Tomohiko Sato

Données d'une personnalité

Les démons personnel de Sato

Sato ne recherche pas la violence, elle va essayer de trouver une solution pacifiste aux problèmes qui se présentent mais quand elle est acculée, elle se bat comme un beau diable avec tous les moyens possibles, passant du calme tranquille à une guerrière qui combat pour vaincre sans aucune pitié.
Cet état « second » l’inquiète énormément et elle redoute pardessus tout ce qu’elle pourra faire alors qu’elle se trouve dans cet état. Son étude des arts martiaux japonais est, en fait, une tentative de contrôler son démon personnel.

Son objet fétiche

Sato, après longue réflexion a décidée d’emporter le Daisho avec elle, car elle pense que cela la caractérise complètement et cela pour plusieurs raisons
Physiquement :
- En premier la lames des sabres est forgée dans un acier brut : Dur pour l’enveloppe et Tendre pour le cœur.
- Feuilletés de nombreuses fois pour soudés l’une à l’autre par le feu de la forge.
- La trempe dans de l’argile confère des qualités de dureté du tranchant à une résistance au choc pour l’ensemble
- l'absence de polissage à la pierre volcanique permettant d’affûter la lame et révéler des structures cristallines
cette étape visiblement n’a pas été réalisée sur le armes de Sato ( voir plus bas)
En un mot c’est un résumé de la personnalité de Sato
Ne cherchez pas dans ces sabre des objets de collection de valeur fabuleuse !
Non Sato n’a jamais eu les moyen de s’offrir cela
Mais pour elle ces sabres lui sont précieux car c’est à l’issus de son apprentissage des art martiaux que Sato a reçu des mains de son Senseî ces sabres.
Dans ces sabres résident les joies et les tristesses de Sato, elle en connaît la moindre imperfection dans le grain dans le bois, le léger déséquilibre entre la lame et le manche du wakizashi, le petit accro dans la soie protégeant le tanto
SGC était plutôt opposé à cet objet mais Sato a montré que le fil des lames n’était pas affûtés comme un rasoir. (Équivalent maintenant à un bon couteau occidental).

psychologie de Sato

Sato est plutôt une solitaire (cela est certainement dû à sa timidité) elle va rarement au-devant de l’autre mais elle ne refuse jamais le contact quand quelqu’un fait l’effort de l’approcher.

Timide mais pas distante et sans confiance en soi, Solitaire mais pas introvertie,
elle sait ce qu’elle vaut mais n’aime pas s’en vanter devant les autres.
Ce n’est pas elle qui ira haranguer les foules ou qui après un premier regard ira aborder une autre personne dans un bar.
Lors d’une discussion elle reste souvent silencieuse mais elle écoute avec attention les avis émis et se forge son opinion, et quand elle finit par parler c’est pour expliquer son opinion.
Elle ne se mettra pas en avant et préférera mettre en avant son équipe, elle manage et collabore par la bienveillance et l’exemplarité et non pas par l’autorité et l’emprise.
Elle se refuse à juger quelqu’un au premier regard (en bien ou en mal). Elle attends de mieux connaitre cette personne avant de voir si elle pourra devenir un ami.

La communication est chez elle importante, bien que n’étant pas spécialement prolixe ( de longue heures de silence ne lui font pas peur) elle aime bcp parler entre amis , une communication véritable sans parole blessante, mais avec des mots utiles.
Pour elle chaque nouveau venu est un ami en puissance elle l’accueille sans aucun parti pris et très amicalement, ce n’est que plus tard que Sato verra si la personne pourra devenir un ami proche ou pas.
Des amis proches ? oui elle en a, mais pas nombreux ….vraiment pas nombreux elle ne se confie pas facilement et préfère parler des autres que de soi-même

Des ennemis ? oui certainement mais Sato n’en parle jamais, il semble qu’elle en ai honte, le rouge de la honte lui monte aux joues.
Pour Sato, si les valeurs de partage et de justice sont importantes, la notion de protection de la vie de ses proches lui est fondamentale.

