Mitsu nagakatsu

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Mer 27 Juil - 14:10

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DOSSIER DE CANDIDATURE DE Mitsu Nagakatsu.
ATLANTIS


Mitsu nagakatsu Napole12

Carte d’Identité

» Nom : Nagakatsu.
» Prénom : Mitsu.
» Âge : 28 ans.
» Date et Lieu de Naissance : 24 mars 1988 à Okinawa.
» Nationalité : Japonaise.
» État Civil : célibataire.
» Arrivée sur Atlantis : arrivé en soutien le 25 Juillet 2016.
» Poste occupé : Chef cuisinier.
» Spécialité : La cuisine.


Informations Médicales


» Groupe Sanguin : AB-.

» Gène des Anciens : (à remplir par l'administration après le lancé du dé) ...

» Inoculation du gêne des Anciens ? : (à remplir par l'administration après un mois de jeu et une demande d'inoculation) ...

» Pathologie : Aucune.
» Antécédents médicaux : Anciennement sous antidépresseurs.


Personnalité & Objet choisi

» Caractère : La toute première chose que les personnes me connaissant diront sur ma personnalité c’est que je suis un véritable rayon de bonne humeur concentrée. En effet j’affiche le plus souvent un large sourire et une physionomie du visage qui se veut chaleureux. Je suis une grande optimiste et je ne baisse que très rarement les bras. Je considère la vie comme un don et qu’il ne faut pas se laisser aller aux déboires de celle-ci. Ainsi mon sourire se relève être ma principale force bien que cela ne veuille pas dire que je ne suis pas enclin à des moments de tristesse ou de mélancolie comme ces derniers temps. C’est juste que selon moi il ne sert pas à grand-chose de faire profiter de sa mauvaise humeur aux autres. De ce fait je ne parle que très peu de mes soucis aux membres de mon entourage, à vrai dire ce sont plutôt eux qui sont enclins à me parler des leurs. J’aime être en compagnie d’autres personnes et je n’apprécie que guère la solitude. J’ai toujours été doué pour nouer des liens avec les gens et je ne me suis jamais vraiment retrouvé seule.

Je suis sociable et malgré le fait que viennent d’un monde défavorisé je suis assez bien rentré dans le moule d’une certaine forme d’élite de la société. Ma persévérance et ma grande rigueur mon permis d’atteindre les sommets et de me faire remarquer par mes autres camarades à l’époque où j’étais étudiante dans une des meilleures écoles de cuisine internationale de Kyoto. Au départ de mes études j’étais assez seule car selon eux je n’étais qu’une inférieure mais grâce à cette persévérance qui m’animait je me suis faite une place parmi ces rejetons de grands noms de la cuisine. Bien qu'investit d’un certain statut je n’en ai pas oublié mes origines et je continue de rendre visite régulièrement à ma mère. Mon père décédé à mes dix sept ans m’a légué une mallette de couteaux de cuisine appartenant à la famille depuis plusieurs générations. Je n’hésite pas à émettre mon désaccord que ce soit autant avec mes amis lors d’une simple discussion qu’avec ma hiérarchie sur un ordre. Ceci dit malgré le fait qu’un ordre me déplaise je l’exécuterais de la meilleure manière qu’il soit. Ma franchise et mon manque de tact peuvent parfois malgré tout blesser mon interlocuteur. Je suis extrêmement rigoureuse dans mon travail. Mon principal atout est de pouvoir transformer des aliments du quotidien en plat raffiné et goûteux. je me suis également spécialisé dans la cuisine curative. De nombreux aliments possèdent des vertus si on sait un tant soit peu les cuisiner. Après toute la cuisine n’est-elle pas faite pour apporter un peu de baume aux cœurs des gens.

Il y a quelque temps j’ai eu la chance de me fiancer mais cela n’aura pas duré longtemps. Il s’est fait assassiner sous mes yeux par un fol échappé d’un asile qui a tenté de me violer fort heureusement la police est arrivé à temps. Je connut pendant cette période une forte vague d’allégresse. Et je m’étais en parti couper du monde pendant un certain laps de temps. Malgré tous mes efforts aujourd’hui encore j’ai une certaine méfiance envers les hommes s’approchant trop de moi suite aux traumatismes terriblement de cet événement. Après quelques moi je décidais de me reprendre en main et de partir changer d’air afin de me changer les idées. Je pris la décision de quitter le Japon pour les États-Unis d’Amérique quand je reçus une bien curieuse proposition. Rejoindre une base militaire nommée quelque peu particulière. Ma soif de découverte et de curiosité parfois trop grande chez l’emportaientt sur la raison et j’acceptais le poste de chef cuisinière dans cette base malgré les fortes tentatives de dissuasion de mon entourage de le faire.
.

