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Maeve Devlin

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Mer 27 Juil - 13:25

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DOSSIER DE CANDIDATURE DE Maeve DEVLIN
ATLANTIS


Maeve Devlin 1469617717

Carte d’Identité

» Nom : Devlin
» Prénom : Maeve
» Âge : 31 ans
» Date et Lieu de Naissance : 11 février 1985 à Galway, Irlande
» Nationalité : Irlandaise
» État Civil : Célibataire
» Arrivée sur Atlantis : Renforts de 2016
» Poste occupé : Ethnologue
» Spécialité : Arts ethniques


Informations Médicales

» Groupe Sanguin : O+
» Gène des Anciens : (à remplir par l'administration après le lancé du dé) ...
» Inoculation du gêne des Anciens ? : (à remplir par l'administration après un mois de jeu et une demande d'inoculation) ...
» Pathologie : Aucune
» Antécédents médicaux : Maeve a été opérée de l’appendicite à l’âge de six ans. C’était encore l’époque où l’on gardait une cicatrice à l’endroit de l’opération. Elle ne se voit presque plus, maintenant.


Personnalité & Objet choisi

» Caractère : En bonne Irlandaise, Maeve affiche – presque – toujours une bonne humeur et une joie de vivre communicatives. Volontiers trublionne, toujours prête à faire la fête, elle fait souvent partie de l’organisation ou de l’animation, son violon sur l’épaule ou sa cuillère à la main. Elle chante fort, juste, heureusement, et se mêle avec plaisir aux festivités qui ont commencé sans elle. Bien souvent, on ne s’aperçoit de son irruption qu’à la fin de la réunion : le reste du temps, elle a toujours semblé être là, et on l’a acceptée sans même y penser.
Cette faculté à s’adapter à toutes les situations se retrouve aussi dans son travail. Si elle convainc par son caractère facile à vivre, Maeve sait aussi faire preuve d’écoute et d’intérêt. Elle s’intéresse aux sujets qu’elle ne connaît pas encore, et aime les gens passionnés : aussi prête-t-elle une oreille attentive, quand elle ne pose pas de questions. Respectueuse des autres, Maeve ne se montre jamais ni sarcastique ni méchante, bien qu’elle aime la plaisanterie. Elle se plie de bonne grâce aux ordres et à l’autorité, sans se montrer ni rebelle ni agacée. Comme dans toutes les sociétés harmonieuses, les choses ne fonctionnent bien que lorsque chacun sait quelle est sa place. Elle respecte donc la hiérarchie, même celle des militaires, et se soumet aux règlements – tant que ceux-ci lui paraissent honnêtes.
Être Irlandaise, cependant, a aussi ses inconvénients. Si Maeve est ordinairement d’excellente humeur, elle peut aussi piquer des colères féroces, dignes d’un ouragan. Entière, franche et honnête, la jeune femme ne mâche pas ses mots et se montrera directe : si elle a quelque chose à vous dire, elle vous le dira en vous regardant droit dans les yeux. En y mettant le ton et les mots qu’il faudra, évidemment.

» Phobies : Maeve a une peur bleue des chauve-souris. Elle ignore pourquoi, parce qu’elle n’en a croisé qu’à deux reprises et qu’elle n’a eu aucun problème avec elles, mais ces petites bêtes la terrifient.

» Objet choisi : Son violon. Maeve est une joueuse émérite, qui a souvent usé de son instrument dans les pubs de Derry. Elle joue aussi magnifiquement bien de la cuillère, mais elle s’est dit qu’elle trouverait plus facilement des cuillères que des violons dans la galaxie de Pégase...

Compétences

Personnel Scientifique

Compétences PrimairesCompétences Secondaires

  • Rapidité d'esprit : 4
  • Langues : 6
  • Technologies : 0
  • Sciences : 2
  • Sciences Humaines : 9


  • Précision du tir : 0
  • Pilotage : 0
  • Influence : 0
  • Sang Froid : 2
  • Soins : 0
  • Résistance à la douleur : 1
  • Diplomatie : 6