Devant l’inconnu ou en situation de crise elle essayera de faire de même, accueillir la situation calmement, voir comment réduire la crise.
Puis elle agira pour comprendre la situation ou résoudre la crise, calmement au début avec des actions utiles jusqu’à un stade ou inexplicablement elle pourra rentrer dans une colère noire… (les démons intérieurs de Sato).

Au cours de l’entretien avec les psychologues du SGC une question portant sur son opinion au sujet de ses parents naturels a eu une réaction très surprenante.
Dans les yeux de Sato est passé une étincelle de colère et de violence a peine aperçue puis Sato ferma les yeux et prenant une profonde respiration elle déclara ne pas vouloir en parler.
Les psychologues au cours de leur débriefing ne purent être sûr d’avoir vu cette étincelle mais saluèrent le self control de Sato.

Données d'un passé chargé

La jeunesse

Orpheline dès son plus jeune âge (7 ans) Sato fut recueilli par de nombreuses familles d’accueil et passa sa jeunesse dans les quartiers de Kyoto, peu d’informations sur cette période de vie n’ont filtrées, Sato n’aime pas en parler.
L’école de la rue, des parents adoptifs jetables, des retours incessants à zéro, la police, … tout cela représente pour elle une période noire qu’elle n’aime pas se remémorer. Et cela elle estime que la faute en revient uniquement à ses parents naturels qui ne se sont jamais donné la peine de prendre de ses nouvelles !

L’enfance

Suivant les rapports de police que nous ne pouvons divulguer ici sans entrer en conflit avec la loi de protection de l’enfance nous pouvons dire que Sato avait une vingtaine de vols à son actif et presque autant de procédures enregistrées, procédures qui d’ailleurs ont été classées sans suite.
Elle a notamment cambriolé le domicile d’un juge pour enfant, assommé un policier qui avait eu le tort de lui faire remarquer son impolitesse, extorqué son sac à dos à un touriste allemand de 22 ans, et dévalisé un contrôleur judiciaire qui a eu la malchance de la croiser.
Placée en garde à vue dans la foulée, elle se déchaîne alors contre le plafond de sa cellule à coups de poing. « Elle était furieuse, il faut voir les dégâts », rapporte un policier. De la fureur oui, mais un instinct déconcertant aussi puisque, au moment d’être présenté au juge, elle prétexte une « pause pipi » pour s’enfuir par la fenêtre. Elle est replacée en garde à vue. Puis, rebelote, elle se fait la belle du, sous le regard incrédule des éducatrices qui l’accompagnaient.
Rapidement reprise elle purgea sa peine de travail d’intérêt général et fut libérée.
Ce n’est que grâce à sa rencontre avec un médecin de campagne chinois qu’elle a pu s’engager dans des études de médecine.
Rencontre étrange ! surprise par le retour du médecin alors qu’elle « visitait » sa petite maison, l’homme s’était simplement assis à la table de sa cuisine et lui avait tendu son maigre portefeuille,
Pas de menaces de police, pas de reproches, même pas un mot !
C’était Sato qui, après avoir repoussé le portefeuille, avait engagé la conversation.
Sato était intriguée par ce chinois qui donnait sans attendre de retour, jusqu’ici la vie pour elle se résumait à prendre ce qui lui faisait envie ou si elle ne pouvait pas le prendre, l’échanger contre autre chose.

le basculement

La notion de don lui était étrangère et le don de soi lui semblait contre nature.
Au fil du temps Sato revenait visiter le médecin parlant de tout et rien. Peu à peu le vieil homme solitaire c’était pris d’amitié pour cette jeune voleuse et sans que Sato s’en rende compte il avait commencé à faire son éducation, lui apprenant les notions bien et mal, la philosophie.
Ce médecin lui apprit tout d’abord la médecine chinoise comme on la pratique dans les campagnes, comment soigner avec des simples, comment guérir en harmonie avec la nature, sans la forcer mais en l’aidant, l’accompagnant.
Il lui montra comment ressentir les Energies du vivant, les comprendre, les libérer, comment bloquer la douleurs grâce à la pression de certains points du corps humain.

