aussi grande échelle ne laisse pas vraiment de place à la gastronomie. Pourtant, pour Dani, manger les préparations de son aïeul était toujours une expérience formidable. Il faut dire que, malgré tout leur talent, ni Carolina, ni Jeffrey ne savaient cuisiner. Ou plutôt, ils préféraient réchauffer leur nourriture au micro-ondes pour mieux se concentrer sur leur art.

Finalement, l'adolescente décida de se mettre aux fourneaux pour sa famille (ce dont Rafael lui fut extrêmement reconnaissant). Elle partagea donc son temps entre le lycée, la maisonnée (cuisine et effets spéciaux) et le surf. Après son diplôme de fin d'études secondaires, Daniela choisit de travailler avec ses parents. Ces derniers rencontraient quelques difficultés dans leur entreprise après le départ précipité de leur comptable et de leur argent. Elle s'occupa principalement des tâches administratives et de l'organisation des activités pour que Jeffrey et Carolina puissent se consacrer à leurs commandes. Cependant, sa mère poussa la jeune fille à prendre son envol du nid, à trouver sa propre voie. Quitte à la voir embrasser une carrière aux antipodes de la sienne. Ainsi, dès que l'entreprise redevint viable, Dani put choisir de suivre l'exemple de son grand-père.

Ce fut à l'âge de vingt-deux ans que la jeune femme entra dans l'Air Force. Elle rejoignit Fort Lee, en Virginie, pour l'entraînement basique des nouvelles recrues, puis la formation technique en hôtellerie et restauration. Après trois mois et demi d'entraînement, en 2007, Daniela Payne fut affectée à l'intendance et aux cuisines sur la base de Kaboul (Afghanistan). Il n'y a là rien d'héroïque, mais veiller au bon moral des troupes passe aussi par l'apport d'un repas de qualité et régulier ainsi qu'une organisation de vie à toute épreuve.

Elle participa quelques fois à des opérations Search & Recovery dont l'une s'acheva par une fracture au bras. Malheureusement pour la vanité de Dani, cette blessure ne fut pas le résultat d'une quelconque rencontre armée avec l'ennemi, mais parce qu'elle chuta de l'hélicoptère au retour de mission. Néanmoins, ce n'était pas pour ses prouesses de guerre que Dani fut remarquée, mais pour son talent à gérer les tracas d'un camp tel que celui de Kaboul. Le sergent maître Barton décida donc de la prendre sous son aile, ce qui lui permit d'apprendre d'autres pans de l'intendance, dont le moins couru : l'organisation du rapatriement et des funérailles des soldats tombés au combat. À nouveau, ses connaissances en cosmétique furent mises à contribution, même si la pratique du maquillage mortuaire n'était pas sa spécialité. Elle reçut même une formation élémentaire en thanatopraxie.

Finalement après douze mois à Kaboul, Dani fut affectée à la base de Peterson dans le Colorado. Là encore, ses compétences administratives et surtout culinaires retinrent l'attention des responsables de Peterson, les colonels Whiting et Pittman. Entraînée par Barton, conseillée par son grand-père, elle pouvait élaborer des menus simples, savoureux et sains. Les officiers de la base se félicitaient d'avoir une telle personne aux fourneaux et cela ne tomba pas dans l'oreille d'un sourd. En effet, de passage à Peterson avant une réunion à Washington, le général Hammond du SGC eut vent des rumeurs concernant la jeune femme. Par curiosité, il consulta le dossier de Payne après avoir déjeuné sur place.

L'année suivante, quand le responsable du mess rappela à ce même général Hammond qu'un de leurs cuisiniers changeait d'affectation, il se souvint de Daniela Payne. Le chef de l'intendance put alors compter sur cette nouvelle recrue pour l'aider. Ils s'occupèrent de tous ces infimes détails qui peuvent sembler triviaux pour les équipes SG qui sont toujours sur la brèche. Les activités principales de Dani au SGC consistaient en la gestion de stocks de denrées, l'entretien des locaux et surtout des draps, uniformes et équipements.

Au cours de son travail, elle put relever les petites manies de chacun sur la base. Le général Hammond devait limiter sa consommation de café sur l'ordre express du Dr Frasier, le colonel O'Neill ne pouvait commencer sa journée sans son bol de Froot Loops et le major Carter aimait tous les parfums de Jell-O. Il y avait aussi Teal'c ou le sergent maître Siler. L'un se montrait particulièrement tatillon sur le choix des bougies pour son kelnorim tandis que le second avait une prédisposition aux accidents, et cela se voyait sur ses uniformes. Bref, Dani participait rarement aux missions hors planète, mais son travail était suffisamment prenant pour ne pas le lui faire regretter.

L'année 2011 fut celle de sa promotion au rang de soldat de première classe qu'elle fêta dignement avec sa famille en visite à Colorado Springs. Ce fut aussi l'année de sa première traversée de la Porte des Étoiles. Dani assista l'équipe SG-11 commandée par le colonel Edwards et son second, le major Lorne.

Pendant que les archéologues et les ingénieurs exploraient les ruines signalées dans le rapport préliminaire d'exploration, Payne installait le camp de base et s'occupait de l'approvisionnement. Durant ces quelques semaines de recherche, Dani se lia d'amitié avec plusieurs autres membres du SGC dont le major Lorne. La fin de cette mission fut plus mouvementée lorsqu'un vaisseau goa'uld fit son apparition dans le ciel. Toute l'équipe dut évacuer les lieux sous le feu ennemi. Artefacts anciens et matériel moderne furent abandonnés.

