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Marchday ! Marchday ! [Pv : Sheppard]

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Lun 13 Mar - 21:11

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J'ai été sur le continent il y a peu, mais cette fois-ci c'est pour une raison plus intéressante que je mis rend. Même avec une excellente compagnie comme l’été Elia Fischer, y aller pour une raison professionnelle sera toujours plus passionnant de mon point de vue. Mais en plus, je mis rend avec une personne au moins aussi intéressante. Le lieutenant-colonel John Sheppard, j'ai entendu beaucoup de choses à son sujet, pas forcement que du bien, mais pour moi il est ce que les états unit fait de mieux. Certes, il a une manière de faire bien à lui, mais les résultats parlent pour lui et c'est justement cela qui le rend un peu au-dessus du lot à mon regard. Là où je suis lent et introspectif, il semble plus instinctif et à l'expérience avec lui. Enfin, j'imagine que le mieux sera de voir comment ça se déroulera et d'en tirer les justes conclusions, de toute manière ce n'est qu’une petite mission de routine, comment ça pourrait mal finir ? De bien des manières, donc dans le doute j'ai un paquetage complet réglementaire, deux caisses de matériel et je suis dans une tenue adaptée pour crapaüté sur le terrain si cela devient nécessaire. On ne sait jamais quand on peut être appelé, si on doit se rendre en urgence ailleurs pour une raison où une autre au moins je ne serais pas une gêne par manque de préparation. J'ai même pris une gourde, un thermos de café et des rations supplémentaires au cas où.

Bref, tout ça est dans le jumper, j'attends sur le siège à côté de celui pour le pilote, j'imagine qu'il préférera pilote lui-même ? Finalement, dans le doute et même si je suis certain de n'avoir rien oublié, il vaut mieux que je m'en assure. Nerveux ? Oui, cela est certainement dû à cela entre autres, même si rien ne parait sur mon visage comme d'habitude. Je vérifie les conteneurs et mon sac et vérifie un à un que rien n'est absents ou dans un mauvais état. Une fois assuré de tout cela, je reviens sur le siège et reprend l'ordre de mission pour le lire, certainement pour la huitième fois si ce n'est pas la neuvième. Je vais aider des géologues à faire une reconnaissance dans un terrain difficile à l'aide de drones pour leurs permettre de faire un repérage de certaines ressources potentiel, mais surtout de prélever des échantillons en passant par des failles trop dangereuses pour des humains ou simplement trop étroit aussi. Rien de bien extraordinaire, mais ce n'est pas pour autant que je ferai mon travail à moitié, je ne l'ai pas fais jusqu’à maintenant et je ne compte pas commencer aujourd'hui.

Finalement, j'entends du bruit, il arrive. En retard ? Allez savoir, mais c'est surtout moi qui suis arrivé très en avance aussi. Déjà pour tout charger, mais aussi pour... Par impatience, je pense. Ma première mission sur le terrain, c'est tout de même un moment important. Si je suis la logique de ces mauvaises langues du service technique, ce ne sera une première fois que quand j'aurai évité une mort brutale dans des circonstances digne d'une série hollywoodienne. Heureusement, la réalité n'est pas toujours aussi dangereuse que la fiction. Et puis moi je ne compte pas créer une catastrophe comme certains autres en jouant avec des technologies alien... Non tout sera sous contrôle quand je ferai mes expérimentations si j'ai le feu vert de la hiérarchie. Je me demande combien avant se sont dit que tout été sous contrôle juste avant que ça ne dérape ? Enfin, c'est un autre sujet.

Je me lève et tends une main ferme vers l'homme que je reconnais. Si mon visage manque d'expression, mon regard lui est empreint d'un grand respect pour sa personne, ce genre de regard direct et confiant, après tout s'il est là pourquoi ça tournerait mal ?

"Lieutenant-colonel Sheppard, je vous remercie d'être ici."

Même si j'avoue que les raisons pour lesquelles ils font se déplacer le responsable militaire restent encore obscures pour moi ? Enfin, ce n'est pas mon problème, si on me dit d'aller au laboratoire avec monsieur Sheppard, alors j'y vais un point c'est tout.

"J'ai déjà pris la liberté d’embarquer tout mon matériel, nous partirons quand vous le déciderez."

Oui, il peut aussi avoir besoin de préparatif, ou d'une bonne tasse de café sinon.

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Ven 17 Mar - 10:50

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Gunter Kleinklaus,
&
John Sheppard
Une journée qui aurait du être banale




Les missions reprenaient petit à petit, après presque plus d'un mois de mise au vert et de ce fichu traitement contre la toxine dans mon corps…je pouvais reprendre une activité normale. Faut dire que ce fut assez laborieux, entre mon arrêt, où je travaillais à demi temps pour assurer la partie militaire, avec les dossiers et toute la gestion du corps militaire compétemment éparpillé par cet évènement et surtout l'arrêt de mon bras droit sur alpha. Les maudites séances de psy interminables. Mais bon, au moins j'allai mieux. Après janvier, faut dire que le coup de blues et le sentiment de mon inutilité et de cet échec m'avait fortement affecté.

Pour reprendre, une petite mission simple de pilotage sans aucun risque quelconque. Accompagné un technicien au nom encore imprononçable (oui j'ai des problèmes avec les noms compliqués) au laboratoire. Gunter … Kle… Kleinklaus… Pour éviter de passer pour un con, je prononce plusieurs fois les syllabes. J'ai l'air idiot franchement …olala je vais le nommer « K » comme dans man in black et basta. Car sinon, le pauvre je ne vais pas arrêter d'écorcher son nom. En tout cas, même si je ne le connaissais pas en tant que personne, j'avais entendu le plus grand bien. Faut dire, que c'est lui qui gère la baie des jumpers et nos petits bijoux volant. Et depuis son arrivé, ont à jamais eu autant de fluidité et tout roule sur des roulettes.

J'aurais pu envoyer un autre pilote, pour ce genre de mission simple et sans intérêt. Mais bon, j'avais envie de sortir, prendre l'air et renouer un peu avec mon métier de base : le pilotage. Cela me manquait, après 1 mois et demi sans toucher un jumper. Et ça me permet de reprendre doucement après toutes ses péripéties et mon coma. Et puis oui, je rongeais mon frein à rester dans les murs de la cité, j'avais besoin de sentir le vent sur ma peau et le grand air !
Machinalement, je relu l'ordre de mission, faire du baby sitting de géologues et un technicien et ses drones. De quoi, faire une petite balade en terrain escarpé en pleine nature. Bref, un moment tranquille. Toujours en uniforme, j'étais prêt pour partir en mission de manière impromptue.

Je quittai mon bureau, bien content de laisser le côté paperasse qui m'horripile derrière moi. Je suis un homme de terrain à la fin pas un fichu bureaucrate qui prend son papier en voyant un stylo ! D'ailleurs, faut peut-être que je me mette un peu à écrire, à force de taper sur un clavier, je ne sais plus ce que c'est… ça craint quand même. Enfin bon, ce n'est pas vraiment important ce genre de considération.

Enfin bon, un tour à l'armurerie, pour m'équiper et me rendre à la baie des jumpers. J'avais quelques minutes d'avance, histoire de vérifier le vaisseau et les caisses d'équipements. Je ne m'attendais pas du tout à être la personne attendue, plutôt seul dans ma boite de conserve volante à faire mon petit manège de pilote. Alors que fut ma surprise, de constater que le jumper était ouvert et que « Mister K » était déjà présent. Il était là, depuis combien de temps ? Je n'espère pas depuis longtemps … c'est bien d'arriver en avance, mais le problème avec certaines personnes, c'est qu'ils arrivent 20 minutes avant et c'est fortement gênant.

L'homme à une forte carrure et me donne sa main qu'il sera avec fermeté. C'est bête, mais ce genre de contact franc et direct en dit beaucoup sur la personne. Je lui rendis sa poignée de main. Il a l'air aussi expressif que Karola tiens, mais au contraire de ma major, il a ce regard empreint de sentiment. Et celui-ci respectueux fait miroir avec mon air jovial et pétillant.

« Monsieur Kleinklaus, vous allez bien ? » j'avais articuler lentement son nom de famille, pour ne pas amocher celui-ci. Il pourrait en rire (cela ne semble pas son genre de ricaner), de se dire qu'on bon Américain, j'ai du mal avec certaines syllabes étrangères, mais j'assumai. Au moins, je tente l'effort de le nommer le mieux possible.

Il avait déjà tout embarquer…il était d'une efficacité redoutable et cela devait se voir sur mon visage. C'est plutôt agréable sur le coup, pas besoin de chargement donc on peut partir immédiatement.

« Parfait, vous avez bien fait. Nous allons partir tout de suite dans ce cas »




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Sam 18 Mar - 14:32

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Ainsi l'homme arrive, pour le moment il est conforme à une bonne partie des choses dites sur lui. Cela me donne tout de suite une impression de sécurité, comme être entre de bonnes mains ce qui est le cas j'en suis persuadé. Au vu de son teint un peu pale, enfin j'en ai l'impression un peu de marche au soleil ne lui ferait pas de mal et je pense maintenant que c'est la raison de son affectation à cette mission. Tout le monde a besoin de repos, même et surtout un responsable militaire d'une expédition loin dans les étoiles, raison de plus pour m'assurer qu'il ait le moins de contraintes possible pendant cette opération, je ne vais pas et ne veux pas être un poids a gérer pour lui. Une poignée de main qui en dit long, il a même la gentillesse de ralentir sa locution pour bien articuler mon nom, cela prouve un certain respect qu'il a pour ses collègues, je ne lui en aurais pas voulu d'essayer d'éluder cela, cela ne fait que remonter mon appréciation déjà positive sur lui.