» Phobies : depuis mon accident je me méfie des hommes et j'éprouve un fort sentiments d'inconfort et d 'inquiétude lorsque cl'un de ces derniers me touche soudainement.

» Objet choisi : Ma mallette de couteaux de cuisine. En plus d'avoir une valeur sentimentale familiale, ils représentent chez nous l’âme du cuisinier. personne hormis moi n'a le droit de les toucher .

Compétences

Personnel Administratif + Civil

Compétences PrimairesCompétences Secondaires

  • Rapidité d'esprit :3
  • Influence : 7
  • Langues : 3
  • Diplomatie : 0
  • Psychologie : 7


  • Corps à corps : 2
  • Précision du tir : 0
  • Pilotage : 0
  • Sang Froid : 2
  • Soins : 5
  • Mécanique : 0
  • Résistance à la douleur : 1


Histoire


Je suis né dans l’hôpital du quartier populaire de Shinsekai à Osaka le 24 mars 1988. C’est en ces lieux que je grandis et passais la plupart de mon enfance. Ma mère était femme de ménage et mon père ancien cuisiner reconvertit lui aussi en homme d’entretien après son accident lorsque j’avais deux ans. Nous n’avions donc pas beaucoup d’argent. J’étais fille unique et j’allais à la shogakkou ou école primaire du quartier pendant six ans. Puis vint ensuite le chugakkou qui prit trois ans de ma vie. J’excellais dans le club de cuisine du collège et avais un bon niveau dans les matières générales. À la fin un concours nous attendait et bien que malgré mes origines sociales assez faibles et le fait que je devais travailler pour aider mes parents j’eus l’un des meilleurs résultats enregistrés en cette année de 2002. Cela me permit d’obtenir une importante bourse et de pouvoir intégrer l’une des meilleures écoles de cuisine du Japon à Kyôto. Comme dit précédemment, je me devais de soutenir mes parents financièrement afin de les aider car après tout ce sont eux qui m’avaient nourri au début de ma vie et sans moi ils auraient pu vivre de manière bien plus confortable. Je mettais donc mes naissants dons culinaires au service de diverses échoppes. Je cumulais ainsi deux jobs en plus de mes études.

Mes premiers mois dans mon senmon gakkou furent assez difficiles. En effet bien qu’étant une école professionnelle celle-ci rassemblait une élite des rejetons dont les parents étaient de fameux chef cuisiniers et étant la seule personne venant d'un milieu social assez compliqué, j’étais victime de discrimination, … malgré tout, ces événements ne me touchez pas énormément et j’arrivais à prendre assez de recul pour ne pas me sentir affecté. Avec le temps et ma détermination je parvins à m’intégrer. Les études étaient très dures. En plus des connaissances théoriques qu’il nous fallait assimiler autant sur les produits que sur les ustensiles ou sur les épices, nous avions régulièrement des examens prévus ou surprises. Certains concours de cuisine entre élèves amenaient à des récompenses. En effet afin de nous faire garder un maximum l’esprit de compétition l’administration organisé des batailles de chef. J’ai toujours réussi à me préserver un minimum de cet esprit qui n’apportait souvent que des tensions dans les relations. L’avantage c’est qu’ainsi ils étaient faciles de voir qui étaient vos vrais amis. J’avais eu la chance de remporter l’une de ces défis et je gagnais un voyage en direction de Kobe, afin d’étudier de manière plus approfondi pendant une semaine le thème de la viande. Ce petit voyage fut très intéressant et enrichissant. La viande possédait de nombreux secrets que ce soit en partant de la découpe de celle-ci jusqu’au moment où elle se retrouve à cuire dans la poêle ou le wok. Ma plus grande force et ce qui me démarquait de la plupart de mes camarades était le fait que j’utilisais le plus souvent des produits assez bas de gamme et les sublimais afin d’en faire des œuvres d’art tant au niveau visuelle qu’au niveau gustatif.

