Who Dares Wins - Marty Kowalczyk

Carte d’Identité » Nom : Kowalczyk » Prénom : Marty » Âge : 44 ans » Date et Lieu de Naissance : 18 octobre 1971 Liverpool, Angleterre » Nationalité : British » État Civil : Divorcé » Arrivée sur Atlantis :Équipe des renforts en 2014 » Poste occupé : Militaire » Spécialité : Reconnaissance (Recherche et Destruction)

» Groupe Sanguin : O-
» Gène des Anciens : (à remplir par l'administration après le lancé du dé) ...
» Inoculation du gêne des Anciens ? : (à remplir par l'administration après un mois de jeu et une demande d'inoculation) ...
» Pathologie : Non
» Antécédents médicaux :

- Janvier 1991: Blessure par balles au bras gauche.
- Juin 1994: Jambe gauche cassé lors d'une chute.
- Décembre 2001: Déchirure de la cuisse droite, fracture du bras gauche, lors d'une chute après une explosion.




» Caractère :

Dossier psychologique
Nom: Kowalczyk
Prénom: Martin
Raisons: Départ pour Atlantis.
Date: 15 juillet 2014

Le Cpl. Kowalczyk est un homme de principes, il n’a aucune contrainte avec la hiérarchie. Son dossier militaire ne contient aucune tâche. Après avoir passer des examens pyschologique les médecins ont pu dresser le portrait du caractère de celui-ci.

Le Cpl. Kowalczyk à un grand respect pour ses pairs, il est quelqu’un d’attentif et très ambitieux. D’ailleurs, son ambition pourrait parfois se retourner contre lui, comme lors des deux opérations où des hommes sont morts au combat sous ses ordres. Il a une grande confiance à ses moyens, il n’a pas froid aux yeux et à fait preuve de courage et de sang-froid lors de plusieurs opérations derrière les lignes ennemies. Son calme et son professionnalisme ont permis d’accomplir beaucoup de missions pour les forces de SAS. Il à un sens naturel de leadership, cependant nous ne pouvons permettre de confier le grade d’adjudant chef pour l’expédition sur Atlantis.


Le Cpl. Kowalczyk est colérique et très têtu. Malgré son poste et ses dernières tâches pour les forces spéciales (qui ont été fait dans le plus grand respect de la hiérarchie), le caporal peu parfois ne pas se rendre à l’évidence et vouloir faire les choses à sa manière. Nous savons simplement par les tests qu’il a des tendances colérique mais aucun événement n’a été rapporté par des plus hauts gradés et/ou soldat sous ses ordres. Rien de grave n’a été découvert dans sa psychologie qui pouvait écarter la possibilité de ne pas l’envoyer sur Atlantis.


Note de l’amiral : Le Cpl. Kowalczyk est un excellent soldat, il à fait preuve de beaucoup de courage et de fougue lors de missions, il à une détermination hors-pair mais il peut prendre des décisions dangereuses et irréfléchi qui pourrait mettre en danger quiconque est sous son commandement. C’est pour cette raison particulière que nous avons dû le garder au grade de caporal pour son propre bien être et celui de ses confrères et consœurs. Cpl. Kowalczyk est un homme droit et respectueux, vous ne devriez pas avoir des misères avec lui.

» Phobies : Monophobe. Le Cpl a été diagnostiqué avec la peur d'être seul, de vivre en solitaire. Il à aussi une peur d'être enfermé dans un endroit restreint.
» Objet choisi : (L'objet personnel qu'a choisi votre personnage pour partir sur Atlantis. Un seul autorisé.) Son couteau militaire, un souvenir de son père.

Compétences Primaires	Compétences Secondaires
Corps à corps : 3 Précision du tir : 4 Infiltration : 6 Pilotage : Esprit d'équipe : 4	Explosif : 2 Résistance à la douleur: 2 Influence : 3 Sang Froid : 3 Soins : 2 Technologies : 1 Mécanique :

Juillet 2014

Documents classés top secret.
Informations secrètes.
Transmissions des données à Atlantis pour l’envoie du Caporal Kowalczyk sur Atlantis.


