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Corvée de psy... Clin d'oeil de tata Cathy

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Sam 20 Aoû - 15:20

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Corvée de psy... Clin d'oeil de tata Cathy


Corvée de psy... Clin d'oeil de tata Cathy Psy10



Arborant les couloirs de la cité, tel un spectre errant dans un vieux manoir, le Docteur Langford songeait à cette entrevue qu'il avait eu avec Mademoiselle Riker la veille au matin. Il est vrai que cela faisait plus d'un mois que Marc n'avait pas donné signe de vie à la jeune cadre de l'administration, chargée du pôle archéologique de la cité. Le Docteur avait beaucoup de mal à se concentrer sur son travail depuis son retour de PRA-127 dîte "La Fantastique", pourtant pas si traumatisante que ça, l'espèce de poulet volant ne lui donnait pas de cauchemar et il n'était pas non plus vexé par sa défaite à la course avec Sheppard. Il gardait plutôt un bon souvenir des visions délirantes de Coralie Deltour suite à sa piqûre d’araignée. Non, son humeur maussade était dû à tout autre chose, plusieurs même en réalité. A son retour sur Atlantis, il voulut raconter le déroulement de la mission à la plus belle rencontre qu'il est faite depuis le début de cette aventure, Lily. Seulement, lorsqu'il se rendit à son bureau ainsi que ses quartiers, il ne vît que des pièces vides et il s'est alors empresser de jeter un œil à sa boîte de messagerie sur le réseau Intranet mais aucun courriels de la belle informaticienne n'apparaissait. Elle avait quitté le programme sans laisser de traces, bonne hackeuse qu'elle est et la connaissant un peu, il se dit qu'elle pensait que ce devrait être plus facile ainsi. Pour rien n'arranger à tout cela, le jeune archéologue avait reçu des nouvelles peu rassurantes de son père malade, son cancer s'étant aggravé, il avait été transféré à l'Hopital d'Ottawa et Marc n'arrivait pas à s'armer de courage pour aller le voir, surtout que le temps qu'il arrive, il serait sûrement trop tard. Alors depuis quelques semaines, il se laisse aller à ses tourments s'isolant régulièrement et voguant entre ses quartiers, son bureau ou les digues de la cité. N’émettant plus de rapports de recherche depuis presque trois semaines, mademoiselle Riker, avec qui il avait pris l’habitude de parler en français, essaya de le contacter en vain. Après avoir bombarder sa boîte mails, elle tomba sur Langford et le somma d’aller voir le Docteur Stanford avant d’en avertir la psychologue. Après une journée de réflexion, il se trouvait là, devant la porte d’une psy comme quand il avait douze ans hésitant à frapper pour entrer. Il aurait préféré passer outre mais son travail était bien plus important qu’une affaire d’égo, puis le Docteur Jackson comptait sur lui. Alors c’est avec la boule au ventre qu’il toqua sur la porte ouverte avant de remettre ses mains dans les poches.

**Ah ces femmes, elles me font faire n’importe quoi ici… Bon souris, montre que tout va bien, en vingt minutes c’est réglé…**

« Bonjour, Docteur Stanford, je suis le Docteur Marc Langford. Mademoiselle Riker m’envoie vous voir. Je peux entrer ? »

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Mar 23 Aoû - 14:48

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❝Corvée de psy... Clin d'oeil de tata Cathy.❞
Marc & Evelyn

J'ai enfin pu me remettre au travail pour de bon. Depuis que je suis rentrée de la mission pour trouver un nouveau site Alpha j'ai eu beaucoup de mal à me remettre dans le bain. Contrairement à la première mission, j'ai mis beaucoup plus de temps à récupérer pour celle la. Même si j'ai vécu des choses... des choses un peu traumatisantes sur le site alpha, je crois que le fait d'avoir revu mon ex mari, même si ce n'était qu'une simple hallucination, m'a mis un coup au moral et depuis, à chaque fois que je ferme les yeux, je le vois, debout devant moi. Il murmure mon prénom et quasiment toutes les nuits, je revis cette scène encore et encore. J'essaye de lutter contre l'envie de me prendre quelque chose pour dormir mais le manque de sommeil risque de ne pas tarder à se faire sentir. En fait, les seules fois où je dors à peu près convenablement, c'est quand je suis avec John. Et encore, il m'arrive de rester réveiller plusieurs heures et de rester dans le noir à l'observer. Malheureusement, John ne peut pas rester avec moi toutes les nuits...

