ISIA TAYLOR LAURENCE

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Mar 26 Jan - 20:26

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Isia Taylor Laurence

  • Taylor Laurence
  • Isia
  • 07 janvier 1980 à Canberra
  • Franco-Australienne (mais elle a vécu que 5 ans en Australie)
  • écrire ici
  • Renfort 2015
  • Chirurgien- Second responsable médicale
  • Durant mes trop nombreuses années de médecine, j’ai suivis une spécialisation en chirurgie. Par conséquence je peux affirmer sans me détourner que c’est l’une de mes spécialités. Vous ouvrir le ventre et vous extraire une vilaine tumeur ou une balle de Genii, il n’y aura aucun problème. Laisser vous faire et détendez-vous !
    Pratique la médecine généraliste et l’ostéopathie de base
  • Français (couramment)/Allemand (Couramment)/Latin (notion) / Anciens (Moyens)
  • Le collier en or blanc de sa mère, ornée d’une perle noire de Tahiti..
Margot Robbie

Données complèmentaires



DONNÉES MÉDICALES
  • (cicatrices, tatouages ect)
  • A+
  • Non
  • Oui en 2017
  • Ne ressent pas la peur - déficient chimique du cerveau
  • La peur de l’échec et de ne pas être à la hauteur
  • • De nombreuses séquelles due à son histoire, mais soigne maintenant
    • Une cicatrice en bas des reins, quand elle a été projetée contre un bureau d’école par Monsieur Rouseil (à 15 ans)
    • Bras droit facturer lors d’une bagarre au lycée avec la racaille du coin
    • Jambe droite facturer trois fois en pratiquant le hockey sur glace
    • Foulure au poignet après une chute en roller

    • Tentative de Viol - grande lessive
    • Blesures importantes sur Ovidae a cause d'une parrure dorsale



Données de compétences


PERSONNEL MEDICALE
Compétences de base
  • 1
  • 1
  • 1
  • 0
  • 0
  • 8
  • 0
  • 3
  • 4
  • 0
Compétences secondaires
  • 7
  • 3
  • 10
  • 2
  • 2
  • 1
  • 1

Données d'une personnalité

Je suis une personne assez compliquée en réalité. Sûrement aussi complexe à comprendre que ma propre histoire qui m’a valu plusieurs personnalités.

En lisant celle-ci vous comprendrez que je ne suis pas une femme optimiste, la vie ma crachée dessus et je lui rends bien. Je suis sceptique et sarcastique même. Mon humour est souvent teinté de noir et j’en deviens assez médisante. Le malheur des autres ne m’intéressent pas, c’est leurs sottises qui me désespères. Ainsi, oui, je serais peut-être encline à être une grande amoureuse des potins et de rire facilement des aventures pas très glorieuses. Mais au final, cela fait-il de moi une mauvaise personne ? Je dirais qu’on est tous ainsi, nous êtres humains, emplis de pleins de travers et de vices macabres.

Mon regard bleu est souvent teinté d'une lueur de charme avec cette tentation presque prédatrice. J'ai la chance d'être née de nature belle est séduisante. Et j'en ai pris, malheureusement pour certain, conscience. Ma prédation à charmer et à jouer de cet atout est sûrement mon plus gros défaut. J'aime jouer et je ne suis même pas mauvaise perdante. Dans mes moments les plus sombres, la vie m'avait apparue comme un beau plateau d'échec, avec des pions qui n'avaient pas conscience des cases ou de leurs affrontements. Ainsi, la vie n'est qu'un jeu, pour celui qui voit les piètres ficelles qui manipulent nos vies.

Alors, pourquoi pas, jouer un peu moi aussi ? Pimenter ma triste fatalité par des expérimentations, connaître cette étrange sensation, d'être désiré et admirer. Observer les visages si expressifs et spéculer sur les réactions … rire regards emplis de jalousies des autres femmes, rire des regards surpris… sourire face à la réalité, que vous avez prévue de créer. Une nouvelle réalité sur des sujets qui n'ont pas eu conscience que ce petit jeu, n'a eu comme but que d'assouvir ma curiosité et ma compensions de la nature humaine.

J'ai toujours eu ce besoin, de comprendre ce qui animent autrui et pourquoi de telles actons son mise en œuvre… cette curiosité que je trouve par moment malsaine, ne me sert pas toujours. Je pense que si un psychiatre m'interroge il ne pourrait qu'être attristé de voir le propre vide de ma personnalité. Celle d'une femme, qui a été tellement humiliée, une femme ancienne proie qu'elle en devenue le prédateur.

Ambitieuse et dominante. J'ai du mal à courber l'échine face à des ordres ou des obligations qui ne me conviennent pas. En conséquence je n'ai aucun scrupule à les détourner. Je suis juste, très juste même et capable de vous dire sans ménagement vos pires peurs et défauts, je n'ai pas peur des conséquences. Le bâton n'est pour moi qu'une chose à contourner. Cela me donne un petit côté sauvage, femme indomptée et qui reste inaccessible.