18 octobre 1971: Naissance de Martin Kowalczyk à Liverpool. Les deux parents sont soldats. Lt. George Kowalczyk est de descendance polonaise, à combattu lors de la deuxième guerre mondiale pour les SAS. Médaille d’honneur pour ses services lors de la campagne en Afrique du Nord. Sgt. Miranda Kowalczyk, née Sanders, infirmière de métier, a participée à la deuxième guerre mondiale également comme infirmière. Médaille d’honneur pour ses services comme infirmière lors de l’opération Husky en Sicile.

J’ai toujours été fier de mes racines, une grande famille de militaire, de génération en génération du côté paternel, ma mère est la première de sa lignée à avoir fait un service militaire et un service impeccable de surcroît.


Août 1989 : Enrôlement de Martin Kowalczyk dans l’armée britannique comme artilleur. Après avoir prouvé son excellence sur le terrain, son courage, sa détermination ainsi que ses aptitudes hors-pair en reconnaissance ainsi qu’en recherche et destruction a été choisi pour servir dans les forces spéciales britanniques du SAS dans l’équipe de recherche et destruction.


Je n’ai jamais rien accomplis de grandiose dans ma vie, j’ai grandis sur les bases militaires, entourés de soldats et enseigné par des soldats. Je ne connais rien d’autre que ça. De m’enrôler avec l’armée a donc été pour moi un devoir, vivre à l’extérieur de cette famille avec laquelle j’ai grandis n’était pas envisageable. C’était donc mon devoir de m’enrôler de de servir mon pays, pour vivre dans un monde meilleur, mais de me voir choisi pour intégrer le SAS est tout un accomplissement, si seulement papa était toujours en vie il serait fier de moi.


Janvier 1991 : Déploiement d’une cellule SAS au Koweït pour retrouver un sous-lieutenant du chef d’état Saddam Hussein. Dirigé par le Cpt. Hall, sous ses ordres : Lt. O’Neal – Sgt. Thomas ainsi que le soldat Kowalczyk.

- Mercredi le 9 janvier 1991 - 0021: Découverte d’une cache d’arme de l’armée Irakienne.
- Vendredi le 11 janvier 1991 - 1342 : Confirmation de l’OTAN de l’opération « Super Soaker »
- Samedi le 12 janvier 0100 : Début de l’opération «Super Soaker».
- Samedi le 12 janvier 0234 : Réussite de la mission. 3 ennemies abattus, blessure du Caporal Kowalcyzk.
- Dimanche le 13 janvier 1200 : Rapatriement du soldat Kowalczyk dû à une grave blessure à la jambe lors de l’opération «Super Soaker».

Cette mission a eu pour effet d’être le préambule pour une mission de grande envergure par les troupes SAS. L’opération Tempête du Désert est lancée le 17 janvier 1991.

Je me souviens de cette mission comme si c’était hier. Ma première grande mission avec les SAS. Je ne cacherais pas que j’étais nerveux, très nerveux. Je me souviens encore de notre camps de fortune, à près d’une centaine de kilomètres de la base maîtresse. Nous étions les 4, tous vêtu de vêtements de camouflages désertiques, armés avec nos HK MP5 ainsi que nos Sig Sauer P226. 4 cartouches pour chaque armes ainsi qu’une panoplie d’équipement comme les lunettes de vision nocturne. Nous sommes arrivé sur les lieux vers 1h du matin, le calme était pesait lourd dans le désert, la tension était palpable. Le capitaine nous avait déjà donné les directives, silence radio. Nous avons enfilé nos masques à gaz puis avons avancé rapidement vers l’entrée de la cache. Nous pouvions entendre l’ennemi parler, le lieutenant O’Neal et le capitaine ont fait le tour, je suis rester du côté sud avec le sergent Thomas. Je pouvais toujours voir le capitaine et aussitôt qu’il me fit le signe, j’ai balancé une grenade de gaz dans la pièce, nous sommes entrés puis trois coups de feux ont suffit pour abattre nos ennemies. J’ai installé là bombe à l’endroit désigné puis, du deuxième étage, deux autres types se sont pointés, l’un d’eux à ouvert le feu et j’ai eu un projectile dans la jambe, deux autres coups de feux bien précis ont éliminés la menace.