"Même moi il m'arrive d'écorcher mon nom, l'anglais a une prononciation bien différente de l'allemand, ne vous forcez pas à dire mon nom ça sera mieux je pense."

Toujours sans le moindre sentiment apparent, j'espère qu'il comprendra que ce n'est en rien un reproche, au contraire j'aimerais lui montrer que je suis content qu'il ait fait cet effort, mais on ne peut pas tout avoir. Je lui montrerai cela d'une manière plus indirecte, en m'assurant qu'il puisse se reposer comme je pense qu'il en a besoin... C'est drôle de se dire que c'est moi qui pense cela alors que je suis certainement l'un des êtres le moins capable de penser de moi-même à prendre une pause de toute l'expédition. Il confirme qu'il n'y a pas de préparatif supplémentaire nécessaire et donc que nous pouvons partir. Même si d'origine je n'avais pas de réaction lente par rapport à la moyenne, j'aurais laissé tout naturellement le lieutenant-colonel passer devant, le voyant se diriger naturellement vers le siège de pilote, je vais sur celui à côté et m'attache comme il le faut.

Bien que je ne suis pas pilote, j'ai eu un minimum de formation dans ce domaine. Pourquoi ? Il est beaucoup plus simple d'appréhender une chose par la pratique que la théorie la plus pure. Si bien que même si j'étais destiné à rester au sol, j'ai tout de même eu des heures de vol réglementaire sur terre, du coup je commence à regarder ici et là pour essayer de trouver les instruments de bord et me rappelle vite que cet engin n'est pas humain. J'en aurais presque souri de ma propre erreur, finalement puisqu'il n'y a rien à faire, autant profiter de la ballade n'est-ce pas ? Mais pour éviter de recommencer ce voyage étrange comme avec une certaine demoiselle, je préfère éviter de laisser une ambiance aussi... Spéciale ? S'installer.

"Difficile de s'imaginer toutes les merveilles et autres mystères qui se trouvent ici quand on était encore sur terre n'est-ce pas ? Et encore je me dis qu'il faudrait bien plus qu'une vie pour tout voir."

Bon, d'après certain écho que j'ai eu, tout n'est pas forcement tout rose non plus, mais c'est plus une manière d'engager la conversation qu'autre chose. En plus, je m'intéresse sincèrement à ce sujet et avoir l'avis d'une personne tel que lui ne serait pas du luxe. Pourquoi ? Il est sur cette cité depuis bien plus longtemps, il est à même de me fournir une chose que je n'ai pas encore, l'expérience de son vécu, les besoins qu'il a éprouvés pour éventuellement orienter de petites expériences à tenter pour améliorer le quotidien de tout le monde, mais aussi et surtout des équipes de terrains qui se mettent en danger pour le bien de l'expédition.

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Mar 21 Mar - 20:37

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Gunter Kleinklaus,
&
John Sheppard
Une journée qui aurait du être banale

Chronologie : Mi mars




Incroyable…je me demande si je n'ai pas affaire un nouvel hybride humain, du genre celui qui vous fait bien flipper dans les films de sciences fictions… mais pour ma part j'ai une autre référence en tête, celles des hybrides humains dans la série de la tétralogie du monstre de Enki Bilal. Ces BD m'ont donné froid dans le dos, avec cette humanité dévasté, étrange, religieuse et surtout avec des robots tellement semblables à des humains qu'on se demande : si nous-même sommes nous fait entière de chair et surtout sommes-nous l'original ? Alors, ce Mister « K » était-il humain ? Manque plus que la voix qui déraille et je me vois bien lui demander de couper un peu de sa peau pour vérifier s'il saigne. Enfin bon, il y a des personnes, qui sont tellement « mécanique » qu'elle en oublie d'être humaine. J'ignore pourquoi, cet homme se comporte comme un robot, s'il a un problème ou si c'est son tempérament. Au même titre que la légendaire froideur de ma major. Enfin bon, qu'importe mes dérives intellectuelles, il me répond d'une manière assez agréable.

Enfin, je suis certain, que s'il savait mettre un peu plus de sentiments dans son timbre de voix, il employait les mots de manière douce et amicale. En tout cas, je le perçus comme tel. Je lui fis un rictus amical.

« Ou sinon je vous nomme « Mister K » comme dans les man in Black et cela ne pose aucun problème de prononciation » fit-je d'un air enjoué.

Il me laissa passer devant et je gagnai mon siège, pour faire les check-up habituels. N'empêche, je suis ravi de partir loin de cette cité, le besoin de vent frais et d'aventure est bien trop fort. Même si là, rien de bien palpitant, c'est déjà ça. Mon regard s'attarde sur Gunter qui semble lui aussi chercher quelques choses, avant de rester bien sagement sur son siège. Une fois que j'eue finit je passai à l'étape protocolaire.

// Ici le Lt Colonel Sheppard, demande permission de décoller //
// Autorisation accordée Colonel, bon vol//

Bon ça s'est fait. Le jumper s'envola en douceur dans le couloir verticale pour accéder au ciel dans toute sa splendeur azure. Il y avait un faible vent et aucun nuage dans ce ciel de mars. Naïvement, je me dis qu'on aurait peut-être des giboulées, mais ce genre de choses est valable sur terre et non ici. Une fois en l'air, mister « K » prit la parole. Ah ! Super, j'avais peur de devoir faire le voyage silencieusement. Personnellement, je suis bavard et de bonne compagnie, le silence n'est pas vraiment mon ami.

« J'ai toujours rêvé de voler dans l'espace et vivre des aventures folles dans d'autres monde. Quand on voit nos films de sciences fictions, on se dit qu'on a vraiment l'imagination fleurit ! Hors, quand on vit cela, celle-ci nous apparaît soudainement limité » je ne sais pas si ça répond à sa phrase, hors je suis en accord avec lui. Aucun d'entre nous, n'eut la créativité suffisamment riche, pour se peindre un tel tableau de technologie et de prouesse !
« Le plus frustrant, est qu'on ne pourra jamais raconter à nos proches ce qu'on vit ici. Je trouve cela dommage que le SGC se garde l'exclusivité, alors que tout serait peut-être plus simple, si la Terre devenait vraiment une planète d'explorateur… » bon oui, je l'avoue je me laissais emporter dans mes réflexions… faute à l'anglais qui débat sur tout et n'importe quoi, j'ai pris l'habitude. J'espère que cela ne saoul pas notre technicien. En tout cas, je commençais aisément à papoter avec lui. Le vol dure une vingtaine de minutes, de quoi enrichir nos points de vue et ricaner un peu.

Cependant, alors qu'on survolait l'immense forêt non loin de la plage, les instruments du jumper se mirent à biper et des écrans de danger s'affichèrent sur le parebrise. Une anomalie avait été détecté… comme si le vaisseau, venait d'être touché par un projectile invisible… le premier moteur s'arrêta sans même prévenir. Le Jumper tanga .... C’est quoi ce bordel ? Il n'y avait rien sur l'écran de navigation aucune menace à terre et encore moins dans les airs ! Je ne comprenais pas d'où venait cette avarice !

« Le moteur un, nous a lâcher je ne comprends pas ce qu'il se passe. Je crains que je doive faire un atterrissage forcé. Attacher vous bien « Mister K » ! »

Vu ma vitesse et même si je la ralentissais un tant soit peu, le déséquilibre du vaisseau, nous faisait faire des roulés boulés dans les nuages ! (Enfin dans les airs comme il en avait pas). Être secouer comme une bonne de haricots super ! Je tentai de redresser le faible équilibre de mon avion lantien, ce fut difficile mais bon, au moins, on ne volait pas trop mal… de plus en plus près du sol, mais ça c'est un détail.

La chute du Jumper, fut longue et rapide à la fois. Le second moteur cessa de fonctionner quand le vaisseau toucha la cime des sapins. Bon, heureusement qu'ils sont là…ils ne doivent pas dire autant de notre présence qui les décapités, mais bon, au moins ça ralentit la chute. Notre trajectoire se termine au sol dans un grand fracas. « Coller votre tête contre le dossier ! La chute va être brutale » je ne pouvais plus rien faire pour adoucir notre crash. Mon ton était ferme.

L'avantage des jumpers c'est qu'ils sont incassables niveau carrosserie… s'en ait même impressionnant. Je n'ai jamais aimé me crasher, enfin qui aime ça ? Un peu secoué, ma tête avait tapé un peu fort sur le dossier et le choc violent avait projeté l'avant de mon corps contre le tableau de bord, me coupant la respiration quelques instants. En reprenant conscience rapidement, mon regard se dirigea vers Gunter. Super comme première impression : le colonel relou qui se crash ! Je tentai de me relever me massant les côtes, tout allait bien. Sauf peut-être mes poumons, qui souffraient encore du choc involontaire.

« Vous allez bien ? » devant nous une forêt immense et verdoyante… le jumper marchait passablement, enfin il ne volerait plus... la radio ne marchait plus non plus… Que s'était-il passé avec ce fichu engin ?



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Mer 22 Mar - 15:25

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Tout semble bien se dérouler, une mission comme il en a fait tant d'autres et comme j'en verrai plus d'une défilé si je suis validé comme étant capable sur le terrain. C'est l'air que cela prend en tout cas, alors qu'il s'installe, fait le check-up de l'appareil et que comprenant en retard que je n'ai rien à faire je m'attache bien volontiers à mon siège. Pas que l'on risque quoi que ce soit, mais les mesures de sécurité son là pour le cas où peu probable ou cela se passe mal. Qu'est-ce qui pourrait bien arriver avec un temps aussi parfait sur une distance aussi courte et sur notre propre planète ? Ce serait aussi improbable que de se faire écraser par un avion en allant chercher son courrier dans la boite aux lettres dans un tranquille petit quartier pavillonnaire comme sais si bien le faire les états unis.