Les autres me voient comme une femme fatale, jamais seule dans son lit, une femme solitaire qui ne peut supporter un amant ou une amante plus d'une semaine, sans vouloir en changer, car l'actuelle ne conviens plus, ne me satisfait pas assez, n'a plus ce petit côté exotique et sensuelle du début, que je me lasse vite, que je ne peux m'accrocher. Cette femme au regard éblouissant mais, au cœur mort. Oui voilà une piètre image de moi. Celle de la collectionneuse, de l'inhumaine qui jette les vies humaines quand elles deviennent obsolètes, celé qui les ouvre et le dissèque, qu'importe si la vie peut être sauver !

Je hais cette perception, cela me fait ressembler aux gargouilles qui peuplent notre dame. J'ai une âme, peut-être, plus de cœur mais, ma conscience est là. Si je ne m'attache pas à mes amants ou autre humain, c'est que je n'ai plus envie d'être déçut. Il fut un temps, où j'ai follement aimée. Le temps où je ne voulais plus de ce corps avec ses nombreuses bosses avantageuses. Dans mon enfance, comme toute petite fille, j'ai crue au prince charmant sur son blanc destrier… moi ce que j'ai eu c'est une princesse avec des cheveux roux et de grands yeux noisettes avec comme seul destrier une petite fiat rouge.

Elle se nommait Gabrielle, ma petite sauveuse, celle qui m'a appris à devenir autre chose qu'une personne dévastée et enlaidie par son passé… je lui doit beaucoup… j'ai crue naïvement à ses sentiments hors des normes. Mais on devient vite inintéressant quand on a plus de problèmes à soigner et à réparer… alors une fois que j'allais mieux, elle partit loin dans ce continent, vivre le rêve américain… m'invitant à son mariage avec un futur pantouflard d'Amerlock patriote ! (Me faisaient haïr d'une certaine façon (et sur une courte durée) tous les Américains !) Avec comme seul excuse et mot de fin à notre histoire : « mais nous sommes amies ». Oui enfin, les amies ne partageant pas le même lit. Mais il fallait que je comprenne, que pour une personne se nommant Gabrielle, être homosexuelle n'était pas un acte très catholique et respectable dans sa famille un peu trop pieuse. Ne comprennent pas cette soudaine dévotion pour un dieu auquel elle n'avait que des reproches. Profitant de mon incompréhension pour balancer à nos proches en commun, mes goûts si peu conventionnels. Peu le savant, je me retrouvai juger et humiliée une énième fois… le pire jour de ma vie, : durant SON mariage. Alors, oui, l'amour j'y crois autant qu'au père Noël.

En conséquence, j'ai pris du mordant, l'aspect froid et pragmatique de ma personnalité permit de me forger une carapace contre le reste du monde. Devenant exigeante, intraitable sûr de nombreux point. N'aimant pas perdre mon temps, seul élément qui m'obstine, on jamais le temps de faire ce que l'on désire … le temps guérir tout et enlaidie le reste…

J'ai appris à limiter mes attentions et à ne plus montrer mes faiblesses. À ne plus tomber dans les pièges sentimentaux. Mes gestes sont en conséquence jamais anodins, je n'aime pas l'imprévu ni les négligences. J'aime observer silencieusement les autres pour comprendre ce qui les animent, les motives à faire leurs actes comme dit avant. J'ai ce besoin assez fort de comprendre et d'interpréter les choses. Porter un jugement aussi, cela me tue et me ronge de voir le regardes autres, de me dire que je ne serais pas à la hauteur de mes ambitions ou des exigences qui me sont confiées. Mais encore une fois, je garde tout pour moi. Laissant place à ce regard froid et mon humour cinglant. Seules armes avec mon charisme, qui comblant mollement quelques peu mon complexe d'infériorité. Ainsi cette peur me panne d'argument arrogant et supérieur.

Mais outre ses travers sombres et peu agréable de ma personnalité, quand j'ai un tant soit peu confiance ou l'envie de combattre mes démons. Je reste une femme, assez compressif et de bon conseil. Ma froideur peut fondre en de beau traits joyeux et pétillants. Mes paroles douces et souvent franche peuvent s'habiller de diplomatie pour annoncer de terribles nouvelles. Même si, je vous l'avoue, je ne suis pas réputée pour mon tact légendaire, mais plus pour dire la vérité aussi cruelle soit-elle.

J'ai les intestins bien accrochés et je traite mes patients avec respect et délicatesse. Au contraire de ce qu'on peut s'imaginer, je ne les considère point comme un bout de viande. Cependant, la mort est pour moi une étape … comment dire … je l'ai vu et je la considère comme inévitable et banale. Alors, je suis détachée face à la mort des patient ou d'autre personne. À ce moment-là, je prends un masque, ressemblant plus à une pierre macabre laissant sans aucune émotion les proches pleurer. C'est une manière pour moi, de me détacher de l'infâme douleur que j'ai eue dans mon enfance. De me protéger.
En résumé, je suis femme assez compliquée qui n'a pas fini son évolution. Une femme qui n'a grandi que trop tôt et qui a été charcutée en petit morceaux… une femme qui réapprendre à se connaitre et à voir le monde d'un autre œil, avec ce nouveau départ !

