Artemia Orendell

Carte d'Identité

Informations Médicales

Groupe sanguin :

AB+

Gène des Anciens :

Oui

Innoculation du gène des Anciens :

/

Pathologie :

/

Antécédents médicaux:

Comme tout enfant qui se sent pousser des ailes, Mia a eu le droit à son lot de bobos en tout genre.

- Doigt cassé après qu'un camarade le lui ai coincé dans une porte à l'école.
- Ménisque fracturé après être tombé du haut d'un arbre dans lequel elle tentait de construire une cabane.
- Hématomes en tout genre dans l'intérieur des bras lorsqu'elle ne se tenait pas correctement pour tirer à l'arc, la corde lui rappelant bien violemment qu'elle s'était trompée.
- Mononucléose alors qu'elle passait l'équivalent du BAC.

Personnalité & Objet choisi

Caractère :

Artemia est une jeune femme au sang froid, elle a la tête sur les épaules et peut être à la fois d'un calme profond, imperturbable, et d'autres fois, nerveuse à l'extrême et très peu agréable, au vrai caractère de chien. D'un naturel assez solitaire elle ne s'est fait que très peu d'amis, préférant la qualité à la quantité, mais cela lui suffit amplement, elle n'a jamais rêvé de popularité et de voir son téléphone sonner toutes les cinq secondes pour des messages de "copines".

Main de fer dans un gant de velours, elle sait quelles sont les valeurs à proscrire et celles à adopter, mais malgré cela, elle va bien trop souvent à leur encontre, parce que jugeant qu'il en est mieux ainsi. Mia n'est pas un modèle de stabilité ou de toute autre chose d'ailleurs, même si elle y travaille durement. Le premier contact qu'elle établi est toujours le plus formel et bref, bien qu'elle a tendance à s'éprendre bien trop vite.

Artemia reste néanmoins quelqu'un sur qui l'on peut compter, d'une grande fidélité elle ne tourne jamais le dos aux gens à qui elle a accordé sa confiance. Elle n'est pas vraiment rancunière mais elle n'accorde sa confiance qu'une seule fois et n'a aucun remord à la retirer à quelqu'un qui l'aurait trahie.

On dit d'elle qu'elle a le cœur sur la main et a de certaines tendances altruistes, dotée d'un sens aiguë de la justice elle n'hésites pas à défendre bec et ongles ses idéologies et ses principes.

Artemia a toujours eu les pieds sur terre mais la tête dans les étoiles et, pour elle, pouvoir voyager dans l'espace, découvrir des planètes, des peuples, des faunes et des flores encore inconnues, échanger et construire l'avenir sur ce que l'être humain a de meilleur, est la plus belle opportunité de carrière qui puisse être offerte à quelqu'un.

En bref, au premier coup d’œil on penserait avoir affaire à une jeune femme froide, distante et un brin hautaine, mais sous cette carapace de pierre se cache une personne tendre, tolérante, drôle et aimante.

Langues :

Anglais / Français / Russe (notions)

Phobies :

La peur de décevoir est ce qui est le plus marquant chez Artemia et c'est ce qui la pousse à toujours vouloir donner le meilleur d'elle-même.
Mais sinon elle est comme vous et moi et a toujours une trouille bleue des hiboux qu'elle trouve malfaisant et malsains.
Les chiens, lorsqu'ils sont loin d'elle ça ne lui pose pas trop soucis meme si elle garde un œil dessus au cas où. Mais si elle se fait surprendre par l'animal meme venu en paix, la réaction ne se fera pas tarder.

Objet choisi :

Son baladeur audio recouverts de stickers kitschs.

