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Emilia Alyssiara Zeïn' Eidolas

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Invité
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Lun 23 Juil - 22:17

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Emilia Alyssiara Zeïn’ Eidolas

  • Zeïn’ Eidolas
  • Emilia Alyssiara
  • 28 avril 1987
  • 31 ans
  • Orzan
  • Août 2018
  • Pégasienne/diplomatie/scientifique
  • Biologie, chimie
  • Langues :
    Langue des anciens (Sages), anglais, quelques langues parlées par les peuples étrangers avec lesquels la Gaëllie entretien d'étroites relations.
  • Néant
Tori Anderson

Données complèmentaires



DONNÉES MÉDICALES
  • Tatouage sur la main droite : un cercle avec des ailes et une inscription en Ancien signifiant « Enfant des dieux ».
  • AB+
  • ATA
  • Allergie aux poils de Ziop (bestiole domestiquée sur Orzan et certaines de ses colonies)
  • Phobies :
    Les wraiths ne sont pas mes grands copains depuis mon passage sur une ruche et la traque qui s’en est suivi. Je crains mes compatriotes shayens et leurs intrigues et le fait de perdre le contrôle sur mon empathie, ce qui arrive parfois.
  • Entorse au poignet



Données de compétences



PERSONNEL PEGASIEN
Compétences de base
  • 0
  • 2
  • 1
  • 0
  • 2
  • 1
  • 1
  • 3
  • 4
  • 2
Compétences secondaires
  • 0
  • 0
  • 0
  • 2
  • 3
  • 8
  • -->
  • 5
  • 1

Données d'une personnalité

Il parait que je suis un être exceptionnel, plus évolué, portant en moi l’héritage des Sages. Les Sept me voient comme un instrument qui les valorise, un rappel au peuple que les êtres de mon genre soutiennent les grandes familles et que ces dernières sont donc portées par la volonté des Sages. Le peuple me perçoit, je crois, comme une sorte de guide qui pourra un jour les mener vers l’évolution, ce que certains appellent l’Ascension. Nous ne sommes pas nombreux à posséder le don et chacun d’entre nous vit la chose à sa manière. En ce qui me concerne, je vis dans une incertitude permanente : pourquoi moi ? Que suis-je censée faire de ces capacités ? Cela explique peut-être que j’ai passé ma vie les yeux tournés vers notre passé pour tenter de répondre à une grande question : qui sont réellement les Sages ? Je consacre mon temps, mon argent et mon cerveau pour percer ce mystère, car je suis intimement convaincue qu’en comprenant mon passé je pourrai me tourner vers le futur, cesser d’être dans le brouillard, avancer.

Bien qu’issue du peuple, j’ai grandi et été conditionnée pour devenir l’héritière de l’une des familles les plus puissantes de Gaëllie. On m’a appris que nous étions des sans-purs et que la vie des inférieurs ne valait rien, qu’il fallait parfois faire des sacrifices pour le bien de tous (traduction : s’il faut massacrer quelques tarkis pour garder le pouvoir, pas de soucis ! Les shayens de faible rang c’est pas trop grave non plus, par contre on fait attention avec les zeïns). Si j’ai pris beaucoup de recul avec cette vision, je n’en reste pas moins une aristocrate et je peux me montrer condescendante selon les circonstances… ne me demandez pas de passer le balai, il y a des domestiques pour ça.

J’ai un tempérament blasé. C’est le problème quand on est empathique et qu’on peut lire dans les gens comme des livres ouverts, les rapports humains finissent par manquer de saveur. Je ne me sens à ma place nulle part ni auprès des shayens qui transpirent l’hypocrisie et passent leur temps à comploter ni auprès des tarkis dont l’éducation est beaucoup trop éloignée de la mienne. J’ai fini par devenir cynique, ironique, je tourne les choses en dérision pour m’offrir un peu de divertissement. J’aime attribuer des surnoms aux gens en fonction de ce que je ressens en leur présence, la plupart d’entre eux ne le savent pas, car cela se passe entre ma conscience et moi, mais c’est plus fort que moi. Je leur colle des valeurs, des couleurs… mon oncle a longtemps eu l’étiquette du Zätaar (un équivalent du croque-mitaine), mais j’ai grandis ça a changé, maintenant je l’appelle la Pourriture. L’épisode où il a réprimé un mouvement de contestation sur l’une de nos colonies en bombardant un village de mineurs et en exécutant les agitateurs ET leur famille m’est resté en travers de la gorge. Il faut croire que je suis un peu trop sentimentale.

Oh, cela ne m’empêche pas de savoir jouer la jeune femme modèle et hypocrite quand je l’estime nécessaire, je mens même plutôt bien. Je fais ce qui est nécessaire pour évoluer dans mon milieu social et obtenir des autres ce que je veux. Le système est pourri et j’en ai parfaitement conscience, je m’adapte donc pour me fondre dans le moule et continuer à entretenir mes privilèges. C’est mal pensez-vous ? Et bien, le jour où je trouverai un sens à ma vie j’envisagerai peut-être de me battre pour faire évoluer les choses, mais en attendant je fais ce qui est attendu de moi et je me laisse porter par le vent. Seules mes recherches comptent.

