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[Alerte] Incendie

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Atlantis
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√ Arrivée le : 01/08/2015
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Mar 29 Aoû - 18:22

Atlantis

Alerte !



06 Septembre 2017 - 22h17

Driiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiing.

L’alarme incendie venait d’être déclenchée dans le laboratoire B2 déclenchant aussitôt une alerte en salle de contrôle. Les membres du personnel activèrent aussitôt les caméras de la pièce découvrant de grandes flammes, beaucoup de fumée mais aussi une silhouette à la démarche précaire. Celle-ci disparut dans la fumée.

Il fallait prendre les bonnes décisions et surtout agir. Une vie était en jeu !

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Voilà pour la petite introduction. A vous de gérer la situation

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Mar 29 Aoû - 22:35

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[Alerte] Incendie
Avec Matthew Hayes et Cody Fuller

Prenant une nouvelle gorgée de café, je continuais mon travail, plongé dans mon microscope. J'ignorais quelle heure il était, je n'avais plus vraiment conscience de ce qui m'entourait. Quand je me plongeais dans mon travail, j'oubliais tout ce qui se passait autour de moi. Aussi, je ne remarquais même pas que la salle se vidait peu à peu. Mes autres collègues avaient sans doute terminer leurs tâches, ou désiraient une pause bien méritée. Aussi, tout le monde me laissa seul, dans le laboratoire B2, n'osant pas me déranger. A vrai dire, si je l'avais remarqué, je n'en aurais rien eu à faire. Bien au contraire, j'aurais été satisfait. Très satisfait même. La solitude me plaisait beaucoup mieux qu'être entouré de plein de gens.

Après quelques instants, ma tasse de café se vida, à mon grand regret. Je le remarquai au moment où je voulus avaler une autre gorgée. Soupirant, je me tournai sur ma chaise, avant de m'immobiliser en regardant autour de moi, stupéfait. Il n'y avait plus personne. Pas un chat. Mais quand est ce que l'équipe de scientifiques était partie ? Aucune idée, et peu m'importait. Quel soulagement. Je me levai et allai remplir ma tasse de café bien chaud, avant de revenir m'asseoir devant mon matériel. Vu que j'étais seul, je pouvais donc faire ce que je voulais. Retirant ma radio de mon oreille, je posai l'objet sur la table, avant d'ouvrir un tiroir de mon bureau. J'en sortis un baladeur MP3, mis les écouteurs, et lançai une chanson au hasard. Ah, que c'était bon de travailler en musique. Détendu, plongé dans mon monde, je repris mon travail, les yeux dans le microscope tout en pianotant sur mon ordinateur de temps en temps. J'étais tellement concentré, n'entendant rien à part la musique, que je ne remarquai pas tout de suite ce qui se passait autour de moi, dans le laboratoire.

Dans mon dos, à l'autre bout de la salle, un incendie s'était déclaré. D'abord doucement, quelques petites flammèches. Puis, les flammes prirent de plus en plus d'importance. Jusqu'à devenir un véritable brasier, se nourrissant de ce qu'il y avait dans le laboratoire, ce qui lui permettait de grandir assez rapidement. Avec la musique dans les oreilles, je n'entendais rien du tout, mais un détail vint alors troubler mon travail. D'abord, un sentiment de chaleur. A croire que quelqu'un avait allumé le chauffage. Puis, une odeur étrange. Une odeur de brûlé. Je reniflai, intrigué, avant de me retourner. Je me retrouvai alors devant un important incendie qui ravageait déjà une partie du laboratoire. Je bondis de mon siège, à la fois stupéfait et effrayé, tandis que mon baladeur tomba par terre. Je voulus sortir du laboratoire, mais le feu bloquait la porte. Me voilà pris au piège. Et dans cet espace restreint, la fumée devint rapidement un problème. Très vite, je commençai à ne plus voir grand chose. La fumée envahit entièrement la salle, pendant que les flammes continuaient de progresser dans ma direction. Je cherchai désespérément un extincteur, mais il n'y en avait pas dans le laboratoire. Je me mis à tousser fortement, la fumée brûlait ma gorge et mes poumons, mes yeux piquaient, et l'incendie transforma cet endroit en une véritable fournaise. Je tentai de trouver ma radio en tâtonnant la table, vu que je ne voyais presque plus rien. Mais je ne la trouvai pas. Je ne pouvais prévenir personne de ce terrible danger. J'eus alors de plus en plus de mal à respirer. Dans une ultime tentative, je pris une profonde inspiration avant de crier :


"Au ... sec ...ours ... aidez ... moi ... s'il ... vous ... pla ... it".

Mon cri s'éteignit dans ma gorge endolorie, et une violente quinte de toux me prit. J'eu l'impression que mes poumons voulaient se faire la malle sur le champs. L'oxygène se raréfiait peu à peu à cause de l'incendie qui devint plus violent et plus important. Personne ne m'avait entendu, c'était sûr. J'allais mourir ici. J'étais fichu. A travers la fumée, je marchai péniblement vers le fond du laboratoire, m'appuyant sur les meubles pour ne pas tomber. Je devais m'éloigner du feu. Et peut être trouverais-je quelque part un objet utile ? Un masque à oxygène ? Une combinaison ? Après tout, j'étais dans un laboratoire, non ? Je priais pour trouver quelque chose, jusqu'à ce que mes jambes cèdent. Je m'écroulai sur le sol, y trouvant un tout petit peu d'air frais avec un peu d'oxygène. Je rampai difficilement sur le sol, suffoquant, toussant fortement, avant de disparaître dans la fumée, me faufilant toujours sur le sol.