Compétences

Données d'un passé chargé

La flèche fendit l'air dans un sifflement strident avant de se figer dans la cible de paille. Un large sourire étira les lèvres de la petite brune qui se tourna d'un bond vers sa mère. Elle crut pouvoir exprimer son enthousiasme face à cet exploit, mais toute joie mourut sur ses traits lorsqu'elle la vit plongée dans un magazine des plus fades. L'arc fut balancé contre le mur sous les protestations du professeur. « Orendell ! Tu vas repayer le matériel. » La jeune fille ne prit même pas la peine de le regarder. « Ce n'est pas l'argent qui manque dans la famille de toute façon. »

Le manteau fut posé lourdement sur le porte-manteau de l'entrée et les clés furent jetées dans le panier sur la commode. Artemia se dirigea vers la cuisine dans une démarche fatiguée, le moindre de ses muscles hurlait, réclamait du repos, mais avant il fallait faire taire son estomac qui criait famine. Ses yeux rencontrèrent une silhouette avachie sur une chaise. Elle se figea. Ses doigts se saisirent de son téléphone portable, prêts à taper le numéro d'urgence. «Ton père fête ses cinquante-cinq ans aujourd'hui.» Un soupir de soulagement la prit. Ce n'était que sa mère. Dans un grognement, elle alla réchauffer son reste de pâtes. Sa mère ne pouvait pas imaginer à quel point elle haïssait cette manie de s'inviter de cette façon. Mia avait déménagé pour une raison, être tranquille et éloignée la maternelle de sa vie. Hélas, ça ne marchait qu'à moitié. «Tu pourrais faire un effort Artemia.» Haussement de sourcils. «Pour un gars comme lui ? J'ai pas que ça à faire.»

Elle déposa Mia au sol sans oublier de lui dire qu’elle devait rester sage. La petite tête brune hocha vivement la tête et tendit les bras pour une dernière tendre étreinte. Sa mère partie, elle s’empressa de se lever du canapé pour courir, telle une sauvage, dans le salon. Son rire résonna dans la pièce, couvrant la voix animée de son père. Jonathan était à son bureau, le téléphone greffé à l’oreille. Le travail, il n’avait jamais le temps. C’était ce qu’il disait toujours à sa fille. Mais il était difficile de raisonner une enfant de cinq petites années. Cette jeune aventurière se risqua à approcher le paternel, ses doigts agrippèrent le tissu de son pantalon pour tirer dessus. Ses yeux joyeux se levèrent pour rencontre le visage concentré de son père. Il fallait absolument attirer son attention, c’était son rôle de prendre soin d’elle après tout, alors elle tira plus fort et joignit sa voix au geste. Les minutes passèrent et les sourcils se froncèrent, la voix se durcit et le poing se serra. Il essaya de la repousser de son pied, mais elle y resta accrochée comme à une bouée. Le tissu se tendit une nouvelle fois et ce fut la goutte d’eau qui fit déborder le vase. La claque résonna, le temps vint à se figer, les regards se rencontrèrent. Le fossé se creusa.

La porte de la cabane se ferma avec douceur alors que les doigts effleuraient la poignée. Le soleil brillait timidement entre les branches touffues des sapins. Le chant matinal des oiseaux était accompagné des aboiements excités du chien de garde. Artemia le fit taire de quelques tendres caresses avant de lever les yeux vers le ciel. Un sourire apaisé illumina ses traits et son cœur se fut plus léger dans sa poitrine. Son métier, elle l'adorait, elle ne regrettait pas son choix. Ici, elle n'avait plus besoin de se prendre la tête, d'affronter ses problèmes de famille. La brune était entourée de cette merveilleuse nature qu'elle connaissait par cœur désormais, et cette armée d'animaux qui venait lui rendre visite lors de ses gardes. Écartant les bras, elle prit une grande bouffée d'air avant d'empoigner son talkie-walkie et transmettre sa position à son collègue. Il se moquait gentiment de cet étrange choix qu'elle avait fait. Après tout, elle avait les moyens de se payer des merveilleuses études. Elle le fit taire d'un ordre sec et s'aventura dans les bois. Justement, Mia fuyait tout cela. Elle marchait loin de son nom, de ce qu'il impliquait. Elle voulait juste être... Elle.