Février 1991 : Redéploiement du soldat Kowalczyk au Koweït sous les ordres du Cpt. Hall. Aucune autre mission majeure leur est confiée.

Mai 1991 : Monté en grade de soldat à soldat de première classe.

Avril 1992 : Déploiement du soldat première classe Kowalczyk en Bosnie sous les ordres du Lt. Price et de son groupe formé de deux autres hommes : Caporal Murphy et Caporal Prince. Leur mission principal est de collecter le plus d’informations sur la hiérarchie, l’emplacement tactique ainsi que les transmissions de l’armée de Ratko Mladic.


Juin 1992 : Le soldat première classe Kowalczyk collecte beaucoup d’informations sur les camps de fortunes en s’infiltrant derrière les lignes ennemies. Il découvre pas moins de 2 plans (en Serbe) montrant les frappes et les camps Serbe.


- Jeudi le 12 juin 1992 - 1324 : Lancement d’une opération de recherche et destruction. L’équipe se divise en deux groupes, l’un dirigé par le Lt. Price et l’autre par le soldat première classe Kowalczyk.
- Jeudi le 12 juin 1992 - 1456 : Infiltration confirmée par l’équipe au sol par le soldat première classe Kowalczyk, aucune communication avec le Lt. Price.
- Jeudi le 12 juin 1992 – 1521 : Transmission radio avec le soldat première classe, localisation de la cible et extraction de la cible.
- Jeudi le 12 juin 1992 – 1534 : Appel à l’aide du soldat première classe Kowalczyk, pris sous un feu nourris par l’armée Serbe, fuite de la cible, mort du soldat Prince sous l’explosion d’un étage d’un immeuble, blessure du soldat première classe.
- Jeudi le 12 juin 1992 – 1627 : Extraction du soldat première classe Kowalczyk, recherche toujours en cours pour retrouver le Lt. Price ainsi que le Cpl. Murphy.
- Jeudi le 13 juin 1992 – 1300 : Rapatriement du soldat Kowalczyk pour blessure (jambe cassé) fin de l’opération de recherche et destruction, statut : échec.


Février 1994 : Redéploiement du soldat première classe Kowalczyk en Bosnie, il dirige une petite équipe composé de trois hommes. De février à mai 1994 ils prennent par à plus d’une trentaine de missions tous réussites. Fin du séjour en Bosnie du soldat première classe le 13 mai 1994. Montée en grade de soldat première classe à caporal Kowalczyk. Fin de la guerre en Bosnie en 1995.


Note : Rien n’a été gardé entre 1995 et 2001 dans le dossier du Cpl. Kowalczyk, plusieurs missions sont considérés comme secret d’état par la Grande-Bretagne. Certaines de ses missions pourraient compromettre des positions tactiques de certaines cellules SAS déployé à travers le monde (ainsi que la sécurité des soldats postés aujourd’hui et ainsi que dans le passé) ainsi que des informations sur les techniques utilisés par les forces spéciales SAS. Si vous considérez ses informations comme utile à l'enrôlement du Cpl. Kowalczyk, contacter directement la présidence Anglaise pour avoir accès aux informations classées top secret.

Septembre 2001 : Déploiement du Cpl. Kowalczyk à la tête d’une équipe composée de 3 hommes en Afghanistan.

Décembre 2001 : Première mission majeure du Cpl. Kowalczyk et de son équipe. Opération «Tonnerre de Brest» à Kandahar pour supporter les troupes canadiennes, sous les ordres du Cpt. Lance. Objectif, chercher et détruire un haut gradé (soupçonné sergent) des forces ennemies.