by Epilucial



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Ven 1 Sep - 18:33

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Une douce soirée de travail, une de celles que Mike adorait. Adorer travailler. Pour d'autres personnes, cela pouvait paraître surprenant, mais pour celles connaissant Mike, c'était tout à fait son style. La quiétude et la sérénité qu'apportaient les plantes, il n'y avait rien de mieux. Sans parler des passionnantes découvertes qu'il faisait chaque jour avec la découverte d'une nouvelle plante aux qualités étonnantes. Aujourd'hui, il avait accueilli une toute nouvelle pensionnaire : une petite plante dorée de BT-261. Cette plante carnivore avait la particularité, si l’on croyait le peuple qui l’utilisait, de produire une fine poudre argentée qui stimulait le cerveau une fois ingérée. Il était en réalité probable qu’il s’agisse de drogue, mais bon, qui sait, peut-être que les scientifiques trouveraient une utilité ? Ils avaient bien réussi à synthétiser la plante Punta en un médicament, qui faisait désormais partie du matériel militaire pour les missions. Le seul regret que le botaniste éprouvait était qu’il ne puisse pas en faire profiter d’autres personnes, là-bas, sur Terre. Enfin, qui sait, peut-être que cela arriverait un jour ?

Le temps s’était écoulé à une vitesse folle, et Mike, comme à son habitude, ne prenait jamais la peine de regarder l’horloge accrochée au fond de son bureau. Surtout que dans la même direction se trouvait une énorme pile de paperasse à remplir, rien d’agréable donc. Le scientifique était penché sur sa nouvelle petite amie, qu’il avait décidé de nommer Dorothée. Dorothée la plante carnivore. Hé. Ça sonne bien non ? Il avait sorti un petit pot rempli d’insectes vivants que lui avaient fourni les Atosiens. Avec l’aide d’une pince, il s’était saisi d’un gros verre, et l’approchait doucement de la plante pour la nourrir.

Allez ma grande, une cuillère pour papa…


Hum… Docteur Femens ?


Mike sursauta et lâcha son pot en se tournant d’un seul bloc en direction de la porte, soudainement écarlate. A l’entrée, le docteur Morel le regardait avec un grand sourire amusée, qu’elle cachait du mieux qu’elle le pouvait derrière une main parfaitement manucurée. Jessika Morel était ce genre de femme qui faisait rêver tous les hommes. Et elle était ce genre de femmes que les marines faisaient rêver, également. Dommage. Enfin… Mike tenta de se redonner un peu de prestance, en s’appuyant contre son établi, avant de rapidement retirer sa main dans un sursaut lorsqu’elle entra en contact avec une substance bleutée étrange. C’est pas vrai ! Encore la plante de GO-691 qui faisait des siennes ! Jessika se retenait d’exploser de rire, visiblement, et Mike préféra juste s’éloigner du bureau et s’approcher d’elle d’un pas hésitant, rouge comme une pivoine.

Heu… Je peux vous aider docteur Morel ?


Oui… Désolée de vous déranger, mais je m’inquiète pour le docteur Grayson. Cela fait plusieurs soirs qu’il termine ses journées dans le laboratoire à pas d’heure. Vous pourriez passer le voir lorsque vous partirez ? Juste au cas où…


Ah. C’était donc ça, il allait servir de baby-sitter à scientifique. Enfin, après tout, Gabriel était une personne qu’il appréciait, et puis, leurs laboratoires était adjacent. Il accepta la requête, avant de faire ses adieux à la belle scientifique, qui avait rendez-vous avez un sergent de garde à la porte. Ah… Bon, maintenant, il devait reprendre le…. OH NON ! LE BOCAL !

Les petits insectes s’échappaient doucement en rampant du bocal qui s’était renversé par terre, trop heureux de retrouver la liberté après tant de temps. Oh non non non ! Mike s’élança vers eux, les ramassant à toute vitesse, ses mains s’emplissant rapidement de bave.

Ah et doc… Heu…


Mike se releva, les mains tendues en avant, remplies d’insectes, faisant des yeux ronds en direction de Morel qui était revenue et qui semblait sur le point d’exploser de rire.

Je voulais vous dire merci… Mais vous avez l’air occupé. Bonne soirée !

Elle disparut de l’encadrement de la porte, mais Mike put très clairement entendre les éclats de rire venant du couloir et remontant jusqu’à son laboratoire. Le botaniste baissa les yeux vers les insectes, qui tentaient de s’échapper de ces mains gigantesques qui voulaient les enfermer de nouveau. Bon… Après tout il était habitué à perdre toute crédibilité en un temps record maintenant, hein. Il remit la nourriture dans le bocal, qu’il referma soigneusement, avant d’aller se laver les mains et de nettoyer en vitesse le liquide bleuté sécrété par une grosse plante rouge en forme de feuille. Il revint finalement vers sa nouvelle protégée, qui avait commencé son lent processus de digestion. Il attrapa sa tablette et prit quelques notes sur son évolution, ainsi que quelques images pour les archives. Plus qu’à attendre. Il s’approcha de son bureau, lançant un regard dégouté vers la pile de paperasse, puis vers l’horloge. 22h10. Bon, bah, il devait bien s’y mettre tôt ou tard. Il ramassa une première fiche tout en haut de la pile, qu’il s’empressa de lire, de compléter, et de signer. Bon sang, il en avait déjà marre !