Debout devant la grande baie vitrée qui donne vue sur l'océan, je croise les bras. J'aime tellement cet endroit... Au moins il aura permis une chose, c'est que je commence enfin une vie plus saine... Si Dan vient à sortir de prison, il n'a aucune chance de me trouver ici. Je me racle la gorge et j'avale une gorgée de mon thé encore fumant. Je grimace quand ma cheville me fait comprendre que je suis assez restée debout pour le moment et je finis par aller prendre place derrière mon bureau. Je pianote sur mon ordinateur et j'essaye de penser à autre chose qu'à toutes ces visions qu'il m'arrive encore d'avoir la nuit. Je retire la veste de l'expédition aux couleurs de mon secteur, pour me retrouver en tee shirt. Alors que je regarde qui est mon rendez-vous suivant, quelqu'un frappe à la porte. D'ailleurs, j'ai complètement oublié qu'elle était ouverte. Je me lève de ma chaise et je me dirige vers le nouvel arrivant, la main tendue.

- Bonjour Docteur. Appelez moi Evelyn je vous en prie.

Sourire aux lèvres, je m'efface pour le laisser entrer dans mon bureau avant de refermer la porte derrière lui. C'est assez étrange, mais son nom de famille me dit quelque chose, j'ai l'impression de l'avoir déjà entendu quelque part. Je met ces interrogations dans un coin de ma tête et je fais signe à mon patient de l'heure de prendre place là où il le souhaite. Je boite encore un peu, mais rien de bien méchant.

- Désirez vous boire quelque chose avant qu'on commence ?

Et oui, je suis psy mais il m'arrive de temps en temps de me convertir en serveuse pour que mes patients se sentent plus à l'aise.

- Que me vaut votre visite Docteur ?


© Pando

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Mar 23 Aoû - 18:31

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Le Docteur Stanford quitta sa chaise de bureau pour accueillir le jeune archéologue, encore dubitatif quand à sa présence ici. Malgré l’opinion du Docteur Langford, il devait passer par cette étape pour que mademoiselle Riker arrête de l’enquiquiner et afin qu’elle puisse autoriser Marc a continué ses recherches. Il serra la main d’Evelyn, comme elle voulait qu’il l’appelle, avec une poigne quelque peu ferme pour dégager son assurance auprès de la psychologue de cité. Il espérait masquer son mal être du moment et accélérer cet entretien qui risquerait d'être une véritable torture pour le jeune québécois. Lorsqu’il sentit la porte se refermer derrière lui, Langford ne fut quand même pas rassuré, il était piégé dans un bureau avec une femme qui allait poser une série de questions gênantes.

**Ca y est… Tu es fais comme un rat… Garde ton calme, j’ai bien survécu aux rebelles maliens, ce ne doit pas être pire que ça…**

Le Docteur Stanford l’invita à s’asseoir avant de lui proposer de boire quelque chose. Plus de savoir-vivre que ces rebelles déjà songea le professeur Langford. Puis ce ne serait pas de refus, après l’entrevue avec Riker, il devait se détendre pour ne rien transparaître face à cette tortionnaire cérébrale.

« Euh… Oui, volontiers, vous auriez du thé? »

Langford, très observateur, remarqua qu’Evelyn boitait légèrement alors Marc vit peut être là un sauf-conduit pour s’échapper des entrailles de cette caverne lugubre où réside la sorcière du psyché. Soudain, Marc imagina Stanford en enchanteresse avec une canne (puisqu’elle boite) triturant sa cervelle à la recherche de souvenirs de son enfance entouré d’une fumée d’encens et des chants magiques. Le sourire aux lèvres, Langford prit sa tasse de thé avant de voir « l’enchanteresse » s’asseoir dans son fauteuil lui demandant le sujet de sa présence dans son bureau.

« Surprenant, je pensais que mademoiselle Riker vous avait déjà prévenu de la raison de ma présence ici. En fait, nous avons eu une entrevue tout à l’heure au sujet du retard que j’ai pris dans mon travail. Elle est persuadée que je suis tourmenté en ce moment et franchement, qui ne l’ai pas ici. Elle aimerait que vous lui confirmiez que je suis bien apte psychologiquement à continuer mes recherches, plus que déterminante soit dit en passant. »

Il but une gorgée de son thé pour hydrater son larynx avant de continuer tout naturellement. Il ne fallait pas que Marc discrédite la directrice administrative du pôle archéologie, ça aller sûrement lui retomber dessus puis ce n’était franchement pas crédible.

