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Warren Butler

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Invité
Invité

Lun 13 Avr - 18:29

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Warren Butler

  • Butler
  • Warren ; Lewis ; Tom
  • 12 avril 1985 - Greenville - Mississippi
  • Américaine
  • 35 ans
  • Renfort 2ème trimestre 2020
  • Militaire - 1ère classe
  • Tireur d’élite
  • Anglais (Natif) - Français (Oral hésitant) - Russe (quelques mots appris dans un lit) - Ouzbek (que des grossièretés)
  • Une valise de type cabine dans laquelle se trouve un boîtier photographique reflex et divers objectifs qui vont avec.
Charlie Hunnam

Données complèmentaires



DONNÉES MÉDICALES
  • Des cicatrices sur le corps, notamment des petits trauma du derme sans grande importance mais qui ont laissé des marques : mauvaises chutes, pour ne pas dire gamelles, s’est coupé avec un couteau en découpant du saucisson, ce genre de petites choses. Un tatouage de chat sur l'omoplate droite, en référence à son surnom dans l’unité.
  • AB +
  • Non
  • (Date)
  • Asthme Infantile - soigné
  • Aucune de connue

  • - Poignet droit cassé.
    - Nez cassé.
    - Ulcère au pied.



Données de compétences


PERSONNEL MILITAIRE
Compétences de base
  • 3
  • 7
  • 4
  • 0
  • 0
  • 2
  • 2+1 = 3
  • 0+1 = 1
  • 3
  • 0
Compétences secondaires
  • 0
  • 2
  • 0 + 1 = 1
  • 4
  • 2
  • 6
  • 0


Données d'une personnalité


Warren… Ce n’est pas le gars vers qui on a envie d’aller de prime abord. Taciturne, mais pas lunatique, guère causant, sauf avec un coup dans le nez, cet homme est l’archétype du loup solitaire, rôdant toujours aux abords de la meute sans jamais vraiment s’y installer. Il n’a pas mauvaise réputation chez ses confrères, toujours loyal, toujours prêt à filer un coup de main quand il le faut, c’est juste que c’est le genre de type qui fonctionne en solitaire, le genre de type qu’on pose à un endroit, qu’on laisse mûrir, et qu’on récupère ensuite quand il a fait le boulot comme un grand. Il ne brille pas par son esprit d’équipe, mais il est suffisamment éclairé pour savoir fonctionner avec une team, et ça s'est toujours très bien passé avec son observateur pour les tirs longues portées.
On le dit dénué d’humour, alors qu’il est simplement pince sans rire, on le dit sans coeur, bourru, rude, et revêche, alors qu’en réalité, c’est un gros nounours à la peau bien épaisse, au cuir tanné par les expériences, et les affres d’une vie passée sous la bannière étoilée et qui se traine un coeur d’artichaud.
Au fond, c’est un bon soldat, typiquement ce genre de soldat qu’on utilise pendant des années, et qu’on renvoie au pays cassé et brisé. Mais Warren est taillé dans du bois dur, et c’est dans sa nature placide, et ses convictions personnelles, qu’il trouve la force de faire ce qu’il doit faire : Le sale boulot. Quand il est fait par les gentils, il n’est jamais gratuit, et quand il faut le faire pour le bien de tous, c’est aux prix de l’âme des exécutants, prélevée par petits bouts pour tapisser leur propre enfer.