DRIIIIIIIING

Mike releva la tête d’un seul coup, sentant des sueurs froides lui parcourir l’échine. L’alarme incendie ! Il se leva d’un bon, avant de se jeter vers son casier ou trônait un magnifique extincteur à incendie, outil qu’il gardait désormais à portée de main depuis l’accident avec la plante-acide. Il s’avança jusqu’au couloir, prit une grande inspiration, avant de jeter un coup d’œil hésitant hors de son labo. Pas de fumée. Ouf ! Ce devait être dans un autre laboratoire. Une idée vint soudainement lui effleurer l’esprit. Le docteur Grayson ! Il s’élança dans le couloir en direction du laboratoire B2, courant en gardant l’extincteur collé tout contre lui à la manière d’un bébé avec son doudou. Une fois arrivé à destination, il s’empressa de passer sa main devant la console d’ouverture de la porte. Rien. Le docteur Femens fronça les sourcils, et passa une deuxième fois sa main. Toujours aucun mouvement de la part de la porte. Ce n’était pas normal ! Il posa sa main contre la porte métallique, qui se trouva être brûlante. Oh non ! Mike donna plusieurs coups frénétiques contre la porte, soudainement prit d’une terreur sans nom.

Docteur Grayson ! Docteur Grayson, ouvrez la porte !

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Lun 4 Sep - 12:30

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Matthew était sur les rotules. La journée avait été particulièrement longue.

En l’absence de responsable technique à proprement parler, le nouveau venu avait été placé sous la responsabilité du Docteur Zelenka. Ses principales obligations tournaient autour de la familiarisation avec la technologie lantienne. Ce jour là, le technicien s'évertuait à comprendre le fonctionnement du fameux fauteuil des anciens. Si cela constituait un formidable challenge, c'était aussi une véritable chienlit. Si bien qu'à 22h passée il était toujours en train de s'acharner sur sa tablette lui débitant tout le manuel technique.

Matthew se considérait comme un excellent mécanicien et un bon bricoleur. Même en étant pistonné, rares étaient les élus qui accédaient au monde des courses automobiles et du NASCAR en particulier. Ainsi il avait quelques facilités à assimiler toutes sortes de schéma technique et c'était le cas pour le fauteuil des anciens. Du moins en ce qui concerne la fonction de tir et la gestion des drones. Dans son expression la plus basique, ce dernier n'était fondamentalement qu'une console de tir. Ce qui posait problème au rookie c'était surtout l’approvisionnement et la distribution d'énergie. La technologie sur Atlantis était basée sur des cristaux d'interface, se substituant aux circuits imprimés terrestres. Cette technologie semblait encore légèrement hors de sa portée, du moins au niveau de ses fonctions les plus basiques.

Alors qu'il s'apprêtait à plier les gaules pour la journée pestant contre le fauteuil et lui mettant même un coup de pied au passage, le bruit caractéristique de l'alerte incendie se mit à retentir.
Driiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiing ! Décontenancé, à défaut d'être paniqué, Matthew sortit de la salle et jeta un coup d’œil rapide dans les couloirs avant de se diriger vers le téléporteur le plus proche. Le technicien ne croisa personne sur le chemin. Pas un cri, pas un bruit à part cette fichue alarme. Cette dernière commençait d'ailleurs à lui taper sur le système et la situation générale à l'inquiéter ! Cela ne faisait à peine plus d'une semaine qu'il était sur Atlantis et déjà une crise pointait le bout de son nez. En même temps, on l'avait prévenu...

Matthew n'arriva jamais au téléporteur. Consciencieux, il vérifia tous les laboratoires et toutes les pièces sur sa route, au cas où. Ce furent des cris d'homme qui lui indiquèrent finalement le chemin. Lorsqu'il arriva devant le laboratoire B2, il se retrouva en face d'un homme légèrement paniqué qu'il n'avait croisé depuis son arrivée. Un scientifique à la vue du bleu de sa tenue. Le technicien se rapprocha prestement :


- Vous allez bien ? Qu'est ce qui se passe ? fit-il simplement alors que son regard se tourna vers la fenêtre du labo.

Matthew ne vit qu'une épaisse fumée. Il tenta d'activer la commande de la porte par réflexe mais cette dernière était verrouillée. Le technicien ne tergiversa pas. Il n'allait pas rester là à rien faire. Heureusement, il était équipé. Le mécanicien sortit un tournevis de sa trousse de bricolage et commença à faire sauter le panneau de contrôle de la porte du laboratoire. L'ironie du sort voulut qu'il se retrouve face à des cristaux, son Némésis. Cette journée se terminait en apothéose ! Il eut à peine le temps de brancher sa tablette sur le panneau que plusieurs personnes déboulèrent d'un couloir adjacent. C'était avec un immense soulagement qu'il accueillait des renforts.

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Mar 5 Sep - 0:26

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Ma journée avait commencée comme d'habitude : réveil aux aurores, exercices et autres routines qui m'évitent de trop ressasser mes idées noires. Rien de bien intéressant à raconter. Vers 18h je suis passé au poste de sécurité, j'avais idée de prévenir les gars de la patrouille que j'allais trainer dans les couloirs mais le chef de poste de semaine eut un sourire en me voyant arriver (c'est jamais bon signe ), il vint me saluer et commença à me causer :

" Ah ! Lieutenant ! Vous tombez bien ! J'ai un souci : l'un des gars de la patrouille des labos est indisponible pour cause d'accident du travail. Je me demandais comment faire et vous voilà !"

Quand je vous disais que c'était pas bon les chefs souriants ! Je lui rendit son salut et prenant la pose du soldat au repos, je lui répondit sur le ton jovial qui était le mien !

" Eh bien capitaine ! J'ai regardé sur mon agenda et vous avez de la chance : pas de RDV en vue avant des jours ! Si ça peut vous arranger je veux bien la faire cette patrouille ! Mais pourrais-je choisir mon binôme ? "

" C'est inhabituel mais vous m'ôterez une sacré épine du pied alors ... Et vous avez un nom en tête ? "

" Ben Je dirais bien le soldat Fuller ! On se connait peu mais j'ai l'impression que c'est un pro ! Et j'adores les chiens ! "

Le chef de poste réfléchit un moment, consulta sa tablette, fit glisser ses doigts sur l'écran et releva la tête en souriant :

" Voilà c'est fait ! Il en sera ravi ! Il devait monter la garde devant le hangar des jumpers Une nuit à faire le planton c'est moins folichon que de patrouiller dans les couloirs de la cité. J'ai envoyé la note de service ! Je vous attends ce soir à 20h00 ! Merci ! "

Il me fit signe que je pouvais aller vaquer à mes occupations ce qui fut facile et rapide. Bref vers vingt heures j'étais au poste de sécurité, où j'eus le plaisir de voir Fuller et son partenaire qui attendaient les ordres. Je me suis approché, et Cody s'est mis au garde à vous ! Je l'ai salué et lui ai dit repos !