« Bon, je lui ai peut être parler de mon père, on lui décelé un cancer il y deux ans et son état de santé s’est aggravé depuis trois semaines. Elle est donc convaincue que cela nuit à mes recherches. Bon c’est vrai que j’y pense un peu… J’y pense beaucoup en fait, normal, c’est mon papa… »

Lorsque Marc lâcha le mot « papa », il marqua spontanément une pause touché en plein cœur. Il sentit son nez commencer à le gratter et ses yeux s’humidifièrent légèrement sans libérer de larmes pour autant.

**Oh oh retiens-la, un peu de fierté Langford! Enchaîne pour qu’elle ne s’attarde pas sur ça…**

« Mais ma dernière image de lui est ce week-end dans son chalet, près des chutes de Montmorency, vous connaissez? J’aimerais garder cette image en tête et non, un être affaibli par la maladie et c’est mieux comme ça. Mais mademoiselle Riker ne le comprends pas… »

Deux semaines avant de partir pour une île perdue du Pacifique (en fait, la cité d’Atlantis), Marc avait profité du week-end pour investir le chalet familiale à quelques kilomètres de Montréal avec ses parent, son aîné Daniel et sa cadette Sarah. Ils avaient prit pour habitude de prendre la barque, tôt le matin, pour aller dans le lac. Le soir, William, son père, racontait de belles histoires autour du feu ou leur décrivait les étoiles.

**Ah si tu savais…**

C’est ces moments-là qu’il aimerait graver dans sa mémoire même s’il est tiraillé par cette situation, il ne voudrait pas être écarté du projet, Daniel Jackson compte sur lui pour mener à bien ces travaux, Marc ne veut surtout pas décevoir cet homme que sa grande tata respectait tant.

« Voilà, si vous vouliez bien lui expliquer comme ça je retourne à mon travail, vous au vôtre et mademoiselle Riker est satisfaite. »

**Satisfaite car elle sera rassurée ou satisfaite d’avoir exercer son autorité sur le « rebelle » Langford…**

Le jeune archéologue espérait avoir été convaincant, il avait l’impression que sa place dans le programme « Atlantis » dépendait de la décision du Docteur Stanford. Il se remémora ses derniers mois, ses aventures derrière la porte des étoiles, le combat des Genii sur l’ancien site Alpha ou l’attaque du pigeon hurleur sur les îles célestes de P2A-127… C’était marrant… Puis il y avait cette belle informaticienne qui était apparut aussi vite qu’elle avait disparut… Langford commençait à s’attacher à ses crêpes au chocolat…Mais il ne servirait sûrement pas à grand chose d’en parler. Elle aura eu le mérite de lui faire oublier Abril…

**Bon je ne vais pas me refaire ma vie dans ma tête non plus…**

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Jeu 25 Aoû - 15:10

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❝Corvée de psy... Clin d'oeil de tata Cathy.❞
Marc & Evelyn

Du thé, pas de soucis. Je m'occupe de lui préparer sa boisson chaude tout en prenant soin d'observer mon nouveau patient. C'est la première fois que je le vois, je crois même ne l'avoir jamais rencontré dans la cité. En même temps, elle est tellement grande que c'est presque improbable de croisé tout le monde. Enfin bref, je ne suis pas là pour parler de ça. Une fois le thé prêt, je dépose la tasse fumante sur mon bureau, face à lui et je reprend place dans mon fauteuil. Ma main attrape mon crayon et je me met à gribouiller quelques notes. Alors que je m'aprête à ouvrir la bouche pour essayer de le décoincer, le voilà qui se met à parler à vive allure et il me faut quelques secondes avant de pouvoir suivre comme il faut le fil de ses mots. En voilà un qui a soit aucune difficulté à à parler avec un psy, soit une folle envie de venir à bout de cet entretien. Mademoiselle Riker, mais oui j'ai reçu son mail toute à l'heure en plus. Quand je dis que le manque de sommeil commence à avoir des conséquence, ce n'est pas une blague. J’acquiesce pour lui faire comprendre qu'effectivement elle l'a bien fait. Je l'observe pendant qu'il boit une gorgée de son thé et je hausse un sourcil quand il se remet une nouvelle fois à parler à vive allure. Ma foi, ça me change un patient comme ça, au moins, je n'ai pas à lui tirer les vers du nez et c'est une bonne chose.