digression : Le qi(ch'i) en médecine chinoise

En résumé, chaque objet, être vivant ou végétal, va à la fois dégager un type de Qi et être modelé par celui de son environnement. Rien n’est donc figé et tout est imbriqué. Tout a une influence et peut être influencé.
On peut choisir de n’y prêter aucune attention et subir tout type de Qi dans son environnement : ne pas se préoccuper de l’air que l’on respire, de l’eau que l’on boit ou des aliments que l’on mange. Méconnaître l’influence de son lieu d’habitation sur sa vie ou des cycles temporels.
On peut au contraire y accorder un minimum d’intérêt et comprendre l’impact global de son environnement sur sa santé. Des pratiques telles que le Qi Gong, par exemple, ont pour objectif une harmonisation de son Qi interne ; quand il stagne quelque part, il est générateur de maladies.

vie étudiante et professionelle

Revenons à Sato
Le chinois lui fait passer son « bac » en candidate libre, puis il l’envoya à l’université pour un cursus plus conventionnel.
Apres une rapide procédure d’adoption et une demande de bourse, Sato s’acharne au travail, se liant très peu avec les autres étudiants, Elle avait vite compris qu’elle devait travailler deux fois plus que les autres pour réussir.
Elle finit par décrocher son doctorat honorablement l’année même du décès de son père adoptif.
Sans attaches, sans argent, elle voulut voyager, souhait qu’elle réalisa en s’enrôlant dans Jieitai (Forces japonaises d'autodéfense « FJA ») comme médecin urgentiste.
Elle devient assez rapidement médecin major après une opération de sauvetage au combat dans les forces déployées au Soudan du Sud ou elle s’est distinguée après que toute la chaine de commandement se soit faite décimer par une bombe.

Sato, elle, était occupée à organiser l’hôpital de campagne au moment où l’état-major était réuni pour une réunion stratégique. Une bombe décima tous les officiers et, restant la seule officier restée opérationnel, elle avait fait comme son père (adoptif) avait l’habitude de dire.
Eviter la panique de la troupe en balançant des ordres comme si elle était sure d’elle et se reposer sur ses sous-offs.

La manœuvre avait marchée, les sous-offs savaient exactement quoi faire et comment le faire, ils avaient pu tenir jusqu’à l’arrivée des renforts

Rapport d’un commando :

Soldat Masamuko
Impuissant devant le tir nourris, je regarde hébété la cuisse perforée de mon binôme, un autre à deux doigts sectionnés. Une balle se loge dans son pare-cou d’un autre. Ils resteront sur place, sans même de morphine, car elle a été retirée des trousses de premiers secours, pour éviter la toxicomanie.
Nous rejoignons le camp ou nous découvrons avec horreur que personne n’est là pour organiser les combats.
L’équipe de Sato est dans un véhicule Sanitaire, criblé d’impacts, qui s’est posté devant l’entrée
Sato nous réunis dans une tente, rapidement elle fait un tour de table pour avoir une vue d’ensemble du théâtre des opérations puis elle balance une série d’ordre, nommant les Sergents et leur donnant la responsabilité de tenir tel ou tel points.
Je me renfrogne, clairement le pont au sud est ne pourra pas résister au tir nourris et je pense à nos camarades restés la bas.
Sato me regarde, et calmement me demande mon avis.
je réponds « non, non, ça ira » mais elle insiste, m’ordonnant de parler :
je m’exécute en disant qu’une troupe de volants pourrai prendre l’artillerie à revers et faire taire les canons qui pilonne nos positions, puis récupérer nos camarades.
en quelques secondes moi, simple soldat je me retrouve à la tête d’une section de volant Les consignes données, j’embarque dans les véhicules avec mes hommes en direction de […]