Je suis donc Mister K, bien que de mémoire il me semble que dans ce film la lettre soit par rapport au prénom et non au nom ce qui est un détail dira-t-on. J'aurais d'ailleurs plus pensé à Q et autre lettre provenant des pseudonymes donnés aux personnes qui travaillent avec James Bond, l'agent secret le moins discret de la planète, même si des théories veulent qu'en réalité le nom James Bond soit un pseudonyme comme l'est John Doe ou monsieur Dupont, ce qui expliquerait que l'agent secret ait toujours le même nom, mais jamais le même visage ou presque.

"Dans ce cas-là, dois-je vous appeler Mister S ou J ?"

J'essaye de singer un sourire, mais le résultat n'est pas probant, j'imagine. Enfin c'est l'intention qui compte ? Même si on a un bref instant une tête de tueur psychopathe n'est-ce pas ? En tout cas, on par sur une discussion on ne peut plus stimulante sur l'espace et la découverte ! Il précise qu'il trouve cela dommage qu'il n'y ait qu'une poignée d'élus qui puisse voir cette galaxie, j'ai ma propre vision des choses sur le sujet d'ailleurs.

"Je nous vois plus comme une sorte de premières vagues plutôt que des privilégiés. Les premiers explorateurs provenant de l'ancien continent étaient seuls quand ils ont découvert les Amérique ce n'est que bien plus tard que ces terres se sont ouvertes à bien plus de personnes. J'imagine que nous sommes ici pour préparer cet avenir, à l'image d'une équipe de reconnaissance préparant et examinant le terrain avant que le plus gros du groupe ne puisse sereinement venir à son tour. Mais j'avoue que j'aimerais voir de mon vivant cette frontière disparaitre entre nos galaxies."

On envoie la crème de la crème s'assurer que ces terres sont viables avant que finalement plus de gens puissent venir à leur tour. Je me demande si l'humanité s'étendra à travers les étoiles un jour, si les enfants ou les enfants de nos enfants pourront contempler ces merveilles en toute sécurité et sérénité ? En parlant de sécurité, l'improbable est en train de se produire.

"À vos ordres Mister S."

Oui bon dans l'urgence j'ai pris le premier venu, en tout cas c'est avec professionnalisme et sang froid que ce scénario catastrophe est atténué par le Lieutenant-colonel si bien que l'on finît au sol. Le matériel n'a pas du tout aimé cet atterrissage et ce n'est pas forcément le seul, car quand il me demande si tout va bien alors que je reprends conscience de ce qui m'entoure une fois le calme revenu. Je vérifie mes membres un à un et m'inspecte calmement.

"Douleur aiguë à l'épaule droite, au mieux ou au pire elle est déboitée. Sinon aucune autre blessure visible ou douleur apparente."

Bon, je serre un peu les dents avec quelques sueurs froides en disant cela, mais à côté d'une réaction humaine normale c'est un peu étrange. Je pourrais presque faire un "Aïe" las pour rendre la situation plus ridicule à ce niveau-là. Je le laisse m'examiner s'il le souhaite, mais je ne ferai rien de mon côté n'ayant pas de connaissance médicale. J'imagine qu'un technicien dans sa tête devrait perdre son sang-froid, crier, dire qu'il ne bougera pas d'ici en attendant qu'on les sauve et râler sur son précieux matériel non ? Si c'est le cas, je vais encore plus être bizarre à ses yeux, j'imagine. D'un calme plus qu'un peu perturbé, mais qui ne se montre pas, j'examine la radio pour voir si je peux y faire quelque chose, mais elle est belle et bien morte ou alors il faudrait des heures voir des jours pour la bricoler et sans pouvoir garantir des résultats. Du coup, je prends mon sac à dos sur mon épaule encore sauve et laisse tout le reste dans le jumper. Heureusement qu'il y a tout ce qu'il faut pour tenir sur le terrain et même un peu de matériel dans celui-ci, je suis content d'avoir prévu celui-ci d'ailleurs.

"Nous ne pouvons pas être certains que la cité pourra nous retrouver et nous ne pouvons pas les contacter. J'attends vos ordres, mais je pense être apte à faire un peu de randonnée improvisé si vous pensez que c'est la meilleure chose à faire. Quelles sont vos instructions
Monsieur ?"


Je ne vais certainement pas jouer au plus malin avec lui, d'ailleurs c'est avec calme que je lui fais l'inventaire de ce que j'ai sur moi pour qu'il puisse rectifier ce qu'il juge nécessaire. D'un c'est mon supérieur et j'en suis plus que conscients, il est plus capable et expérimenté dans ce genre de situation et je le respecte suffisamment pour ne pas mettre en doute sa méthodologie. Je ne compte pas être une gêne. Donc en définitive, même avec mon problème d'épaule, réglable ou non d'ailleurs rapidement je ne saurais le dire, j'ai mon sac à dos contenant tout ce qu'il faut pour survivre dans la nature, eau nourritures et quelques outils d'orientations basiques ainsi qu'un pistolet de détresse, lampe torche et en prime attachée sur le sac un drone léger avec une caméra embarquer, une tablette tactile servant aussi de commande à distance et un chargeur solaire. Prendre plus de choses serait à mon sens m'encombrer inutilement et ne sachant pas combien de temps nous allons devoir marcher, je préfère éviter d'avoir les yeux plus gros que le ventre. Évidemment s'il me demande de prendre plus ou moins de choses au contraire je le fais sans la moindre protestation. Du matériel, ça se remplace dans le pire des cas, au mieux une équipe viendra réparer et récupérer ce qui peut l'être plus tard. Je suis donc prêt à obéir, je suis certainement le technicien le plus coopératif qu'il a dû voir sur Atlantis... Même si intérieurement, je suis beaucoup plus proche de la panique que mon air ne pourrait le penser. Le fait qu'on soit sur une planète amicale, que le temps soit beau et qu'on sache plus ou moins vers où aller en principe pour rejoindre de l'aide aide beaucoup à garder un certain contrôle sur mes émotions également, bien que les obscures raisons de notre accident m'inquiètent tout de même. Sabotages ? Peu probable, il n'y a pas d'ennemis ici alors... Quoi ? Juste la faute à la loi de Murphy et un manque de contrôle de l'équipe technique sur ce jumper ? Il sera temps de le découvrir une fois en sécurité.

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Ven 24 Mar - 21:30

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Gunter Kleinklaus,
&
John Sheppard
Une journée qui aurait du être banale

Chronologie : Mi mars




Le technicien avait de l'humour, malgré son air complètement figé. Son petit surnom semblait ne pas le déranger, même si bon dans le film, cela était plus sur le prénom que le nom de famille. Qu'importe, je trouvais que cela sonnait bien avec cet homme, professionnel et impassible. Et comme c'est bel et bien avec son patronyme que j'avais du mal, cela était plus aisé : Gunter K. On aurait dit un nom de code. Me renvoyant dans ma jeunesse avec un talkie volé à mon paternel, pour faire des blagues avec le petit voisin. C'est fou, l'imagination qu'on a enfant et les conneries qu'on pouvait faire avec un seul objet à l'apparence anodine.

« Comme bon vous semble, les deux mon vont » je lui avais imposé le sien, alors je ne voulais pas faire de chichis sur le miens. C'est déjà amusant qu'il me rende la balle. Mon regard se tourna vers lui… euh c'est un sourire ? J'avoue que l'effort était là, mais cela faisait un brin flipper (le sourire de Terminator, je ne pensais pas le voir un jour sur un véritable humain). Il devait avoir les zygomatiques coincé, mais bon, je décidai de ne pas me formaliser du manque d'expressivité de mon compagnon de voyage. C'est ainsi et son effort pour dessiner un rictus était déjà très appréciable. En retour, je lui souris d'un air entendu. Cela ne devait pas être aisé pour lui les relations sociale. Pourtant il m'a l'air d'être un homme parfaitement charmant.

Pour preuve nous discutons paisiblement de nos poids de vu sur le sujet large de cette cité et des idéaux. J'aime beaucoup sa manière de nous percevoir, comme les premiers hommes. Les explorateurs modernes d'une nouvelle terre. Sauf, que cette fois-ci nous avons pris une forme « d'élite » pour représenter la terre dans ce qu'elle porte de meilleur. Puisque les Amériques, pas mal de « rejeter » criminels et prostituées ont fait partie des premières vagues avec les colons, qui rêvaient d'un monde meilleur.

Je comptais bien rebondir sur ses propos, quand d'étranges événements se passèrent… le jumper avait été pourtant réviser non ? Après plusieurs ballottements pour finir par caresser les cimes des arbres et la perte des deux moteurs, nous tombons au sol dans un sacré fracas. J'avais fait du mieux, que je pouvais avec les moyens du bord, pour éviter un crash d'une violence sans nom. À noter que mon surnom officiel fut Mister S.

Après avoir repris conscience ainsi que de mon environnement, je m'alarmai de l'état de Günter. Machinalement, je passai ma main dans mes épais cheveux, sentant un liquide chaud sur le coin de mon crane. Rien de bien grave, cela ne demandait pas beaucoup de soin. En parlant, de ça, le jumper était équiper d'une petite trousse de secours.