Warren…. C’est quand même le gars vers qui on a envie de se tourner quand on a des soucis. Sa nature tranquille, son verbe parfois haut, et sa rugosité naturelle peuvent le rendre attachant. Ce n’est pas le genre à se tracasser avec les détails, et si suspendre une petite frappe par les pieds au dessus d’un canal en le menaçant de le lâcher s’il n’arrête pas d’emmerder le monde, c’est le moyen le plus rapide pour faire cesser le trouble, alors il s’emploiera à passer par cette méthode expéditive, sans réelle animosité envers ce jeune, et sans réelle intention de le lâcher non plus. Il est comme ça Warren, il aime que la vie soit tranquille quand il est peinard en dehors du boulot, et si ça chiotte dans les environs, ce sera un des premiers à aller gueuler un coup. Souvent dans la réaction, mais toujours avec ce manque de passion qui pourrait laisser penser que la vie ne l’intéresse pas, tant la sienne que celle d’autrui, ce qui lui donne cette crédibilité menaçante - ça et sa grande taille.
C’est tout le contraire. La vie est source de curiosité, la vie est source de diversité, la vie est source de bien être. Quoi de plus important qu’un moment passé là, à contempler le paysage, la clope au bec, souvent éteinte ? En civil, il troque facilement sa lunette de visée par un réticule photographique. La photo, c’est son dada, et il est bien équipé pour exercer son loisir. Capable de planquer des heures pour saisir un cliché, il est parfois tellement absorbé dans sa contemplation méditative que finalement, le cliché, il le prend avec ses yeux et non avec son appareil.

En fait, rien n’a plus d’importance que le moment présent. Rien.

Données d'un passé chargé



Warren… C’est le p’tit gars du Mississippi, élevé au grand air sur les bords du fleuve, dans une demeure familiale à la périphérie de Greenville. Ça commence comme pour tous les enfants, des parents qui s’aiment, qui s’établissent ensemble, qui se marient et font un p’tit. Ce dernier devient un gamin, et comme c’est un petit mec, son père l’emmène à la pêche, il l’emmène tronçonner du bois pour espérer se chauffer l’hiver, il l’emmène avec lui chasser un prétendu bigfoot aperçu dans les bois pas loin de Rosedale, puis vint l’été, et les baignades dans le fleuve, seulement dans les coins que les locaux connaissent, ou alors, de l’autre côté, sur la rive opposée, dans le truc aménagé qui porte le nom explicite de Lake Village. Mais bon, fallait se taper le caractère de merde de ces bouseux de l'Arkansas, et franchement, chez les Butler, on préférait éviter.

Une histoire d’ex mari de Madame qui serait originaire de là-bas. Sujet sensible. Pas très intéressant au final.

C’gazier là - Warren, pas l’ex - c’était le genre de ptit gars à aller se fourrer dans les emmerdes naturellement, parce que, pour citer une des phrases qu’il pouvait répéter le plus souvent à son père quand il le retrouvait dans le bureau de la directrice de l’école, avec un oeil au beurre noir figé sur sa sale caboche de mioche, « ce n’était pas juste ».
L’injustice, c’était le genre de truc qui le débectait royalement. C’était plus fort que lui, il se devait de rétablir un semblant d’équité dans la cours de récréation. La bande à Dudley emmerdait le petit Harry, fallait aller régler ça. L’affreux Drago faisait chié la jolie Hermione, et c’était parti pour une soupe de phalanges à la récréation. Son paternel comprenait son fiston, mais sa matrone de mère, bien qu’au fond, elle ne pouvait que louer ce genre de qualité chez son fils, ne pouvait totalement approuver non plus, sous peine de devoir le changer d’école tous les ans.