promotion et demission

Sato fut surprise de recevoir une distinction pour cela mais elle avait accepté la promotion car il lui semblait que cette nouvelle position lui permettrait de récompenser les sous-offs à leur juste valeur.
Tâche à laquelle, elle s’attacha à faire pendant 2 années.
par exemple suite à ses conseils et à de nombreuses lettres de recommandation, le Soldat Masamuko fut intégré a une école de sous-off puis promu Sergent, sautant les grades de caporal…..
Elle est dégradée 2 ans après, pour refus d’obéir à un ordre d’un supérieur hiérarchique qui lui ordonnait d’abandonner ses hommes et ses patients à une mort certaine pour prendre la fuite.
Têtue elle était restée à son poste, finissant son opération en cours, pendant que le « fils de général » prenait la poudre d’escampette pour retourner dans les jupes de « papa ».
A la fin des opérations une cours martiale en bonne et due forme l’attendait et son avocat commis d’office ne put rien faire contre le bataillon d’enquêteur, de procureurs mandatés par le général.

Ecœurée, elle démissionne l’armée et c’est à ce moment qu’elle reçut en retour une proposition pour rejoindre l’expédition Atlantis.

le contact avec le SGC

Il semblerait que le SGC suivait depuis quelque temps la carrière de Sato
mais elle en ignorait les raisons
-peut être le bruit de sa décoration pour acte héroïque ?
-le résultat calamiteux de son procès ?
-Ou peut-être, comme elle le pensait en elle-même, l’action silencieuse d’un des sous off qu’elle avait sauvé 2 ans auparavant et fait en sorte qu’il soit promu par la suite.
Quoiqu’il en soit malgré ses enquêtes cette question était resté sans réponses, la personne ne s’était jamais fait connaitre.
la seule réponse qu’elle put avoir fut « se serait un gâchis de vous laisser partir »

L’idée d’avoir un « mentor » au SGC éveillait en elle-même des sentiments mitigés :
d’un côté elle était fière qu’un de ses hommes continue à penser à elle et ceci sans attendre ou demander de la reconnaissance d’un autre une peu honteuse d’avoir dû sa venue sur Atlantis a un piston ! ..
Qu’il soit mérité ou pas.

Données d'arrivée

2020
C’est l’année ou j’ai embarqué pour rejoindre Atlantis, c’est aussi le moment où j’ai décidé de tenir un journal !
c’est bizarre normalement les gens tiennent un journal quand ils sont ados et abandonnent lorsque leur vie de femme commence, mais pour moi rien n’est comme les autres !
je n’ai pas vraiment eu d’enfance ni d’adolescence et ce que je vivais n’avais pas besoin d’être relaté dans un journal, juste une succession de galères, mais ici j’ai l’impression que ce que je vais y vivre va être important, et surtout que mes actes et mes actions vont pouvoir changer l’avenir pour moi mais aussi pour la race humaine.
La découverte des Genii, les wraith a été un choc pour moi, et leurs actions semblent avoir mis l’avenir même de la race humaine en péril.
Je VEUX faire partie des personnes qui se mettrons sur le chemin de ces êtres et surtout je VEUX découvrir d’autres espèces !! je ne peux pas croire que toutes les espèces de la galaxie soient aussi belliqueuses, je veux croire que certaines sont comme nous.

Atlantis !
Dés mes premiers pas je suis conquise, une ville d’une beauté sans pareille.
Les gens que j’y croise semblent tous mus par cette même volonté : défendre la terre, défendre les humains !
Pas d’égoïsme ici, pas de regards couvés ! Tout le monde semble s’accepter comme ils sont, après tout ici la vie de chacun dépend d’un autre.
Peut-être ce petit blondinet me sauvera la vie demain? à moins que je ne lui sauve la sienne ….

Bref Sato !!!
Tu ne va pas rester ici toute la journée, zou direction ta chambre qui répond au doux nom de AFYB-12-DF et puis tu pars te présenter au département médical
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Fin de l'entrée dans le journal personnel.