Ce fut avec une voix d'un calme stupéfiant qu'il m'annonce en gros, qu'il avait l'épaule déboîtée Je restai quelques secondes en pâmoisons devant cette information. Oui, ce n'est pas très bien de faire des stéréotypes, surtout quand on a des amis comme Grayson et Hoffman, qui sont les rois de la castagne alors qu'ils sont civils… mais bon, je m'attendais à voir un technicien paniquer et souffrant de ce genre de blessure. Il allait complexer mes hommes lui ! Surtout s'il part en mission. C'est quoi c'est civil qu'ils nous filent ? Franchement ? Remarque ce n'est pas plus mal, je suis parfaitement incompétent face à la panique, cela m'agace. Quoique si, j'ai déjà calmé des personnes en pleine crise de panique et on n'avance pas. Au moins, avec quelqu'un aussi pragmatique et stable que mister K, on pouvait penser à la suite.

Je reste encore dubitatif, en me levant, pour quand même vérifier s'il a l'épaule déboîtée.
« Euh d'accord… » En le touchant légèrement, je sus que malheureusement, je devrais lui remettre en place. Je ne suis pas un expert, je l'ai déjà fait en mission, pour moi ou pour d'autre… et je ne suis pas aussi doux que j'aimerais l'être.

« Bon, elle est déboîtée, je vais vous la remettre en place, par contre je ne suis pas garant de mon doigté. Je m’excuse par avance de la douleur ». Je lui indiquai de s’allonger au sol. Une fois fait, je lui pris le bras, posant le pied sur son épaule.
« A trois ? 1…2…3 » et je tirai d’un coup sec, pour la remettre dans son axe. Après une vérification, cela fut en place, mais le pauvre allait avoir mal encore quelques temps. Peut-être une heure ou moins ? « ça va aller ? ».

Enfin bon, il avait l’air, puisqu’il bidouilla la radio, pour constater qu’elle ne pourrait pas remarquer aussi facilement. Il m’impressionne. En attendant, je m’épongeai le front et je pris de quoi survivre dans ce lieu. Fourrant, de la nourriture, de l’eau et tout ce qui pourrait nous servir dans mon sac. Comme lampe de poche, une corde, une boussole, des munitions, un briquet, des fusées de détresse… Attachant mon P90 et un pistolet à ma cuisse, puisque j’avais déjà mon coteau d’attacher. Je tendis une arme à Günter, pendant qu’il venait vers moi.

« Oui, nous allons marcher. Je vérifie juste où nous sommes exactement » il me fit son inventaire, me permettant de retirer les doublons trop encombrant de mon sac. Je me dirigeai vers la zone de commande du Jumper, pour afficher la carte numérique. Bon, nous étions plus près du laboratoire que du campement Athosiens. Proche de la forêt qui délimitait la plaine vaste. Le laboratoire était à l’opposé. Je pu télécharger la carte sur la tablette portative du vaisseau pour lui donner. Je n’avais pas besoin de ça pour m’orienter, tant que je sais où je vais, mais c’est au cas où.

« Nous allons marcher jusqu’au campement Athosiens, a fin de contacter la cité. Comme il y a des navettes régulières entre le continent et Atlantis, nous pourront rentrer sans encombre. » la dernière fois, que j’avais crapahuté sur le continent j’avais croisé une sorte de serpent/ours. Enfin ce fut vers la montagne donc normalement en semi plaine boisée il n’y aurait pas de problème.

Je sorti du jumper, une immense plaine s’offrait à nous avec quelques zones boisées. Nous étions dans l’une d’elle, enfin au début de celle-ci et outre le fait qu’on avait décimer quelques arbres avec le jumper, oui nous étions dans une petit forêt.
« Bon, finalement ça sera randonnée au lieu d’aider des scientifiques. Remarquez, si vous voulez faire de la reconnaissance avec votre drone, ça peut être intéressant d’un point de vu purement ludique » dit-je amusé, enfin pas tant que ça, puisque j’étais curieux de voir ce que ses petits joujoux pouvaient faire.


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Lun 27 Mar - 14:07

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Du coup, ça sera Mister S, pourquoi pas J ? J cela me fait penser à Junior ce qui serait inconvenant en plus d'être irrespectueux. Bon c'est aussi de l'ordre du détail, mais du détail qui m'importe. Le militaire m'informe donc que j'avais bien raison, une épaule déboitée est moins grave que d'autres répercussions possibles, mais ça reste tout de même douloureux. D'ailleurs, je serre les dents quand il m'annonce vouloir la remettre en place tout en hochant la tête pour montrer mon approbation. Oui, il vaut mieux avoir très mal tout de suite, plutôt que crapahuter des heures dans la jungle avec une douleur moins instance, mais lancinante. Il me prévient de son manque de compétence dans le domaine, l'un comme l'autre ne sommes pas médecin, donc je ne lui jetterai pas la pierre ça serait hypocrite.

Je serre bien la mâchoire et... Mon visage se tord de douleur quand il fait ce qu'il a à faire, il y a même une petite larme qui roule sur ma joue. En fait, je me crispe tellement que je m'en sors avec une crampe de la mâchoire donc je reste une minute avec la gueule ouverte et silencieux. Une fois le plus gros passé avec en prime une douleur aux doigts puisque j'ai aussi serré les poings.

"J'ai mal, mais ça passera..."

J'essaye presque plus de me convaincre que de le rassurer. Mais bon ce qui est fait est fait. Il faut que ça passe, je ne compte pas être un boulet et il n'est pas question que je me laisse aller à me plaindre ou l'ennuyer. Si un jour je veux être en mission pour voir de mes propres yeux les merveilles qui nous attendent, je dois montrer que même sans pouvoir être autonome, je ne vais pas être un poids. Au moins la bonne chose a tiré de ce désastre, c'est que je vais pouvoir prouver un minimum ma valeur. Pour oublier la douleur, je fais ce que je sais faire de mieux pour occuper mon esprit : travailler. Bon, le bidouillage de la radio ne donnera rien au final, un petit coup de ma manche pour retirer la larme de douleur et je me prépare pour la randonnée improvisée.

Puis il me tend une arme, je l'observe un instant et préfère lui dire clairement ce qu'il en est.

"Je n'ai aucune formation ni accréditation au port d'armes à feu. Il faudra d'ailleurs que je passe au stand de tir un minimum de pratique pourrait cruellement me faire défaut. Si vous juger tout de même bon de me fournir une arme, je ne saurais que trop vous conseiller de me montrer comment faire pour pas me blesser avec s'il vous plaît."

Oui, bon, je sais quel côté il ne faut pas pointer vers un allié et la première chose que j'essayerai de trouver et le cran de sécurité. Pendant qu'il vérifie notre position, j'appuie sur le mauvais bouton et le chargeur tombe au sol... Je le récupère en m'assurant à TOUT moment qu'il n'y a pas le canon dirigé vers l'un de nous deux, quitte à tenir l'arme par le canon et non la crosse. Puis lui tend le tout.

"Désolé"

Puis lui tend l'arme en deux parties, a lui de voir s'il la garde finalement ou me montre les rudiments de son fonctionnement. Je prends la tablette et la mets en sécurité dans une des poches de l'uniforme de terrain que je porte, m'assurant que l'écran est côté intérieur pour éviter qu'il soit détérioré en cas de contact imprévu avec... Quoi que ce soit qui pourrais l'abîmer, comme une branche ou une chute sur un caillou par exemple. Il m'indique la direction que nous allons prendre.

"Je vous suis Mister S"

Avant d'exprimer son intention de me laisser faire de la reconnaissance avec le drone. Bonne idée, cela permettra de voir en hauteur sans avoir besoin de grimper à un arbre. J'en profite d'ailleurs pour lui expliquer au fur et à mesure comment celui-ci fonctionne. Pourquoi ? Il pourrait en avoir besoin lors d'une mission, d'ailleurs, j'aimerais que les équipes soient appuyées par ce genre d'engin, c'est l'occasion de montrer à un des responsables l'utilité d'un tel engin.

"Autant profiter d'être encore au Jumper pour en sortir un plus performant, mais plus gros aussi."

Je vais alors à une caisse pour sortir un effectivement plus volumineux. Mais celui-ci a une caméra avec une optique bien plus fine, en plus d'avoir une vision thermique, nocturne et une autonomie bien plus importante. Je le sors, en douillant un peu au niveau de l'épaule, puis l'active et montre au fur et à mesure tout cela au militaire. Rapidement, nous n'entendons même plus le bruit de l'appareil quand il prend de l'altitude.

"On comprend facilement pourquoi l'armée utilise de plus en plus ce genre d'engin. Un œil aiguisé et silencieux c'est toujours utile."

S'il le souhaite, enfin surtout à moins qu'il refuse explicitement de le faire, je lui laisse même les commandes quand je lui ai montré les bases. Pas besoin d'être un technicien pour comprendre les bases, ce n'est pas comme si j'allais lui faire utiliser des outils pointus, comme ceux pour la recherche archéologique prévue. Alors que nous réservent les alentours ? Autant la topographie serait intéressante pour avoir un itinéraire, autant la vue utilisant la chaleur pourrait nous informer d'éventuel danger et prédateur pouvant nous surprendre... Mais bon le lieutenant-colonel saura quoi chercher où m'indiquer de chercher n'est-ce pas ?

"Je me demande si je ne vais pas faire une demande écrite pour "démocratiser" l'utilisation de ce genre d'engin par les équipes d'explorations, enfin au moins les formes plus légères, compactes. Ce sera l'occasion d'essayer cela sur le terrain pour voir leur viabilité dans des conditions réelles n'est-ce pas ?"

