Gunter Kleinklaus

Carte d'Identité

Nom : Kleinklaus Prénom(s) : Gunter Âge : 39 ans Date & Lieu de naissance : 30 juillet 1977 à Thal (Autriche) Nationalité : Autrichienne État Civil : (Marié, divorcé, célibataire...) Célibataire Arrivée sur Atlantis : Renfort de début 2017 Poste occupé : Technicien Spécialité : Maintenance et éventuellement mise en oeuvre d'UCAV (Unmanned Combat Air Vehicle) bien que ses connaissances en aéronautique et mécanique puissent et servirons ailleurs.

feat :Arnold schwarzenegger

Informations Médicales

Groupe sanguin :

O-

Gène des Anciens :

(à remplir par l'administration après le lancé du dé)

Innoculation du gène des Anciens :

(à demander après un mois de jeu et à compléter après)

Pathologie :

(Diabète, asthme…) Non

Antécédents médicaux:

Si on exclut les blessures les plus banals comme son bras droit affaibli suite à plusieurs fractures plus ou moins consécutives, le monsieur n'a rien subis d'extraordinaire. Enfin, si on ne prend pas en compte ses doigts particulièrement abîmés et quelques traces de brûlures principalement sur les avant-bras et le haut du torse. Sa blessure la plus exotique ayant fait une grande marque au niveau de son dos, près de l'omoplate... Il a été perforé par le fuselage d'un de ces engins trafiqué et à très haute vitesse de son ancien club de modélisme, le joujou usant d'un moteur à combustion dernière génération boosté aux hormones... C'est comme une flèche moderne ou un carreau d'arbalète couplé à une mini fusée et c'est aussi impressionnant que classe, même si cela n'a pas le niveau de ce que pourrait vivre un militaire. Pour le reste, cela viendra certainement avec les aventures à vos côtés.

Personnalité & Objet choisi

Caractère :

Il faut bien commencer quelques parts n'est-ce pas ? Gunter sans être le stéréotype de l'homme perdu dans les livres et les ordinateurs qui n'a pas la moindre notion de contact humain, à tout de même quelques petits problèmes parfois pour exprimer, communiquer clairement. La première cause de cela est son incapacité tout à fait psychologique à transparaitre ce qu'il ressent. Il fera donc plus ou moins la même tête s'il est heureux, triste, en forme, morose ou autre. En fait, il y a tout de même quelques subtilités et mimique qu'une personne observatrice remarquera, mais sans un peu de temps c'est difficile. Ainsi il essaye de montrer par des expressions faciales faites exprès qui bien évidemment font très faux, donnant l'impression d'être face à un acteur qui sur-joue plutôt qu'une personne.

Pour faire son travail, cela nécessite évidemment un certain calme, une certaine patience aussi bien que cela puisse aussi se muer en une certaine passivité puisque celle-ci est trop grande. Agir après une mûre réflexion est toujours mieux, le problème vient quand celle-ci devient trop longue et empiète sur l'action ce qui arrivera certainement. Rien qu'une bonne claque derrière la tête, un cri un peu fort ou un petit objet envoyé dans sa figure ne saura faire s'arrêter tout de même. Dans la même continuité, quand il commence un projet ou a un travail particulier à faire il n'hésite pas à multiplier les heures passées dessus sans pause ou presque, une grande tasse de thé et c'est parti, pour la science ! Heureusement que son ou ses supérieurs sont la pour lui rappeler que se reposer fait aussi partie de son job et lui taper sur les doigts d'ailleurs, sinon a force il serait un vrai zombie d'atelier.