- Vendredi le 21 décembre 2001 – 1654 : Départ des troupes du Cpl. Kowalczyk vers le marché central.
- Vendredi le 21 décembre 2001 – 1715 : Arrivé et installation des troupes du Cpl. Kowalczyk et prise de contact avec les forces armées canadiennes (JTF2).
- Vendredi le 21 décembre 2001 – 1745 : Contact avec l’ennemi sous une embuscade. Décès de deux soldats sous les ordres du Cpl. Kowalczyk, sois les soldats première classe Smith et Nikitin.
- Vendredi le 21 décembre 2001 – 1823 : Prise de contact avec le Cpl. Kowalczyk, placé en lieu sûr avec les canadiens et le soldat Wolski.
- Vendredi le 21 décembre 2001 – 1900 : Extraction de l’adjuc Kowalcyzk ainsi que le soldat Wolski.
- Vendredi le 21 décembre 2001 – 1935 : Retour des hommes à la base.
- Samedi le 22 décembre 2001 – 0500 : Rapatriement du Cpl. Kowalczyk.


Ma première opération d’envergure en Afghanistan. Première mission en tant que caporal pour les forces spéciales SAS. J’étais fier de moi, fier d’où j’étais rendu et de mon parcours militaire mais je savais que je méritais un meilleur grade. Je sais que j'ai participé à plusieurs missions dangereuses. J'ai fais preuve de leadership, je suis capable de rassembler le monde. Je ne peux pas savoir, ni ne veut vraiment savoir la raison derrière se refus global, je ferme ma gueule et je continue d'avancer avec la tête haute. Bref, je me souviens très bien cette journée, jamais je ne pourrais me pardonner le décès de deux camarades mais le pire, de deux excellents amis. Nous étions en briefing avec le Cpt. Pallard, notre objectif était de capturé un haut-gradé des forces ennemies. Nous avions une photo de l’endroit où il était caché, d’une approximation des forces le protégeant et une photo de l’homme en question. L’équipe de reconnaissance avait fait un excellent boulot, tellement qu’ils leur manquaient juste de capturé l’objectif et nous n’aurions même pas eu à le faire. Bref, nous avons quitté pour le marché central vers l’heure du souper, rejoindre les canadiens qui avaient, eux aussi, beaucoup d’informations sur la cible. Nous sommes arrivé dans un petit immeuble à logement. Nous avons échangé nos informations, prit connaissance des lieux et de l’endroit ou nous devions aller. Un type, un certain adjudant Provost, était déjà sur le toit armé d'un L118A1 AWC, moi et mes hommes avions nos L86A2 prêt et chargé. Dehors il y avait un silence à couper au couteau, pour nous c’était normal, nous étions là sur l’heure du souper. L'adjudant sur le toit est entré en contact avec nous quelque secondes avant notre départ, il avait un contact avec la cible. Il quittait son immeuble. Nous avons quitté les lieux dans le temps de le dire, tout en suivant notre planification, nous avons avancé en silence, rapidement et efficacement vers l’immeuble qui logeait notre cible, nous allions attendre son retour. Les lieux étaient désert, nous avions donc prit la peine de fouiller pour trouver le plus d’informations possible mais l’endroit était vide, le sniper sur le toit est alors entré en contact avec nous pour nous avertir du retour de notre cible puis une explosion, l’étage où nous étions au complet s’écroula et dans ma chute je me suis blessé, déchirure de la cuisse et fracture du bras, deux de mes hommes sont morts sous les débris. Le soldat Wolski à ouvert le feu sur les ennemies qui venaient vers nous, les canadiens aussi, puis après ce qui semblait une éternité, Wolski m’a extirpé de mon coin. La cible c’était sauvé, sachant que nous étions à ses trousses. Nous étions de retour à la base, j’ai eu le droit à des traitements et à un debriefing de l’opération, puis le lendemain j’étais de retour en Angleterre. C’est d’ailleurs à cette époque que je suis tombé amoureux de Leslie Pollard. Je me suis marié à elle après une bonne année de relation.