Je pense être assez tolérante avec mes employés, je les traite bien et je garde mes bombes bien au chaud dans le sac de tonton, préférant le dialogue à la violence pour désamorcer un conflit. J’aime passer du temps dans les temples d’Orzan, je m’y sens bien et ma particularité d’être d’exception fait que j’y suis toujours très bien accueillie. Il m’arrive de prendre du temps pour parler avec les fidèles qui me demandent parfois conseil. Les prêtres sont plus aptes à guider les gens vers la spiritualité, mais mes dons me donnent une influence considérable sur le peuple et je me sens au moins un peu responsable d’eux lorsque je me trouve dans les lieux sacrés. La société nous a collé l’étiquette de guides spirituels, au même titre que ceux qui ont voué leur vie au culte, comme si nous savions mieux que les autres ce qu’il fallait faire pour nous élever…

Bref, je prends tout ça avec énormément de recul et un certain sang-froid. Je fais semblant de tout maitriser et les gens sont contents. Les personnes à qui je me confie sont peu nombreuses, je suis plutôt méfiante, car je sais à quel point les individus sont versatiles (il suffit de voir à quelle vitesse un humain peut passer d’une émotion à une autre). Je me sens bien dans les grands espaces et près de la nature, et je préfère la compagnie des arbres et des animaux à celle des humains, ils sont plus reposants. Il m’arrive de disparaitre des heures durant pour aller méditer dans un coin tranquille, là où aucune émotion étrangère ne viendra me parasiter.

Je fréquente des hommes et des femmes, bien que j’ai une préférence pour le sexe masculin. Cela se limite au physique, avec mes dons j’aime autant éviter les relations sérieuses, car elles se révèlent particulièrement compliquées… mon empathie est un véritable handicap social. Par contre, je dois bien admettre que ça a ses avantages pour les parties de jambe en l’air, he he he. Je vous laisse deviner pourquoi.
Mais sinon je suis quelqu’un de sympa, ça m’arrive. Parfois.

Données d'un passé chargé


Commençons par un cours d’histoire.

Il était une fois, une planète, Orzan, et un peuple primitif qui peinait à se développer. Puis arrivèrent les Sages, beaux, intelligents, magiques. Des êtres parfaits qui ne s’étaient pas élevés parmi leurs semblables, mais qui disposaient de grands pouvoirs et qui cherchaient une terre où s’établir. Les deux peuples se trouvèrent et se mêlèrent, Sages partagèrent leur savoir et leur spiritualité, et ce fut le début d’une nouvelle ère. Au fil du temps, des enfants et des adultes développèrent des dons et contribuèrent au développement d’une nouvelle civilisation : la Gaëllie. Pour fuir les wraiths, le nouveau peuple apprit peu à peu à composer avec la nature, à s’y dissimuler. Les tribus étrangères les plus proches finirent par être touchées par la culture gaëllienne et furent absorbées par cette dernière. Nous appelâmes cette période « l’Ere prospère », un temps de paix et de plénitude qui aurait pu être parfait sans nos prédateurs venus du ciel.
Les siècles passèrent, et les Sages de jadis qui nous avaient apporté la lumière, ou Ancêtres comme j’aime à les appeler, car ils appartenaient à notre passé et leur sang coulaient dans les veines de certains d’entre nous, furent peu à peu intégrés à nos croyances, nous nous mimes à les vénérer. De même, d’ailleurs, que chaque enfant ou adulte qui manifestait tôt ou tard des capacités surnaturelles.

Le peuple de paix, de bienveillance et d’entraide évolua progressivement vers quelque chose de sensiblement différent. Notre société avait tant prospéré que nous regardions désormais la plupart des autres peuples comme les primitifs que nous étions jadis. Outre notre capacité exceptionnelle à dissimuler nos villes là où nous étions quasiment invisibles (dans les montagnes, les forêts, sous terre…), nous avions conclu un marché avec les wraiths. Moyennant un tribut régulier d’âmes humaines et une limitation sur nos recherches spatiales, nous échappions aux sélections. Cela nous convenait, nous étions bien plus intéressés par notre environnement et la recherche sur la nature que nous vénérions que par les étoiles, d’autant que nous pouvions aisément nous déplacer d’un monde à l’autre par la grande porte des Sages. Mais le ratio d’êtres dotés de capacités magiques avait également cruellement baissé, allez savoir pourquoi… au moins, il était plus facile de dissimuler cette information aux wraiths qui n’auraient pas toléré l’existence de ces êtres d’exception. Il existait encore des peuples étrangers sur Orzan, sous-évolués, qui rejetaient notre influence. Nos contacts étaient limités avec ces derniers, nous les regardions de haut et de loin, comme les sauvages qu’ils étaient. Ils faisaient d’ailleurs de bons tributs lorsque nous manquions de prisonniers à offrir aux wraiths.

Nous avions désormais un contrôle total sur la Porte des Sages et les voyages étaient surveillés dans un sens et dans l’autre. Nous avions colonisé d’autres régions sur d’autres planètes, construit des temples et des habitations, et « fraternisé » avec des peuples extra-terrestres. Notre civilisation rayonnait comme jamais, ainsi que notre économie. Nous avions beaucoup à offrir aux autres, nous le savions, et nous en profitions pour asseoir notre domination sur les autres civilisations avec lesquelles nous étions alliées. Discrètement, en douceur, sans que cela se remarque, nous veillions à nous rendre indispensables auprès d’eux d’une manière ou d’une autre pour en tirer un quelconque bénéfice en retour.

Une société de classes

Notre société se découpe en plusieurs catégories sociales d’individus : les tarkis, les shayens, les Sept (Zeïns) et la Triarche.