Ce n'est pas un hasard que j'évoque le sujet en sa présence, je le respect et en tant que professionnel, je lui demande son avis.

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Ven 31 Mar - 21:16

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Gunter Kleinklaus,
&
John Sheppard
Une journée qui aurait du être banale

Chronologie : Mi mars




J'étais navré d'imposer un soin « maison » a ce pauvre mister K, qui avait lâché pour la première fois de notre rencontre un visage « humain »… enfin tordu par la douleur de ma brusquerie. Je n'aime pas vraiment, faire cela mais bon, il le fallait pour son bien et pour lui éviter une souffrance le temps de notre randonnée. Et puis bon, je commence à être rodée de ce genre d'imprévu, ça ne se passe jamais comme on l'escompte. Et je ne serais pas surpris qu'il nous arrive de folles aventures en marchant vers le campement Athosiens. Puisque c'est là que nous allons. Mais déjà, j'avoue que ce technicien m'impressionnait pour sa maîtrise de la douleur, il n'avait pas chouiné ni même protester. Mckay devrait prendre exemple sur Günter. Je fis une petite moue d'encouragement à mon vis-à-vis, alors que je vaquais à mes occupations, dont celle de lui tendre une arme. Celle-ci ne semblait pas faire l'unanimité chez l'homme, qui m'informa de son incompétence à s'en servir.

Comme tout bon, militaire j'ai tendance à coller une arme à tout le monde, au cas où, surtout en pleine nature, une nature extraterrestre que nos scientifiques n'avaient pas fini d'étudier…je me redressai le toisant, alors qu'il s'excusait. Il n'avait pas à l'être, tout le monde ne naît pas en sachant tirer une balle dans un corps/cible.

« Pas de problème, je vais vous montrer les rudiments, afin que vous pouvez vous défendre en cas d'attaque d'animaux sauvages. Vu ce qui traine dans le coin, je préférais que vous en ailliez une même si vous ne touchez que les pâquerettes, le bruit est suffisamment effrayant pour décourager certaines espèces. »
Je repensais à ce serpent ours qui avaient eu envie de goûter mes miches, ainsi que celle du caporal Wilson. Ainsi donc, je pris quelques minutes pour expliquer à Günter le B.A.B.A de maniement d'une arme. Lui précisant qu'il fera un tir d'essais plus tard, histoire que son épaule ne morfle pas d'avantage. Puisque mon conseil était qu'il tienne le pistolet à deux mains, pour encaisser le recul. Et là, il valait mieux éviter une démonstration de tir.

L'idée du drone fut bonne, surtout qu'en échange de compétence l'homme m'expliqua comment marchait son engin. Je fus immédiatement captivé, la manette de commande, ressemblait à quelques différences, près à celle que j'avais de ma voiture téléguidée, que j'utilisais pour coiffer au poteau ce brave Rodney qui trichait en boostant sa Porsch miniature.

L’utilité d’un drone en mission fut une évidence, voilà de quoi nous éviter quelques surprises et d’avoir surtout en un d’avance sur certain terrain. J’en fus littéralement conquis et ce ne fut pas bien dure, étant donné que le drone en lui-même était ressemblant à un jouet, un jouet qu’on pilote et drôlement intéressant. Günter, partis dans le jumper, sortir un engin plus gros…avec des options plus poussées, si nous n’atteignons pas le camp avant la nuit, nous pourrions tester les optiques de visions nocturnes pour nous guider. Je partis aider le technicien, pour sortir le drone, me doutant qu’il allait souffrir avec son épaule. Une fois poser sur le sol et manette en main, l’homme le fit prendre son envol. Ce qui me sidère c’est qu’il n’y avait que peu de bruit… une discrétion évidente qui fit résonance avec la réplique de mon interlocuteur.

« J’avoue… » mon regard suivait les mouvements de l’appareil dans les airs « Je n’en avais jamais vu de ce type, plus des drones de combat pour lancer des missiles. C’est quand même assez pratique » je suivis encore quelques instants la silhouette flottante avant de me concentrer sur le visage impassible et inexpressif de Günter
« Nous prenons donc les deux ? » selon sa réponse, je referme définitivement la porte du Jumper, glissant la télécommande dans la poche avant de ma veste, au cas où, j’avais pris mon équipement complet.

Avant de nous mettre en marche, il me proposa d'essayer, bien entendu je ne me fis pas prié le remercia. Mon regard assez expressif montrait clairement ma joie et le plaisir que je tirais à cette initiation. J'étais à l'exacte opposé de Günter sur les expressions de mon visage, au point qu'il m'en devenait difficile de ne pas exprimer mes ressentis. Après oui, j'arrivais à avoir un visage neutre, mais mes deux prunelles vertes/grises me trahissaient que trop souvent. En tout cas, j'étais satisfait et un brin excité par tout cela, un véritable gosse.

La prise en mains fut délicate, j'eu peur de faire une fausse manœuvre et de crasher l'appareil, mais après deux essaie en douceur, je compris le fonctionnement, qui était proche des hélicoptères téléguidés sauf qu'au lieu de coûter 20 dollars dans une vogue, ce jouet-là, avait bien trop de zéro pour être écris. Les options étaient riches et combiner la topographie avec la source de chaleurs me paraissait pertinent.

« Il ne serait pas mal de pouvoir avoir deux écrans, une pour la détection de chaleur, pour les animaux. Car je vous avoue que je redoute la rencontre avec une certaine créature ainsi que la topographie, pour évaluer le terrain et essayer d’aller au plus vite »
Je lui redonnai les commandes, pour commencer à marcher dans la plaine.
« Je vous soutiendrai pour cette demande, c’est intéressant et nous permettront d’avoir un véritable avantage en exploration, surtout pour des zones difficiles d’accès ou pour nous éviter certaine surprises inamicale ». D’un mouvement d’épaule, j’ajusta mon sac, il faisait beau et chaud, sur ce point nous avons de la chance. « Nous en reparlerons en rentrant, mais n’hésitez pas à venir me solliciter pour que je valide votre demande et la transmettre aux responsables et au CODIR »

La randonnée débuta, tout était d’un calme impressionnant dans cette plaine semi boisée, seul les chants des oiseaux nous tenaient compagnie où nos paroles. Moi qui voulait prendre l’air, j’étais plutôt ravi dans un sens, même si le coté crash était moins réjouissant. Il fallait trouver la panne, puisque ce n’est pas courant chez ce genre d’engin. Inexorablement mon cerveau se mit à chercher ce qui pourrait avoir causé une telle avarice. Mon visage se ferma quelques temps, puis soudainement… « Putain Murdock … » Je me tournai, voyant au loin le point noir du vaisseau… cela faisait 40 minutes que nous marchions. « Celui-ci il va m’entendre ! ».

Mon regard croisa celui de Günter qui devait bien se demander pourquoi j’étais si soudainement grossier. « Je pense que le jumper est en panne à cause du soldat Murdock, mécanicien de génies, mais qui a une tendance assez forte pour nous créer des pannes surréalistes… il était sur Atlantis en janvier, et il a dû aider les mécaniciens pour els jumper. Je suis certain, qu’il a fichue ses sales doigts dans les mauvais circuits ! » habituellement il bossait sur alpha et les jeeps étaient régulièrement en panne à cause de ses expériences. Après, je ne dis pas, quand il réussit à faire ses bidouillages, il nous créer des trucs d’enfer ! Mais au prix de pannes handicapantes !



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Mar 4 Avr - 15:04

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Se faire remboîter l'épaule sur le tas, testé et désapprouvé... En même temps, je ne pense pas que c'est réellement une des choses que j'avais le plus envie d'expérimenter dans ma vie. Enfin soit, les expéditions, même quand c'est à une demi-heure de sa base ça réserve bien des surprises n'est-ce pas ? Le fait de porter une arme et d'avoir peut-être l'occasion de devoir m'en servir pour sauver ma vie ou celle de monsieur Sheppard et à placer dans le même genre de chose... Mais par contre, l'argument qu'il propose est plus que suffisant pour me rassurer. Le bruit et la lumière générés par une arme a feu peux faire fuir un animal sauvage, c'est vrai je n'y avais pas pensé. Je suis quand même autrement rassuré d'être avec un homme de terrain et d'expérience, il a des perspectives bien différentes et c'est dans ce genre de moment qu'on comprend la nécessité d'avoir plusieurs personnes tout aussi différentes pour prendre certaines décisions.

Maintenant, je sais tenir une arme sans risquer de me déboîter à nouveau l'épaule, faire tomber le chargeur ou risquer de faire des trous n'importe où et surtout sur nous. C'est un pas en avant, mais je me dis intérieurement que je vais réellement devoir demander si je peux passer par le stand de tir pour avoir un minimum d'entraînement une fois rentré.

J'ai eu des aprioris sur l'expédition au début, je dois avouer que l'affaire de la grande lessive m’a laissé un goût amer par rapport à l'homme en général et cette tentative d'aller ailleurs. Mais ce moment me rappelle aussi également qu'il n'y a pas que des tordus et des pourries dans le monde... Cela m'a redonnée envie d'explorer et justement, on est au milieu d'une planète certes, pas si inconnue, mais avec tout ce qu'il faut pour ça ! Un échange plus tard, où de toute évidence, il comprend plus instinctivement comment ça fonctionne qu'autre chose vu mon incapacité à réellement faire apprendre mon savoir. Il semble agréablement surpris par les capacités des drones, c'est vrai qu'au moment de leurs sorties de notre galaxie, ce genre d'engin commençait à être utilisé, mais pas autant que de nos jours. Il a surtout vu ceux dont j'ai été opérateur d'ailleurs aussi dans ma vie précédente... Oui, on peut dire que c'était un autre chapitre de ma vie sans aucun doute.