Données d'un passé chargé

La vie vous apparait toujours belle au début, mais il suffit d'un petit accident pour que toutes les belles choses que vous connaissez ne s'enlaidissent de cette étrange sensation poisseuse et répugnante qu'est la « triste réalité ».

Au-delà de ma naissance, il est important de bien situer les éléments, de dresser ce champêtre tableau, qui m'a été servie quand je poussai mon premier cri. Mon père fait partie de ses hommes simples, se réjoui de chacun bonheurs aussi petit soit-il. Il n'avait pas eu une enfance des plus facile, mais avait eu ce que peu d'humain ont : le sentiment d'être accomplis et heureux. À la mort de son père le jour de ses 25 ans, il hérita de son vieux tracteur, de sa ferme et de ses têtes de bétails (des moutons car, nous sommes en Australie). Ainé de 5 frères et sœurs, il reprit le flambeau de son paternel, tout en continua ses études que prit tardivement, pour devenir professeur en chimie. Aider part ses cadets, la ferme retrouva son éclat d'antan, permettant à la grand-mère de passer ses dernières belles années en paix, loin des soucis financiers auquel sa vie dure et simple était habituée.

Mon père se nommait Evan Taylor. Il aimait travailler dur et sentir la sueur sur son front par les beaux jour d'été. Il avait repris ses études au moment où, il avait pu mettre suffisamment d'argent de côté, pour s'inscrive à l'université. Un véritable battant, un homme admirable et courageux. Qu'importe s'il avait 3 ans de plus que la plupart des élèves, qu'importe s'il venait en bus et que parfois il sentait le mouton. Lui, il ne déméritait pas entre son travail à la ferme et les devoirs ! Il ne se plaignait jamais et profitait de cette incroyable chance : réaliser une part de son rêve.

Quand il acquit son diplôme, il revendu les parts de son héritage à son second frère, ne voulant plus de cette ferme comme seul avenir. Désirant maintenant voler de ses propres ailes, pour devenir un jeune professeurs, pleins de rêve et d'illusions. Il s'en sortit plutôt bien. Franchissant les portes d'une université sans prétention, il fut un enseignant généreux, aidait plus, que suivait les trame d'un programme. C'est durant ses quelques années de petit professeur en chimie, qu'il rencontra ma mère la si belle et si froide Eryn Laurence.

Les rencontres ne se prévoie pas, l'amour non plus et leur rencontre fut assez amusante. Un orage de chaleur avait éclaté à Cambera, mon père se pressait de se mettre à l’abri quand il percuta avec violence la femme, qui sera celle de sa vie. Je ne vais pas vous raconter, mais imaginer bien qu'il a tout fait pour se faire pardonner et de décrocher un rendez-vous avec cette française, en voyage touristique en Australie. Elle était fiancée à l'époque, à un homme pleins d‘arrogance et d'ambition. Vous devinez qu'elle ne revient jamais le retrouver, jetant sa bague et épousa à la place, le petit professeur de chimie. Deux ans après… mes cris et mes boucles d'or rythma leurs vies.

Voilà pour le côté fleur bleu. /!\ Histoire assez difficile par certains passages (que j'ai mis en soft)

J’avais 5 ans quand ma mère, émis le souhait de retourner en France. La chaleur de l’Australie ne l’attirait plus et elle avait trouvé un post bien plus prestigieux dans une clinique de Lyon. Elle était une chirurgienne réputée, voyageant souvent pour différent congrès. Et c’est, avec le cœur alourdis par ce voyage que mon père accepta de quitter famille, pays natal et université pour la suivre dans la contrée de la baquette de pain et du fromage.

Il trouva un post rapidement, ayant du mal avec la langue française, malgré ses cours, il garda à jamais un accent profondément exotique qui plaisait beaucoup à ses étudiantes. Mes parents travaillaient beaucoup et ainsi j'avais une tutrice. La sœur de mon père, qui pleine de rêve et d'ambition, voulait vivre une nouvelle vie après avoir été battue par son ex-mari. Elle faisait des cours du soir pour être assistante médiale. Par chance, elle était professeure de langue dans son pays et n'eut aucun mal à parler notre si vieux français.

Quant à moi, je menais une vie d'enfant épanouir, ne manquant de rien sans être une fille gâtée. Il était étonnant au vu de revenus de ma prestigieuse mère, que nous ne vivions point dans une grande maison bourgeoise. Non, aimer mon père lui avait appris à apprécier les choses simples et c'est avec une maison tout aussi douce et sans prétention que nous vivions dans la banlieue lyonnaise. Une maison, avec un jardin suffisamment grand pour y installer une balançoire et dresser une grande table pour les occasions. Une maison avec quatre chambres et un grenier aménagé en mini studio pour Gloria, la sœur de mon père.