" Bon ! Prêt a faire une ronde de nuit avec le fantôme de la cité ? Je prends connaissance des consignes de sécurités et on y va ! Il est vaste le territoire des têtes d'oeuf ! "

Une tape amicale sur la tête du soldat Zelda et je rentre dans le poste de sécurité tout en écoutant la réponse de Fuller. Je prends note des codes d'identification, des noms des scientifiques en poste ce soir et vérifies les batteries des radios, j'en donne une à Fuller et signe le carnet de présence : il est 20h pile ! Je me prépare donc à cette nuit calme au pays des merveilles des grosses têtes !

" Bien ! Soldats ! Allons-y ! Les labos nous attendent ! "
et nous voila partis vers les ascenseurs.

21h30 dans les couloirs de la zone scientifique :

On tournait depuis un moment déjà mais on avait pas encore fait la moitié de la zone concernée. Fuller était un camarade agréable d'une conversation assez complète ! On parlait de tout et de rien le temps d'arriver aux labos il était 22h ! On arrivait a peine devant la zone quand soudain retentit une alarme : l'alerte incendie !

" Fuller ! Avec moi ! Retenez votre binôme ! Je ne tiens pas à devoir perdre un de mes hommes à cause d'un feu ! //Ford à poste de sécurité ! Alerte incendie dans la zone des laboratoire ! Prévoyez équipe médicale ! Que des sections anti-incendies se tiennent prêtes pour intervention ! Ford ! Terminé !// "

On s'est élancé en courant : les portes succédant aux portes, nous croisions quelques personnes qui bossaient encore tard ce soir ! Sur le visage de chacun se lisait inquiétude et interrogation !

" Gardez votre calme ! Suivez les protocoles d'évacuations ! Fuller ! Escortez ces personnes vers les téléporteurs, puis venez me rejoindre ! Je vous envoie d'autres personnes si j'en trouve ! Suivez le maitre-chien dans le calme ! Il n'y a pas de danger immédiat ! Les sprinkler automatiques vont bientôt entrer en fonction alors pas de panique ! Ne trainez pas non plus les portes risquent de se bloquer automatiquement ! "

Laissant les civils dans les mains efficaces de Fuller ( et les pattes de son partenaire canin ), je continuais ma progression. J'avais dépassé les labos A1 à 9 et entamais les labos B. C'est là que j'ai vu deux personnes en train de s'activer devant une porte de labo : Mike Fremens et un technos que je ne connaissais pas !

" Qu'est-ce que vous faites-là ? Vous devez évacuer ! C'est pas le moment de récupérer vos boutures Professeur ! Et vous, vous faites quoi avec ce panneau de contrôle ? Monsieur ... Hayes ? "

J'étais curieux de connaitre les raisons de cette tentative d'effraction en pleine alerte ! Surtout qu'à l'intérieur les flammes semblaient bien voraces et la fumée très dense : j'aimerais pas me retrouver coincé là-dedans ! Ah ! Cody arrive !

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Cody Fuller
Caporal
Maître Chien
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√ Arrivée le : 01/07/2014
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Ven 8 Sep - 4:34

Cody Fuller
Ma journée a commencé de la même manière que les autres : réveil très tôt, prendre soin de Zelda, jogging avec elle et douche avant d'aller au mess prendre un petit-déjeuner. À chaque jour ce sont les mêmes habitudes. J'aime bien avoir ma petite routine, car cela me permet de ne rien oublier. Si mes habitudes du matin changent tout le temps, alors comment est-ce que je peux savoir si j'ai oublié de faire un truc important ? Pendant toute la journée, je vaque à mes obligations qui m'ont été affecté cette semaine.

Ce soir, je dois monter la garde devant le hangar des jumpers. Rester planté au même endroit n'est pas intéressant. En ce moment, je suis assis sur le sol de ma chambre avec une brosse en main, retirant les poils superflus de la magnifique fourrure de Zelda. J'en profite pour m'occuper d'elle compte tenu du fait que j'ai un peu de temps devant moi avant de me rendre à l'endroit où je dois monter la garde.

C'est alors que j'entends l'annonce de l'arrivée d'un message. Je dépose la brosse au sol, retire les poils de mes vêtements et me dirige vers l'ordinateur sur mon bureau pour lire la note. Je peux lire que mes plans ont changé. À 20h00, je vais faire une patrouille aux laboratoires avec le lieutenant Aiden Ford. Je ne le connais pas, mais je suis ravi de pouvoir marcher un peu à la place de rester au même endroit sans rien faire. En plus, j'ai l'occasion de travailler avec lui et d'apprendre à mieux le connaître. Il a l'air d'être un mec plutôt sympa. On dit que les wraiths l'ont pas mal amoché, mais d'après ce que j'ai vu, il a l'air d'être un mec plutôt normal avec les effets secondaires de sa mutation.

