James Olson - docteur en géologie

Carte d’Identité » Nom : Olson » Prénom : James Lewis » Âge : 36 ans » Date et Lieu de Naissance : 25 octobre 1976, Fairbanks » Nationalité : Américain » État Civil : Célibataire » Arrivée sur Atlantis : Renforts » Poste occupé : Scientifique » Spécialité : Géologie

» Groupe Sanguin : O négatif
» Gène des Anciens : Non
» Inoculation du gêne des Anciens ? : (à remplir par l'administration après un mois de jeu et une demande d'inoculation) ...
» Pathologie : Allergie à la pénicilline
» Antécédents médicaux : Appendicectomie (à l'âge de 7 ans), et fracture du tibia de la jambe gauche, à l'âge de douze ans



» Caractère :
James est d’un naturel studieux et perfectionniste, ce qui lui a permis de se hausser à la pointe de son domaine de recherches. Ses capacités de concentration lui permettent de rester à travailler sur le même projet des heures durant sans se lasser si le sujet l’intéresse. Sa soif de connaissances est l’un des moteurs principaux de sa vie. N’étant attaché à personne et n’ayant que peu d’amis, sa carrière est le focus de sa vie.

Il peut parfois sembler détaché de la réalité du terrain et un peu froid, mais ce n’est qu’une protection contre le monde qui l’entoure, et se montrera ensuite plus sympathique une fois qu’il a appris à connaître les autres. Il n’a guère le sens de l’humour, et lui préfère le sarcasme.

Il a parfois du mal avec l’autorité quand il pense que cette autorité supérieure n’est pas justifiée. Par contre, une fois décidé, il fera de son mieux pour atteindre un objectif, et peut dans ce cas se montrer particulièrement têtu et utile (si c’est dans son domaine de compétence).

La vue du sang et des aiguilles le dégoûtent pour ne pas dire lui font tourner de l’œil, surtout le sang des autres d’ailleurs. L’origine de ces phobies remonte à son opération pour l’appendicite qui ne s’est pas déroulée dans les meilleures conditions, il faut le dire. Quoi qu’il en soit, ce petit problème n’est pas prêt de s’en aller.

» Phobies : La vue du sang, et les aiguilles en général
» Objet choisi : un cristal de calcite

Compétences Primaires	Compétences Secondaires
Rapidité d'esprit : 3 Langues : Technologies : 7 Sciences : 10 Sciences Humaines : 3	Précision du tir : Pilotage : Influence : 2 Sang Froid : 3 Soins : Résistance à la douleur : 2 Diplomatie :

Premières pages du journal de James Olson

Décembre 2012 : Je me trouve actuellement à bord de l’avion qui m’emmènera à la base militaire et ensuite à la cité d’Atlantis. Si je suis ici aujourd’hui, c’est pour me joindre à l’équipe postée là-bas et faire avancer la technologie et la science, avec l’espoir que peut-être nous découvrirons de nouvelles technologies pour perfectionner nos armes et ainsi mieux nous protéger de la menace extra-terrestre. Ils m’ont clairement fait comprendre l’importance du secret et la chance que j’avais d’avoir été contacté pour faire partie de cette mission
Pour mieux comprendre ce qui m’a permis d’en arriver là, vous devez connaître mon passé. Je suis né à Fairbanks, Alaska, en 1976, et suis le fils de Mary Ann Donovan (institutrice) et d’Andrew Lee Olson (ingénieur spécialisé dans le forage pétrolier). Je possède une sœur, Elizabeth, âgée de trois ans de moins que moi et qui exerce actuellement le métier de vétérinaire à Fairbanks.

Mon enfance a été tout ce qu’il y a de plus classique, l’école ne me semblait pas aussi pénible qu’à mes congénères, et je me suis très tôt intéressé à la science et aux technologies. Les filles ne présentaient qu’un intérêt limité, et plus tard mes diplômes et mon salaire me permirent de séduire assez facilement la gente féminine quand l’envie m’en prenait. Mon père m’a aidé dans mon choix de carrière, c’est de lui que me vient ma passion pour la terre et les trésors qui se trouvent sous nos pieds en général. J’étais un élève studieux, peut-être même un peu trop pour mon propre bien, comme disait mon père. Mais cette caractéristique m’a permis d’être accepté à l’Université de Berkeley en Californie, et d’y suivre un des programmes les plus poussés du pays et du monde en matière de science. J’y réussis avec brio, mais non sans devoir travailler pour atteindre ce résultat. Ma passion pour le sol et la terre me poussa à me spécialiser en géologie, et à présenter une thèse de doctorat dans ce domaine.