"Ceux qui font la taille d'un appareil standard, je ne sais pas ce que vous aviez vu, mais de nos jours il y en a même des minuscules de la taille d'une petite voiture majorette."

Il me demande si on prend les deux, le plus gros est quand même volumineux et lourd... Je ne suis pas sûr que ce soit une bonne idée. Ça sera le plus utile, je commence alors à mesurer le pour et le contre entre utilité et encombrement. Cela peut être possible et pour le plus gros du temps je pourrais le faire voler pour ne pas avoir à le porter... Non la batterie ne tiendrait pas assez longtemps. Oh ! Au pire s'il doit rester dans la nature je peux mettre un émetteur dessus pour qu'il soit localisé par une équipe de recherche.

"À la base je pensais éviter, mais au pire on pourra l'abandonner et mettre un marqueur dessus pour qu'un jumper le récupère plus tard si on doit le laisser en route."

Viens donc le moment des essais, il semble bien l'avoir en main malgré mes explications qui manquent de clarté, ça prouve bien que cela est à la portée de n'importe qui, même si un expert aura tout de même une utilisation plus fine. Néanmoins, je note ses remarques, surtout les plus pertinentes a mon sens. Donc, avoir plusieurs écrans pour avoir plusieurs vues en même temps. À voir, ou alors la possibilité de séparer l'écran pour avoir plusieurs vue en même temps ? Je note cela sur un petit carnet. Il me dit même qu'il va me soutenir lors de la demande que je compte faire du coup.

"Merci, n'hésitez pas à faire d'autre remarques, la réalité du terrain permet de voir ce qui est nécessaire de changer ou modifier c'est une bonne occasion pour cela."

Une fois tout cela finit, on range les appareils et effectivement le gros n'est tout de même pas très pratique. Soit je le porte avec une sangle, soit il m'aide dans tous les cas la randonnée commence. Je note mentalement et le ferais physiquement la prochaine pose, alléger au maximum les appareils destinés aux missions avec un système de poids amovible pour compenser un éventuel vent violent. Pouvoir repartir la masse de ce gros jouet ne serait pas du luxe. Bon en même temps, i lest destiné à être porté par un jumper, pas pour crapahuter dans la plaine avec. Son visage est fermé depuis un moment, alors que la nature est la seule source de bruit si on exclut nos pas. Il semble réfléchir et j'en profite pour faire de même, mais pour un tout autre sujet, quand soudainement. Murdock ?

"Murdock ?"

Oui j'ai pensé et parlé en même temps. Qui est ce Murdock ? Un nouveau technicien ? Un ennemi de la cité où... Ah de toute évidence un peu des deux et plus encore, enfin ennemie pour l'infrastructure elle-même, pas ses résidents. Quoi que ? Bon il n'y a pas eu mort d'homme, mais ce n'est pas comme si cette éventualité était réellement à écarter suite à un crash. Je le laisse parler, puis réponds ce qui me semble le plus normal au vu de la situation.

"Certes, mais si depuis janvier personne moi compris, n'avons vu la panne il ya un problème autrement plus grave dans la baie. Nous étions sur le continent, si la panne avait eu lieu au-dessus de l'océan ou sur une planète hostile cela serait beaucoup plus dangereux. Nous avons peut-être des bombes à retardements métaphoriques qui n'attendent qu'à être déclenché par hasard et aux pires moments."

Ce n'est pas que la faute de ce soldat, si depuis janvier ses modifications n'ont pas était déceler alors il ya un grand problème. Il va falloir faire une révision complète de tout le parc des jumpers. C'est aussi un problème d'organisation, j'espère que le responsable de la baie a une excellente explication, car c'est aussi sa responsabilité si après quatre mois un ou des appareils n'ont pas eu de maintenance.

"Je vais avoir une longue conversation à avoir et beaucoup de travail en rentrant. Pas question que je laisse nos hommes risquer leur peau à chaque voyage."

Pour la première fois depuis longtemps, j'ai un semblant de sentiment qui apparaît sur mon visage. Un léger soupçon d'indignation et de crainte. Je ne supporte pas le travail mal fait déjà, mais l'idée qu'en plus celui-ci soit la source de blessure ou plus grave est une idée si grave qu'elle a réussi à me tirer une grimace et des sueurs froides. Cela a du monter un peu mon adrénaline, puisque sans même le remarquer j'ai l'air un peu moins fatigué et je presse un peu la marche. Non je ne vais pas courir, mais là, je dois être au pas forcé je pense et Sheppard sera certainement celui qui me le fera remarquer. L'expédition d'Atlantis est un vrai aimant à problème de toute évidence, mais la vie est ainsi faite d'imprévu et de soucis divers.

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Lun 17 Avr - 18:21

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Gunter Kleinklaus,
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John Sheppard
Une journée qui aurait du être banale

Chronologie : Mi mars




Günter mettait beaucoup de volonté à m'expliquer le fonctionnement de son drone, pour ma part, je ne comprenais pas tout puisqu'il avait la capacité remarquable de mettre des mots compliqués là où il n'avait pas lieux. Enfin bon, j'hochais la tête, essayant de mettre en pratique ce que je comprenais. Cela marcha et j'en conclu que ce brave technicien, n'avait pas encore bien l'habitude d'être une ‘notice d'explication' pour personne lambdas à son métier. Cela n'est pas bien grave, j'ai pratiqué le Mckay en long et en large et je commence à comprendre même quand c'est mal dit. Enfin, ce ne fut pas une catastrophe et j'apprends mieux en pratique qu'en écoutant. Même si j'avais fait une école d'officier et de pilote je n'ai jamais été très bon pour rester des heures et des heures à écouter avec passions les dires de quelqu'un. Il faut que je tripatouille pour que ça rentre. Pour cela, que je ne suis pas un grand fan, des émissions télévision. Par contre, j'apprécie la lecture avec un vrai livre et non sur tablette.

Enfin bon passons, là n'est pas le débat du jour, je compris les rudiments de son explication très technique. Franchement, j'admire les mecs qui arrivent à dire autant de choses compliqués dans une phrase si longue. Je suis plutôt du genre synthétique donc j'évite de m'embarquer dans de longs discours. Le côté militaire, cette rigueur d'aller droit au but. Savoir broder autour du vide ou autour d'élément m'est impossible et je trouve cela fascinant.

Il m'informa qu'il existait des drones miniatures… ma dernière permission sur terre date d'y a fort longtemps, donc niveau découverte de procédé innovant purement terrien … je ne suis pas au top. Et quand je me rends sur notre planète bleue ce n'est pas pour me mettre à jour, mais pour profiter avant de retourner dans la galaxie Pégase. Mon âme d'enfant jubila intérieurement ! Un drone aussi petit que ma voiture téléguidée ? Mais il y a quoi faire de sacrées courses dans la cité !

« Bon vous m'avez convaincue Mister K ! Pour mon anniversaire je vais demander un mini drone ! » dit-je avec beaucoup d'humour. Faut dire que le 14 juin n'est plus si loin et si je m'y prends correctement, je peux commencer à souffler cette idée à Nathalie. « J'ai vu des drones militaires exclusivement grand comme des petits aéronefs » en somme des avions sans pilote.

Concernant le second drone, le plus volumineux, le laisser dans la nature me paraît risqué. Je fis une petite moue, signe que je réfléchissais aussi. Franchement, faudrait que nos scientifiques étudient le continent un peu mieux niveau faune et flore… on vit à côté d'une terre où on ne sait presque rien. « Hum… dans ce cas-là, mieux vaut le laisser dans le jumper, j'ai peur que les troupeaux d'herbivores l'endommages ou autres créatures. Je ne veux pas prendre le risque qu'ils soient détériorés » surtout que c'est l'outil de travail de cet homme. Un drone comme celui-ci, ça ne coûte pas 60 dollars, mais plusieurs centaines voire millier de dollars et hors de question de justifier en quoi cette merveille a été brisée. C'est à coup à se faire insulté par le CIS de jeter l'argent par les fenêtres (et ici dans la nature).

Bon en tout cas, je manipule le drone et cela se passe bien, même si je suis un peu brusque je l'avoue. Pourtant, j'essaie d'être le plus doux possible, complètement ébahis par cet objet. Il faut à tout prix, que je martèle dans ma tête que ce n'est point un jouet, car sinon je risque de faire mumuse et de pousser le drone dans de drôle de situation. Vous y croyez ? 40 ans et toujours aussi gamin … tsss vraiment je me fatigue. En tout cas Günter semble ravi de mes suggestions. J'en prends note. « Dès que quelque chose me vient, je vous le dirais mister K ».

Après avoir pris le petit, je lui propose mon aide pour le transporter. Faut dire qu'avec une épaule boiteuse, il serait bon qu'il se ménage. En tout cas, la randonnée commença et je fus perdu dans mes pensées concluant par un éclair de « géni » sur les potentielles causes. J'avais besoin de réponse, puisqu'il est définitivement anormal qu'on se soit crasher.
Il me répondit et en toute franchise, il avait raison, si la panne avait été faite dans un moment plus critique, on ne serait peut-être plus là pour chercher un responsable. En tout cas, cela était intriguant.

« Si je vais dans la paranoïa, nous pouvons dire du sabotage des soldats corrompu… mais franchement, je serais étonné que ce genre d'élément ait échappé aux membres qui travail à la baie. À moins, que cela soit une défaillance technique anodine et ponctuelle de ce jumper. Après tout, ce sont de vieux vaisseaux » bref, je haussais les épaules me doutant que dans l'état actuel des choses on n'aurait pas nos réponses. Je hochai la tête à sa seconde réplique, oui un checkup complet serait à faire.