Un peu avant 20h00, j'enfile l'habit officiel des militaires de la cité après avoir terminé de brosser Zelda. J'enfile mes équipements et range mon pistolet avec deux chargeurs dans une ceinture d'utilité. J'attache Zelda à sa laisse et nous nous dirigeons ensuite vers le poste de sécurité pour aller rejoindre le lieutenant Ford. Je fais signe au chien de s'asseoir à mes côtés. Lorsque Ford s'approche de nous, Zelda se lève et les poils s'hérissent sur son dos. J'empoigne sa laisse et la fais asseoir à mes côtés pour la mettre en confiance. Une fois le chien calmé, je me mets au garde à vous. Le lieutenant retourne mon salut et me dit repos.

« Oui, je suis prêt. C'est cent fois mieux que de rester debout devant une porte. » je secoue doucement la tête tout en riant.

Comprenant qu'il n'est pas une menace, Zelda le laisse lui donner une tape amicale sur sa tête et elle le regarde s'éloigner Quant à moi, je reste où je suis pour l'attendre. Il revient avec deux radios et m'en offre une. Je la prends et l'installe à ma veste pour qu'elle soit facilement accessible. Une fois prêt, je suis Ford en direction des labos. Voilà une heure et demi que nous marchons. La conversation est facile, nous parlons de tout et de rien. Tellement que la conversation est facile, il est 22h00 le temps d'arriver aux laboratoires ! C'est plaisant être en bonne compagnie. Ford s'avère être un excellent partenaire de patrouille.

Au tournant d'un couloir, Zelda se dresse devant nous et se mets à renifler. Merde, c'est pas bon signe ! C'est vraiment pas bon signe. Je ne veux surtout pas savoir ce qu'elle a reniflé ou peut-être bien que oui si ça peut permettre d'aider des gens.

« Elle a reniflé quelque chose. Suivons-là. »

À peine arrivés au laboratoires, l'alarme d'incendie retentis ! Zelda se mets à aboyer, car l'alarme agresse et elle veut nous faire savoir qu'il y a quelque chose d'important qui se passe. J'empoigne la laisse et la remets à l'ordre. Ford me demande ensuite de faire évacuer les civils présents. Je lève la main pour que tous me voient.

« S'il vous plait, restez bien groupés et demeurez calme ! Il n'y a aucune raison de paniquer. La situation est sous contrôle. Avancez rapidement. Les portes peuvent se bloquer automatiquement. » je répète les consignes de Ford pour m'assurer que les civils comprennent bien ce qu'il faut faire et ainsi leur permettre de rester calme dans une telle situation d'urgence.

Je me mets en route et à mesure que j'avance, des civils viennent me rejoindre et posent des questions. Je leur explique la situation et leur demande de bien vouloir me suivre. Une fois en lieu sûr, je retourne rejoindre Ford avec Zelda. Alors que je rejoins le niveau des labos, je me retrouve devant une porte qui est bloquée. Les jets d'eau coulent du plafond du couloir. Bordel de merde ! Il faut vraiment que ça m'arrive ! J'empoigne ma radio et tente de communiquer.

//Ici soldat Fuller. Je suis coincé au niveau des labos derrière une porte verrouillée. Je demande de l'aide à la personne qui recevra ce message.

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Mar 12 Sep - 21:33

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Tout s’était précipité à une vitesse vertigineuse. Alors que le botaniste taper contre la porte métallique à s’en faire exploser les phalanges, un technicien le rejoignit bien vite, lui demandant ce qu’il se passait. Mike essaya de bégayer quelque chose, encore sous le choc, son extincteur à incendie pendant mollement au bout de son bras. Fort heureusement, l’inconnu sembla comprendre tout seul, et entreprit immédiatement de démonter le boitier de la porte. Rah, ça n’allait pas assez vite ! Le scientifique risqua un regard de l’autre côté de la porte. La fumée masquait tout désormais, et Grayson avait complètement disparu. S’ils continuaient de mettre autant de temps, son collègue allait mourir asphyxié !

Soudain, la voix de Ford le fit sursauter comme un enfant prit en train de voler dans une boîte à cookies. Il se retourna d’un seul bloc vers lui, les yeux écarquillés par la terreur, son extincteur serré contre lui comme un doudou. Au bout de quelques secondes d’hébètement, la colère face à ce qu’il interprétait comme une question stupide pris le dessus, boostée par la frayeur qu’il venait d’avoir.

Ford ! Vous pourriez faire un peu plus de bruit en marchant ! Je… Il…


Il fallait que Mike se calme. Il ferma les yeux, et se rappela les conseils que lui avait donné la psychologue. Il conta jusqu’à trois, reprenant une grande respiration, avant de finalement poser ses yeux de nouveau sur le militaire. Non, vraiment, cette technique était PARFAITEMENT INUTILE.

Grayson est enfermé dans le laboratoire ! Il faut le sortir de là !


Il se retourna vers la porte. Hayes avait bientôt réussi à l’ouvrir, visiblement. Dans son dos, il entendait une voix grésiller dans l’oreille de Ford. Flute, il avait encore oublié sa radio ! Bon tant pis… Il posa des yeux plus que pressés sur le technicien, son extincteur encore dans ses bras, comme un gros bébé métallique et rouge vif.

Plus vite, plus vite !


Il n’attendait qu’une seule chose, que la porte s’ouvre pour se ruer à l’intérieur et arroser au maximum cette pièce avec son extincteur. Il faut que le docteur Grayson tienne bon ! Allez, la cavalerie va arriver !...

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Jeu 14 Sep - 21:40

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*Satanés cristaux !*

Cela faisait à peine quelques secondes que Matthew tentait d'ouvrir cette fichue porte qu'il en avait déjà plein le dos. Non seulement il avait déjà planché sur cette technologie depuis huit heures du matin sans grand succès, il se retrouvait à présent quasiment dans l'obligation de montrer des résultats. Vous parlez d'une pression. Pourtant, l'ancien joueur de football américain n'était pas du genre à céder à la pression. Quarterback titulaire au lycée et à la fac, le bostonien était habitué à cette montée d'adrénaline. Du moins sur le papier... Là il s'agissait d'une situation de vie ou de mort, durant laquelle un de ses camarades pouvait y laisser la vie ! Concentré, Matthew laissa le scientifique répondre au militaire qui les avait pris pour des vandales ou des voleurs. Il fallait le comprendre il faisait son boulot. Il se contenta de saluer le nouveau venu d'un signe de tête avant de trifouiller sur sa tablette en quête de réponses.