Nous menions, une belle vie, Gloria, restait beaucoup à la maison, lâchant ses cours du soir pour faire professeur à domicile, cultivant dans notre jardin divers légumes et plantes. Jamais mes parents, lui demandèrent de se trouver une habitation, ils vivaient bien à trois adultes et une petite babine blonde au grand yeux bleu. Je me souviens de cette période avec beaucoup de nostalgie, tout semblait si simple et si doux.

En grandissant, je n'exprimai point l'envie de me rebeller ou de suivre les tendances des marques. Enfin, ça se fut avant de rentrer au collègue. La dureté de ce cap, me choqua. J'étais passée de la petite fille au grand yeux bleu, a la dernière des souillions ! Une « intello » sans grosses lunettes. Je subis quelques humiliations, que je qualifierai de « normales » dans un collège. Et cela suffit pour me donner une envie de mordre et de montrer a tous ses imbéciles qui étaient Isia Taylor Laurence ! Pas la paysanne, qu'ils me peignaient ! Mais la grande dame ! Mon caractère changea, les adultes, prirent ça pour d'une crise d'adolescente ! Les marques et les signes extérieurs de richesses m'apparurent comme nécessaire pour m'affirmer dans une classe, composée d'enfants de la classe moyenne et qui portaient sur eux, le salaire complet de leurs parents que trop naïf ou stupide pour leur offrir des vêtements hors de leurs moyens ! Cela me dégoûta au début, mais il fallait s'adapter pour être accepté.

Après de nombreuses crises carieuses, ma mère accepta de refaire ma garde-robe. Et très vite la petite fille, devenue un « jeune fille ». Passant de l'intello, à la fille populaire que tout le monde voulait approcher. J'avais le pouvoir de créer la pluie ou le beau temps ! Pour cela du mascara et un pull Lacoste suffisant … de simple chose pour gouverner un collège. Matérialiste et naïf … voilà la cour d'un collègue et le secret pour être avec les « populaires ».
Avec le recul, cela avait été stupide de ma part de mener la vie dure à ma mère. Surtout pour ce que ça m'a apporté. Mais dans ma tête de petite fille en quête d'amour d'autrui, je me disais que cela était « normal ». Normal qu'une femme qui gagne autant d'argent en face profiter à sa fille en lui achetant ses moindres désirs…

En tout cas, je me sentais mieux et surtout, je me sentais belle, car comme toute adolescentes digne de ce nom, j'étais complexée, je me trouvais laide, trop grosse, bref je ne méritais pas d'être aimé. C'est fou, comme cette période vous rend bête… en tout cas, je devenue une petite peste prétentieuse et arrogante. Par chance mes résultats étaient toujours aussi bons. Affichant sans complexe ma supériorité face à mes anciens bourreaux. J'étais autant aimée que détester. Mais qu'importe, les premiers rouages de la politique se joue dans une cour de récréation.

Mais tout cela prit fin le 23 avril… Ma mère venait de prendre la voiture pour se rendre à la clinique, quand elle fut percutée à 05H du matin, par un groupe de jeunes bourrés à la vodka. Impossible d'éviter le choc, elle avait été prise de plein fouet… morte écraser contre la voiture et le mur en béton. Une mort, horrible à voir car rien de la perfection de son visage et de son corps ne pouvait être reconnaissable. Déchiquetée par le fer et le feu.

La cérémonie d'enterrement fut l'une des choses les plus horribles auquel j'assistai de pleins grès ! Voir toutes ces personnes, pleurer et dires des choses hypocrites ! Jamais, je n'avais autant d'hommes et de femmes se parfaire dans un enterrement. Je les haïssais tous, avec leurs belles phrases sans saveurs… je haïssais toutes ses roses blanches déposer sur le cercueil, je haïssais à ce moment-là toutes personnes aillant la chance d'avoir encre leur mère avec eux et qui ne réalise pas cette chance. Ma tristesse, était animée de colère, face à cette injustice. Je ne repris pas l'école avant 5 jours, pleurant dans le noir, ne supportant que le contact de trois créatures : mon père, ma tante et mon chat angora turc : Flocon. Un cadeau de ma mère, un fichu cadeau qu'elle m'avait offert pour mon anniversaire…un cadeau que j'avais si hardiment réclamer… un beau chat au pelage blanc, un chat doux et gentil… un compagnon pour me féliciter de mes résultats scolaires. Un compagnon qui pourrait sécher mes larmes.

Il est étrange, comment la mort peut détruire plus d'une seule vie… âgée d'à peine 15 ans, qui avec le maquillage et mes vêtements me donnait 17 ans. J'avais l'impression que tout ceci n'était qu'une vaste blague. À quoi bon, avoir tous ses biens matériels, si ce n'est que pour avoir perdu l'essentiel ?