En tout cas, le technicien semblait indigné et quelques traits de ce sentiment passa sur son visage… il força le pas. Surprit, je trottine pour le rattraper. « Garder vos forces, nous en avons encore pour 5 à 6heures de marches vu la carte ».

Curieux de nature, je commence à lui poser des questions sur son métier, un rôle peu connu pour l'homme de terrain. J'aime bien les rencontres inter-métier, on apprend pleins d'éléments et même si cela ne me sert pas, le fait de discuter permet de créer des liens et d'en savoir plus sur les « ombres » de la cité. On voit et remarque surtout le rôle des militaires qui partent en missions, mais le côté technique est peu présent et valoriser. C'est bien d'être au courant et de savoir que des hommes et des femmes, font tourner la baraque nous sauvant à leur façon de pénuries, d'anomalie ou d'autres évènements interne.

J'évitai pour le moment de parler des événements de janvier, ne désirant pas revenir sur une période que j'avais mal vécue. Faut dire que j'avais eu une sorte de dépression éphémères durant février qui avait failli me mettre à terre pour de bon.

Cela faisait maintenant 2 heures que nous marchions à un rythme calme de croisière. Le paysage changeait pour laisser place à une plaine unique. Des bêlements nous parvenaient, un immense troupeau de moutons nous faisaient face. Ah ! Qui dit mouton dit berger Athosiens ! d'ailleurs, deux hommes nous firent signes. Je reconnu le cousin de Teyla, un grand gaillard à la tignasse flamboyante et aux regards sage. À ses côtés le jeune homme pleins de fougue devait être son fils fraîchement adulte. Ils nous accueillent avec une certaine joie, propre à ce peuple bienveillant.

« John ! Comment vas-tu ? tu fais de la marche pour explorer la plaine ? » Il montra son fils « Voici Kary mon fils ainé » je salua les deux hommes chaleureusement.
« Tayan ! Je me porte bien et toi ? Non, notre jumper s’est écrasée et nous marchons vers la civilisation. » Je me tournai vers Günter, je ne comptais pas dire son nom de famille, puisque de toute manière l’Athosiens ne le retiendrait pas forcément « Tayan, je te présente Günter un technicien de la cité. » l’Athosien tendu une main franche à mister K, la serrant avec un peu de force sans le vouloir.
« si vous comptez marcher jusqu’au campement, vous en avez pour longtemps. Il y a un troupeau de buffles laineux sur la route, c’est la saison de leurs migrations et ils sont sacrément bélioqueux. On peut vous prêter nos chevaux pour aller plus vite, mais faudra faire un détour pour éviter les buffles. Sinon, vous pouvez rester ici et j’enverrai mon fils prévenir les militaires qui font les navettes de venir faire un détour ici. Mais ils ne viendront pas avant demain matin »

Arf manquait plus que la faune s’y mette tiens. En somme, à cheval nous arriverons de nuit et nous pourrions prendre une navette tôt le matin… en restant ici ce n’est pas avant midi. J’expliquai ce fait à mon coéquipier. Personnellement, je savais monter à cheval mais qu’en était-il de mon bon ami Günter ? Je me tournai vers lui, pour savoir son avis sur la question.
« Vous avez une préférence ? Personnellement je sais monter à cheval. »


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Jeu 20 Avr - 14:14

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Un mini drone pour son anniversaire ? Si j'arrive à avoir le droit à du matériel ou même à faire importer des choses de la terre entre temps j'y penserai. Ne serait-ce que pour le remercier de prendre soin de moi, ou pour cette séance d'entrainement impromptu. La vie est un éternel apprentissage et autant prendre cet incident pour une occasion d'être un meilleur technicien de terrain. Effectivement les UCAV sont bien plus grands et ils étaient plus présents quand il devait être sur terre. On finit notre échange, discussion et petit cours et finalement vient le moment d'ouvrir la marche. C'est agréable, je peux comprend aisément pourquoi certain font de la randonnée pour le loisir, je vais certainement m'y mettre, déjà cela me fera faire un peu plus de sport et il ya toute une planète qui n'attend qu'a être explorée... Bon je ne ferai pas ça seul, je vais demander à pouvoir aider les équipes qui font le tour du continent, il doit bien en avoir ? Je verrai bien, sinon simplement marcher dans la cité sera déjà un sacré exercice vu la taille de celle-ci.

Il me dit de ne pas céder à la paranoïa, certes, mais je ferai quand même un tour complet des appareils au cas où. Quand il me dit qu'on en a pour des heures, j'essaye de faire un trait d'humour.

"Il y a peu des vacances, maintenant une permission rançonnée, je suis gâté."

C'est vrai que ce n'est pas ce qu'il y a de plus désagréable. Il n'y a eu que de la casse matérielle et même si j'ai eu mal, rien de définitif et donc qui me handicapera a l'avenir. La vie c'est aussi les bobo et les tracas du quotidien. Les heures passes, finalement on tombe sur des personnes du cru. Durant mon séjour précédent, j'avais déjà croisé des Athosiens et ils sont toujours aussi sympathiques. Je serre la main de manière franche aussi, bien qu'avec moins de force certainement et écoute ce qui arrive. Puis viens le moment de la question, sans être un grand aventurier une évidence me vient a l'esprit.

"Si je compte un jour avoir le droit d'être dans une équipe de terrain, je dois m'efforcer de faire avec et m'adapter aux allées du terrain. En plus, je suis sûr que tant que je m'efforcerai de traiter nos compagnons de voyage avec le respect et la courtoisie qui incombe ils ne me feront pas de misère."

Peut-être que je suis trop optimiste ? Ce sont des chevaux dressés, pas des manticores furieuses, cela devrait aller même pour moi.

"Par contre, je n'ai pas monté depuis mon enfance et je n'étais pas forcement doué à l'époque."

Autant être honnête, il est tout à fait capable de gérer les risques, s'il souhaite tenter le coup je ne le dissuaderai pas, sinon je suis sûr qu'il saura évaluer les pour et les contres avec sagesse.

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Dim 23 Avr - 1:13

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Une journée qui aurait du être banale

Chronologie : Mi mars




J’hémi un rire franc à sa conclusion sur les problèmes que pourrait avoir le jumper. Faut dire que mon esprit fut assez fleuri d’hypothèses assez tordues et Günter n’était pas en reste. Au début de notre rencontre, je n’avais que l’avis fait sur le papier d’un homme jugé compétent pour ses pairs et qui avait organisé une escouade de technicien pour aider à la protection de la cité. Sans parler, que grâce à lui, nous avons eu des éléments compromettant sur Julia et Harris… et en toute franchise, mon avis « neutre » du départ était clairement dans le sympathique avec cet homme. Même s’il n’est que peu expressif, pour ne pas dire pas du tout, il essayait de montrer quelques signes et surtout de faire de l’humour. De l’ironie qui paraissait étrange avec sa voix monotone de rebot, mais l’effort était là et en toute franchise cela était suffisant. J’ignore pourquoi Günter est aussi peu enclin à mettre un peu de sentiments sur son visage et si dans son enfance il a eu un quelconque traumatisme… mais au final cela ne me dérangeait plus vraiment, sa sympathie passait par-dessus ce problème de communication humain. Après, j’avoue que parfois, je ne sais pas trop si c’est du lard ou du cochon, mais nous verrons à la longue et cette aventure va nous permettre de nous rapprocher. Ce genre de péripéties aussi chiante que cela puisse être reste quand même une façon rapide et pérenne de se rapprocher de personnalité.

Après bon de base, je suis d’un naturel à apprécier autrui. Il est rare que j’aie des griefs envers des personnes, il faut qu’elles aient fait quelque chose qui mérite mon amertume. Et c’est souvent, mérité, je ne suis pas quelqu’un de méchant gratuitement ni de médisants.
« Une permission balade qui plus est ! » fut ma propre conclusion. Après, nous avons des jours de congés dans la limite du légal, voir même un peu plus. Cependant, beaucoup de membre de l’expédition oubliant de les prendre et aucun RH venaient nous casser les pieds, pour nous rappeler qu’ils seront perdus à la fin de l’année. Au contraire, ils se cumulait, cela serait pour les retraites… enfin si on ne meurt pas avant. Après, c’est toujours pratique d’avoir un compteur jour de vacances pleins, comme ça si nous voulions repartir sur Terre et vu le temps de trajets, il était bon de pouvoir poser le mois entier sans se soucier du manque. Fallait juste s’arranger avec les chefs et les coéquipiers.

Enfin la randonnée s’écoula lentement mais sans aucun ennui de ma part, profitant des paysages et de quelques paroles avec mon interlocuteur. On finit par tomber sur le cousin de Teyla et la question fatidique de ce que pouvait/aimerait faire Günter. Un haut officier réglementaire, aurait imposé au civil ce qu’il juge le mieux, hors, je ne suis pas conforme sur ce point. Je préférai toujours demander l’accord aux autres, surtout quand ils ne sont pas militaires, c’est une question de respect et il n’y avait aucune urgence à donner un ordre « gratuit » et contre la liberté de pensée de chacun.