En parlant de personne au-dessus de lui et donc de hiérarchie, il y obéira autant que possible et dans la mesure de ses capacités il est conscient qu'une certaine organisation est de mise pour assurer le bien de tous et le contrôle de tout ce qui peut arriver ou même déraper... Car oui, il y aura toujours un moment ou tout bascule et il s'assurera de ne pas être le maillon faible, quitte à manquer un peu d'initiative, mais on ne peut pas tout avoir n'est-ce pas ? Est-ce que cela sous antan aussi un certain manque d'imagination, un peu tout de même, il ne manque pas de créativité, tout en sachant que parfois la "bonne vieille" méthode est suffisante, il aura ainsi du mal à aller de l'avant et se pousser à essayer de nouvelles choses sauf si cela devient rigoureusement nécessaire.

D'ailleurs, sa tendance à ne pas chercher assez loin se ressent aussi dans sa manière d'interagir avec les autres, même si cela ne se voit pas forcément. Si on lui présente une personne comme un allié ou un collègue de travail, alors ça lui suffira sans explication supplémentaire, tout comme un antagoniste le sera clairement à son esprit jusqu'à preuve du contraire. Nuance de gris ? Compliqué à interpréter ce genre de concept pour lui, pourtant, il n'est pas idiot, c'est juste qu'il préfère réfléchir à d'autres choses.

Langues :

Allemand ainsi que des traces de quelques années d'études en France.

Phobies :

Il a peur du vide... Non pas exactement, ce n'est pas la hauteur le problème, c'est la sensation de pouvoir tomber. Ainsi trop près d'une fenêtre, d'un balcon ou tout autre endroit au-dessus d'un certain vide, même une plaque d'égout ouverte sans un intermédiaire visuel comme un garde-fou ou un muret pour le rassurer l'handicape grandement... Bien qu'il y soit insensible par l'intermédiaire d'un écran. Ainsi que du sang, ce n'est pas lui qui se jettera sur votre blessure pour faire un garrot en urgence... Enfin pas sans un gros effort de volonté. En fait non, ce n'est pas le sang lui-même le souci, c'est la souffrance, voir une autre personne blessée lui coupe le souffle, fait battre son coeur à tout rompre et lui fait perdre au moins un instant ses moyens.

Objet choisi :

Une balle antistress stylisant/en forme de dinde.

Compétences

Compétences de bases	Compétences Secondaires
Corps à corps : 0 Maniement d'armes à feu : 0 Résistance à la douleur : 0 Pilotage : 6 Technologies : 6 Soins : 0 Esprit d’équipe : 0 Influence/leadership : 0 Sang froid : 5 Rapidité d’esprit : 0	Bricolage : 2 Mécanique : 10 Informatique : 2 Conception de technologie : 6 Ingénierie & conception (Drones) : 5 Résistance mentale : 0 Capacité d'explication : 0

Données d'un passé chargé

Une de consultation tout ce qu'il y a de plus classique, un fauteuil, un canapé et un homme souriant et courtois m'invitant à m'installer. Une invitation oui, mais pour quelque chose de bien plus grand que je n'aurais jamais pu l'imaginer même en étant conscient des enjeux de cette expédition. Cela ressemblait presque plus à ce que ferait une grande entreprise pour débaucher un ouvrier qualifié, j'étais tellement loin du compte... Je me souviendrai toujours de son accent a coupé au couteau, mais moins que le mien, j'avoue. Mais surtout, de sa cravate avec une tête de Mickey Mouse dessus.

Bien monsieur Kein... Klein... Kleincau...
Appelez-moi Gunter, ce sera plus simple.
Certes, donc, comme vous le savez monsieur... Gunter. Cet entretien est obligatoire dans le cadre du projet dont je fais partie et que vous pourriez intégrer suite à celui-ci. Avez-vous des questions avant que je ne commence ?
Aucune.
Bien, est-ce qu'il y a eu des évènements marquants dans votre enfance ?

Son sourire est avenant, sa voix douce, on dirait presque plus un ami qu'un thérapeute. À se demander si je ne suis pas devenu fou, peut-être que ma chemise trop serrée est une illusion cachant une de ses vestes nous forçant à faire un câlin à nous-mêmes ? Mais non, c'est la réalité et j'en suis bien heureux, mais je le serais davantage avec un verre d'eau fraiche... Enfin soit, c'est à ce moment-là que je me suis lancé.