À la fin de ma seconde année un examen eut lieu. Le classement déterminait où nous allions faire un stage de huit mois. Les premiers choisissant bien évidemment ce qui les intéressait le plus et les derniers choisissant ce qu’ils restaient. Sur les deux cents soixante-dix élèves de ma promotion j’eus la chance de finir douzième. L’un des thèmes que nous pouvions choisir était la cuisine curative. Intrigué par celle-ci que je ne connaissais absolument pas et ma soif de curiosité étant grande, je choisis de prendre celui comme objet de stage. Il fallut me rendre sur l’ile d’Okinawa aussi connu sous le surnom peu gracieux de l’ile des centenaires. Bien qu’Okinawa appartienne au territoire japonais, les traditions au niveau des repas étaient assez différentes ici que sur l'archipel principal. La cuisine est gouvernée là-bas par trois principes : le Hara Hachi Bu qui consiste à manger un peu moins qu’à sa faim, le kuten Gwa qui consiste quant à lui à se nourrir de nombreux aliments variés mais par petite portion et pour finir le Nu Chi Gusui c’est-à-dire la philosophie de croire que les aliments peuvent nous guérir. Le plus souvent, les aliments cuisinés pendant mon stage étaient frais. Ils n’étaient pas beaucoup cuits afin de préserver les vitamines dont ils regorgeaient. Et malgré ces règles, ont retrouvé dans les assiettes toutes une mise en scène de par la diversité des ingrédients et par les nombreuses teintes de couleurs différentes. Le principal bémol que l’on pourrait reconnaître à ce type de cuisine et peut-être un manque d’onctuosité… du moins c’est ce que je croyais. L’utilisation de diverses algues, herbes et épices permet de rehausser le gout de bien des plats. Je repartis ainsi une abondance de recette aux mille et une vertus permettant à des personne âgés de tenir une forme de personne en bonne santé de cinquante ans. Ce stage fut simplement génial et m'appris beaucoup de choses dont notamment comment les plantes peuvent aider à soigner certains maux du quotidiens. Malheureusement à mon retour à Kyoto j’appris le décès de mon père. Celui-ci m’avait légué les couteaux de cuisine qui sont dans notre famille depuis trois générations déjà.

Il restait quatre petits mois avant l’examen final déterminant l'ordre de classement définitif. Grâce à mes recettes nouvellement acquises j’eus la chance de finir 3ème au niveau de mon école et ainsi de pouvoir participer aux concours nationales des jeunes cuisiniers professionnels qui aurait lieu dans trois ans. Je travaillais dans un restaurant de luxe de Kyôto pendant ces trois années là afin de parfaire mes techniques culinaires mais j’eus de nombreux désaccords avec ma hiérarchie bien que respectant ses ordres il me paraissaient y avoir beaucoup de lacunes au niveau de certaines choses. Pus vint l’heure du concourt. Soixante-quatre jeunes cuisiniers tous âgés entre dix-huit et vingt-quatre ans. Après une suite d’épreuve autant stressante que plaisante je parviens aux portes de la finale. Nous étions quatre à concourir pour ce titre et le gagnant aurait la chance de pouvoir représenter notre pays lors du concours international des jeunes chefs cuisiniers. Le plat attendu de cette finale n’était autre que l’un de nos plats les plus symboliques : le bento. Après deux heures de préparation et ceux malgré tous mes efforts, je ne pus finir qu’à la seconde place. Ce qui me convenait parfaitement. Je n’aurais jamais pensé pouvoir atteindre un tel niveau et mon souhait du pourquoi je m’étais battu avait enfin été exaucé. J’avais ainsi prouvé que malgré des origines peu avantageuses nous pouvions aller loin.

Peu de temps après, éclatait un scandale comme quoi le gagnant avait obtenue le titre car ses parents avaient offert des pots de vin au jury. Il y eut tout un brassage médiatique dessus, et on me posait souvent la question : comptez-vous réclamer le titre qui vous revient de droit ? Ce à quoi je répondais non, que l'accusation portée envers le gagnant et sa famille était injustifiée. Après une étude de la part les hautes instances japonaises il s’avéra qu’il n’y avait pas eu de corruption ou toute autre chose. De plus le jeune gagnant arriva sixième au concours international ce que je n’aurais certainement pas pu faire donc tout finissait bien et je coulais une vie des plus calme.