Histoire


Galway, quatrième ville d’Irlande, nichée au cœur de l’écrin vert de l’île. À l’échelle des Etats-Unis, c’est un village, et pourtant j’y ai passé la plus belle enfance dont on puisse rêver. Aînée de deux enfants, née en 1985, j’ai été élevée en bonne catholique par un père instituteur et une mère médecin. J’ai eu une jeunesse facile, il faut le reconnaître : nous n’avons jamais manqué de rien, même si nous n’étions pas les plus riches. Mes parents m’enseignèrent le goût du travail bien fait et du don de soi. Ils m’apprirent qu’on obtient tout grâce à l’intelligence et à la culture, mais plus encore en se montrant généreux et attentif. Mes grands-parents, eux, préférèrent me donner goût à la fête. Professeur de violon, ma grand-mère m’initia aux gigues et aux balades dès que je fus en âge de tenir un instrument. J’aurais volontiers intégré le conservatoire, comme le souhaitait ma mère, mais j’étais bien plus intéressée par la possibilité de me faire des amis que par une carrière dans la musique.
Des amis, j’en avais, et beaucoup. Quand on vit dans une ville aussi petite, on finit par connaître tout le monde. On suit les mêmes camarades tout au long de sa vie scolaire, on sort avec un ou deux garçons qu’on connaît depuis l’âge des culottes courtes, on invite chez soi des amies qu’on fréquente depuis le jardin d’enfants. En Irlande, nous avons le sens de la camaraderie. Je m’entendais avec tout le monde, ou presque. Il me semblait qu’ils avaient tous des choses à m’apprendre, à m’apporter : je m’intéressais à chacun d’eux et je crois même être capable de dire, encore maintenant, ce que chacun est devenu. Hélas, pour moi, Galway était beaucoup trop étroite : je voulais découvrir le monde.

C’est peut-être pour cela que je n’ai pas suivi les souhaits de mes parents, qui espéraient me voir devenir chirurgienne ou intégrer un orchestre. Ou peut-être était-ce parce que les gens vivants m’intéressaient plus que les estomacs et les rates, et que la musique qui se danse est plus plaisante que celle qu’on écoute dans son canapé. J’ai opté pour les sciences humaines en intégrant l’université. Les hommes m’ont toujours fascinée. Non pour leur faculté d’adaptation, leur ingéniosité et, parfois, leur cruauté, mais parce qu’ils sont éminemment sociables et créatifs. Je voulais savoir pourquoi l’homme a tant besoin des autres pour survivre, et ce qui le pousse à extérioriser ce qu’il ressent, autrement que par la simple parole. À cette époque, j’avais trop d’options pour me permettre de continuer le violon avec assiduité ; je le poursuivais en dilettante, lors des soirées étudiantes, tandis que je m’abreuvais de sociologie, d’histoire de l’art, de sociétés primitives… Je me passionnais pour le rôle de la peinture, de la musique et de la danse dans les groupes sociaux, pour les influences qu’elles avaient dans le tissage du lien entre les individus.
Tout naturellement, j’ai voulu poursuivre mes recherches sur le terrain. Ma thèse portait sur le maintien du lien social grâce à l’art. C’est ainsi que j’ai pu voyager aux Philippines, en Afrique, en Asie. Je me suis mêlée aux populations locales et j’ai appris à vivre à leur façon. Il n’y a rien de plus fascinant ni de plus beau que de découvrir les coutumes locales, expliquées par les autochtones, qui les transmettent comme on les transmet dans leur peuple de génération en génération. J’étudiais leurs traditions artistiques et la façon dont celles-ci servaient à la communication, à l’éducation, au deuil, à l’explication du monde et des phénomènes naturels. J’apprenais aussi à les pratiquer de la même manière qu’eux.
À chacun de mes retours à Galway, mes parents espéraient que ce serait le dernier, et que je ne repartirais pas. Ils attendaient toujours le moment où je rédigerais ma thèse et où je me laisserais enfin convaincre de trouver un petit-ami. J’étais plus encline à m’amuser lors de mes brefs séjours en Irlande, que de rechercher un potentiel mari. J’avais des aventures, des histoires d’une ou deux semaines. Jamais rien de sérieux. Toujours, l’appel de l’inconnu et de l’Homme retentissait en moi. Je repartais, mettant ainsi fin à des histoires avortées dans l’œuf.

Mais j’ai fini par rédiger cette thèse, en 2013. Mon jury l’a trouvée brillante, comme, à ce qu’il semble, un mystérieux organisme américain. C’est par un courrier qu’on m’a invitée à un colloque à Washington. Deux mois plus tard, l’avion m’entraînait une nouvelle fois loin de chez moi, et j’allais découvrir qu’il existait des destinations bien plus lointaine que les contrées les plus reculées d’Afrique. Et aussi passionnantes.
Trois années aux SG-C semblent ne durer que trois semaines. À ma famille, j’avais expliqué qu’on m’avait trouvé un poste dans une prestigieuse université californienne, mais j’ai passé la Porte des Etoiles des dizaines de fois, pour rencontrer des peuplades extraordinaires. J’ai beaucoup appris, grâce au programme. J’ai rencontré des groupes inconnus, participé à des fêtes nouvelles, engrangé de nouvelles connaissances et autant d’amitiés. Il n’y avait, semblait-il, aucune limite à l’inconnu et à la découverte. Brièvement, j’ai noué une relation avec un scientifique de la base, mais j’étais trop éprise de mes découvertes pour me laisser distraire. J’avais envie de plus que cela. Alors, lorsqu’on m’a offert, cette année, l’opportunité de partir plus loin encore… j’ai su que je ne pourrais refuser une telle offre.