Note : Les opérations à succès du Cpl. Kowalczyk n’ont pas tous été noté dans le dossier de celui-ci. Des informations sensibles pouvant toucher de loin ou de près des personnes toujours en vie ainsi que de mettre en péril certaines activités des SAS toujours en cours en Afghanistan. Le dossier du Cpl. Kowalczyk reprend en 2013 un an après l’offensive sur Atlantis.


Février 2013 : Déploiement du Cpl. Kowalczyk en Corée du Nord. Une opération d’infiltration visant à confirmé l’armement nucléaire Nord Coréen.


- Mardi le 12 février 2013 – 2209 : Déploiement silencieux du Cpl. Kowalczyk et ses hommes en Corée du Nord, au nord des frontières.
- Mardi le 12 février 2013 – 2302 : Silence radio des hommes du Cpl. Kowalczyk.
- Mardi le 12 février 2013 – 2345 : Contact avec de l’armement nucléaire Nord Coréen (confirmation par image satellite sous réseau sécurisé).
- Mercredi le 13 février 2013 – 0034 : Photos reçu de hangar abritant plusieurs chars d’assaults, d’avions ainsi que plusieurs véhicules de transports rapide.
- Mercredi le 13 février 2013 – 0137 : Fin du silence radio avec les troupes du Cpl. Kowalczyk. Extraction silencieuse de ceux-ci vers la Corée du Sud.
- Jeudi le 14 février 2013 – 1409 : Debriefing sur l’opération secrète, des silos nucléaires ont été découvert, cependant aucune informations solides n’a pu confirmée la présence d’armement à l’intérieur de ceux-ci. Réussite de la mission.


Fermeture du dossier du Cpl. Kowalczyk, celui-ci ayant fait une demande pour prendre part à l'expédition à Atlantis. Nous devons garder le Cpl. au même grade, plusieurs missions ont été coûteuses en vie humaines alors qu'il en était au commande.


- Amiral Daniel McDonagh.

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Après cette mission en Corée du Nord, j’avais déjà en tête de faire partie de l’expédition vers Atlantis. Voir autre chose que la terre, vivre d’autre expériences militaires ainsi que de pouvoir aider à repousser les offensive sur Atlantis motivaient ma décision. J’étais aussi divorcé à l’époque, depuis près de 3 ou 4 ans lors de la mission en Corée du Nord. Notre relation avait toujours été tumultueuse. Les chicanes s'enchaînaient. On m'a toujours dit qu'il était difficile pour un militaire de se bâtir une famille. Je n'en croyais rien. Il faut croire que j'aurais dû prendre plus soin de notre relation. Je ne voyais que du rose, alors que la vérité était noire. Je regrette encore aujourd'hui, puis j'espère qu'avec ce déploiement je vais pouvoir me caser. Je n’avais donc plus rien qui me retenait sur terre. J’ai donc fais une demande officiel auprès de l’officier Simmons et celui-ci a traité cette demande de manière professionnel. Il y avait un bémol cependant, mes opérations effectuées dans le passé ayant coûté la vie de soldats sous mes ordres m’ont fait patienter pendant près d’une année avant que je puisse partir, de plus je ne pouvais pas monter en grade dû cette raison, j'ai fini par le savoir malgré moi, ça été un coup difficile à prendre mais je sais qu'ils ne pouvaient pas prendre la chance de me mettre à la tête d’une plus grosse équipe, prendre la chance que d’autres hommes et femmes meurent sous mon commandement. Je devais m’en tenir à cette décision, je ne pouvais pas me permettre de chialer sur mon sort. Mon passé me suivait et c’était ce qui me forgeais, et la personne que je suis aujourd’hui. Je suis donc arrivé à Atlantis en 2014. J’étais convaincu que mon expérience militaire, surtout en recherche et destruction, ce qui implique l’infiltration derrière les lignes ennemies, allaient être des atouts pour moi dans cette aventure. Je voulais aussi prouver aux SAS et aux têtes dirigeantes ici à Atlantis que je mérite un grade d’ajudant chef, que je ne suis plus un jeune sans expérience, j’ai maturé et mon expérience parle pour moi. Je sais que des hommes sont morts sous mes ordres, il n’y à pas une journée sans que je pense à eux, à leurs familles, leurs femmes et leurs enfants. J’étais tout de même fier de la reconnaissance que les forces spéciales m’avaient accordé, celle d’expert en recherche et destruction, à mon dossier remit à la haute direction militaire sur Atlantis. Je me devais donc d’être intègre envers moi-même et ce que l’on attendait de moi.