Pas réellement. Je suis née dans un petit village en Autriche, Thal, le même qu'un célèbre acteur d'ailleurs bien que la ressemblance avec lui s'arrête ici en tout cas, je m'entretiens un peu, mais je suis loin d'avoir sa carrure... Au sens propre comme au figuré d'ailleurs. Un grand village paisible, on pourrait presque dire ennuyeux et cette dénomination serait tout à fait correcte d'un certain point de vue d'ailleurs. Même si j'ai rapidement déménagé au gré des affectations de mon père, Balduin était officier de la bundesheer autrichienne. Ma mère quant à elle à longtemps été employée dans une boutique de prêt à porter quand la situation de mes parents fut un peu plus fixe on va dire. Une enfance sans originalité dans les bagages de mes parents jusqu'à ce qu'ils se fixent à la périphérie de Vienne. J'imagine que vous ne verriez que peu d'intérêt à des anecdotes de cette époque.
Peut-être que si.
Bien... Jeune j'aidais dans un garage. Simplement parce que c'était amusant d'avoir mes mains dans des pièces mécaniques, dans le cambouis directement aussi on peut dire, inutile de préciser que cela amusait bien moins ma mère quand elle me voyait entrer les vêtements dans un état innommable. À force, j'avais eu le droit à un vêtement de travail trop grand pour moi ce qui faisait rire les autres. C'était une ambiance presque familiale, pas trop regardante sur qui faisait quoi tant que le travail était fait et de toute manière j'étais plus là pour porter une caisse de temps en temps et observer un ancien de l'atelier travailler en silence qu'autre chose. Enfin, jusqu'au jour où... Une machine qui n'avait plus de sécurité réglementaire depuis longtemps, un manque de vigilance d'un des mécaniciens plus aguerris. C'était un grand pour moi, un jeune pour eux, pas sympathique pour un sous qui faisait le pitre, désobéir aura étésa plus grande erreur et avoir perdu la main... Littéralement... N'aie pas amélioré son caractère. En voyant cet... Évènement...
Cela semble vous avoir marqué, prenez un instant pour respirer.
C'est si évident que cela ?

Je me demande quel est le premier indice qui la interpelé, mon teint blêmir comme si j'avais vu un fantôme ? Mon regard fixe vers la porte menant aux toilettes ou ces petits bruits de régurgitations se faisant messager d'un certain incident à venir... Pourtant, mon visage lui-même ne montre rien, pas de crispation, de mimique, rien de très visible en tout cas.

Vous allez mieux ?
Oui, désolé.
Ce n'est rien, continuer si vous le souhaitez.
Donc, ce Bert m'a démontré quelque chose d'évident. Être grand et fort est bien risible sans un enseignement approprié. Il fallait de la rigueur et de la discipline pour réussir.
C'est à ce moment-là que vous vous avez pris la décision de viser des études de mécanique ?
Non se fut la troisième, la première fut de changer de pantalon, la seconde de ne jamais au grand jamais approcher d'une faculté de médecine et la troisième effectivement, que j'étudierai un jour dans une grande école.

Ainsi, je me rappel de mon retranchement, j'étais devenu une machine, me fixant comme seul objectif de réussir. Comme si j'avais fait un pacte avec le diable, troquant une partie de mon humanité contre des résultats et un certain savoir-faire. J'avais même commencé à apprendre l'anglais, j'avais un objectif et je mi suis accrochée... Un oncle a l'étranger, ma clef vers la réussite. Même si cela fut dur long, mais c'était pour mon bien et mes parents ne faisaient rien pour me détourner du chemin de l'excellence, ils en étaient fiers...