Je sombrai dans la mélancolie. Je n'avais nullement envie de briller comme avant… mon père eu la bonne conscience de m'emmener chez un psychologue. Qui m'aida fort bien d'ailleurs. Faire le deuil de ma mère fut difficile, je me forçais à donner le change au collègue, de ne pas sombrer, de garder la tête haute. La mort, rend les autres plus compatissant, plus compressible… mes amies, si redoutables, enfin mes « concurrentes » au titre de fille populaire, ne cherchaient même pas à me devancer… comme si la mort de ma mère avait assis mon titre une fois pour toute, taisant leurs ambitions. Triste ironie n'est-ce pas ?

C'est à ce moment-là, qu'il y avait ce professeur de français, très sensibles et très gentil. Face à ma détresse et à mes angoisses solitaires, il m'aidait et me conseillait. Je n'ai jamais été très bonne pour la rédaction de commentaires, mais bon, ce monsieur Rouseil était très engagé avec ses élèves... du moins avec moi.

En apprenant la mort de ma mère, il avait été le premier à m'épauler et à m'encourager, à ne pas me laisser abattre, à continuer à mettre un masque : celui de la belle jeune fille blonde aux longs cheveux soyeux et aux yeux couleur ciel. La jeune fille qui brillait par ses notes… il me disait que ma mère me regardait qu'elle ne voudrait pas me voir en si mauvaise posture scolaire, à cause d'elle. Que ma mère voulait que je réussisse tout comme elle avait réussi sa carrière. De ses paroles, des paroles d'adultes, qu'une enfant ne pouvait que prendre naïvement, j'en tirai une force.

Il proposait des cours de soutiens, à ce moment-là, le français n'était pas au top dans mon bulletin, alors j'y participai, plus pour entendre ses douces paroles que pour étudier de grands auteurs morts et sans intérêts. Plusieurs fois, il me félicitait et trouvais mes questions pertinentes. Mais c'est durant, ses cours de rattrapages qu'il me montrait le plus d'affection. Je commençai à revivre à sourire, me dire que j'étais appréciée par un homme aussi charmant et cultiver. Ses cours, se transforma en entretien individuels. Et c'est toujours, avec la même passion et envie que je m'y rendais. Alors, que mes notes n'avaient nullement besoin d'être remontée par du soutien.

Mon père ne comprenait pas ce besoin soudain que j'avais de lire des poésies, ou d'engloutir les romans que monsieur Rouseil me conseillait. Et en bon père, il s'interrogea mais, en voyant mes sourires et mes rires, il se réjoui de revoir à nouveau, la petite fille qu'il aimait, se convainquant que ses cours du soir me faisaient le plus grand bien.

Comment résister a autant de compliment ? J'étais son « étoile », sa « perle rare », il aimait mes longs cheveux blonds, qui lui rappelait une héroïne d'un roman romantique, il aimait ma brillance d'esprit, il aimait voir l'admiration dans mes yeux, il aimait voir ma fragilité, il aimait savoir que je lui appartenais.

Sotte petite fille, trop aveugle pour comprendre le monde des grands. En nous habillant pour leur ressembler, nous ne faisons que les singer, que les imiter, pour quoi ? Grandir avant l'âge ? Perdre notre innocence et notre naïveté ? Franchement quand on passe le stade d'être adulte on a souvent envie de revenir à ce temps doux … car les problèmes ne vous tombent pas dessus.
C'est comme toute jeune fille de 15 ans, je voulais plaire et j'avais le béguin pour mon jeune professeur aussi blond que les blés avec ses yeux noirs comme la nuit. Un professeur qui m'appréciait et qui cherchait à se retrouver avec moi. Qui n'a pas eu un coup de cœur pour l'un de ses professeurs à cet âge-là ? Qui pourrait me jeter la pierre ?

Alors, pour lui plaire je mis une robe… une jolie robe en mousseline blanche que ma mère m'avait achetée avant de mourir. Signe de pureté, signe d'enfance, signe de virginité… bien sûr je n'avais pas conscience de ses mots, pour moi, j'avais mis cette belle robe pour être élégante et digne d'être appréciée. Aucunement je n'avais voulu ce qui se passa par la suite. D'habitude, quand on aime un adulte, celui-ci vous ignore ou vous sourit gentiment … d'habitude il vous explique qu'on ne peut pas confondre l'enfance et l'âge des grands … oui ça, c'est d'habitude.

Je rentrai que trop vite dans ce maudit « âge adulte ». Une manière des plus sale et des plus humiliante. Ma belle robe de mousseline avait été retroussée et les désirs du professeur entres mes cuisses. Qu'avait-je pu faire pour mériter cette douleur ? Pour sentir après, des bleus sur mes cuisses ? D'avoir l'impression d'avoir été salie … quelque chose avait été brisé et jamais plus je ne le retrouverais. Je me souviens de sa main sur ma bouche me disant à quel point, j'étais belle comme une fleur, que je sentais bon et que tout ceci resterait entre nous. Que je devais être heureuse d'être aimé et désiré. Qu'aujourd'hui je n'étais plus une enfant.