Rejoindre la porte avant que l'ennemi ne les prenne à revers était d'une importance capitale. Les tirs des lances jaffas sifflaient sourdement au-dessus du staccato nerveux des fusils. Les explosions de grenades entrecoupaient cette fureur mortelle. Dani et ses camarades couvrirent la retraite des scientifiques. Ils se positionnèrent aux environs du DHD le temps que quelqu'un l'active. Les Jaffas se rapprochaient. Leurs salves allaient crescendo frappant les colonnes brisées du site. Ou pire, un des terriens. L'odeur de chair brûlée et de sang entourait Dani. Sa position devenait intenable, pourtant tout le monde n'avait pas encore traversé. Le capitaine Rathbone et le major Lorne vinrent l'épauler dans les dernières minutes de l'évacuation. Ensemble, ils purent ramener le corps de Martin.

Par la suite, Payne participa à plusieurs autres missions, principalement humanitaires ou S & R, dont certaines sous le commandement du major Lorne. Le béguin initial qu'elle avait éprouvé pour l'officier fit place à un respect et une grande admiration pour ses qualités de leader et son humour tout en ironie. Il était définitivement le modèle à suivre pour la jeune femme. Qu'il soit charmant n'était que la cerise sur le gâteau !

L'année précédente, elle a assisté, envieuse, au départ de l'expédition Atlantis (qui, croyez-vous, a dû faire des heures supplémentaires pour organiser les détails logistiques ?). Elle n'avait pas osé présenter sa candidature au général O'Neill, au Dr Weir ou au colonel Sumner. De toute manière, à l'époque son dossier médical n'aurait pas joué en sa faveur, son carcinome venait d'être diagnostiqué. Habituellement, ce cancer se soigne bien, mais il était plus prudent de rester sur Terre.

Lorsque le SGC put envoyer des équipes de renfort vers Atlantis, le major Lorne proposa à Daniela d'en faire partie. Très optimiste, l'officier prévoyait déjà l'après-bataille : ajouter les talents de la jeune femme pour l'intendance lui semblait un atout non négligeable pour l'expédition. Elle ne refusa pas, bien au contraire, et le fait que le major le lui ait demandé en personne avait peut-être un peu (oh ! si peu) influencé sa décision.

» Comment votre personnage a-t-il vécu la première grande bataille sur Atlantis ? Où était-il à ce moment-là ? :

L'équipe de Daniela avait pris place à bord du Dédale après l'ordre du SGC de rallier Atlantis. À mesure que le voyage avançait, la tension montait dans les coursives du vaisseau. L'arrivée du colonel Caldwell et de son bâtiment passa inaperçue des Wraiths, au premier abord. L'équipage put ainsi téléporter le major Sheppard sur la passerelle tandis que son Jumper continuait sa route jusque dans le vaisseau-ruche.

Daniela et ses camarades se tinrent prêts à rejoindre la cité dès que le colonel les autoriserait. Ils attendirent, leur nervosité montant en flèche, tandis que le Dédale menait la bataille contre les vaisseaux wraiths. Ne ressentir que les secousses sous vos pieds, entendre les bruits d'impact sur la coque et surtout ne rien voir, cela mettait la patience de Daniela à rude épreuve.

Finalement, on envoya son équipe sur Atlantis avec l'ordre de trouver et abattre l'ennemi infiltré lors du dernier assaut. À peine arrivés dans la salle de contrôle d'Atlantis, le sergent Kemp ne laissa pas le temps aux hommes d'admirer les lieux. Ce fut au pas de course qu'ils se lancèrent à la recherche des Wraiths. Ils parcoururent de longues heures les couloirs à peine éclairés. Cette pénombre d'où montaient les râles des blessés donnait des sueurs froides à Daniela, et cette ambiance funèbre était propice aux attaques sournoises.

Son premier Wraith, elle le rencontra alors qu'il avait la main plaquée sur le torse d'un marine. Il avait un air pataud avec ses épaules massives et son visage couvert d'une étrange carapace. Le réseau de ses veines se dessinait nettement sur sa peau pâle et plus encore sur son bras droit. La vision du soldat qui se transformait en une coquille vide, sèche et muette laissa un goût de bile dans la bouche de Daniela. Elle et ses camarades réagirent sans tarder, ils firent feu. Si la victime du Wraith fut aussi abattue par un tir ami, personne ne le regretta vraiment. Le coup de grâce, dans cette situation, est toujours une bénédiction.

Ils chassèrent donc leurs adversaires à travers la cité avant de finir, avec plusieurs équipes, dans les sous-sols d'une des digues. Le dernier extraterrestre n'avait été jusqu'ici qu'une ombre élusive. Les vétérans d'Atlantis ainsi que Teyla Emmagan estimaient qu'il devait être un des spécimens supérieurs, ceux qui avaient l'apparence humanoïde la plus marquée. En tous les cas, il en avait l'habileté télépathique, Daniela s'était trouvée plus d'une fois à tirer sur une vision. Ne pas pouvoir compter sur ses sens, ni sur le jugement des autres avait de quoi vous mettre les nerfs à fleur de peau.

Le message fila sur tous les communicateurs. L'équipe du major Lorne avait retrouvé l'ennemi. Tout le monde le rejoignit, Daniela à la suite. Le Wraith s'était enfermé dans une des salles sous le niveau de la mer. Seul et armé de grenades...



» Prénom ou Surnom : Julia ou Juju (qui sont tous deux des pseudos)
» Âge : 31 ans
» Célébrité de votre avatar : Jeannette Sousa
» Comment avez vous connu Atlantis Insurrection ? Google
» Connaissez vous les séries Stargate ? Oui
» Multicompte ? Non
» Codes du Contrat : (Ils sont cachés dans le règlement ; copiez/collez les 3 entre les balises.)