Ainsi, tout cela vous a menée à Cambridge.
Qui aurait cru qu'un petit villageois puisse atteindre les bancs de l'une des meilleures universités d'Europe, n'est-ce pas ? J'avais des notes dignes d'éloges, j'ai passé l'entretien obligatoire et à ce moment, je parlais presque mieux l'anglais que l'allemand... Avec un certain accent tout de même. Je faisais partie du un peu plus de dix pour-cent d'étrangers admis au sein d'un des grands collèges de cet endroit.
Des notes tout à fait remarquables, sans être le meilleur, vous avez tout de même briller. Mais plus personnellement ?
Rien n'a signaler, tout ce qui sortait du cadre des études étaient une nuisance, j'étais peut-être trop irréprochable, le petit homme malingre et avec de grosses lunettes qui se fait embêter. Je ne me permettais que peu de détente et celle-ci avaient deux formes principalement : de fabuleuse ou pas réellement partie de cricket, excellent sport d'ailleurs.
Oh, vous prêchez un converti !
Ainsi qu'un petit rassemblement d'amateurs de mécanique, plus particulièrement de modélisme.
Le fameux "attentat" sur le bureau d'un professeur.

Je hausse un sourcil, suite à un petit instant de silence. Certainement le sourcil le plus expressif qui n'a jamais eu dans cette pièce.

Un accident, regrettable, mais tout de même non-volontaire.
C'est vrai que le modèle a explosé ?
Ce n'est que dans les films d'action que les réservoirs à essence explosent... Mais oui, je dois avouer que je n'ai pas compris comment on a pu se tromper à ce point.

J'émets un rire faux, lent, qui semble forcé alors que ce n'est pas le cas. Cela met le bon docteur mal à l'aise un instant avant qu'il me rejoigne. C'est vrai ça, comment un modèle réduit a bien pu exploser ? Peut-être que ce n'était pas réellement un accident ? Mais si c'est le cas, le coupable ne fut pas publiquement désigné. L'affaire fut d'ailleurs vite étouffée et la seule réelle victime fut le bureau le plus vieillot et laid que j'ai vu de mon existence.

De hautes études, un beau parcours et même quelques péripéties. Et ensuite ?
J'avais le choix : poursuivre des études ou un programme de recherche.
Finalement, un Doctorat en Génie mécanique donc.
Je m'en suis parfois arraché les cheveux, certains sont des génies, les autres doivent travailler d'arrache-pied. C'est depuis cette époque qu'il me suis partout.
Il ?

Je sors d'une poche ce qui ressemble presque plus à un jouet pour chien, une petite dinde en plastique ou en mousse d'un point de vue externe, mais qui ne fait pas de bruit quand on la sert.

Une balle antistress, avec le thé se fut mon meilleur allié pour survivre à ces rudes années.
Et le sujet de la thèse ?
Développement des méthodes et du traitement des interactions corps dur/corps mous - Application au crash, aux collisions ou aux chocs...
Intéressant.
Non, barbant et tristement académique, mais c'est ce qui plaisait à ceux qui devaient décider de mon avenir, alors j'ai fait exactement ce qu'on m'a demandé.

Il me fait un sourire entendu, le mien arrive en retard et donne plus l'impression de voir un élève grognon qui se retrouve à la photo de classe.

Si je suis bien, Autriche, Royaume-Uni, France et ensuite puis les États-Unis ? Quel parcours.
J'imagine que je tiens ma tendance à bouger e mon père, même si pour le coup, c'était sur une plus grande échelle de temps ou de distance. Il y a un point où on ne peut plus continuer de simplement étudier et où on commence à travailler. J'ai eu un contact avec l'entreprise qui m'a employé jusqu'à maintenant. Une fois obtenue ma carte de résident permanent aux États-Unis, j'ai intégré Skunk Works.
En toute indiscrétion, vous avez déjà approché un des sentinel ?
Le RQ-170 ? Peut-être.

Enfin s'il pense que c'est la seule chose qui fut et est développée dans le bureau d'étude Skunk Works de Lockheed Martin pour l'US Air Force... Sentinel, Raptor, Blackbird et bien d'autres choses existent ou ont simplement était créer sous forme de prototype, certains ont vue la lumière du soleil, d'autre resteront sous la forme de plan blanc sur bleu jusqu'à la fin des temps, ou leurs destructions. La discussion se poursuit, mais finalement, le plus important fut ce moment.