La cité avait verrouillée la porte. Cela n'arrivait qu'en de très rares occasions. De ce qu'il avait pu lire dans les manuels, il s'agissait principalement d'un moyen de défense de la cité afin de protéger ses occupants. Matthew se rappela d'un cas relativement récent durant lequel un virus avait été libéré par une équipe et afin d'éviter que ce dernier ne se propage, la cité était passée en mode quarantaine, confinant tout le monde là où ils se trouvaient. Le technicien espérait sincèrement que cela ne soit pas le cas. Pour l'instant il s'agissait juste d'un incendie alors il n'y avait pas matière à imaginer le pire. Mais si ce fameux docteur Grayson faisait des expériences dangereuses cela pouvait peut être s'avérer dangereux pour l'ensemble de l'expédition. Il s'empressa de faire part de sa réflexion.


- Je suis pas un scientifique mais si Grayson bossait sur un truc dangereux, ça posera aucun problème ? J'veux dire le feu tuera tout non ? Ca risque pas de se propager ?

Matthew laisserait les questions existentielles aux autres plus à même d'y répondre. Loin de lui l'idée d'abandonner un collègue à son triste sort, ce n'était pas le genre de la maison. Mais il fallait que tout soit clair et que tout le monde sache dans quoi ils risquaient de mettre les pieds. Le technicien n'était pas un leader et il venait à peine d'arriver sur Atlantis alors il était tout simplement incapable de prendre la moindre décision importante. Ou plutôt il était content que d'autres prennent cette décision pour lui. Le bostonien se reconcentra sur sa tâche.

Non seulement les cristaux lui résistèrent mais l'interface n'était pas en reste. Matthew était une bille en informatique. Il savait gérer sa boite mail et surfer sur le web. C'ést à peu près tout. Alors interfacer des cristaux avec un système informatique terrien, bonjour la galère... Heureusement le programme était très intuitif. Il ne manquerait pas de féliciter son auteur quand tout ceci sera terminé. Matthew tentait d'effectuer une dérivation pour contourner le verrouillage automatique de la porte. Cependant, pour les autres il ressemblait à un chimpanzé jouant avec des jouets pour les gamins avec ses cristaux. Du genre ceux avec des formes comme des triangles ou des carrés qu'ils doivent rentrer dans des compartiments adaptés...

Après quelques minutes, Matthew n'y arrivait toujours pas. Il jeta un coup d’œil aux autres et secoua légèrement la tête. Il s'essuya le front avec sa manche avant de se replonger dans le casse-tête. Soudain il eu une épiphanie. Son visage s'illumina. Il superposa deux cristaux et tapota sur sa tablette. Son regard se tourna immédiatement vers la porte. Après quelques secondes, la porte ne bronchait toujours pas.


- Fais chier, tu vas t'ouvrir bordel de merde ! cria-t-il de désespoir en plantant son tournevis dans l'interface à la place du cristal du milieu.

La porte s’entrouvrit alors légèrement dans un
Pssssssshhhhh libérateur, laissant passer un petit filet de fumée. Il ne restait plus qu'à l'ouvrir manuellement pour accéder au docteur Grayson. C'était plus facile à dire qu'à faire...

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Dim 17 Sep - 15:58

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Comme à son habitude Fremens paniquait, c'est sachant cela que j'ai gardé mon calme devant sa réaction, il y avait quelqu'un prisonnier du feu et il avait quand même osé lui porter secours malgré sa peur. Je ne pouvais que le trouver héroïque. Fuller lança un appel radio : il se trouvait coincé par les portes anti-incendie, je devrais lui envoyer de l'aide dès que possible ! De son côté Hayes triturait le panneau de contrôle avec semblait-il des difficultés. Ce qui ne l'empêcha pas de poser des questions, sensées au demeurant !

" Oui, si ce sur quoi bosse le Docteur Grayson ne se sert pas du feu pour se vaporiser en gaz ! ou si le feu et/ou la chaleur ne créent pas les conditions favorables à une dissémination de produits toxiques ou explosifs ! De toutes façons, vous deux ! Il est hors de question que vous pénétriez à l'intérieur de cette purée de poix venue des enfers de Dante !"

Avisant le "doudou" de Fremens je me mis à réaliser que côté matos on était pas bien doté ! Je tendis le bras et pris l'extincteur au botaniste :

" Donnez-moi ça Professeur ! Je ne laisserais pas un civil risquer sa vie dans une intervention sous ma responsabilité ! Je noterais dans mon rapport quel héros vous avez été, soyez-en sûr, je vous recommanderais même une médaille ! Mais excepté le fait que ce n'est pas votre rôle, connaissant le karma qui est le vôtre, vous laissez entrer serait criminel ! "

C'est alors qu'on entendit un "psshhhh !" salutaire ! Vite je retins la porte ; Inutile de faire un appel d'air qui relancerait les flammes de plus belle ! Malgré mes gants je ressentit une légère chaleur au contact de la porte, pas trop chaude mais qui augmentait doucement. Bon ! Il allait falloir agir ! Mais d'abord éloigner les civils du danger et aider Fuller ! Ah oui et trouver des masques ! Et des bonbonnes d'oxygène ! Je sais !