J'essaye de ne pas trop montrer d'émotion quand il me parle de son père malade. Je sais à quel point ça peut être dur d'avoir un proche malade et cette distance qui sépare. Après avoir prononcé le mot "papa", Langford s'arrête de parler quelques secondes et je crois même pouvoir déceler une envie de laisser libre court à son chagrin. Je ne dis rien, je le laisse réagir comme il l'entend. Il préfère continuer et je le laisse faire. Sans le quitter des yeux, la mine de mon crayon glisse doucement sur le papier de mon cahier. Alors que je pense qu'il va encore se mettre à parler de tout et à une vitesse folle, il me demande si c'est bon pour moi et si il peut repartir au travail. J'écarquille les yeux et je le fixe quelques secondes.

- C'est à moi de dire si c'est bon ou non Docteur Langford... Je le lève de mon fauteuil, sourire aux lèvres et je vais me resservir une tasse de thé. - Et je pense que cet entretien est tout saudf terminé si je peux me permettre.

J'ai la réponse à ma question. Monsieur parlait à vive allure dans l'unique espoir de mettre rapidement fin à cet entretien. Dommage pour lui, je suis plutôt du genre à aimer prendre mon temps et ça, surtout pour mon travail. Je retourne m'installer dans mon fauteuil et je lui souris.

- Je ne peux pas me permettre de bâcler mon travail et en temps qu'archéologue, je suis sûre que vous comprenez n'est ce pas.

Qu'il ne me dise pas non parce que je ne vais pas le croire. Je me souviens encore de mes parents et de leurs fouilles et du temps qu'ils prenaient pour faire les choses convenablement. Mon père me disait souvent que la patience était sûrement une des qualités principales chez un archéologue. D'ailleurs, je n'arrive pas à me sortir son nom de la tête et cette sensation de le connaître devient trop envahissante à mon goût. Je plisse les yeux et je le fixe quelques secondes.

- Désolée de vous demander ça, mais est ce que vous avez un lien de parenté avec Catherine Langford ?


Je dois sûrement me faire une fausse idée mais j'ai besoin d'en avoir le coeur net.

© Pando

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Sam 27 Aoû - 17:04

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Tentative d’évasion échouée, le Docteur Stanford avait l’air bien décidé à lui tirer les vers du nez pour en savoir un peu plus sur sa santé psychologique. Le piège s’était refermé, tel une tarentule ayant tissée un cocon autour de sa proie, la psychologue s’apprêtait à cuisiner le petit Langford aux petits oignons. Marc n’était pas enthousiaste à l’idée de triturer, macérer ou encore déglutir son passé chaotique mais elles avaient remporté une bataille sur le jeune archéologue, il ne pouvait plus échapper à cette séquestration.

**Raté… Bravo, mademoiselle Riker, je suis obligé de m’incliner… Pour cette fois…**

« Très bien, si vous pensez que ce n’est pas terminé. Faîtes donc votre travail, Docteur, si vous pensez que c’est nécessaire. Bien sûr que je comprends, je comprends que je n’ai pas le choix en fait…. »

Étudier le passé d’individus inconnus d’une civilisations disparues était une véritable passion pour Langford mais fouiller dans le sien était tout autre chose. Du point de vue de Marc, on en a vite fait le tour du sujet : vie sentimentale désastreuse et vie professionnelle plutôt réussie, sinon il ne serait pas ici. A moins qu’elle cherche dans son enfance à Montréal et les quatre cents coups qu’il a fait avec son grand frère ou quand ils martyrisait la jeune Sarah. Bref, il ne savait pas du tout par où Evelyn allait démarrer sa série de questions. Il avala sa salive imaginant les subterfuges que la disciple de Freud allait utiliser pour s’attaquer aux chantiers « Langford ».

**Elle a intérêt à avoir les épaules solides, je ne vais pas parler comme ça.**

Le jeune québécois se voyait comme dans un château fort médiéval, imprenable, renforcé avec des meurtrières pour se défendre. Il faudra que le Docteur Stanford use de stratagèmes militaires sophistiqués pour passer les remparts et contrer les flèches enflammées descendant des tours de la forteresse. Deux options s’offraient à Langford, soit il donne un tribu pour que l’ennemie rebrousse chemin mais la psychologue n’avait pas l’air coutumière des pots-de-vin, soit il lui livre une partie du butin en gage de sa bonne foie, histoire que la charogne des souvenirs est de quoi se mettre sous la dent.