J’avais ouvert un restaurant basé sur la cuisine que l’on m’avait enseigné à Okinawa. J’eus la chance de tomber amoureuse de Tetsuo Makashito. Il gérait les finances du restaurant tandis que je m’afférais en coulisse à gérer une équipe de sept cuisiniers. Notre restaurant se voulait familial et ouvert à un large public. Je ne voulais pas faire de la haute gastronomie réservée à une pseudo-élite de personnes fortunées. À vingt-cinq ans je me fiançais à lui et nous coulions ensemble une vie de conte de fée si je puis dire ainsi. Du moins pendant deux ans, puis le malheur vint frapper à ma porte. Ou plutôt dans le cou de mon amour. Un soir alors que nous rentrions chez nous, une personne s’était introduite dans notre appartement. Avec un couteau il tua Tetsuo en l’égorgeant. La peur me pétrifié, je ne pouvais me mouvoir. Il commença alors à se déshabiller et s’approchait de moi certainement dans l’objectif de prendre quelque peu du plaisir avant de me tuer. Par un coup du destin les voisins avaient été alertés par les bruits et le mari était policier.. Il prit par surprise le fou et usa de son tazer pour l’immobiliser. Cet événement fut traumatisant et fut le début d’une longue pente conduisant toute droite aux enfers. Je fermais le restaurant et me coupai pour la première fois de tout ce qui ressemblait à des êtres humains hormis mon psychiatre. Pendant six mois je fus sous-antidépresseur et surveillé de près car j’étais une personne pouvant potentiellement être capable de se suicider. Puis après un certain laps de temps, je me décidai à reprendre ma vie en mains. Le principal problème que je rencontrais était que je voyais des souvenirs de Tetsuo partout où j’allais. Je pris alors la décision de partir ailleurs loin de mon pays natal. Je penchais pour les États-Unis ou alors la France, après tout c’était les deux langues que je maîtrisais en plus du japonais.

Alors que je me décidais pour les États-Unis maîtrisant mieux l’anglais que « le flançais ». Deux hommes en noir vinrent à ma rencontre. Il me faisait un peu penser aux deux agents de film américain à la différence qu’eux avait l’air un peu plus sérieux et que je n’étais pas dans un film là. Au départ je pensais fortement que tout ceci était une blague de mes amis ou de ma mère; mais non après vérification ce n’était vraiment pas une farce. De plus ils savaient certaines informations à mon sujet que très peu de monde pouvait savoir. D’après le peu d’information qu’il m’avait donné il m’avait choisi car j’étais selon eux la meilleure dans mon domaine. Ridicule ! Je ne voulais pas travailler pour une quelconque organisation dont je ne savais rien et j’ai horreur des gens qui usent la flatterie en exagération pour tenter de me convaincre. Ceci dit ils me mirent au défi de réaliser cent plats avec un minimum d'ingrédients peu chère en quatre heures seulement. Bien que le marché puisse sembler nébuleux j’acceptais.

Je ne refuse jamais un défi culinaire. Je me suis rendu compte que la tâche que l’on me proposait n’été pas vraiment le défi le plus difficile que j’avais eu à affronter jusqu'ici. Préparer des rations militaires saines et équilibrées en moins de quatre heures relevait en effet d’une certaine facilité. Les plats des rations manquent le plus souvent de gout du fait que la plupart des aliments sont déshydratés. Il n’y avait donc pas grand-chose à faire ; dans un premier temps celle-ci devaient contenir un aliment contenant des sucres lents et pouvant tenir à l’estomac. Quoi de mieux qu’un féculent comme le riz. Pour accompagner celui-ci un curry au légume. En effet tout comme le sel le curry possède une capacité à conserver les aliments plus longtemps. Bien évidemment celle-ci est moindre mais cela suffira pour que la ration soit consommable dans les deux jours à venir. Je terminais le tout avec des algues séchées riches de nombreuses vertus. Il s'agissait certes d’une cuisine affiliait au Japon mais il n’avait pas précisé quels types de cuisine il souhaiter. Et mes plats n’avaient pas l’air de leur déplaire. Ils me félicitèrent en me disant que j’avais réussi le test haut la main et que j’étais bien la meilleure dans mon domaine. Ceci dit je n’avais toujours pas le droit d’avoir de plus amples connaissances sur le lieu où j’allais aller après avoir été embauché.