-Les « sarkis », incarnent le bas peuple, la plebe

-Les « shayens » sont la noblesse gaëlienne, les « sangs purs » ;

-« Les Sept », ou zeïns, sont des shayens appartenant aux sept familles princières, les plus hauts nobles de Gaellie qui dominent tant sur le plan politique qu’économique. Les autres shayens incarnent la petite noblesse, des familles vassales aux Sept. Les chefs de chaque famille composent le Conseil des Sept ;

-La Triarche est une monarchie à trois visages, elle intercède pour rétablir l’ordre lorsque les Sept sont incapables de s’entendre. L’équilibre est précaire, la Triarche est un gage de stabilité et de paix.

Nous ne vivons pas dans un monde juste, pas de partage des richesses, du pouvoir, juste des puissants qui s’affrontent pour gagner toujours plus et un peuple qui récolte les miettes. Nous vénérons les Ancêtres, nous aimons profondément la nature que nous avons personnifiée et qui nous offre un refuge, et nous méditons régulièrement pour trouver la paix intérieure, mais voilà bien longtemps que nous nous sommes détournés de la voix des sages, celle qui, d’après ces derniers, aurait dû nous permettre de nous élever dans les cieux. Les êtres d’exceptions dotés de magie sont désormais si rares que les Sept se les arrachent. Lorsqu’un enfant développe des dons, sa famille gagne le droit d’intégrer les shayens tant l’honneur d’avoir donné naissance à un tel individu est grand, ou bien… elle peut vendre l’enfant à la famille shayen la plus offrante, après tout, un titre de noblesse ne remplit pas l’estomac.
… Pardon, vous ai-je dit que les tarkis avaient le choix ? Cela fait plus d’un siècle qu’aucun membre du peuple n’a été anobli de cette manière. Quand les Sept convoitent quelque chose, ils l’obtiennent d’une manière ou d’une autre.
Nous savons depuis peu que certains individus sont porteurs d’un gène les prédisposant à devenir des êtres d’exception, autant dire que les Sept se livrent désormais à une sélection drastique pour marier tel ou telle avec la bonne personne. Appelez ça de l’eugénisme, ils vous rétorqueront qu’ils ne font que rendre la société meilleure en lui donnant d’avantage de chance de faire naitre des enfants exceptionnels.

Et moi dans tout ça ?