Les résultats plurent à mon promoteur et au reste du jury, et je fus engagé par l’université pour continuer mes recherches en son sein. Je publiai plusieurs articles et menai un train de vie confortable, entre le laboratoire et ses écrans d’ordinateurs et des soirées mondaines où j’étais prié de paraître pour faire la publicité de mon employeur. C’est suite à l’une de ces soirées et à un article sur l’effet de la pression magmatique souterraine sur la tectonique des plaques que je reçus une convocation de la part de la Défense. Apparemment, leurs spécialistes butaient sur un problème de dérive eux aussi. Dérive d’une ville souterraine sur une autre planète, je l’ai appris que bien des mois plus tard, mais ils voulaient avoir mon point de vue sur cette affaire. Le peu qu’ils ont bien voulu m’en dire a piqué ma curiosité, mais on ne m’a pas alors proposé de me joindre plus étroitement au projet. Je leur avais répondu que sans voir de quoi il en retournait, je ne pouvais guère analyser la situation de cette dérive étrange et de la flottaison inexpliquée d’un complexe, bien que certaines plateformes en haute mer puissent peut-être leur donner matière à comparaison. Tout s’est accéléré en décembre 2012, quand « ils » sont revenus me voir pour dire qu’un poste s’était libéré et que le pays avait besoin de mes services.

Je dois vous l’avouer franchement, le patriotisme, j’ai déjà donné. Le coup des attaques terroristes et tout le reste, on me l’avait déjà fait pour essayer de justifier la hausse des impôts ou tenter de m’enrôler dans l’armée. Bien vu, mais ça ne marche pas. C’est plus ou moins contraints et forcés qu’ils ont dû m’en dire plus avant d’avoir pu me faire jurer de garder tout cela secret. C’est aussi à ce moment que j’appris que le complexe dont on m’avait parlé se situait sur une autre planète. Ce à quoi je leur ai répondu que du coup, les règles du jeu changeaient, puisque la pression, la gravité, la composition même du sol étaient très certainement différentes et que donc, il fallait inventer un tout nouveau système de calcul. C’est là que cela devint franchement intéressant, l’opportunité de visiter d’autres planètes ne se présentant pas tous les jours. Qui sait ce que je vais découvrir en arrivant là-bas ? Quelles avancées technologiques nous allons pouvoir réaliser ? Quelles théories se trouveront justifiées, expliquées et plus tard apprises par les enfants dans les écoles ? C’est l’occasion inespérée de tester certaines théories sur la formation de planètes et leur système de fonctionnement, pour ainsi mieux comprendre ce qui se passe sur notre terre. Et puis, le salaire qu’ils ont proposé est bien plus intéressant que celui de mon poste à l’université.

Je ne laisse personne derrière moi sur cette planète, mes parents et ma sœur pensent que je suis parti en Antarctique pour effectuer des mesures et que la mission durera plusieurs mois, voire plusieurs années. Pas de petite amie, pas d'enfants, rien qui puisse m’empêcher de me concentrer pleinement sur la tâche à venir : explorer et comprendre de nouveaux univers. Mes seuls regrets sont de ne pouvoir publier ces résultats sans l’accord de la Défense et devoir abandonner ma Mustang modèle 1976. Mais bon, on ne peut pas toujours gagner je suppose.


» Comment votre personnage a-t-il vécu la première grande bataille sur Atlantis ? Où était-il à ce moment là ? :
Cela fait maintenant une semaine que je suis arrivé à Atlantis ; je comprends mieux pourquoi on ne m’a rien dit avant de m’expédier ici. Si j’avais su, je pense que j’aurais refusé la mission, quelles que soient les découvertes que nous puissions faire dans le futur. Ces enfoirés de la Défense ont oublié de préciser que si le poste que j’occupe à présent est libre, c’est parce que le précédent employé avait été tué dans une attaque extra-terrestre. De plus une nouvelle vague d’attaque semble menacer la cité et je ne sais pas combien de temps nous allons pouvoir la défendre. Du peu que j’en ai vu, l’ennemi est bien plus avancé que nous sur le plan technologique, ou du moins au niveau armement. Je suis cloîtré dans une pièce réaménagée en salle de crise, et on me donne des ordres complètement ridicules. Rester là et aider à coordonner les différentes unités ? Défendre le couloir en cas d’intrusion ? Bien vu mon commandant ou qui que vous soyez, mais ça, je n’ai pas appris à le faire à l’université… Aider à évacuer les blessés vers l’infirmerie ? Euh, je crois que je vais plutôt tenter de rétablir le réseau de communication. Ah, c’est un ordre et vous me ferez exécuter si je n’obéis pas… J’ai horreur du sang. Si on s’en sort, je jure devant Dieu de faire de mon mieux pour faire payer à ces ordures de Wraiths. Œil pour œil, dent pour dent. D’ailleurs, les Wraiths ont-ils du sang ou un autre composé dans le corps ?




» Prénom ou Surnom : P'tit Homme des Cavernes
» Âge : 29
» Célébrité de votre avatar : Arthur Edward Quinn
» Comment avez vous connu Atlantis Insurrection ? (Google ? Ami ?) Google est mon ami
» Connaissez vous les séries Stargate ? oui
» Multicompte ? non
» Codes du Contrat : (Ils sont cachés dans le règlement ; copiez/collez les 3 entre les balises.)