" Bravo Mister Hayes ! Vos compétences seront utiles ailleurs alors poussez-vous s'il vous plait ! Evitons les accidents ! Professeur ! Cody Fuller est coincé dans le couloir, vous et Mister Hayes vous allez le sortir de là ! J'espères que les panneaux des portes coupe-feu sont plus simples que celles des labos, je compte sur votre efficacité de technicien d'élite, Hayes !"

Je pris ma radio et envoyais ce message :// Blackeye à K9 ! Je vous envoie deux civils : un technicien : Matthew Hayes et un botaniste : Mike Fremens ! Ils vont essayer de vous débloquer le passage ! En attendant, trouvez-nous des masques à gaz, des bonbonnes d'O2 et des extincteurs pour produits chimiques, doit y en avoir dans les labos. Fremens vous guidera au besoin c'est son domaine ! Ah ! Et si vous trouvez des tenues NBC, je prends aussi ! Revenez quand les deux civils seront en sécurité ! Pas de civils en position de danger ! C'est un ordre ! Blackeye terminé ! A vous !//

Puis je regardais mes nouvelles recrues civiles, enfin provisoirement !

" Bien ! Je comptes sur vous pour aider Fuller au mieux ! Quand il aura l'équipement demandé et que vous serez à l'abri, ne jouez pas les héros de nouveau ! Ce que vous avez fait est admirable ! Déraisonnable et tout mais, admirable ! Maintenant on est là ! Nous la sécurité ! C'est notre job de mourir pour sauver vos miches ! Alors si vous avez un tant soit peu de sympathie pour moi Professeur, évitez que je sois puni pour irresponsabilité ou faute professionnelle grave ! Et faites vite ! Le feu dure depuis 10min, si Grayson est au sol, il aura encore de l'air pur, mais le temps presse ! Allez rejoindre cette porte de suite et sauver mon binôme et son chien !"

Je regardais les deux hommes, l'extincteur de Fremens dans la main, et lautre posée sur la porte pour la retenir.

" Allez ! Pas de discussion ! Y a l'feu ! "

En des circonstances moins dramatiques ce genre de phrases m'aurait fait sourire, mais l'humeur n'y était pas et j'avais hâte que Fremens et Hayes soient hors de la zone dangereuse.

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Cody Fuller
Caporal
Maître Chien
Bannière perso (image 901x180px) : [Alerte] Incendie 2019_c12
√ Arrivée le : 01/07/2014
√ Date de naissance : 19/09/1995
√ Nationalité : Américain

√ Age : 28
√ Messages : 578
√ Localisation : Atlantis

Liste de vos DC : Aucun

Dim 1 Oct - 5:10

Cody Fuller
L'eau coule toujours des jets d'eau du plafond de la cité. Zelda et moi sommes trempés. Heureusement que l'habit que je porte est imperméable. Sur le terrain, il a droit à toutes sortes de traitement. Dans l'eau, dans la boue, la neige, la saleté... Ce sera bête qu'il ne protège pas un tant soit peu. Il peut être taché bien entendu, mais un peu de protection n'est pas trop demandé. La chienne se secoue pour retirer l'eau qui s'accumule dans son poil. J'essaie d'ouvrir la porte, mais il n'y a rien à faire ! Je ne suis pas un technicien, moi. Je suis un militaire. J'ai seulement une petite idée comment la technologie sur Atlantis fonctionne, mais ne me demandez pas de prendre la place d'un technicien.

C'est alors que ma radio grésille dans mon oreille. C'est le Lieutenant Ford. Il m'informe que le technicien Matthew Hayes et le botaniste Mike Femens vont venir m'assister pour me permettre d'ouvrir la porte et de me rendre vers l'incendie. Il me demande aussi de trouver des masques à gas, des bonbonnes d'O2, des extincteurs pour produits chimiques et peut-être des combines NBC s'il y en a. Lorsqu'il termine de parler, j'actionne un bouton et réponds :

//Bien reçu, Lieutenant. Terminé.

Je me mets ensuite en marche vers les autres laboratoires pour voir si je peux trouver le matériel demandé. Zelda se lève du sol et me suit. Je fais le tour des laboratoires pour voir si je peux trouver des bonbonnes d'O2, des masques à gaz et des extincteurs pour produits chimiques. Il doit sûrement y en avoir, c'est le niveau où les scientifiques font leurs expériences. J'en déniche quelques uns dans les armoires des locaux. Les labos sont déserts à l'heure qu'il est. J'ai emmené les civils en lieu sûr au cas où l'incendie viendra à se répandre dans les autres salles du niveau. Sauf qu'avec les portes automatiques, je doute fort que cela arrivera.

Les tenues NBC sont un peu plus difficiles à trouver, mais je fini par en trouver deux. Il y en a assez pour moi et Ford. Elles nous seront utiles pour aider s'il y a des personnes coincées dans le local. Ayant trouvé le matériel nécessaire, je retourne vers la porte et tente une nouvelle fois de l'ouvrir. Il n'y a rien à faire ! Pourquoi faut-il que ça m'arrive ? C'est alors que Zelda se mets à aboyer. Lorsqu'elle le fait, c'est généralement pour attirer mon attention. C'est peut-être les deux civils que Ford m'a envoyé. Je l'espère parce que je n'ai pas du tout envie de rester coincé ici.

J'actionne ma radio et lance un message à l'intention du Lieutenant.

//K9 à Blackeye. J'ai trouvé le matériel nécessaire. À vous. Terminé.