La réponse du technicien fut surprenante mais pleine de sens. Jen conclu qu’il désirait partir en mission, enfin d’avoir la chance d’en faire partie et que pour cela, il se devait d’être polyvalent et adaptable. Élément tout à fait véridique. Il fut suffisamment franc pour nous avouer qu’il n’avait pas pratiqué depuis longtemps « Si on vous trouve un cheval docile, il n’y aura pas de misères je pense. Sauf pour votre popotin à la fin de la journée » ah les courbatures de l’équitation… on les sent tellement bien après une belle chevauchée ! et comme pour confirmer mes propos Tayan, renchérit amicalement.
« Oh, oui j’ai mes deux juments sont très douces, elles portent des enfants sur leurs dos d’à peine 6 ans sans jamais les faire tomber. Elles ont beaucoup de respect pour l’être humain. Tous nos chevaux sont gentils, nous avons besoin de bêtes dociles pour mener les troupeaux et permettre à nos enfants de nous accompagner sans soucis »

Il nous fait signe de venir vers les 3 chevaux qui broutaient, tous avec une composition originale dans leur morphologie, qui rappelait le frisson de notre bonne terre d’Hollande, mais avec des robes atypiques. Il nous fit donc la présentation des trois équidés, deux juments et un hongre.

Hongre "Huan":

Jument 1 :

Jument 2:


Pour ma part, j’étais en train de réfléchir, si on devait monter à cheval, pour rejoindre le campement, quitte à dormir là-bas ou attendre le retour de son fils. Finalement, cela me paraissait mieux de prendre les chevaux pour gagner certes du temps, mais si nous devions dormir, nous serions mieux au campement qu’en pleine nature sans rien d’autre que nos vestes. Les nuits sont fraîches en mars encore.

Je me tournai vers Günter, pour lui exposer ce fait et savoir si cela lui convenait.
« Je pense qu’il est plus préférable qu’on prenne les chevaux, quitte à dormir au campement s’il est trop tard. Au moins, nous serons logés et blanchis sans impacter les réserves de Tayan. Après pour vos bases, je peux vous faire un cours rapide, c’est comme le vélos, ça ne s’oublie pas » je lui fis un grand rictus.

Pour ma part, je choisie l’hongre avec sa robe léopard qui me plaisait bien par sa morphologie. Et oui Mister K devait prendre l’une des douces juments. Déjà sellés, je commençai donc mon cours puis grimpa sur l’équidé qui toisait les 1m85 mine de rien. Mes propos étaient rassurant et j’allais à l’essentiel, ce n’est pas bien compliqué. Une fois que Günter fut prêt et semblait maîtriser sa monture, je saluai et remercia chaleureusement Tayan, qui nous salua à son tour. Il irait chercher les chevaux le lendemain avec la jument restante et en attendant nous devions les laisser à sa femme. Par chance, je savais où était la maison de sa famille, étant amie avec sa cousine, j’avais déjà fait quelques festivités avec eux.



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Lun 1 Mai - 21:33

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Aucune misère, si ce n'est pour mon fessier. Ce n'est pas bien grave.

"Un bien maigre sacrifice, en plus je suis sûr que la démarche du cow-boy les jambes arquées sera du plus bel effet au retour."

Si des enfants de six ans réussisse à les montrer sans ennui et que je ne compte pas leur faire de mal, je pense pouvoir globalement assurer que je n'aurais pas de problème. Au pire, si je fais attention ce ne sera qu'une chute et une histoire de plus à raconter. À qui par contre ? Peut-être à une futur compagne et encore plus tard à des enfants puis des petits enfants. Finalement, on regarde les bêtes et il m'expose son point de vue. Oui je préférerai éviter d'abuser de sa générosité, déjà qu'il nous laisse ses bêtes... D'ailleurs comment on les ramènera ? En jumper ? J'imagine qu'il y a des personnes là-bas qui pourra le faire ? Enfin, je ne sais pas trop, mais cela doit être prévu de toute manière.

Alors qu'il prend le Hongre, je vais vers la première jument sans rien dire de plus, je lui flatte l'encolure.

"Je te remercie d'avance pour cette journée et tes efforts."

En réaction, elle colle son museau contre moi et je lui caresse la tête. La plupart des chevaux ont bien du mal à comprendre le rapport de force qu'ils ont avec leurs cavaliers, mais elle semble au contraire bien plus douce que ceux de mon souvenir. De toute évidence, elle semble calme, patiente et à cet air qui donne immédiatement confiance. Il m'a bien fallu trois essais pour me rappeler comment bien remonter en selle, mais une fois dessus c'était étonnement stable. Oui, je peux affirmer qu'elle est ce qu'elle semble être et si j'avais eu une crainte elle fut plus que capable de la balayer par son comportement. Si bien qu'en bien moins de temps que j'aurais pu l'imaginer, je suis prêt... Bon il faut dire que je ne suis pas forcément le plus confiant et optimiste aussi.

"Je vous remercie de nous laisser utiliser vos montures et de m'avoir confié à elle."

Je lui caresse encore la tête avec délicatesse, pas que j'ai peur d'être trop brusque, mais c'est ce qu'elle éveille en moi. Même si on ne peut le voir, je suis bien. Dans la nature, avec une monture agréable, une vraie balade de santé en quelques sortes. Alors que l'on commence à s'éloigner, esquissant un très léger sourire naturel sans m'en rendre compte j'avoue au militaire.

"C'est fou comme sortir de sa zone de confort peut-être agréable et instructif. Rien que pour ça, je ne saurais suffisamment vous remercier Mister S."

Je n'oublierai pas votre anniversaire en tout cas. Mais, si nos équipes on ne serait-ce qu'une partie du savoir-faire et de l'attitude agréable qu'il me montre, je pense, vraiment que je devrais sortir encore un peu plus de cette zone et me porter volontaire pour les expéditions. Cela sans oublier d'assembler du matériel pour les épauler a l'avenir. C'est ainsi avec la promesse d'un futur mal de derrière carabiné, mais aussi d'une balade à deux que nous continuons. J'arrive même à avoir assez confiance en mois pour la faire trotter un peu. Pas de gamelle en vu, mais je suis de très près mon guide justement pour éviter de nous mettre inutilement en danger. Bientôt, on retrouverait les miens et je ne pense pas que j'oublierai cette journée de si tôt.

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Lun 15 Mai - 18:20

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Gunter Kleinklaus,
&
John Sheppard
Une journée qui aurait du être banale

Chronologie : Mi mars




Je me mis à rire doucement quand Günter évoqua la démarche si particulière des cow-boys. Immédiatement mon esprit un peu fantasque, essaya de peindre cette scène, de l'autrichien si « rigide » avec cette dégaine, voir même avec un chapeau.

« J'en suis certain, la légende l'ouest sur pégase ! » Un autre rictus se fit sur mon visage, il avait l'air d'un robot le petit gars, mais c'est un rigolo et franchement, cela me va bien comme surprise. Avoir un glaçon sans humour aurait été le comble, vu nos aventures.

Le drone, fut chargé laisser aux bons soins de notre ami Athosiens, l'équipe qui irait récupérer le jumper le prendrait au passage, il était trop volumineux pour tenir sur la croupe des chevaux sans les gêner. J'observais l'homme, qui parlait à la jument, les chevaux sont réceptifs à ce genre d'attentions et elle lui rendait bien, avec son museau et sa docilité impressionnante. Faut dire, que ce sont des cheveux « lourds » que nous chevaux, pas des pur-sang complètement barrés et sanguins. Mon gros pépère léopard, était immobile, l'encolure arqué attendant que je le manœuvre. Quand Günter fut bien en selle et définitivement prêt dans un temps record, nous partons vers cette balade imprévue.

En tournant ma monture, je n'avais pas vu le rictus naturel se dessiner sur les lèvres de mon compagnon de voyage. Dommage, peut-être une prochaine fois. En tout cas, le pas et le confort de mon cheval était doux. Je me mis aux côtés de la jument, pour marcher côte- côte et non à la queue leleu. J'étais assez satisfait de reprendre l'équitation, cela faisait longtemps et j'avais toujours aimé ça. Me rappelant du superbe étalon qu'avait mon père, cet étalon que je montais sans avoir le droit, car on ne va pas faire de balade avec un champion de course de plat ! Pauvre bête, entraîner pour galoper et gagner sur le plat… et qui ne sortait que pour s'entrainer sans se détendre. Cela n'est pas humain et j'avais développé une aversion forte pour les courses hippiques.

« Oh mais ne me remerciez pas mister K, mais plutôt le destin de nous avoir fait crasher. En toute franchise, je préfère limite mieux, ce genre d'évènement qui se finit sur une balade à cheval, que de faire la plante verte auprès de scientifiques » Je tournai la tête l'œil pétillant

« Enfin, cela ne m'empêchera pas de vous ramener dès demain ou le jour suivant au laboratoire pour faire votre travail. » Il est vrai qu'au départ cela ne fut pas bien palpitant pour le Lt colonel que je suis. Or, j'avais vu cela, plus comme une manière de me remettre en forme après un mois et demi de mal être et de ce qu'on pouvait nommer couramment une dépression éclair. Recommencer en douceur, avec quelques choses de tranquille, finalement cela fut mouvementé, mais dans le bon sens du terme. Nous n'étions pas blessées, sauf l'épaule de mister k… en pensant à elle ma question suivant fut évidente :
« Comment va votre épaule ? »

On continua la balade avec un petit trot et voyant qu’il s’accrochait bien, je lui proposai un galop. Vu nos chevaux, je ne pense pas qu’il tombe ils sont larges et ont des allures amples. Et surtout, ils ne vont pas galoper super vite non plus, c’est de sacré bestiaux mine de rien.
« Vous vous sentez prêt pour galoper ? »


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Sam 22 Juil - 19:26

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ABANDON 22/07/2017 Bad

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