Plus tard, alors qu’il avait seize ans, il se fit la malle sur le Mississipi, se lançant dans un périple peut-être emprunté à un certain Huckleberry Finn conté par Twain, et il descendit le fleuve jusqu’à son embouchure, à la Nouvelle Orléans. Il trouva place dans une péniche qui reliait Greenville à Vicksburg, puis de Vicksburg à Natchez, il trouva place dans un bateau à roues à aube, de Natchez à Baton Rouge, il sauta d’embarcation, tantôt dans un canoë, tantôt dans un bateau de pêche, tantôt dans un steamer historique, et enfin, de Baton Rouge à la Nouvelle Orléan, il se retrouva de nouveau sur une péniche.
Cela lui prit presque huit mois de sa vie, mais encore aujourd’hui, il en parle avec cette lumière dans les yeux que seuls les aventuriers ayant accompli un rêve de gamin peuvent posséder. Il avait travaillé dur sur ces embarcations pour payer sa descente vers le Golfe du Mexique, mais au delà du labeur, il avait pu vivre au rythme de l’eau, et profiter des paysages et de l’expérience des gens. Ce n’était déjà pas un grand bavard, mais il avait cet espèce de don qui faisait parler les personnes, alors que lui-même écoutait, comme s’ils avaient besoin de se confier à ce grand gaillard avare en paroles. Il avait peaufiner son habileté à tirer à la 22. et à pécher, et parce qu’une qualité ne vient pas sans un vice, il avait aussi appris à jouer à quelques jeux d’alcool. Sa dernière traversée jusqu’à la Nouvelle Orléans était de loin sa partie préférée du voyage, puisqu’en plus de tout ce qu’il avait appris, il avait découvert les choses de l’amour, et perdu sa virginité avec la fille du capitaine, un ruskov qui s’était retiré dans ce coin perdu des Etats-Unis après que l’Union se soit cassée la gueule et qui s’était pris d’affection pour ce gamin bien trop mûr pour son âge. Oh, elle n’était pas si belle, mais à vingt passé, et de l’expérience dans la chose, suffirent à la rendre irrésistible pour le bout d’homme qu’était Warren.

Il était parti comme un gamin, il était revenu comme un homme, ça ne l’empêcha pas de prendre une bonne claque dans la gueule en rentrant à la maison comme une fleur, un bouquet dans les mains, et un : « salut maman, j’suis rentré ! ».

C’était compréhensible. Pourtant, il avait laissé un mot avant de partir, mais oui, ça ne suffisait pas. Trois jours plus tard, il héritait d’un portable avec interdiction de ne pas l’utiliser.

La vie continua, et il fut rendu à l’âge de 18 ans quand il décida de s’engager dans l’armée. US Navy, oui Monsieur. Signez ici. Merci pour votre pays !

Il passa cinq ans comme troufion sur l’USS Donald Cook, un DDG-75 de classe Arleigh Burke, ayant pour fonction celle d’être un Destroyer, membre du Carrier Strike Group 8, dont le navire amiral n’est ni plus ni moins que l’USS Dwight D. Eisenhower, un porte avion lancé en 1975 et de nombreuses fois décorés pour être l’un des porte avion les plus performants de la flotte Atlantique, rattaché au commandement de Norfolk, en Virginie.
S’il était assigné au Destroyer, il transitait régulièrement, pour des exercices, sur les différents navires du groupe numéro 8, et l’expérience la plus surprenante qu’il fut amené à vivre pendant ces années là, fut son immersion dans l’univers feutré de l’USS Scranton, un sous-marin nucléaire d’attaque de classe Los Angeles. S’il avait dû recommencer une carrière dans la marine, il aurait tout fait pour devenir opérateur sonar sur ce genre d’engin, tant ces mecs l’avaient impressionné par leur capacité d’écoute et d’analyse des bruits extérieurs. La simulation de combat qu’il avait vécu lui avait prendre conscience du pouvoir que ces bâtiments de guerre pouvait avoir, pouvoir suspendu à un fil, celui de se faire repérer et couler. C’était tout de suite échec et mat dans un sous-marin, et il ne fut pas mécontent de retrouver l’air du grand large sur son Destroyer d’attache.

Avec le recul, il ne sait pas vraiment pourquoi il s’est lancé dans le processus de recrutement des SEALS. Peut-être à cause d’une des devises du groupe : la seule journée facile, c’était hier. Peut-être aussi à cause de la publicité en interne, et de la pression des camarades qui le voyaient bien dans ce genre d’unité d’élite. Et puis au fond, c’était quand même un sacré accomplissement s’il y parvenait. Son vieux et sa vieille en seraient fiers.
Il fit parti des 30% qui parvinrent à la fin du recrutement et du stage de formation. Pas loin de deux ans à en chier comme un rat mort, à subir, à courber la tête, à faire corps avec les camarades pour tenir le coup, pour déjouer les pièges des instructeurs, déjouer sa propre nature, déjouer sa propre condition humaine. Jamais il n’avait poussé son corps aussi loin dans ses retranchements, et lui qui aimait la survie, qui aimait surmonter les obstacles de la vie, y trouva une source de motivation qui lui permit d’aller jusqu’au bout, et de sortir de là avec l’insigne SEAL sur le pec droit. On le surnommait le “chat maigre” dans l’unité, toujours agile en l’air, toujours agile sur terre, mais un peu frileux quand il s’agissait d’aller dans l’eau. Oh, il y allait, parce qu’il n’y avait pas le choix, mais ce n’était clairement pas son environnement préféré. Il était bien sur un navire, pas à barboter. Cependant, il fit face, et s’accomoda, et hérita de ce surnom qu’il garda tout au long de sa carrière chez les forces spéciales, et qui lui fut tatoué sur l'omoplate droite par un autre SEAL.