Je suis née dans une ferme. Une famille très pieuse, bienveillante et travailleuse, faisant de son mieux pour s’en sortir. Je n’ai qu’un vague souvenir de mes parents et de ma fratrie, j’étais trop jeune. Je me souviens de la fierté et du chagrin dans leur regard quand j’ai manifesté le don pour la première fois, quelques jours plus tard j’étais arrachée à mon foyer. J’étais Aloyse Mayer, je suis devenue Emilia Alyssiara Zeïn’ Eidolas, une nouvelle identité pour une nouvelle vie… j’avais quatre ans. La tarki que j’étais eu un peu de mal à intégrer les codes sociaux de sa nouvelle famille, du jour au lendemain j’étais devenu l’héritière de l’une des sept familles, les Eidolas. On m’apposa le sceau sur la main, un joli gribouillis : un cercle stylisé pour les cycles de mort et de renaissance… (symbole de Mère Nature) et des ailes (l’ascension) avec une phrase en langage des Sages « Enfant des dieux ». Génial hein ? Comme ça tout le monde savait au premier regard que j’étais différente. Enfin, tous ceux qui connaissaient l’histoire de mon peuple et savaient déchiffrer les inscriptions.
Je grandis donc dans ma nouvelle famille, intégrant au moins en partie les valeurs de mon entourage. Des précepteurs m’enseignèrent des années durant tout ce que je devais connaitre pour être à la hauteur : musique, rhétorique, géographie, politique, sciences, littérature, etc etc. Mon don se limitait à soulever des objets de petite taille ou peu lourds par la seule force de mon esprit… waouh, comme si le fait de faire voler des stylos ou des livres était un phénomène incroyable. Pourtant, les Eidolas étaient fières comme des paons en se pavanant avec moi.
Je ne pouvais pas me plaindre de mon lieu de vie, un domaine dans une petite ville construite dans une immense grotte à ciel partiellement ouvert en plein cœur d’une montagne, un parmi tant d’autres appartenant à ma famille. Plusieurs shayens s’étaient réunis ici et avaient rivalisé d’inventivité pour installer une technologie qui donnait l’impression pour ceux qui volaient depuis le ciel de survoler une montagne fermée. Un chef d’œuvre. Mon peuple avait également creusé la terre jadis, créant un tas de bunkers et de logements souterrains ainsi qu’un réseau de tunnels qui sillonaient notre planète mère de part et d’autre tout autour des grandes villes. Du temps des sélections, nous pouvions ainsi trouver refuge au cœur de la terre. Désormais, les tarkis préféraient vivre à ciel ouvert, quant à nous autres shayens, nous n’avions guère confiance en les wraiths et préférions faire preuve de prudence, d’autant qu’il se racontait qu’une civilisation aussi évoluée, voire encore plus puissante que la nôtre leur livrait une guerre sans merci et les avait poussés à se retourner les uns contre les autres. Il suffisait que la ruche avec laquelle nous avions pactisé soit éliminée pour que la vague de sélection recommence… sans compter que nous préférions dissimuler nos lieux de recherches et notre technologie. Si les wraiths n’étaient pas les derniers des imbéciles, nous faisions notre possible pour ne pas tout leur dire… nous n’étions pas assez stupides pour leur accorder notre confiance, nous savions le sort qu’ils réservaient aux civilisations trop évoluées. Des villes en plein air et des laboratoires apparents leur étaient accessibles, mais nous veillions à ce que nos recherches les plus sensibles se fassent dans le plus grand secret là où personne n’aurait l’idée de les trouver, quitte à les délocaliser régulièrement.
J’évoluais donc dans un environnement privilégié et oubliais rapidement mon ancienne vie et tout ce qui la concernait. J’appris à agir avec dédain avec les tarkis, assistais à des tas de mondanités et de cérémonies religieuses… et puis il y eut cet évènement qui bouleversa mon quotidien. Un domestique nouvellement arrivé avait eu la bêtise d’agacer un Zeïn et je me retrouvais à assister à un tabassage royal en bonne et due forme. Nous évitions d’ordinaire d’exécuter nos employés, mais ce genre de scène arrivait parfois et, pour une raison que j’ignore, elle provoqua un déclic chez moi. Colère, terreur, injustice, je fus frappée de plein fouet par la violence de ces sentiments qui m’étaient étrangers et mes cris se mêlèrent à ceux de ce pauvre homme. Je sauvais probablement la vie de ce tarki en attirant l’attention sur moi, mais ce n’était que le début de ma torture. Plus les gens s’amassaient autour de moi et plus j’étais assaillie par une foule de sentiments qui me consumaient de l’intérieur et je souffrais le martyre. Je fus conduite dans un lieu calme où les meilleurs médecins d’Orzan se penchèrent sur mon cas. Lorsque les examens ne révélèrent aucune anomalie, ce furent les gens de foi qui vinrent à ma rencontre et le problème fut associé à ma particularité d’être d’exception, une forme de puissante empathie sur laquelle je n’avais aucun contrôle. Puisqu’il était évident que je devais apprendre à maitriser ce handicap ce nouveau don avant qu’il ne me tue et que la science n’apporterait pas de solution rapide au problème, mes parents et moi-même décidâmes de nous en remettre à la foi et au savoir des prêtres et prêtresses. À quinze ans, je disais donc au revoir à ma maison pour aller m’installer dans un temple niché dans une montagne et surplombant la mer, loin des villes. S’il me fut extrêmement difficile de m’habituer au rythme de vie de mes nouveaux hôtes, je finis par l’adopter et y prendre goût. À leur contact, j’appris à me réapproprier mes pensées et à garder le contrôle de mon esprit pour rejeter l’influence d’autrui. J’arrivais ainsi à garder un contrôle relatif sur ma nouvelle capacité ou tout du moins à ne pas la subir en permanence, il me suffisait de faire le vide dans ma tête.
L’enseignement des serviteurs des dieux m’aida à renouer avec moi-même, à retrouver une forme de paix intérieure. Les séances de méditation étaient salvatrices, de même que les longues marches en forêt ou le long de la mer où je posais une multitude de question à propos de notre passé, car j’avais compris que la vision des Zeïns était sensiblement différente de celle des prêtres. J’étudiais la langue des Ancêtres pour pouvoir comprendre les vieux textes et les gravures sur les murs, je cherchais des réponses sur les Sages, ce qu’ils étaient réellement et ce que cela faisait de moi qui manifestais de telles capacités. Mais je pressentais que je ne trouverais pas les réponses ici, ni ailleurs sur Orzan… Après tous, les Sages venaient d’ailleurs et nous n’avions que des informations très vagues sur leurs origines qui avaient donné lieu à toute sorte d’hypothèses farfelues et de légendes.
Alors que je ne pensais rester que quelques semaines ici, je m’y installais finalement pendant trois ans. Ma vision du monde avait évolué de manière significative, j’avais changé, et je nourrissais désormais des projets d’avenir que mon statut de Zeïn allait, je l’espérais, m’aider à concrétiser. Après plusieurs mois d’attente, ma mère avait compris que je n’avais pas l’intention de rentrer malgré son insistance et s’était résignée à m’envoyer un précepteur. Cela ne valait pas l’enseignement que j’aurai pu recevoir à Sombrelune, disait-elle, mais ce serait mieux que rien. Je profitais donc des connaissances spirituelles en plus d’une formation sur une multitude de sujets que ma famille considérait comme prioritaires. Pour ma part, je retenais surtout un amour passionnel pour l’étude et la compréhension de mon environnement et son altération en en modifiant les propriétés chimiques, ainsi que pour le corps humain. Je me demandais si ce n’était pas une piste de réflexion pour comprendre ma différence, mes capacités devaient bien se manifester d’une manière ou d’une autre à l’intérieur de mon organisme. Je voulais bien croire que j’avais été élue par une volonté supérieure pour guider mon peuple vers un meilleur futur, mais la gamine pragmatique que j’étais ne pouvais se contenter d’une explication aussi légère, je voulais plus.
Mon père et elle accueillirent mon retour avec joie, de même que mon frère cadet qui avait poussé comme un champignon en l’espace de trois ans. Moi qui croyais avoir maintenant le contrôle sur mon empathie, je compris pourtant dès mon retour que les choses allaient être compliquées ; j’étais loin des prêtres et prêtresses et de leur sérénité, j’allais devoir réapprendre à bloquer les émotions d’autrui que je recommençais à percevoir comme des agressions. Le travail que j’avais mené au temple me permit toutefois de garder un semblant de contrôle. Je réalisais à quel point les shayens étaient hypocrites, leur parole allait rarement dans le sens de leurs émotions. Véritable détecteur de mensonges sur pattes, je décidais que j’avais tout intérêt à apprendre à exploiter ma capacité pour évoluer dans l’aristocratie et deviner les intentions d’autrui. Ainsi, mon plus grand handicap social devint également mon arme la plus puissante. Hélas, la réalité me sauta également aux yeux : je ne me sentirai jamais totalement à ma place parmi les miens désormais, la toxicité de ces personnes me frappait de plein fouet.