«Regarde! La grenouille a bougé!» La lycéenne se précipita vers les abords du lac et se pencha en avant pour voir comment se porter la chose verte qu'elle avait sauvé quelques nuits plus tôt. Cette dernière semblait sur le point de bondir partout. Un rire heureux franchit ses lèvres et elle adressa un regard content à son amie. Les trois jeunes gens se redressèrent et Mia était prête à ajouter quelques mots lorsqu'on la poussa dans l'eau glaciale. Son cri fut étouffé et ses bras s'agitèrent frénétiquement. La panique lui empoigna le cœur avant que sa raison ne reprenne le dessus. Ne pouvait-elle pas réfléchir quelques secondes? Elle avait pieds. Se redressant rageusement, elle se précipita vers sa victime. Cette victime qui, quelques années plus tard, devint son premier amour.

Les gestes étaient vifs et précis. L’œil de faucon visa avec froideur, de quoi effrayer les plus sensibles. Une nouvelle flèche fut tirée dans la cible de paille et des applaudissements fusèrent. «Tu es vraiment douée!» Artemia imita une légère courbette avant de jeter un bref regard à cette chaise vide de toute femme en train de lire un magazine. «Tu vas pouvoir chasser le chevreuil!» Elle secoua doucement la tête pour contredire celui qui partageait désormais sa vie «Je suis là pour protéger les animaux, pas pour les chasser.» Un sourire illumina le visage du jeune militaire «Je pense que tu pourrais faire plus que défendre les animaux Mia, ne songes-tu jamais à plus ?  Tu sais que je t'en ai déjà parlé mais... A mon travail on aurait bien besoin de personnes comme toi.». La jeune femme ne répondit pas, ne comprenant pas tout à fait le sens des paroles de son compagnon. Bien sûr que lui aspirait à plus, jeune lieutenant dans l’armée il aimerait bien voir sa compagne le suivre dans cette voie, il en est convaincu, elle en a toutes les capacités nécessaires. Il ne parlait que rarement de son travail à sa partenaire, mais elle sentait qu'il oeuvrait pour quelque chose de bon et juste et cela lui suffisait amplement.

«Madame Orendell, je suis désolé de devoir vous convoquer en de telles circonstances, mais ça ne peut plus durer. Votre fille a encore frappé l'un de ses camarades dans le couloir.» Artemia détourna le regard du directeur de l'établissement. Ses phalanges lui faisaient mal, mais elle ne laissait rien paraître. Le regard furieux de sa mère lui brûlait la nuque, pourtant elle ne fit rien pour l'affronter. Elle avait fait ça pour son honneur. Jamais elle ne laisserait quelqu'un l'insulter de la sorte, Artemia était là pour ses amis, ses proches, ceux qui avaient une réelle importance à ses yeux et pour elle-même, à défaut que ses propres parents ne s’intéresse à elle. «L'internat pourrait être une solution.» Un frisson d'effroi glissa le long de sa colonne vertébrale, elle se redressa comme parcourue par une onde électrique. «Maman! Tu ne peux pas accepter ça!» Sa mère ne pouvait pas l'abandonner, elle ne pouvait pas... Elle ne pouvait pas faire comme ce type qu'on osait assimiler à un paternel. Certes les liens avec sa mère étaient au plus bas, mais elle ne pouvait s'imaginer éloignée d'elle une seule seconde.

