Ryan Pearson

Carte d’Identité » Nom : Pearson » Prénom : Ryan » Âge : 32 ans » Date et Lieu de Naissance : San Mateo, Californie, USA - 16 Novembre 1981 » Nationalité : Américaine » État Civil :  Célibataire » Arrivée sur Atlantis :  Expédition de base » Poste occupé :  Technicien » Spécialité : Ingénieur en aéronautique, spécialisé dans la maintenance des drones (UAV)en particulier, et de tout ce qui peut voler en général.

» Groupe Sanguin : B-
» Gène des Anciens : Non
» Inoculation du gêne des Anciens ? : (à remplir par l'administration après un mois de jeu et une demande d'inoculation) ...
» Pathologie : (Diabète, asthme…) Aucune
» Antécédents médicaux :  Entorse du genou en 2001, fracture de l'épaule droite en 2006



» Caractère : Sympathique, amusant, beau parleur… en côtoyant Ryan, ce sont en général les premiers mots qui viennent à l’esprit. Depuis qu’il est tout jeune, se faire remarquer est l’un des passe-temps du jeune homme, et il a perfectionné sa technique au fil des ans. Très (trop ?) sociable et (définitivement trop) bavard, il n’a aucun mal à aller vers les autres, à capter l’attention d’un auditoire et à se faire des amis un peu partout. Du genre optimiste, il lui en faut beaucoup pour être déstabilisé, et même dans ce cas, sa bonne humeur naturelle reprend vite le dessus.
Ryan est un garçon facile à vivre, un peu extrême parfois, mais qui en général attire la sympathie. Un peu feu follet, très curieux et ouvert d’esprit, il est l’archétype même du jeune américain bien dans ses baskets, avenant et plein d’entrain. Trop d’entrain même, son côté touche-à-tout imprudent lui valant en général bien des mésaventures. Tête brulée, il a du mal à se contenter d’un rôle passif, et donne bien souvent son avis, même s’il n’est pas demandé.
Lourd ? Oui, son côté exubérant donne parfois envie à ses interlocuteurs de lui encastrer la tête dans un mur. Le jeune homme a un peu de mal avec les limites, ce qui est plutôt salutaire dans son métier, si on y réfléchit bien. Un peu prétentieux, très mauvais joueur et plein de mauvaise foi, Ryan fait parfois penser à un adolescent qui n’aurait pas encore totalement grandi.

Avec tout ça, on pourrait penser que le technicien est un peu trop nerveux pour travailler correctement… et pourtant non. Bien évidemment, il préfère largement la maintenance et le travail de terrain aux calculs, mais il sait calmer son côté impulsif quand il le doit. Pour repartir de plus belle l’instant d’après, évidemment : le calme, avec Ryan, ne dure jamais très longtemps.

» Phobies : Depuis tout petit, Ryan a toujours eu peur des oiseaux. Un peu contradictoire pour quelqu’un qui travaille dans le domaine aéronautique, mais on ne choisit pas toujours ce qu’on ressent ! De là à dire que c’est une phobie, non, le mot est un peu fort. Disons qu’il ne les aime pas, et voilà tout !
» Objet choisi :  Un hélicoptère télécommandé, du genre de ceux qu'on trouve dans les magasins de jouets mais en un peu plus perfectionné (par ses soins). Histoire de mettre un peu de piment dans les couloirs!

Compétences Primaires	Compétences Secondaires
Sang Froid : 3 Technologies : 6 Informatique : 4 Mécanique : 7 Sabotage : 0	Capacité d'explication : 1 Bidouillage : 3 Corps à corps : 0 Précision du tir : 0 Pilotage : 2 Soins : 0 Sciences : 4

Rapport d’évaluation psychologique  - RYAN PEARSON - Extrait


Pour commencer, parlons de votre enfance.

Très bien. Je suis né le 16 Novembre 1981 à  San Mateo, en Californie, où mes grands-parents ont une maison, mais j’ai vécu en réalité à Lompoc, toujours en Californie, près de la base aérienne de Vandenberg. Mon père était pilote, ma mère assistante sociale. Je dis « était », mais il n’est pas mort, attention : depuis qu’il a été promu colonel, il ne pilote plus grand-chose à vrai dire. J’ai aussi une grande sœur, Asleigh, et avant que vous ne posiez la question, oui, on s’entend très bien tous les quatre. Comme dans toutes les familles, il y a quelques dissensions, évidemment, mais dans l’ensemble, on ressemble à la parfaite petite famille américaine, enfin, le chien en moins : ma sœur y est allergique. Mes parents sont mariés depuis 40 ans, ma sœur a fait des études d’infirmière, s’est marié l’année dernière et a une petite fille.

C’est parce que votre père est pilote, que vous vouez une passion à l’aéronautique ?