Et je devins enfin majeure

Pour fêter mon vingtième anniversaire, mes parents me firent cadeau d’une mine de Lapis Arcus. Un excellent moyen d’apprendre à gérer mon argent et d’entrer dans la vie active disaient-ils, et ils avaient raison. Raffiné, ce minerai brillait de mille feux et présentait la particularité d’apporter une source de lumière perpétuelle, suffisamment puissante pour éclairer une maison ou une rue selon la quantité dont on disposait et, mélangé à certains composants, il permettait également de construire des murs pratiquement indestructibles. La mine me permit, à terme, de récolter une petite fortune et de réinvestir cet argent sur d’autres activités. Dans un premier temps, je décidais de financer les recherches sur notre passé en offrant un joli budget à l’université de Sombrelune pour qu’une équipe d’historiens et de scientifiques se lance sur les traces des Sages et trouve d’éventuels êtres d’exception ailleurs en arpentant les mondes. Jusqu’à présent, les explorations s’étaient faites avec une extrême prudence, car les shayens redoutaient de tomber sur des wraiths, il était temps de se montrer un peu plus audacieux. Mais cela ne me suffisait pas, je voulais aller plus loin et comprendre comment les pouvoirs s’exprimaient chez les individus sur le plan physique. Je me spécialisais donc dans l’étude des matières scientifiques que j’adorais, portant un intérêt tout particulier aux phénomènes physiques et chimiques et à la biologie. Quelques années plus tard, je rachetais un centre de recherche que je divisais en deux branches d’activité : d’un côté la bionique et la greffe, un secteur en plein essor qui se révélait rentable, de l’autre la génothérapie avec une branche dédiée à la recherche sur les êtres d’exceptions. Je n’étais pas la seule à m’intéresser au sujet bien sûr, mais les sujets d’expérimentation étaient rares et il était difficile de réunir des informations, car les personnes comme moi étaient intouchables dans notre société. Nous savions que certains individus dont je faisais partie portaient un gène qui les prédisposaient à obtenir le don, restaient à comprendre comment pousser ce dernier à se manifester et, éventuellement, tenter d’inoculer le gêne à d’autres personnes qui ne le possédaient pas.
Il m’arrivait parfois de me joindre aux expéditions de mes chercheurs lorsque ces derniers repéraient des ruines portant des inscriptions dans la langue des Sages ou lorsqu’ils croisaient la route d’un peuple qui avait des choses à raconter sur le sujet. J’y prenais goût, d’autant que nous en profitions pour ramener toutes sortes d’échantillons pour examen : des plantes, des pierres… mon peuple excellait dans le fait de tirer le meilleur de son environnement pour le mettre au service de l’humain, ce qui expliquait peut-être notre espérance de vie qui avait désormais atteint les cent-dix ans, notre médecine était plutôt bonne, surtout quand on avait les moyens financiers de s’offrir le meilleur. Les Zeïns vivaient nettement plus vieux que les tarkis et investissaient massivement dans la recherche médicale sans se contraindre aux questions éthiques, chacun d’entre eux espérant devenir immortel un de ces jours…

Et puis ce fut l’enfer

Je m’étais installée dans un village avec mon équipe, non loin de vieilles ruines. Nous passions nos journées à étudier ces dernières et nos soirées aux côtés des autochtones que nous avions amadoués avec quelques cadeaux. J’avais pris l’habitude de cacher mon tatouage avec des gants pour éviter les questions indiscrètes, c’était plus simple ainsi. L’une de ces fameuses nuits, je me réveillais avec un sentiment étrange, quelque chose clochait, tout était trop silencieux. C’est alors que j’entendis un bruit étouffé, une lutte… c’était discret, mais pas assez pour quelqu’un qui tendait l’oreille. J’imaginais sans mal le garde planté devant ma porte tenter de bloquer l’accès à ma hutte à un indésirable… Inquiète, je saisis la dague qui reposait près de mon lit et me dirigeais vers la porte derrière laquelle je me postais, l’oreille aux aguets. Je ne savais pas me battre, mais je n’aurai aucune hésitation à prendre un assassin par surprise et à lui planter un couteau dans le cou pour sauver ma vie. C’est d’ailleurs ce qui arriva. La porte s’ouvrit et une silhouette pénétra dans la pièce. À ses vêtements et la discrétion dont il faisait preuve, je sus aussitôt qu’il ne s’agissait pas de l’un des membres de l’expédition qui ne se serait jamais comporté de la sorte, je bloquais donc ma respiration et abattis l’arme dans le dos de l’intrus d’un geste ferme à deux reprises et il s’effondra avec un râle. Je ne comptais pas trop trainer dans le coin au cas où ce type déciderait de se relever. Risquant un coup d’œil dehors, j’avisais le corps du tarkis en charge de ma sécurité qui gisait au sol et le liquide s’échappant de sa gorge. Hé merde. Qui avais-je bien pu énerver ? Bien sûr, mon statut de Zeïn et d’héritière faisait de moi une cible pour beaucoup de personnes, les mobiles ne manquaient pas. À moins que ce ne soit toute l’expédition qui ne soit visée ? L’assassin était-il gaëllien ou étranger ? Et surtout… était-il venu seul ? Je jetais un regard autour de moi et tendit l’oreille, mais seul le silence me répondit. J’aurais pu crever là la bouche ouverte et personne n’aurait rien entendu… cette idée me dégoutait. Je tendis mon esprit vers l’individu dans ma hutte avec une certaine appréhension, car les émotions des blessés étaient terribles à supporter, mais je ne rencontrais que le vide, aucun sentiment. Soit il était mort, soit inconscient, en tout cas il n’était plus un danger. J’étais sidérée par ma chance insolente et décidais de m’accorder quelques secondes pour vérifier qu’il était bien mort. Plus de pouls… mais une forme à l’intérieur de son poignet, un tatouage familier… Et puis soudainement un bruit étrange suivi d’une explosion et des hurlements. Je me précipitais dehors pour assister à un spectacle d’horreur : des vaisseaux dans le ciel, le village embrasé, des gens qui courraient. Je n’avais jamais vu de darts qu’en photo, j’aurai été incapable d’assimiler le bruit de leur machine à ces monstres même si on m’en avait fait la description. Les gaëlliens étaient protégés par le traité, lorsque les wraiths venaient s’emparer des tributs, les êtres d’exception comme moi allaient de dissimuler dans les profondeurs de la terre par mesure de précautions. Je fixais le ciel d’un air abasourdi ; je venais d’échapper à une tentative d’assassinat et j’assistais maintenant à une sélection ? Mais c’était quoi ce destin pourri qui s’acharnait sur moi ?! La dernière ne remontait pourtant pas à si longtemps que ça, nous nous étions renseignés, mais il fallait croire que la guerre que ces monstres se livraient leur donnait faim.