Tranquillement assise dans son canapé de vieux cuir, Artemia zappait les chaînes sans grand intérêt, la fatigue l'étreignait progressivement alors qu'elle rentrait de la salle de sport. Son compagnon avait pris à coeur d'aider sa compagne alors qu'il y a plusieurs mois de cela, une de ses collègues s'était faite agressée par des braconniers. La réserve était devenue la cible de criminels prêts à tout pour repartir avec le coffre plein. La collègue de Mia s'était interposée après avoir pris deux hommes sur le fait. Grand mal lui a pris puisque les deux lâches s'en sont pris violemment à elle. Artemia, dont le sentiment d'injustice et d'impuissance lui tenaillaient les tripes, demanda donc à son compagnon de lui apprendre quelques techniques de self-defense. Ces quelques bases qui au fil des jours devinrent de plus en plus poussées, la jeune femme y prenant goût. Elle finit même par s'inscrire dans une salle pour tout d'abord y suivre des cours de Krav Maga puis de fil en aiguille elle se dirigea vers un sport de contact plus actif que passif, le kick boxing, discipline dans laquelle elle se sentait comme un poisson dans l'eau et qu'elle pratiqua jusqu'à son entrée dans le SGC. Elle y apprit la rigueur, la constance, à recevoir les coups et supporter la douleur qu'ils provoquent, savoir garder son sang froid afin de viser juste, au bon moment. Toutes ces notions qu'elle utilise encore aujourd'hui. Il s'agissait d'une soirée comme les autres. Les images qui défilèrent sur l'écran attirèrent son attention et elle lâcha la télécommande, toute son attention tournée vers le journaliste. Il parlait de la mission dans laquelle son compagnon se trouvait, les mots se bousculaient dans sa tête, guet-apens, explosion, aucun survivant. Et plus tard le téléphone sonna avant de tomber lourdement sur le sol. Il était parti.

«Artemia tu restes à la maison!» L'adolescente claqua la porte de l'entrée et se tourna vers sa mère, furieuse «Quoi encore?» Les regards s'affrontèrent quelques secondes. «Le chien des Beckett a la rage, je ne veux pas que tu t'aventures dehors.» La brune prit un air exaspéré face à l'inquiétude stupide de sa mère. Elle ne lui accorda plus la moindre attention et quitta la bâtisse sous ses protestations. Une fois dehors, son regard se posa sur la maison à quelques mètres de la sienne. Un homme bien bâti tenait un chien muselé en laisse. Ce dernier s'agitait et un frisson prit la jeune fille en voyant ses yeux fous la transpercer. Le chien s'agita comme un dingue, de quoi déstabiliser son maître qui attendait le vétérinaire. La laisse lui glissa des mains et l'animal fondit sur sa nouvelle proie: Mia. Cette dernière eut le réflexe de se mettre à courir juste à temps. Son coeur battait la chamade alors qu'elle escaladait la clôture des voisins. « Bordel ! Mais faîtes le piquer! »

Une belle journée qui s'annonçait pour la brune, la première depuis longtemps. Elle tenait dans ses mains le nouveau départ qu’elle attendait pour enfin recommencer à vivre. Elle se leva de bon pied avant que sa mère ne lui passe un coup de fil qui la mit hors d'elle. Artemia lui avait bien sûr raccroché au nez avant de se rendre à son nouveau travail, le cœur pleins d’espoir.

« Il va falloir que l’on ait une discussion jeune fille » Mia était enfoncée dans le fauteuil, les bras croisés sur la poitrine et le regard fixé au sol sans aucune ouverture à la discussion « Mia ! » elle releva les yeux brûlants de colère « Quoi encore ?! » Sa mère se tenait en face d’elle, les mains sur les hanches passablement à bout de nerf. « Je n’en peux plus, ton père non plus, nous ne savons que faire avec toi, nous avons tout essayé, nous t’avons tout donné et aujourd’hui voilà comment tu nous remercie ? En nous traînant dans la boue, en salissant notre nom… Artemia je… Il est temps que tu partes maintenant. » La brune semblait déstabilisée l’espace d’un instant avant de comprendre, son visage se durcit et elle s’empressa de se lever pour aller dans sa chambre. Sa mère sur ses talons elle eut juste le temps de lui claquer la porte au nez avant que cette dernière ne rentre. Elle attrapa l’essentiel de ses affaires avant de les balancer au fond d’un vieux sac de sport et d’attraper son baladeur et son téléphone. Elle ouvrit violemment la porte sans un mot et malgré les appels de sa mère, ne se retourna pas avant de claquer définitivement la porte d’entrée.