Je réfléchissais longuement chez moi. Mon entourage me déconseillait de partir pourtant ma curiosité et mon envie de partir me disait de suivre mon instinct . Et mon instinct lui me disait de partir, de guérir, d’oublier… C’est ainsi que j’acceptais le poste que ces deux hommes excentriques m’avaient proposé. Je dus les retrouver dans le consulat américain de Tokyo. À ce moment-là j’eus ce qui semblait être un semblant de vérité à propos d’une porte des étoiles, du gène des anciens. Bien que cela paraisse fou je ne pouvais m’empêcher d’y croire bien que je comprenne en partie que l’on me cachât aussi certaines choses. Je signais les documents. Alors que nous allions quitter la salle l’un d'eux s’écriais :

-Attendez, il nous reste une dernière vérification à faire.

-Quelle est–elle répondis-je avec un air intrigué.

Le second homme sortait une boîte qu’il ouvrit. À l'intérieur il y avait une sorte d’étrange cube marqué avec de nombreux symboles.

- Prenez-le dans vos mains.

J’étais quelque peu réticente à prendre ce simple objet. Je ne sais vraiment pourquoi mais un vague frisson me parcourra l’échine du dos.

-Ne vous en faites pas-il ne pas vous mordre poursuivait-il .

Je le pris avec délicatesse et précaution mais à peine touché il commença à émettre une lueur bleue. Bien que la peur parcoure mon corps j’avais une irrésistible envie de connaitre la vraie nature de ce cube. On me fit signe de retirer ma main de l’objet et je m’exécutais.

-Bien nous sommes prêts à partir. Nous avons bien fait d’attendre mon cher ami.

Sans comprendre vraiment ce qui s'était passé, les deux hommes me conduisirent dans une voiture et nous partîmes pour ces lieux bien mystérieux.



» Comment votre personnage a-t-il vécu le moment il a pu poser les pieds sur Atlantis ? Ses premiers pas sur la Cité des Anciens ? :

Après un trajet de plusieurs heures nous sommes repassés chez moi. Ils m’ont demandé d’amener une unique chose. Dans mon esprit le choix était vite fait c’était la mallette familiale et les couteaux qu’elle contenait. Bien qu’au départ ils semblèrent sceptiques à ce que j’apporte des armes sur leur base je ne lâchais rien et j’eus finalement obtenu la permission de les prendre avec moi. Puis après je dois bien avouer que c’est d’un floue des plus totales. Sans trop savoir ce qui se passait je me suis retrouvé dans un lieu totalement inconnu.

-tu te réveilles enfin belle au bois dormant .

Je ne pris pas le temps de relever son commentaire désobligeant et j’observais ce qu’il y avait autour de moi. On me fit descendre non pas d’une voiture mais d’une sorte de train qui me semblait tout droit sorti d’un roman de science-fiction. Je n’avais strictement aucune idée de ce que je faisais là. Je vis une vingtaine d’autres personnes sortir du pseudo-train. On nous conduisit vers une sorte d’immense anneau en pierre. Les gens semblaient inquiets de ce qu’ils allaient devenir. Comment ne pas l’être on était tous aussi perdu les uns que les autres. Certains commençaient déjà à bavarder entre eux mais pour le moment je préférais rester silencieuse et observer ce qu’il avait autour de moi. L’anneau de pierre surplombait un piédestal fait d’une matière semblable à celui-ci. Le diamètre de ce dernier devait être aux alentours d'approximativement quatre mètres je pense. À part celui-ci il n’y avait rien autour de nous. Puis un bruit râle se fit entendre. De la porte sortit une sorte de liquide de couleur azur et qui semblait onduler. J’étais à la fois émerveillé, subjugué, attiré par ce qui se déroulait sous mes yeux. Pourtant en mon moi intérieur, la peur me prenait aux tripes. Pourtant ma fascination pour ces portails était importante, alors que ma raison me disait de fuir mon cœur lui voulait avancer. Oui avancer, c’est de cela dont j’avais besoin. Mon passé devait rester derrière le portail et un futur incertains m’attendait de l’autre côté. Mon cœur battait moult coups minutes, de petites gouttes de sueur perlaient de mon front. Puis nous dûmes nous ranger en rang serrés afin de nous contrôler juste avant de passer la porte. Je traversais le portail. Je fus comme absorbés par un puissant torrent d’énergie. Un puissant torrent de sensations traversa mon corps et mon esprit. Cette sensation ressentie était indescriptible. Si puissante et si douce à la fois. Je ne pouvais que me laisser entraîner par sa force. Puis j’atterris comme si rien ne c’était passé dans un nouveau lieu. Peut-être qu’ici mon sourire pourra retrouver sa valeur…
.