» Comment votre personnage a-t-il vécu le moment il a pu poser les pieds sur Atlantis ? Ses premiers pas sur la Cité des Anciens ? :

J’ai le cœur qui bat à cent à l’heure. J’ai déjà connu cette angoisse, pourtant, et ce n’est pas plus compliqué qu’alors. Ma première traversée de la Porte m’avait laissé cette même sensation : celle de ne plus pouvoir faire marche arrière et d’être sur le point de rendre mon petit-déjeuner et mon dîner de la veille. Mais franchir une porte et grimper dans un vaisseau spatial, ça ne fait pas du tout le même effet. Pour le premier, c’est comme cligner des paupières et se retrouver dans une prairie, alors qu’on se trouvait, l’instant d’avant, dans une cave cerclée de métal. Pour le second, il s’agit de s’enfermer dans un appareil parcourant la galaxie, et de savoir qu’autour ne se trouve que le vide intersidéral. Mais à l’arrivée…
J’ai envoyé un courrier à mes parents, disant que je partais pour une mission de recherches en Océanie pour plusieurs mois. Je n’ai pas reçu de réponse, mais je sais qu’ils connaissent mon caractère, désormais. Ils me verront revenir un jour, les yeux encore emplis de toutes mes découvertes, mais sans avoir attisé ma soif d’apprendre. À mes pieds se trouve l’étui de mon violon – j’ai eu l’autorisation de ne pas le laisser dans la soute à bagages. On m’a dit qu’il n’y avait pas de différence de pression là-bas, pas comme dans les avions, mais j’ai du mal à y croire. Et c’est mon dernier lien avec l’Irlande, maintenant. J’ai du mal à l’abandonner comme une vulgaire caisse de marchandise. Et puis, accessoirement, ça fait passer le temps de tout le monde. Personne ne crache sur un air mélancolique venu de notre bonne vieille Terre.
En quinze jours de voyage, j’ai eu l’occasion de discuter avec beaucoup de gens, venus de tous les horizons. Ils sont là pour le frisson, la découverte, les promesses sociologiques et technologiques, ou seulement parce qu’ils sont les soldats les plus fiables. Certains ont à peine l’âge adulte – ceux-là sont terrifiés, même s’ils ne le montrent pas. D’autres sont beaucoup plus âgés, et eux aussi terrifiés, mais ils le montrent plus volontiers. Moi ? Je suis terrorisée, et je suis encore assez jeune pour me permettre d’avoir l’air brave quand j’ai envie de vomir dans mes chaussettes.
Le Dédale ne nous emmène pas directement sur Atlantis, pour des questions diverses comme la sécurité, la praticité et la technicité. Nous descendons en navette sur une planète proche, sur laquelle une Porte des Étoiles sera activée. Aussi curieuse qu’à mon habitude, je jette un regard autour de moi.

« Il n’y a personne, ici, me dit quelqu’un qui, à ce que j’ai compris, en est à son troisième aller-retour. La planète est déserte. Par chance, la Porte fonctionne encore : c’est un endroit parfait pour nos liaisons entre le Dédale et Atlantis. »

J’acquiesce. Étrangement, j’ai beau me trouver à des milliers d’années-lumière de chez moi, je me sens beaucoup mieux maintenant que j’ai les deux pieds sur la terre ferme. Ici, l’herbe est verte, comme en Irlande. Des oiseaux chantent et j’entends le grondement caractéristique d’une cascade non loin. Le paysage est enchanteur.

« C’est beau, ici, remarqué-je. Pourquoi n’y a-t-il personne ?
Il y a eu une moisson l’an dernier. Personne n’a survécu. »

Voilà qui explique tout. Je déglutis, désolée pour tous ces pauvres gens.
Devant moi, la Porte s’ouvre enfin, et j’empoigne mon unique valise et mon étui à violon. Le moment est venu. Ma peur, elle, semble s’être envolée comme par enchantement. Pas à pas, je me dirige vers la nuée ni liquide, ni gazeuse qui me sépare de la cité des Atlantes. Ce voyage-ci me paraît bien plus à ma portée. Passer d’une terre émeraude à cette masse bleue si familière me terrifie moins qu’un engin de métal traversant l’espace intersidéral comme le vaisseau d’Albator. La femme qui me précède, elle, a des sueurs froides avant de traverser. Gentiment, je me hisse à sa hauteur et lui sourit.