Voilà trois ans qu'Artemia a rejoint le SGC et aujourd’hui est un grand jour pour elle, elle est envoyée sur la mission Atlantis afin de prêter main forte aux autres soldats sur place. C'est Ellen Lewis qui appuya sa candidature après lui avoir fait passer un test sanguin particulier et lui découvrant un gêne spécial dans son ADN, le gêne ATA, elle avait déjà entendu ce nom par le passé et elle cru d'abord à une mauvaise blague lorsqu'elle lu le précieux sésame qui lui permettait de rejoindre la mission Atlantis.  Elle a su, durant ces trois années, faire ses preuves et visiblement convaincre de par ses qualités, la ferveur et l’assiduité dont elle fait preuve au quotidien, cette dernière découverte lui permettant d'ajouter une ligne en plus aux "qualités" dont elle faisait preuve. Les sports qu'elle pratiquais dans le passé lui avaient servi de base pendant ces trois années, le tir à l'arc, le Krav Maga et le Kick Boxing avaient été ses atouts. Elle n'a jamais baissé les bras, repoussant sans cesse ses limites, elle voulait prouver à tous, à elle-même, à ses parents, à son compagnon qu'elle était capable. Elle n’est là que depuis quelques mois seulement mais semble s'acclimater plutôt bien à la vie de la base. Elle se remémore régulièrement son parcours jusqu'à aujourd'hui comme pour se rassurer, se dire qu'elle n'est pas en train de rêver. Pour acquérir les bases du métier de soldat et de chef de groupe, Mia a bénéficié d’une formation initiale de 8 mois à l'Ecole des Sous-Officiers, une période pendant laquelle elle appris à délaisser son arc afin d'opter pour une arme à feu tout ce qu'il y a de plus moderne, elle dû réapprendre à ne faire qu'un avec l'objet, à se soumettre à la hiérarchie, chose dont elle avait horreur étant plus jeune. Cette formation lui permis d'accéder au grade de Caporal au sein de la 2e Divison d'infanterie américaine de l'US Army mais sur un plan plus personnel, cela lui permis à elle de s'affirmer d'avantage, d'apprendre à prendre des initiatives, se faire à une discipline plus rude, en somme un tout nouveau mode de vie pour elle et aujourd'hui elle en est plus que satisfaite et espère qu'à l'avenir, ses supérieurs comptent d'avantage avec elle à leurs côtés. Son intégration au sein du SGC n'était clairement pas ce à quoi elle s'attendait. Elle n'avait même jamais entendu le nom de l'organisation avant que l'un des militaires venus lui proposer le poste ne lui en parle. Les farces elle en avait connue tout au long de sa courte vie, mais l'homme en face d'elle ne sourcillait pas. Intriguée et poussée par son éternelle soif de connaissance, elle muta dans l'US Air Force afin d'intégrer dans le plus grand secret le SGC et rejoindre la mission Atlantis.

Comment votre personnage a-t-il vécu le moment il a pu poser les pieds sur Atlantis ? Ses premiers pas sur la Cité des Anciens ? :

Les sentiments qui avaient étreint Artemia alors que ses yeux se posaient sur Atlantis étaient indescriptibles, elle eut d'abord envie de pleurer, de rire puis de se pincer très fort et de re pleurer ensuite. Elle peinait à en croire ses yeux, se pensant dans un rêve des plus fous, du genre de ceux que l'on fait après s'être pris la cuite du siècle juste après son anniversaire.

Pour donner un ordre d'idée, emmenez un enfant pour la première fois à Disneyland et regardez son visage s'illuminer à la vue du château à l'autre bout de Main Street USA, vous aurez alors l'image du visage de Mia lorsqu'elle mis les pieds dans la cité des anciens. Des frissons qui courraient le long de sa nuque et le coeur tambourinant à tout rompre et étrangement elle se sentait à la foi privilégiée et interdite alors qu'elle la découvrait pas à pas.

Nous sommes maintenant en 2017. Des renforts matériels et humains arrivent par le biai du Dédale régulièrement. La situation est difficile, les Genii & les wraith ne cessent de leur rendre la vie difficile mais lentement les conditions s'améliorent avec la découverte d'un nouvel E2PZ particulier découvert sur le nouvel site alpha : La Terre sans jour, qui permet d'avoir des contacts régulier avec la terre.)

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