J'avais couru, ratant mon bus… restant sur le trottoir, ma belle robe de mousseline tachée par du sang. J'avais pleurée, j'avais frissonné, accolée contre la barrière… je ne voulais plus vivre à cet instant. Je voulais m'enfoncer dans le manteau noir de la nuit et respirer le grand air frais de la mort. C'est la directrice de l'école, qui me retrouva en larme, elle me raccompagna chez moi. Je lui avais inventée un beau mensonge, pleins de naïveté… celle que je n'avais plus. Lui disant que j'avais raté mon bus et que l'angoisse m'avais pris et que j'avais pleuré comme un bébé. Le sang était justifié par ma course pour ledit bus, une ronce m'avait griffée, celle du parc du collège. Elle ne chercha pas vérifier, me raccompagnant avec son regard de chouette compatissante face à une pauvre enfant perdue dans la nuit.

J'avais cours de rattrapage deux fois par semaine … deux fois par semaine, je sentais son souffle contre ma nuque …deux fois par semaine, il me touchait les cheveux et m'allongeait rudement sur un bureau. Deux fois par semaine ses lèvres infectes touchaient ma peau douce. Deux fois par semaine, je n'étais plus une enfant, mais un objet qui n'avait pas le droit de crier ni de résister, sous peine de coups.

Cela me rendit folle… je perdais pied niveau école… mes notes en chutes libres, mon moral aussi. Je m'isolais de mes « amies », je ne voulais voir personne, à la maison j'étais taciturne, m'enfermant dans ma chambre pour pleurer.

Ma tante s'inquiétait que je fasse une rechute face à la mort de ma mère… si elle savait… comment pouvait-elle imaginée ce qui m'arrivait ? Mais vous savez, dans ce triste tableau… il suffit d'une chose, d'un être pour y mettre fin. Mon père s'inquiétait et continua de m'envoyer chez le psychologue. Je mentais très bien, mais pas assez pour berner un professionnel. Le travail prenant de professeur et mérite de mon père, l'obligeait à partir régulièrement.

Mais un soir, il resta, pour parler avec moi. C'est en me touchant le poignet qu'il vit les bleus … qu'en remontant la manche il vit le reste. Jamais, monsieur Rouseil ne tapais le visage, non que des parties cachées, car j'avais été vilaine… trop vilaine de ne pas me laisser faire. Les yeux de mon père prirent une lueur d'angoisse… et de colère. La colère me fit peur et je me recroquevillai sur mes genoux en grelottant. Je répétais « Nonon, je n'ai pas été vilain pitié ». Mécanisme de soumission qu'il adorait. Mon pauvre papa, ne comprenait pas, il pleura me sera dans ses bras… me questionnant de sa voix si douce. Se demandant lui-même qui avait pu toucher ça si belle petite fille… se voulant de n'avoir pas réussi à me protéger. Je ne dis rien… pas ce soir… mais bon père mena son enquête… voyant que deux fois par semaine, j'étais plus nerveuses qu'à l'accoutume…

Une semaine après, j'étais en cours de rattrapage, quand mon père frappa à la porte de la classe. Voyant avec la directrice et les deux gendarmes, un spectacle qui le rendit ivre de colère. Il s'imaginait, que ce ne fut que des coups que m'infligeait monsieur Rouseil et non un viol continuel ! La directrice ne put retenir mon père qui fracassa la gueule de ce maudit prof de français. Par chance pour lui, les deux gendarmes retenus le lion qu'était devenu mon papa… l'un des gendarmes était Éric, l'un des meilleurs amis de mon paternel. J'ignore comment, mais cela ne m'intéresse pas, mon père ne fut pas traîné en justice pour avoir donné une droite légendaire à mon violeur.

En rentrant, j'avais coupé mes si longs cheveux, les mettant tellement cours que je ressemblais à un garçon. Je jetai tous mes vêtements dans une benne à Emaus, pour me racheter des vêtements de garçon. Je ne voulais plus jamais être la jeune fille. Je ne voulais jamais plus de ce sexe qui m'avait value tant de désirs ! Je voulais tout effacer et tout recommencer, même jusqu'à ne plus être ma propre nature !

Je changeai de collège. Recommençant une vie, « normal », loin des viols et des coups. M'entourant d'un groupe solide et loyal de copain qui me suivirent jusqu'au lycée voir même pour certain, jusqu'en médecine. Ils savent tous, que je n'étais pas un vrais mâle… mais qu'importe, je n'avais pas de sexe à leurs yeux, j'étais « Le blond », « la fripouille » et non Isia la belle blonde aux grands yeux bleu. Cette duplicité de sexe, me convenait, je parlais de devenir un homme plus tard. Mon père n'appréciait pas ce changement de comportement, mais acceptait l'envie de ne plus me rattacher au passé. Et il se résigna à me voir heureuse ainsi.