» Comment votre personnage a-t-il vécu le moment il a pu poser les pieds sur Atlantis ? Ses premiers pas sur la Cité des Anciens ? : (Passage important et obligatoire de votre histoire, c'est pour cela qu'il faut le mettre à part afin qu'on comprenne bien son état d'esprit à ce moment là)

Pour rappel : Décembre 2012 : Les Wraiths ont localisé la cité d’Atlantis et lancent une offensive contre elle. Dans la cité, la résistance s’organise. Un premier assaut est repoussé mais le répit risque n’être que de courte durée…C’est alors que des renforts venant de la Terre arrivent par la Porte. Lors du second assaut, la position des terriens devient vraiment critique.

Nous sommes maintenant en 2015. Des renforts matériels et humains arrivent par le biai du Dédale régulièrement. La situation est difficile, les Genii & les wraith ne cessent de leur rendre la vie difficile mais lentement les conditions s'améliorent.

Mon arrivé sur Atlantis était étrange. Déjà avant le départ, de voir autant d’hommes et de femmes devant la porte, un silence à couper au couteau, tous dans nos vêtements de camouflages, le drapeau Anglais sur le bras droit et l’insigne SAS sur le bras gauche. Je me souviens m’être demandé ce que je faisais ici une fois la porte traversé. Tout était si différent, je n’avais plus de repère temporel ainsi que visuel. Les maisons et terrains cordés de Liverpool laissait place à de grands gratte-ciel au beau milieu de l’eau. Je ne connaissais personne puis on m’a balancé dans des baraques militaires le temps que la paperasse se termine. J’ai rencontré des hommes et des femmes hauts en grades. On m’a expliqué l’importance de l’expédition, qu’on était content de pouvoir compter sur un homme comme moi ici sur Atlantis mais je devais tout reprendre à 0. L’entraînement militaire, comme un débutant, comme un simple soldat, comme lors de mon enrôlement en 1989. J’étais triste, j’ai remis en question ma décision mais je me suis laissé le temps. De me replacer, de mettre mes idées en ordre et surtout de me laisser une chance. Ce n’était pas un simple déménagement de Liverpool à Londres, on parlait ici déménagement de galaxie. Malgré tout, j’étais excité d’être ici, comme je suis quelqu’un qui aime parler et qui s’entend normalement bien avec tout le monde, je me suis fais des amis (es). Reste que je ne suis pas tout à fait le même ici que j’étais sur Terre. Il y à près d’un an que je suis installé ici sur Atlantis, la tension est palpable, nous vivons dans le stress permanent, mais malgré tout je me retrouve peu à peu. Il est difficile de pouvoir reprendre ses esprits et son souffle quand nous sommes toujours sous le joug d'une offensive ennemie.




» Prénom ou Surnom : Alex!
» Âge : 23 ans
» Célébrité de votre avatar : Tim Roth
» Comment avez vous connu Atlantis Insurrection ? (Google ? Ami ?) Par quelqu'un sur un autre forum de RP
» Connaissez vous les séries Stargate ? Non malheureusement...
» Multicompte ? Non!
» Codes du Contrat : (Ils sont cachés dans le règlement ; copiez/collez les 3 entre les balises.)

Tout comme Matt je n'ai rien à redire ! L'histoire est super, je ne peux que te valider !

Bienvenue chez nous  :welcomee: !!!!