Qualifié de plongeur parachutiste, il se spécialise rapidement au sein de la SEAL Team 8 dans le matériel, pour tout ce qui était armes, munitions, et optiques. Parallèlement à ça, il endosse la responsabilité du tir de précision dans son équipe, en support des camarades, un rôle qui lui correspond en tout point, seul ou à deux, selon le type de tir à effectuer. Il aimait tirer seul, c'était gratifiant, c'était un challenge avec soi-même, mais le tir à deux, c'était un travail de minutie. Angle, vent, dépression, degré, modification des différents coefficients, réglage de la lunette, c'était technique. Quand le tir réussissait, c'était un coup gagnant pour les deux personnes.
Et pourtant, c’est cette spécialisation qui brisa petit à petit son âme pour l’emmenait sûrement en enfer quand il passerait l’arme à gauche. Il apporta la mort à des personnes, de loin, lâchement, sans jamais être réellement inquiété pour sa sécurité, sans laisser aucune chance à ses opposants. C’était le sale boulot. Il fallait le faire. Ce n’était pas gratuit… c’était d’une nécessité absolue. Il y avait des situations plus simples que d’autres à gérer émotionnellement, le contexte jouant fortement sur le “après” mission. Mais voilà, il fallait le faire, parce que c’était comme ça. On ne lui demandait pas d’apporter une justification, seulement d’apporter une solution, solution violente qui arrivait, se plaisait-il à l’imaginer, après que toutes les solutions pacifiques aient échoué.

Par le biais des accords de l’OTAN, il se retrouva en France quelques mois, à Satory, dans les Yvelines, siège historique du groupement d’intervention de la gendarmerie nationale française. Ces hommes étaient tous tireurs d’élites avec de sacré performance à leur actif, mondialement connues, et reconnues, et il fut formé, perfectionné, lui et quelques autres étrangers venus faire un stage pratique avec ces militaires. Il commença à apprendre le français, s’en sortant pas trop mal à l’oral, oral qu’il peaufina en se trouvant une copine française, ce qui l'amena à revenir dans ce pays plusieurs fois dans les années suivantes. C’est là aussi où il apprit quelques insultes Ouzbek, à cause d’un légionnaire français qui venait manifestement de là bas et qui se faisait un plaisir à apprendre quelques saloperies à dire pour peu qu’on l’y incita, sans trop de difficulté cela dit, au cours des soirées passées à crapahuter dans la forêt. On leur fit même l’honneur d’effectuer le rite du tir de confiance, et il repartit de là grandit, fort de nouvelles connaissances et de nouveaux camarades d’armes.

Il servit encore un temps dans les SEAL, et plusieurs choix s’offraient à lui pour la suite. Continuer en étant instructeur, continuer en prenant du galon, mais le concernant, ce n’était pas tellement son envie… Commander, ça le barbait, il aimait de loin exécuter les ordres, et laisser les pontes décider à sa place. Quant à faire le fusible en étant sous-off, ça ne l’intéressait pas plus. Franchement, il était bien dans son coin.
La haut, on en décidait autrement, et bientôt, il se retrouvait avec deux pigeons de l’Air Force. Ouais, on se tirait un peu dans les pattes entre US Army, US Navy, et US Air Force. C’était de bonne guerre, et ça promettait des saisons de sports intéressantes pendant les championnats inter armée. Ils cherchaient des gars comme lui pour rejoindre un programme secret défense, du genre échelon maximum. C’est qu’on l’avait remarqué, sur les exercices coordonnés SEAL / Air Force Special Operation.