Je ne vais pas vous narrer tous les problèmes que peut rencontrer un garçon manqué. Mais je vous laisse un brin de ce souvenir, celui vous expliquera avec lucidité pourquoi, vous ne me voyez pas avec les cheveux courts … mais comme une femme belle et séduisante.

Comme tout garçon, les hormones naissantes mes copains, regardaient de plus en plus les filles… moi, je ne m'intéressais a rien de tout cela… et puis par mimétisme j'avais pris cette habitude de « mater » et de contempler les belles plantes. Au final, regarder les filles étaient devenu un passetemps courant. Et en quittant le lycée, intégrant ma première année de médecine avec l'un de mes amis, nous étions charmés tout deux par la même personne. Gabrielle Ducard ! Une grande rousse aux yeux pétillant, couleur noisette. Très vite nous devions amis et bien plus. Encourager par mes copains un peu bourrus de franchir le premier pas d'un baiser. Je sortie avec Gabrielle. Fier d'avoir à mon bras, une femme aussi remarquable. Elle ne se douta pas de mon réel sexe. Alors, quand elle me parlait de franchir une autre étape, j'angoissais, ne voulant pas de tous cela. Les petits bisous et les attentions me convenaient. Le sexe, était symbole de violence et de traumatisme pour moi. Elle le comprit sans savoir et fut patiente.

Sauf, qu'un après-midi elle se montra plus entreprenante que jamais… et découvrit la bien triste vérité. J'avais beau aplatir ma poitrine et porter des caleçons d'homme, mon corps ne pouvait pas mentir. Elle ne hurla pas… elle me regarda attendant une explication plausible à ce mensonge odieux. Quand, celui venu, entre des larmes de honte et de peur… elle aurait pu partir vous savez… non elle est restée allongée auprès de moi. Me promettant de me retirer ses affreux sur vêtement et de m'enfiler des robes.

Cette féminité nouvelle, ou plutôt réapprise, cette assurance, mon arrogance et mon charme vient de Gabrielle. Qui réapprit à faire de moi une femme assumée et fière. Ne de plus me cacher avec les attribues des hommes, pour me protéger des pervers. Ma transformation prit 1 an. Et je n'étais plus « la fripouille » que Dave et les autres connaissaient. Maintenant, leurs regards avaient changé, comme s'ils se demandaient comment ils avaient pu passer à côté de pareille merveille. Ses regards me déplurent… mais je ne pouvais pas lutter contre ça. Hors, Gabrielle, adoraient voir ce même regard se poser sur « sa création ».
Je pense que ma plus grande des réussites ne fut pas celle de ma carrière, mais bien celle d'avoir réapprit à me regarder dans un miroir sans avoir honte, d'avoir réapprit à vivre avec un corps que je haïssais tellement… d'avoir réapprit à vivre tel que je le suis tout simplement.

Je réussis donc mes années de médecine et ma spécialisation en chirurgie. Offrant une grande fierté à mon père et ma tante. Dans leurs yeux, je voyais leurs joies de me voir chaque jour plus sûre et plus belle que jamais… à ma remise des diplôme Gabrielle était là, elle aussi. Mon père accepta mieux, mes goûts que je ne l'aurais crue. Seul mon bonheur comptait à ses yeux. Et il me préférait me voir « femme » que « demi homme », alors qu'importe si j'aime les femmes ou non, tant que mon visage teinte de gaité. Mais, au lieu de repartir avec Gabrielle, je rentrai seule. Elle m'annonça qu'elle allait partir aux États-Unis pour voyager. Elle y rencontra d'ailleurs son mari. Me brisant le cœur d'une sale manière.

Quant à moi, je continuai ma lancée, devenant un médecin réputé. La microbiologie et la chirurgie résumait ma vie. La recherche et les soins, était mon quotidien. Quelques fois quelques infirmières étaient dans mon lit ou des médecins. Mais rien de sérieux animait mon cœur. De peur de le perdre une seconde fois.

Données d'arrivée

Ce matin, là je ne pensais pas que deux hommes de l'Air force allaient changer ma vie. L'un des hauts gradés, en mission dans mon beau pays avait été blessé et une opération risquée devait s'effectuer. Cette opération me marqua l'esprit, l'homme avait été touché par un étrange projectile… et un étrange objet se trouvait dans sa nuque… pour ne pas dire que ce fut une créature qui s'y logeait.
En voulant l'extraire, je ne pus sauver « l'hôte » … mais je venais de mettre un pied dans les mystères de l'univers. Un pied qui me mena sur la cité des anciens.
Comment vous décrire ma grande émotion et mon excitation ? Après 2 ans chez le SGC, j'allais devenir un membre à part entière d'une expédition dans une autre galaxie ! Quittant ma tante et mon père pour découvrir les tréfonds d'un nouveau monde !