Je pense que ça doit jouer, oui. Quand mon père n’était pas en mission, ou accaparé par son travail, il nous emmenait ma sœur et moi regarder les avions décoller. J’ai passé mon brevet de pilote dès que j’ai pu, et encore maintenant, quand je rentre à la maison, mon père me laisse les commandes de son bimoteur. Donc oui, ça a du influencer mon choix d’études.

Parlons-en d’ailleurs, de vos études.

J’étais un bon élève, quand je m’en donnais la peine. Je n’ai jamais eu vraiment de difficultés : on a parlé à ma mère de précocité, mais je n’ai jamais été testé. Je dirais plutôt que quand le domaine m’intéressé, je n’ai pas peur de travailler. Au final, quand ça ne m’intéressais pas, je préférais aller surfer : du coup, je suis devenu plutôt doué.

Pas assez doué pour ne pas vous blesser, apparemment. J’ai là votre dossier médical…

L’épaule fracturé, c’était en kite-surf, techniquement. Mais même les plus grands champions se blessent parfois, non ?
Mais bref, au moment de choisir une université, j’ai postulé à Embry-Riddle, en Floride. A l’autre bout du pays, j’avoue, ça m’a fait bizarre de tout quitter pour étudier l’aéronautique. Mais c’était mon premier choix, et j’ai été pris haut la main aux tests d’entrée. Cinq ans après, j’en suis sorti avec un diplôme d’ingénieur en aéronautique, et j’ai été recruté par l’armée américaine pour m’occuper des drones déployés sur le terrain.

Vous avez beaucoup voyagé ?

C’était à ma demande : ingénieur dans un bureau, à concevoir les avions de demain, ce n’est pas réellement mon truc ! Alors oui, j’ai beaucoup bougé : Irak, Afghanistan, Somalie. Je me suis spécialisé dans la maintenance des drones, et je me débrouille en pilotage, même si ce n’est pas mon job : il faut bien les tester, ces petits joujoux ! Et vu que j’ai toujours été fan d’engins télécommandés, ça ne m’a pas trop dépaysé.
J’agissais sous contrat civil, en tant qu’ingénieur en aéronautique. La paye était pas mal, mais j’avais envie de faire plus. C’est là que le SGC m’a contacté, et j’ai accepté un poste à Cheyenne Moutain. J’ai vu des choses qui dépassent l’entendement, et j’ai adoré bosser là-bas, réellement. J’y suis resté deux ans, environ, et je ne regrette aucune des secondes que j’y ai passé.

Et puis on m’a exposé le projet Atlantis. J’ai hésité pendant un moment, j’avoue : même si je n’avais pas de relation amoureuse qu’on peut réellement appeler stable, je me suis fait pas mal d’amis, que ce soit sur la base ou en dehors. Sans compter qu’il est plus facile d’envoyer des cartes postales de la Terre, plutôt que d’Atlantis !
Mais finalement, rien ne me retenait vraiment, et j’aime l’aventure, le défi. Alors, je me suis dit que j’allais tenter. J’ai postulé, et voilà ! Ça vous va, comme résumé de ma vie en dix minutes ?


» Comment votre personnage a-t-il vécu la première grande bataille sur Atlantis ? Où était-il à ce moment là ? :
La première bataille d’Atlantis, c’était aussi la première bataille de Ryan, en vérité. Bien qu’ayant souvent été dans le feu de l’action, lorsque l’un de ses joujoux tombe en panne ou autre, il n’a jamais réellement participé à un combat armé : il est technicien de maintenance des drones, après tout. Cela n’implique en général pas de se retrouver derrière la gâchette d’une arme : en général, les drones, c’est justement pour éviter ce genre de situation désagréable.
Mais il lui a bien fallu mettre de côté ses appréhensions et participer à la défense de la cité, même s’il l’a fait plutôt du côté technique, comme ralentir l’avancée des Wraith en fermant les portes, condamnant les couloirs, ce genre de choses. De toute façon, autant être honnête : Ryan avec une arme à la main, ça n’aurait rien donné de bon. Déjà à la fête foraine, il était nul dans ce genre de choses, alors en vrai !

Du coup, la seule fois où il s’est retrouvé nez-à-nez avec un ennemi, un vrai, c’est quand ceux-ci ont débarqué dans la salle d’où lui et quelques collègues pilotaient une partie des défenses de la cité, couverts par des soldats surarmés. Tout le monde ne peut pas être un héros, après tout : les soldats ont tiré, et les Wraith ont été tués.
Mais quand tout cela a été fini, Ryan a aidé à reconstruire les défenses de la cité, travaillant sans relâche avec ses collègues pour qu’Atlantis disparaisse des radars ennemis.





» Prénom ou Surnom : Danette
» Âge : 28
» Célébrité de votre avatar : Eric Christian Olsen
» Comment avez vous connu Atlantis Insurrection ? (Google ? Ami ?) Pub dans un forum (DNA quelquechose)
» Connaissez vous les séries Stargate ? Oui
» Multicompte ? Non
» Codes du Contrat : (Ils sont cachés dans le règlement ; copiez/collez les 3 entre les balises.)