-Des wraiths ! S’exclama l’un des membres de mon équipe qui s’était enfin réveillé. Mieux valait tard que jamais. Il faut partir !

Ce fut le coup de fouet qu’il me fallait et je retrouvais le contrôle de mon corps qui détala sans demander son reste. Hélas, pas assez vite pour esquiver le rayon qui passait par là.

On ne se réveille pas de ce genre de cauchemar

Désarmée, j’eus tout le loisir de pleurer sur mon sort dans ma cellule de fortune, au milieu des autres prisonniers. J’étais devenu du bétail bon pour l’abattoir, j’allais mourir incessamment sous peu. Que valait mon statut de princesse ici ? Rien du tout. Bon sang, mais qu’est-ce qui m’avait pris de vouloir partir à l’aventure, de vouloir reconstituer le puzzle de notre passé ? Mon obsession pour les Sages allait me couter la vie. À quoi me servaient mes pouvoirs ici ? À rien, je n’étais pas une guerrière. Pire, mon empathie était en train de me détruire. J’avais trop peur pour trouver le calme qui me permettait de repousser les émotions des autres et je les subissais de plein fouet, c’était une véritable torture. Le temps passa et mes compagnons de cellule étaient emportés les uns après les autres, je savais que mon tour viendrait bientôt. La peur de toutes ces personnes s’était profondément ancrée en moi et, lorsque les wraiths vinrent me trouver, cette souffrance s’était transformée en colère. Je savais que j’étais fichue, j’étais résignée à mourir, mais la princesse en moi garda la tête haute et je les insultais de tous les noms, leur souhaitait mille morts et tentait de les frapper. Bon sang, cela leur plut ! On me colla un émetteur dans le dos et me lâcha sur une planète. J’étais devenue la proie d’une partie de chasse, les wraiths avaient un drôle de sens de l’humour.

Cours, et ne reviens jamais

Je voulus rentrer chez moi, je savais que mon peuple possédait les moyens de m’ôter le traceur du corps. Mais en faisant ça, je risquais d’attirer la ruche là-bas et de provoquer une catastrophe. Par ailleurs, le souvenir de la tentative d’assassinat dont j’avais été victime était encore bien présent. Le tatouage sur le poignet de cet homme indiquait qu’il appartenait à un groupuscule gaëllien composé d’hommes et de femmes qui se faisaient payer pour tuer. Ces fous furieux agissaient dans la clandestinité la plus totale et étaient réputés pour ne jamais lâcher prise, tant que le contrat n’était pas rempli ils continueraient à m’envoyer des tueurs. Je pouvais briser ce cercle vicieux en trouvant le commanditaire et en l’obligeant à rompre le contrat, mais je n’étais pas franchement en situation de force pour mener une enquête avec cette saloperie qu’on m’avait implantée dans le dos. Débarquer sur Orzan ou sur l’une de ses colonies reviendrait à crier haut et fort à mes ennemis que j’étais là et en situation de faiblesse de surcroit. Les wraiths ou les assassins ? Bon sang, mais dans quel merdier je m’étais foutue ?

J’avais besoin de temps pour réfléchir, si je réussissais à rester en vie assez longtemps, les assassins mèneraient leur enquête et en déduirait que j’avais été sélectionnée. S’ils baissaient leur garde, je pourrais peut-être faire la traversée de la porte des Sages sans risquer de me faire cueillir de l’autre côté. Je n’étais pas une guerrière, mais mes connaissances scientifiques pouvaient m’aider à survivre. Je devais juste tenir le coup…
Et le calvaire commeça.