Guantanamo ? Très peu pour lui ! L’idée de torturer des gens pour avoir des renseignements, il préférait laisser ça à la CIA. Certes, il ne se considérait pas comme un sain, mais bordel, ce n’était pas un tortionnaire.
Mais ce n’était pas Guan. Non, c’était autre chose, quelque chose de plus grand, de plus transcendant, du genre à dépasser la simple notion d’humanité. C’était quoi, la conquête de Mars ? Pas plus. Mars, lui dit-on, on pouvait y passer devant depuis longtemps maintenant, et ptet bien qu’on était déjà dessus aussi.

Bon forcément, quand on est un aventurier du monde comme il pouvait l’être, l’idée de rejoindre un programme spécial qui demandait tout un tas d’accréditations, de paperasse à signer, de déclaration sur l’honneur, etc., pour pouvoir voyager dans l’espace, ça le branchait un peu. Néanmoins, se souvenant de sa précédente immersion dans un sous-marin, qu’il jugeait bien plus spacieux qu’une fusée, lui amenèrent quelques réticences qu’il en manqua pas de signaler. Il termina de signer quand on lui montra que la fusée ressemblait plus à un putain de porte avion version spatiale. Il termina de signer quand on lui promit de voyager sur d’autres planètes.

Il tira une année au SGC, intégrant SG8 entre autre, avant d’être basculé sur les effectifs qui partiraient pour Atlantis. Ses parents étaient décédés depuis quelques années maintenant, son flirt français n’était plus qu’un lointain souvenir, tout autant que cette Thaïlandaise rencontrée dans le désert d’Atacama au Chili, alors qu’il cherchait à photographier une espèce de renard qui vivait dans ces landes arides.
La vie était ainsi faite, d’opportunités, d’expériences, de changement de direction, et il suivait cette vie qu’il menait simplement, tout comme il avait suivi par le passé les courbes gracieuses du Mississippi.

Données d'arrivée

Quand on lui avait dit que l’US Air Force possédait le sous-marin le plus high tech qui soit, il en avait fait des cheveux gris. Ancien de la marine, cette découverte ravivait un petit esprit revanchard à l’endroit des avionneurs, plus encore quand il eu le loisir de l’observer en photo. Il regrettait presque de ne pas arriver sur la cité par un vol direct depuis l’USS Dédale, pour avoir le privilège de l’observer depuis le ciel. Beaucoup de choses étaient inconcevables depuis qu’il connaissait l’existence du Programme, et celle-ci venait s’y ajouter : comment diantre un truc de cette taille pouvait aller sous l’eau sans se disloquer sous la pression ? Une histoire de bouclier énergétique, quelque chose comme ça.
Il ne préférait pas imaginer la quantité d’énergie disponible qu’il fallait pour alimenter ce bazar. En tout cas, d’un point esthétique, ce n’était pas dégueulasse, et son oeil de photographe en fut parfaitement satisfait. Il se félicita également de son choix d’avoir embarqué son matos avec lui.

Maigre consolation s’il en était, ce sous-marin lantien, cette cité quoi, était en réalité détenue par un consortium civil et les militaires étaient là pour traiter le côté “menace” qui planait sur l’expédition scientifique. Et apparemment, crut-il comprendre aux dires de certains, ils ne manquaient pas de boulot de ce côté là.
Ce fut avec une certaine nostalgie qu’il quitta le Dédale, téléporté vers la cité en contrebas. Ça lui rappelait, ce voyage, des souvenirs du temps où il officiait sur le Donald Cook. Toutes ces coursives, ces coins de logistiques, cette ambiance qu’on ne retrouvait que dans un navire de combat, ces lieux de vie, ainsi que les lieux propres à l’exercice militaire, tout cela lui avait manqué, d’une certaine manière.