J'avais toujours appréhendée, le passage avec la porte, même au bout de la 50eme fois. J'avais toujours eue peur de me retrouver coincé dans le vortex. Le pied en avant, je pus admirer cette fabuleuse cité qui me donna le tournis ! Laissant choir mes valises, pour tourner sur moi et voir à quel point la civilisation ancienne avait bon goût niveau architecture. En parlant de goût ! Époustoufler, c'est en reculant que je percutai le chef militaire de la base. Un bel américain au sourire enfantin et à la coupe de cheveux ébouriffer. Comme beaucoup d'hommes avant lui, il me regarda médusé, me trouvant sûrement à son « goût ». Cependant, mes beaux yeux bleus se portèrent sur la femme qui l'accompagnait. Aussi séduisant soit-il, mes « goûts » allaient plus sur la capitaine que sur le lieutenant-colonel. Mais je me garai bien de lui faire remarquer. M'excusant avant d'être entraînée vers l'infirmerie où je pris connaissance de mes collègues médecins et infirmiers.
Créé par Ina
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Ina
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Comment avez-vous connu Atlantis Insurrection ? :
je vous avais fait une demande de partenariat (Entre les ombres ==> Silver Dark). Et comme j'hésitais a m'inscrire .. et bah me voilà !
Connaissez-vous les séries Stargate ? :
Oui
Souhaitez-vous être parrainé ? :
Non
Multicompte ?:
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Code(s) du contrat :
Oki by Sheppy
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Matt Eversman
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Mar 26 Jan - 20:33

Matt Eversman
Re-bienvenue Sheppy !

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Mar 26 Jan - 20:33

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Le membre 'Matt Eversman' a effectué l'action suivante : Lancé de dés

'Gêne ATA' :
ISIA TAYLOR LAURENCE Deata10
Résultat :
ISIA TAYLOR LAURENCE Deatan10

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Mar 26 Jan - 20:39

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Merci Matthy =)
Rho Zut pas de gêne ... bon bah bonne pour la cure dans 1 mois ^^

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Matt Eversman
Caporal
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Mar 26 Jan - 20:47

Matt Eversman
Waouhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh quelle fiche !
Très bien écrite, personnage intéressant. Rien à redire !


Tu es validée pour ma part !

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Invité
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Mar 26 Jan - 21:23

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Re-bienvenue de la part d'un newbie!

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Invité
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Mar 26 Jan - 21:48

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Merci Matthy & Marty =)

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Karola Frei
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Mar 26 Jan - 21:51

Karola Frei
Je suis époustouflée par cette magnifique fiche, j'ai hâte de te voir en action !
Je te valide avec un grand plaisir :cheers:

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Invité
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Mar 26 Jan - 21:54

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Merci Karo =)
^^ va avoir du remue ménage à l'infirmerie ^^

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Invité
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Sam 27 Fév - 15:11

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Isia pourrait tenter ça chance avec une inoculation du gène ATA svp ? *croiselesdoights*

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Matt Eversman
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Sam 27 Fév - 15:18

Matt Eversman
Bonne chance !

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Sam 27 Fév - 15:18

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Le membre 'Matt Eversman' a effectué l'action suivante : Lancé de dés


'Inoculation ATA' :
ISIA TAYLOR LAURENCE Deinoc13
Résultat :
ISIA TAYLOR LAURENCE Deinoc14

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Invité
Invité

Sam 27 Fév - 16:03

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VOUIIIIIIIIIII !!!!!
*sautillepartout*
Merci Matt =)

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Invité
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Sam 27 Fév - 20:11

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Félicitation :cheers:

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Invité
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Sam 27 Fév - 20:13

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Merci ma petite princesse Disney =)

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Karola Frei
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Sam 11 Mar - 19:49

Karola Frei
Conséquences de l'intrigue


DOCTEUR ISIA TAYLOR LAURENCE

Décoration

Pour ta participation à l'intrigue "La Grande Lessive", tu peux désormais afficher fièrement porter cette médaille et l'afficher dans ton dossier.
ISIA TAYLOR LAURENCE 2017_g10
Code:
[img]https://i58.servimg.com/u/f58/09/04/42/66/2017_g10.png[/img]

Les Changements

• 4 jours de repos suite à l’intrigue et suivi psy
• Voir séquelles/traumatisme pour la suite du personnage à régler par le membre
• Sang-froid +1 (n’a pas paniqué) -> 4
• Ajustage : Chirurgie +2 (ajustage de compétence pour tous les soins et opérations depuis 2016) -> 10

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Invité
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Sam 11 Mar - 21:15

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Modifications faites

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Invité
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Lun 3 Avr - 18:37

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MAJ compétence

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Invité

Mer 17 Jan - 11:29

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Toc toc toc !


  • Isia taylor Laurence

  • Je souhaiterais une révision [X] de mes compétences
  • Actuellement j'ai 0 en corps à corps. Je souhaiterais obtenir +1 car j'ai fais un cours avec le major Frei pour ne plus être THE boulet en mission !!! Gare a mes coups de pieds mouhahaaa
    RP : http://www.atlantisinsurrection.com/t2467-un-echange-de-bons-procedes#46206

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Karola Frei
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Mer 17 Jan - 13:19

Karola Frei
C'est tout bon, level up wink

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