Données d'arrivée

VOIR PREMIER RP
Créé par Corah
Surnom : Corah
Âge : 26 ans
Comment avez-vous connu Atlantis Insurrection ? : Partenariat SGZ
Connaissez-vous les séries Stargate ? : Oui
Souhaitez-vous être parrainé ? :
Multicompte ?: Oui : Natasha Avalon
Code(s) du contrat : oki by sheppy
Envie de nous dire quelque chose ? : Coucou c’est moi ! Je tente quelque chose d’un peu nouveau et audacieux qui pourra peut-être être exploité sur de futurs évènements =)

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Cody Fuller
Caporal
Maître Chien
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√ Nationalité : Américain

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√ Messages : 578
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Liste de vos DC : Aucun

Mar 24 Juil - 3:01

Cody Fuller
Je suis la première à te souhaiter la bienvenue ? :O

Rebienvenue parmi nous avec ce personnage. J'espère que tu vas te plaire avec elle.

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Invité
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Mar 24 Juil - 17:55

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Re bienvenue sur le forum !

Je lance le dé, parcours ta fiche, et je te fais un retour =)

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Admin
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Bannière perso (image 901x180px) : Emilia Alyssiara Zeïn' Eidolas 1562430542-image-profil
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Mar 24 Juil - 17:55

Admin
Le membre 'Erin Steele' a effectué l'action suivante : Lancé de dés


'Gêne ATA' :
Emilia Alyssiara Zeïn' Eidolas Deata10
Résultat :
Emilia Alyssiara Zeïn' Eidolas Deatan10

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Invité
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Mar 24 Juil - 18:54

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Je n'ai pas eu la main heureuse sur ce coup là, j'espère que ça ne pose pas de soucis pour la cohérence de ton personnage aloeil

Alors sur la forme, rien à redire, toujours très bien écrit !

Sur le fond, pas grand chose à redire non plus wink

chevron Le caractère est bien détaillé, et on cerne bien le personnage. On sent que Madame n'est pas n'importe qui ! Mais elle est complexe et c'est bien, surtout avec l'ajout de sa faculté d'empathie qui vient modifier son caractère, ce qui est normal.

chevron L'histoire est complète. Je reste un peu sur ma faim, dans le sens où j'aimerai bien en savoir un peu plus sur ce peuple, tout ça, mais ce sont des possibilités de rp futures, donc c'est une bonne chose !
chevron Les facultés mentales (télékinésie et empathie) sont bien encadrées je trouve. Ça ne respire pas le grosbilisme à plein nez et je sens que, pour l'empathie, il y a plus de désagréments que de bénéfices. Pour la télékinésie, c'est un peu anecdotique non ? Il ne me semble pas avoir lu quelque chose en rapport tout au long du récit.

Niveau technologique, tu les placerais comment en terme d'évolution ?

Et du coup je suppose qu'une équipe SG te retrouverait en train de gambader dans les champs la truffe au vent avec ton beau traceur en guise de balise GPS pour tes maîtres ?

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Invité
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Mar 24 Juil - 23:38

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=> Olala, oui en effet. Ce sont les risques du hasard, tant pis, il faudra justifier cela en expliquant que le gêne ATA et celui qui prédispose à développer des pouvoirs n'ont strictement aucun rapport. Mademoiselle va tirer la tronche en découvrant qu'elle n'a pas hérité de toutes les caractéristiques de ses ancêtres dont elle est soit disant censée être l'héritière (ça promet un rp fun H1). Bref, je m'adapterai.

=> J'ai encore beaucoup à dire sur ce charmant petit peuple, mais je me suis limitée (la fiche fait déjà 10 pages). Cela dit, il est fort probable que je creuse tout ça sur une fiche planète un de ces jours, ce serait assez énorme de l'exploiter pour des évènements (selon comment évolue Emilia et ses relations avec Atlantis).

=> La télékinésie est anecdotite dans la fiche oui, je me suis nettement plus focalisée sur l'empathie qui a bouleversé la vie de la misstinguette. Cela dit, la capacité sera largement plus exploitée en rp car elle promet des moments de bons gros délires. Pas de grosbilisme non, j'ai horreur de ça. J'ai limité sa capacité à quelques kilos, mais on peut toujours en reparler sur skype pour définir cela plus précisément selon vos exigences. De toute façon je suis partie du principe que le personnage allait évoluer : son état mental impact considérablement sur le contrôle de ses dons, il et donc fort probable que sa maitrise et sa puissance fluctue selon ses états émotionnels qui, j'en suis sûre, vont beaucoup varier au fil des évènements. Je me tiens à votre disposition pour faire un point sur ses pouvoirs, je ne voudrai pas partir sur un délire perso qui ne vous satisfait pas.

=> Niveau technologique, ils ont évolué différemment des terriens. Ils seront plus avancés sur le plan médical (d'où l'espérance de vie nettement plus élevée, les greffes bioniques, etc...), ils ont une connaissance excellente de la faune et de la flore, et privilégient l'exploitation des énergies propres et renouvelables, ils se demmerdent bien avec les technologies de camouflage (dixit l'hologramme qui leur sert à camoufler la ville dans la montagne, ça donne un aperçu), par contre niveau ingénierie spatiale ils ont un retard considérable sur les atlantes (la faute au pacte avec les wraiths). Ca te suffit ou tu souhaites que je construise plus en détail leur niveau technlogique discipline par discipline ?

=> Yes, premier rp : une équipe SG va croiser une coureuse et pif paf boom. La suite on avisera en rp et ça promet beaucoup de fun biere

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Invité
Invité

Jeu 26 Juil - 11:28

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Avec tes précisions, tout me semble ok pour moi.

Pour le gène, oui elle ne sera pas parfaite, ça pourra la faire cogiter xD Et je pense qu'on peut trouver une autre explication à tout ça, en effet.