Vous derrière l’ordinateur

» Prénom ou Surnom : Mimi.
» Âge : 17 ans.
» Célébrité de votre avatar : Kyoko Fukada
» Comment avez vous connu Atlantis Insurrection ? Google .
» Connaissez vous les séries Stargate ? J'ai vu les 10 saisosn de Sg-1, les deux premières d'Atlantis et aucune de Universe.
» Souhaitez vous être parrainé ? : Pourquoi pas.
» Multicompte ? non.
» Codes du Contrat : (Ils sont cachés dans le règlement ; copiez/collez les 3 entre les balises.)








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Invité
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Mer 27 Juil - 14:29

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Bienvenu une nouvelle fois.

PS: Ah oui, par contre pour la question des parrains, faut pas juste dire oui, mais en choisir un, tu peux en choisir un(e) ici :

Liste des parrain et Marraine

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Invité
Invité

Mer 27 Juil - 17:48

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:welcomee:

Alors déjà, j'ai envie de lancer un OURA §!!!!!! :fun4: :fun7: On a enfin un cuisiner qui va tenir la route !! (on va manger des bons des vrais SUSHISS §§§§§ sautille dans son coin :fun10: )
J'aime beaucoup le principe que ton personne fass eaussi de la cuisine curative.

Tu as le droit à 30 points de compétences pour ton personnage (sauf pour les personnages de base de la série qui sont a 35), là tu en 34 wink

Bon courage pour la suite wink

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Matt Eversman
Caporal
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Mer 27 Juil - 18:04

Matt Eversman
Bienvenue par ici !!!

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√ Messages : 657

Mer 27 Juil - 18:04

Admin
Le membre 'Matt Eversman' a effectué l'action suivante : Lancé de dés


'Gêne ATA' :
Mitsu nagakatsu Deata10
Résultat :
Mitsu nagakatsu Deatao10

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Invité
Invité

Mer 27 Juil - 19:26

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Gron'diak Grom a écrit:Bienvenu une nouvelle fois.

PS: Ah oui, par contre pour la question des parrains, faut pas juste dire oui, mais en choisir un, tu peux en choisir un(e) ici :

Liste des parrain et Marraine


Gron, sans vouloir t'offenser, je suis bien obligée de savoir si les nouveaux veulent un parrain ou non. Donc, quand ils répondent "Oui" (ce qui est amplement suffisant dans un premier temps) sur la fiche (et uniquement à ceux là), je leur donne le lien vers le topic dédié.

Ceci étant dit, Bienvenue Mitsu

:welcomee:

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Invité
Invité

Mer 27 Juil - 20:30

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Coucou et bienvenue sur le forum ;-)

Et bon courage pour ta fiche !

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Karola Frei
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Jeu 28 Juil - 13:27

Karola Frei
Bienvenue et bon courage :)1

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Invité
Invité

Jeu 28 Juil - 20:51

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Merci à tous pour votre super accueil que se soit sur cette fiche ou sur la CB H3
Je pense que j'ai terminé ma fiche. Je vous souhaite une bonne lecture et j'attends vos commentaires.

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Karola Frei
Major
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Ven 29 Juil - 13:38

Karola Frei
Ma chère, cette fiche m'a mis l'eau à la bouche, tu connais ton sujet à n'en pas douter :P Histoire très sympa à lire, soit dit en passant !

Avec un grand plaisir, je te valide :cheers:

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Matt Eversman
Caporal
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Ven 29 Juil - 20:38

Matt Eversman
Fiche très agréable à lire avec un personnage prometteur !

Valide aussi !

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Invité
Invité

Sam 30 Juil - 15:07

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Bravo pour ta validation et bienvenue !^^

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Invité
Invité

Sam 30 Juil - 18:35

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merci au Staff et merci à toi Aiden  H3

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