De bien belles références. Mais maintenant qu'on a fait le tour de cela. Pourquoi ?
Pourquoi ?
La question la plus importante, pourquoi cette expédition ? Qu'est-ce qui motive ce choix, cette demande même ?
La même raison du pourquoi au fond, j'ai tellement bougé dans mon existence, pourquoi je suis légèrement nomade. Le voyage ? L'inconnue peut-être, j'ai vu au travers les caméras, les commandes de drones des lieux étranges, de loin certes. Je me demande, non, j'imagine, déjà ce que je pourrais découvrir là-bas.
L'exotisme, vous vous doutez que vous ne serez pas forcement toujours derrière un écran n'est-ce pas ?
J'imagine que vivre soit même cette différence est plus marquant de toute manière.
Certes. Mais êtes-vous réellement prêt à vivre tout cela ?
Personne n'est réellement près à cela n'est-ce pas ? D'ailleurs, avez-vous déjà ?
Cela ne fait mal qu'au début, ne vous inquiétez pas.
Pardon ?

Il se met à rire, l'entretient se poursuis un petit instant et finalement se conclut par une poignée de main et de grands espoirs... Et une certaine appréhension aussi du coup.

Comment votre personnage a-t-il vécu le moment il a pu poser les pieds sur Atlantis ? Ses premiers pas sur la Cité des Anciens ? :

(Passage important et obligatoire de votre histoire, c'est pour cela qu'il faut le mettre à part afin qu'on comprenne bien son état d'esprit à ce moment-là)

La porte des étoiles, ce sera pour une prochaine fois. Je ne sais pas si c'était moins ou plus impressionnant, mais voyager dans le Dédale n'était pas moins une expérience extraordinaire. Je quitte à peine ses passerelles froides et impersonnelles. Mon premier pas sur Atlantis, la cité des anciens, je ressens quelque chose de fort m'envahir alors que je me tourne vers le mur le plus proche. Je n'ai pas la moindre expression sur mon visage, pourtant, je vais vers celui-ci et pose ma main dessus comme pour m'assurer que tout ceci est réel. J'esquisse un très léger sourire naturellement, l'instant est tellement marquant qu'il en arrive même à faire ce que beaucoup d'autres expériences dans ma vie n'a pas réussi à faire.

On me hèle, me rappelant que j'ai mieux à faire. Je suis la personne qui m'a interpellé tout en ayant le regard baladeur, non pas sur les personnes, mais bien sûr ces extraordinaires structures, je n'imagine même pas encore tout ce que je vais découvrir et vivre ici, même sans ça je sais que ce sera quelque chose d'unique et dont seuls quelques rares élus ont eu le privilège. Janvier 2017 du calendrier terrestre, moi et ma dinde antistress somme allés plus loin que jamais, par-delà les étoiles même et pour une fois dans ma vie je laisse mon esprit légèrement vagabonder alors que je suis rassemblé avec les nouvelles arrivées.

Presque un mois a traversé les étoiles et sans surprise, on a le droit à un léger discours de bienvenue, l'humanité comme moi, aime ses petits rituels n'est-ce pas ? Une fois fait et juste avant d'aller au bureau des affectations, je revois une certaine connaissance et lui serre volontiers la main. Décidément, il l'aime sa cravate Mickey Mouse. En même temps, je ne suis pas mieux avec ma balle antistress en forme de dinde, ça le fait bien rire de me revoir avec. Finalement, je vais recevoir ce qui sera mon travail par-delà la galaxie. Dans un sens, faire ce que je fais de mieux me permet d'avoir un pied en arrière, alors que ce lieu étrange et nouveau est lui un pied en avant, le tout maintenant un équilibre salutaire. Un nouveau chapitre, une nouvelle page, une nouvelle vie et peut-être même une grande aventure.