Pour les pouvoirs, en ce qui me concerne, ça va, je trouve ça logique que l'état mental ait une influence sur leur puissance, de même que la situation. Ce sera sans doute raisonnablement utilisé ^^

Je tique un peu sur le côté avancée technologique, mais je me dis qu'il faut bien découvrir d'autre peuple de ce genre là, et je pense que le potentiel sera exploité, donc ça devrait aller. Sans parler du fait qu'il y a une balance équilibrée je trouve entre ce qu'ils savent et ce qu'ils ne savent pas (d'un point de vue scientifique & techno).

Du coup, voici la première validation :

1ère VALIDATION / 3 — Félicitations, tu viens d’avoir ta première validation. Il en faut trois de la part des membres du staff pour que ta fiche soit classée dans les « candidatures acceptées ». Prends ton mal en patience cela ne va pas tarder

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Invité
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Jeu 26 Juil - 12:42

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C'est difficile de faire une balance équilibrée dans un univers où des méchants pas beaux te bombardent dès que tu es un peu trop fort. D'un autre côté je tenais à valoriser l'héritage Ancien et les quelques connaissances qu'ils ont pu récupérer et exploiter (peut-être des siècles plus tard, quand ils ont la connaissance suffisante pour en tirer parti). Ca m'étonnerait pas qu'il y ait un E2PZ qui traine là-bas et qui leur facilite la vie. Regarde à quelle vitesse les atlantes ont réussi à développer leurs connaissances en exploitant la ville où ils squattent. L'idée c'est pas de mettre les deux civilisations en concurrence, Atlantis est bien plus avancé sur le plan technologique. Le vrai point fort des gaëlliens c'est leur science, et notamment la biologie. Et ils se cachent pour faire leurs recherches, ils sont pas cons ils ont conscience qu'ils jouent avec le feu.

Ca reste un équilibre précaire, s'ils se sont pas trop fait bombarder la gueule c'est aussi grâce au pacte qui a été fait avec les wraiths. Ca m'étonnerait pas qu'un de ces jours les choses évoluent... mais ce sera en rp, parce que c'est beaucoup plus fun 8]

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Invité
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Jeu 26 Juil - 19:28

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Re bienvenu à ce double compte intéressant
Je suis en cours de lecture, je te ferrais un retour la semaine prochaine, comme je ne suis pas très dispo.
Mais le début me plait bien héhé :)1

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Invité
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Ven 27 Juil - 18:30

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J’aime attribuer des surnoms aux gens en fonction de ce que je ressens
OHH la copine :p tout comme les jambes en l’air :p

Bref passons aux choses sérieuses :
Le caractère est en effet très intéressant j’ai hâte de voir ce que ça donne en rp avec sa grande empathie et ces petites « bombes » orale. fun
Pour les compétences comme tu as pris celle des scientifiques change juste le titre stp.

Concernant l’histoire je n’ai rien à redire, il te faudra éditer suite à ce rp pour faire la suite et clôturer ta fiche

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Sam 28 Juil - 15:09

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Techniquement, j'ai chouravé deux compétences aux scientifiques pour les greffer sur celles des Pégasiens. Tu veux que je mette un titre genre "Peuple de pégase/scientifique" ?

Concernant le fameux rp, je suis censée le faire avant d'être validée ? Après ?

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Invité
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Mar 31 Juil - 11:04

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Techniquement, j'ai chouravé deux compétences aux scientifiques pour les greffer sur celles des Pégasiens. Tu veux que je mette un titre genre "Peuple de pégase/scientifique" ?
personnellement ça ne me gène pas vu la particularité de ta pégasienne

Concernant le fameux rp, je suis censée le faire avant d'être validée ? Après ?
Tu seras validée on te demandera après le fameux rp de compléter ta fiche et voilà :)1
On te fait confiance.

et comme j'avais oubliée :
2ème VALIDATION / 3 — Avec cette validation tu obtiens ta couleur et les portes du Flood du forum s'offrent à toi. Ta fiche est presque terminée, il ne te reste qu’un avis à obtenir.

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Invité
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Mer 1 Aoû - 19:06

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Et la dernière validation pour un personnage intéressant. On va voir ce que ça donne sur le premier RP, ça promet ^^

3ème VALIDATION / 3 — Validation finale ! Amuse toi bien chez les fous ! Tu peux faire ta fiche de « dossier personnel » et tu peux commencer à RP.

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Invité
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Mer 1 Aoû - 19:22

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Ton rang arrive prochainement =)

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Invité
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Dim 5 Aoû - 16:04

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Rang check + Poste

Bon jeu wink

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Invité
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Jeu 4 Oct - 11:30

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Holà mes loulous, c'est possible de tenter un nouveau lancé de dé pour le gêne ATA s'il vous plait ? =)

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Invité
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Jeu 4 Oct - 13:55

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Je te souhaite d'être chanceuse.

Et ?

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Jeu 4 Oct - 13:55

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Le membre 'Steven Caldwell' a effectué l'action suivante : Lancé de dés


'Gêne ATA' :
Emilia Alyssiara Zeïn' Eidolas Deata10
Résultat :
Emilia Alyssiara Zeïn' Eidolas Deatao10

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Invité
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Jeu 4 Oct - 13:55

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Félicitations !

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Invité
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Jeu 4 Oct - 14:19

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Nice, merci papi ! Voilà qui sera plus raccord avec le BG d'Emilia biere

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Invité
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Jeu 14 Mar - 19:26

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C'est l'ancienne fiche !
Merci de remettre RAPIDEMENT la fiche sous le nouveau format !

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