« Nous avons fait le plus dur, lui rappelé-je.
Mais après ça, nous ne reverrons plus la Terre avant longtemps, répond-elle sans quitter la Porte des yeux.
Oui, mais c’était déjà le cas avant d’embarquer dans le Dédale. Maintenant… il s’agit juste de retrouver la civilisation. »

Nos regards se croisent. Je lui souris à nouveau. Puis elle hoche la tête et, ensemble, nous franchissons la mince barrière, avec l’étrange sensation d’être tirées au niveau du nombril et propulsées à une vitesse folle vers l’inconnu. Quand mes yeux retrouvent enfin leur consistance, je jette un coup d’œil autour de moi. Le premier mot qui me vient est explicite :

« Wahou… »

Et ça ne fait que commencer.

Vous derrière l’ordinateur

» Prénom ou Surnom : Saile
» Âge : 32
» Célébrité de votre avatar : Caity Lotz
» Comment avez vous connu Atlantis Insurrection ? A force de le voir en partenariat sur beaucoup d’autres fofos
» Connaissez vous les séries Stargate ? J’ai vu tout SGA, les 5 ou 6 premières saisons de SG et pas du tout SGU.
» Souhaitez vous être parrainé ? : Oui
» Multicompte ? Non
» Codes du Contrat :

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Invité
Invité

Mer 27 Juil - 14:23

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Re-slt ^^
Alors Maeve est Ethnologue et Joue du violon... Franchement, je pense que Gron et Maeve devrait plutôt bien s'entendre, surtout à cause du Violon ^^

Bienvenu une nouvelle fois.

PS: Ah oui, par contre pour la question des parrains, faut pas juste dire oui, mais en choisir un, tu peux en choisir un(e) ici :

Liste des parrain et Marraine

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Invité
Invité

Mer 27 Juil - 17:56

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:welcomee:
eh bien, en toute franchise, j'aime beaucoup ton personnage ! :coeur:
Ton histoire est super bien écrite, j'aime beaucoup le caractère de cette Irlandaise !

C'est sans aucune hésitation que je te donne la 1ere validation

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Matt Eversman
Caporal
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√ Arrivée le : 08/12/2012
√ Date de naissance : 22/01/1990
√ Gène : Wraith
√ Age : 34
√ Messages : 11473

Mer 27 Juil - 18:02

Matt Eversman
Bienvenue par ici miss !

Bravo pour cette fiche. Tu obtiens la validation aussi !!!

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Admin
Admin
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√ Arrivée le : 08/12/2012
√ Nationalité : /

√ Gène : ATA
√ Messages : 657

Mer 27 Juil - 18:02

Admin
Le membre 'Matt Eversman' a effectué l'action suivante : Lancé de dés


'Gêne ATA' :
Maeve Devlin Deata10
Résultat :
Maeve Devlin Deatan10

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Invité
Invité

Mer 27 Juil - 20:30

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Coucou, et comme je t'ai dis sur la CB, bienvenue !

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Invité
Invité

Mer 27 Juil - 22:25

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Merci à vous !!

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Karola Frei
Major
Second responsable militaire
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√ Arrivée le : 14/05/2015
√ Date de naissance : 09/04/1983
√ Nationalité : Allemande

√ Age : 41
√ Messages : 2298
√ Localisation : Site Alpha

Jeu 28 Juil - 13:26

Karola Frei
Tu obtiens également ma validation, bienvenue wink

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Invité
Invité

Jeu 28 Juil - 13:34

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Haaaaaaan, merciiiiiiiii ! ♥ ♥ ♥
J'ai hâte de pouvoir RP avec vous tous !

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Invité
Invité

Sam 30 Juil - 15:10

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Mince j'ai failli rater la belle irlandaise ! Félicitations pour ta validation et bienvenue !^^

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Invité
Invité

Dim 21 Aoû - 12:09

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Belle fiche, une jolie irlandaise passionnée de civilisations jouant du violon ça ne peut être que bien. J'espère te croiser bientôt en rp. Bienvenue dans mon équipe wink

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Invité
Invité

Mer 24 Aoû - 1:18

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Bienvenue chère amie :)1!

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