Mais bon, il rejoignait un nouveau bâtiment de guerre, avec de nouvelles coursives, de nouvelles missions, de nouveaux lieux à explorer, toujours dans cette dynamique d’exploration planétaire et de guerre contre des aliens. Rien de tel que le mal du pays pour démarrer une nouvelle aventure ! Parole d’aventurier.

Créé par Nyuutendo
Surnom :
Tout plein
Age :
32 ans
Comment avez-vous connu Atlantis Insurrection ? :
Déjà membre =)
Connaissez-vous les séries Stargate ? :
C’est loin mais oui
Souhaitez-vous être parrainé ? :
Non merci
Multicompte ?:
Oui
Code(s) du contrat :
ok par Matt
Envie de nous dire quelque chose ? :
I WILL BE BACK

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Matt Eversman
Caporal
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√ Arrivée le : 08/12/2012
√ Date de naissance : 22/01/1990
√ Gène : Wraith
√ Age : 34
√ Messages : 11473

Lun 13 Avr - 21:06

Matt Eversman
Rebienvenue par ici !

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Admin
Admin
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√ Arrivée le : 08/12/2012
√ Nationalité : /

√ Gène : ATA
√ Messages : 657

Lun 13 Avr - 21:06

Admin
Le membre 'Matt Eversman' a effectué l'action suivante : Lancé de dés


'Gêne ATA' :
Warren Butler Deata10
Résultat :
Warren Butler Deatan10

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Invité
Invité

Mar 14 Avr - 9:34

avatar
Pour moi c'est un grand oui! Hâte de découvrir cet américain pur souche en jeu.


Félicitations !

Tes efforts sont récompensés !

Félicitations, tu viens d’avoir ta première validation.
Il en faut trois de la part des membres du staff pour que ta fiche soit classée dans les « candidatures acceptées ».

Prends ton mal en patience cela ne va pas tarder !

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Hailey Spalding
Caporal
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√ Arrivée le : 09/09/2018
√ Date de naissance : 25/08/1992
√ Nationalité : Américaine

√ Gène : ATA
√ Age : 31
√ Messages : 496
√ Localisation : Parmi les étoiles....

Liste de vos DC : Lorn Fawkes

Mar 14 Avr - 10:48

Hailey Spalding

La 2ème est en poche !

Le flood est ouvert !

Avec cette validation tu obtiens ta couleur et les portes du Flood du forum s'offrent à toi. Ta fiche est presque terminée, il ne te reste qu’un avis à obtenir.

Profites-en pour mettre à jour tes compétences dans ton profil. Plus d'infos en bas d'ici !

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Matt Eversman
Caporal
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√ Arrivée le : 08/12/2012
√ Date de naissance : 22/01/1990
√ Gène : Wraith
√ Age : 34
√ Messages : 11473

Mar 14 Avr - 11:10

Matt Eversman
Oh non un Navy et en plus tireur d'élite !!
ça sent les embrouilles XD

Excellente fiche, rien à y redire ! Bravo mec' !


Tu es validé !

Amuse toi bien sur le forum !

Validation finale !
Amuse toi bien chez les fous ! Tu peux faire ta fiche de « dossier personnel » et tu peux commencer à RP.

N'oublie pas de faire recenser ton avatar dans ce sujet. Tu peux également choisir une couleur d'écriture dans ce sujet.. Bon jeu !

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Invité
Invité

Mar 11 Aoû - 17:42

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Rappel des récompenses de la MJ 34, penses à mettre à jour tes compétences !

Warren Butler

Il fallait bien un Seal pour sortir l’équipe de ce traquenard ! Warren n’a pas démérité et s’est battu comme un lion pour tenter de ramener toute l’équipe en vie. Quand la situation l’exigeait, il a sû prendre le rôle de Chef d’équipe.

Nous t’accordons :
  • +1 Explosif
  • +1 Influence
  • +1 Esprit équipe


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Invité
Invité

Mer 12 Aoû - 17:57

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MàJ des points, merci pour la MJ ! H7

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