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Mer 18 Oct - 21:25

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Mike était presque dans un état second de transe lorsque le golem, alias Ford, lui arracha l’extincteur des mains. Il tenta de bafouiller quelques mots, la panique et le choc embrouillant son esprit désormais. Il était totalement perdu dans tout ce merdier. Aiden distribuait des ordres à toutes vitesses, et Mike ne se sentait ni la force ni l’envie de le contredire. Cela dit, il faut avouer qu’il se sentit bien flatté et rassuré par les paroles du militaire, qui sut visiblement bien le caresser dans le sens du poil. Reprenant un peu de constance, le scientifique acquiesça aux dires d’Aiden. Aider Cody et se mettre à l’abris. D’accord. De tout façon, que pouvait-il faire de plus ? Alimenter le feu avec des plantes ? Ouais, bon…

Le botaniste laisse le technicien prendre la tête, et il le suit au pas de course. Il fallait au moins accorder cela au scientifique : il savait courir vite. Les couloirs n’en finissaient plus de bifurquer et de tourner. A l’un des angles, Mike reconnut le laboratoire destiné à la recherche sur les nouvelles technologies.

Je… Attendez Hayes !


Il fit signe au technicien, puis s’élança dans le laboratoire. Désert, tout avait été laissé en plan. Il se mit à farfouiller à toute vitesse dans les affaires. C’était là, ça devait bien être là…

Aidez-moi à chercher ! Ce sont des petites boules en acier blanches, grosses comme des billes… Elles devraient pouvoir arrêter le feu !


Le botaniste avait pu assister aux premiers essais de ces petites merveilles. Il s’agissait en réalité d’une technologie rapportée de HS-294. La peuple qu’ils avaient rencontré là-bas utilisaient une plante, qu’ils broyaient et remplissaient dans une boule d’acier, pour lutter contre le feu. Au contact avec la chaleur, les billes explosaient, rependant la poudre qui se transformait immédiatement en mousse épaisse et compact, qui venait étouffer les flammes. C’était exactement ce qu’il leur fallait. Après quelques minutes d’intenses recherches, ce fut finalement Hayes qui mit la main dessus en premier. Mike lança un cri de victoire, avant de s’élancer vers la sortie, le technicien sur mes talons. Il laissait son regard passer de droite à gauche dans le couloir et… Bon dieu, Fuller ! Le scientifique s’élança vers lui, se retenant au dernier moment pour ne pas sauter dans ses bras. Il prit la parole, mais son débit de voix était beaucoup trop rapide, du au stress.

Grayson, le labo, l’aider, les billes, vite !


Se refaisant rappeler à l’ordre par l’un de ses camarades, Femens déglutit difficilement, tentant de se calmer. Cela lui prit bien deux bonnes secondes.

Le laboratoire est par là ! Prenez ces billes, elles vous serviront ! Il faut les jeter dans les flammes, ça créera de la mousse qui arrêtera les flammes !


Il m’écarta pour laisser Hayes lui donner le précieux chargement. Il n’y avait plus qu’à espérer que cela pourra les aider à lutter contre l’incendie ! Pendant ce temps, Mike lançait des regards nerveux vers le bout du couloir. Bon, maintenant, il fallait qu’il file… Enfin, qu’ils filent se mettre à l’abris en prenant les téléporteurs. Après tout, Aiden en avait donné l’ordre non ? Et puis, ils n’avaient pas besoin d’eux, ils ne feraient que les ralentir. De la couardise ? Non, de l’instinct de survie et… Heu… De l’efficacité !

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Mar 24 Oct - 1:05

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Me retrouvant seul, je me mis a m'interroger, comment agir ? Entrer ou ne pas entrer ? Grayson était là, couché à terre ! Depuis combien de temps respirait-il de la fumée ? Avait-il encore de l'air ? Pouvais-je attendre les secours sans rien faire ? Et si mon inaction causait la mort du savant ? Tant pis ! J'entre ! Advienne que pourra ! Je m'accroupis a terre et commence à ouvrir la porte doucement pour éviter un appel d'air trop brusque qui ferait un comburant bienvenu pour le feu. La fumée s'échappa un peu, de la chaleur aussi, bon ! Plus le temps de finasser ! J'avance dans l'antre du feu et fermes la porte derrière-moi ! La fumée me pique les yeux, je cherche un corps sur le sol, le voilà ! Il respire encore, mais faiblement ! Un appel radio de Fuller : le groupe de sécurité incendie est arrivé avec des secouristes, il va raccompagner les deux civils : Femens et Hayes, et m'attendra au poste de sécurité. //Bien reçu ! Bon travail ! J'ai trouvé Grayson ! Il a besoin d'oxygène ! Ford ! Terminé ! //

Bon ! Plus qu'a ramener le savant dans un air plus sain ! Je le prends sur mon dos et commences a me diriger vers la porte ! L'extincteur de Femens me sers bien, j'éteins deux ou trois foyer : surtout des corbeilles a papiers, puis atteignant la porte du labo, je l'ouvre et me retrouves dehors ! Des mains m'enlèvent Grayson, lui collent un masque à oxygène, on me prends aussi par le bras, une voix me dis que tout est sous contrôle, on me file un masque en me disant de rspirer à fond ! On me tape sur le dos, il parait que j'ai sauvé Grayson ! Que j'ai bien agi, ouais, bof ! J'étais pas tout seul ! Sans Le technicien j'aurais défoncé la porte et provoqué un appel d'air qui aurait alimenté le feu, sans le professeur, pas d'extincteur ! Sans Fuller pas de civils conduits en sécurité ! Moi j'ai juste donné des ordres et fait mon boulot !

Les gars ont éteint le feu, un court-circuit en étant le responsable, le labo sera impraticable pendant un moment ! Grayson fut conduit en salle de soins, aux dernières nouvelles, il y ait encore ! Femens et Hayes sont retournés à leurs occupations, j'ai offert un verre à Fuller et un os à moelle à Zelda, je suis retourné à mes routines de mutant addict. Bref cette histoire ne fut qu'une des longues suites d'événements courant sur la cité. Je ne suis pas un héros solitaire : Les hommes et les femmes d'Atlantis sont des Héros de légendes ! Je le voit tous les jours !


Fin de l'alerte !:

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