**Ô Grande Prêtresse de Freud, vous ne passerez paaas…**

Puis contre toute attente, le Docteur Stanford changea de sujet en lui demandant si il avait un quelconque lien de parenté avec le Docteur Catherine Langford. Marc ne voyait pas tellement le rapport avec leur entretien mais tant qu’elle ne plongeait pas dans sa tête, il était ravi de pouvoir parler d’autre chose, surtout de sa respectable grande tante.

« Euh… Vous avez dû voir son nom dans les rapports au tout début du programme « Porte des étoiles », c’est ça? Oui, c’est la tante de mon père et c’est elle qui m’a fait découvrir ma passion pour les civilisations anciennes et les antiquités. Pourquoi cette question? Rassurez-vous, je pense qu’il n’y a eu aucun piston pour obtenir mon poste sur Atlantis. C’est suite à une découverte prometteuse que j’ai faite en Irak que le Docteur Daniel Jackson m’a permis d’intégrer le programme et nullement parce que je suis le petit-neveu de celle qui a mené le projet de recherche sur la porte ou l’arrière petit fils de celui qui l’a découverte à Gizeh.»

Il est vrai que le Docteur Langford était assez fier que sa famille aie participé aux prémices des recherches sur la porte des étoiles. Lorsqu’il a appris cela l’année passée, cela lui a donné un peu plus de pression car il devait être à la hauteur des Langford qui lui ont précédé. Il avait tout de même la crainte que des personnes croient à tord qu’il avait obtenu sa place sur la mythique cité des Anciens grâce à cela alors qu’il avait simplement découvert une tablette d’argile présentant des anomalies historiques et des symboles répertoriés nul part à sa connaissance. Heureusement que Marc avait gardé contact avec le Docteur Jackson, il ne serait sûrement pas là aujourd’hui.

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Mar 30 Aoû - 15:29

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❝Corvée de psy... Clin d'oeil de tata Cathy.❞
Marc & Evelyn

Langford.... Je n'arrive pas à détacher ce nom de ma tête et c'est assez désagréable comme sensation. Pourquoi est ce que j'ai l'impression de la connaître et de l'avoir déjà vu quelque part ? D'ailleurs, le Docteur ne manque pas de me rappeler que ce nom est celui qui est à l'origine du projet porte des étoiles et que c'est sûrement de là que je le connais. J'aurais très bien pu me contenter de cette réponse mais non, il y a quelque chose de plus dans cette histoire et je me connais, si je ne suis pas fixée le plus rapidement possible, ça va me prendre la tête pour toute la journée. Le Docteur Langford me précise ensuite que la dame qui est à l'origine du programme est aussi la tante de son père. J'écoute avec soin ce qu'il me dit et j'ai plein de souvenirs qui me reviennent en mémoire, comme l'été que j'ai passé en Egypte sur une fouille de mes parents... Il y avait une dame d'un certain âge, elle venait souvent voir mes parents d'ailleurs...

- Je ne sais pas pourquoi mais j'ai l'impression de la connaître... J'ai plein de souvenirs en tête avec mes parents et dans presque chacun d'eux, elle est là...

C'est assez perturbant comme sensation. Pourquoi cette impression ? Pourquoi est ce que je me remet à penser à tout ça ? D'accord, tout ces souvenirs sont des souvenirs joyeux, mais ça me fait flipper de me souvenir de cette personne alors que jusqu'à présent je n'y avais jamais fais spécialement attention. Je me racle la gorge, perdue par tout ce qui me traverse la tête.

- C'est sûrement rien, mais quand je passais mon temps à jouer sur les sites de fouilles où travailler mes parents, il y avait cette dame....

Je me met à mordiller le bout de mon crayon et mon regard se perd au loin alors que moi, je me perd dans tout ces souvenirs. D'ailleurs, plus j'y repense plus je me souviens d'un autre couple qui participait aux mêmes fouilles que mes parents. Je plisse les yeux quelques secondes avant de fixer le Docteur Langford qui n'a pas l'air de trop comprendre ce qu'il se passe.

- Est ce que par hasard vous vous souvenez des gens avec qui vos parents pouvaient travailler ?


Je décide de ne pas trop en dire pour le moment, on sait jamais. Je suis peut être en train d'halluciner ou alors c'est mon manque de sommeil qui commence à me jouer des tours. Je croise les bras, j'observe l'archéologue assis de l'autre côté de mon bureau. Va falloir qu'on m'explique pourquoi est ce que j'ai tout ces souvenirs qui remontent en sa présence.

© Pando

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