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La Cité était très belle, ce n’était pas moi qui allait dire le contraire le seul souci c’est que c’était un véritable labyrinthe pour moi. Un couloir ou un autre, cela se ressemblait, d’un étage à l’autre c’était la même chose. Il allait vraiment falloir que je lance l’idée de petits panneaux indicateurs parce que là je n’étais pas encore arrivé à mes quartiers.
Bon à première vue, le couloir ressemblait bien au mien mais bon et vu qu’il n’y avait pas de noms sur les quartiers, ni même de numéros, j’étais un peu paumé. Il me faudrait bien un GPS pour naviguer ici…Je me rappelais juste que mon quartier se situait vers un gros pilier et qu’il y avait une baie d’observation pas très loin…Mais ici tout se ressemblait, quoi que, il me semble que j’y arrive bientôt.
En effet, voilà ma porte !!! Juste à côté d’une baie d’observation, c’était juste là ! Ouf, j’avais enfin trouvé ma porte, ce n’était pas trop tôt. Après un petit coup sur le détecteur pour ouvrir la porte, j’entrais finalement. Au début, rien ne me trouble plus que cela… c’était la même disposition que ma chambre. Une fois la porte refermée, je jetais négligemment ma veste militaire sur le lit et en fit le tour pour prendre quelque chose qui aurait dû se trouver sur la table de nuit…Gné… Que faisait ce verre dessus ? Bon, pas grave. Je pris le verre et partit en direction de la salle de bain pour le reposer et là… surprise… Mon gel douche a fait des petits…Et puis depuis quand j’ai du rouge à lèvres moi ?! C’est une plaisanterie… Je sortis de la salle de bain, restant appuyé contre le chambranle de la porte quand un bruit m’indiqua que quelqu’un allait entrer…
Bon à première vue, le couloir ressemblait bien au mien mais bon et vu qu’il n’y avait pas de noms sur les quartiers, ni même de numéros, j’étais un peu paumé. Il me faudrait bien un GPS pour naviguer ici…Je me rappelais juste que mon quartier se situait vers un gros pilier et qu’il y avait une baie d’observation pas très loin…Mais ici tout se ressemblait, quoi que, il me semble que j’y arrive bientôt.
En effet, voilà ma porte !!! Juste à côté d’une baie d’observation, c’était juste là ! Ouf, j’avais enfin trouvé ma porte, ce n’était pas trop tôt. Après un petit coup sur le détecteur pour ouvrir la porte, j’entrais finalement. Au début, rien ne me trouble plus que cela… c’était la même disposition que ma chambre. Une fois la porte refermée, je jetais négligemment ma veste militaire sur le lit et en fit le tour pour prendre quelque chose qui aurait dû se trouver sur la table de nuit…Gné… Que faisait ce verre dessus ? Bon, pas grave. Je pris le verre et partit en direction de la salle de bain pour le reposer et là… surprise… Mon gel douche a fait des petits…Et puis depuis quand j’ai du rouge à lèvres moi ?! C’est une plaisanterie… Je sortis de la salle de bain, restant appuyé contre le chambranle de la porte quand un bruit m’indiqua que quelqu’un allait entrer…
Journée de travail terminée, Eiden en avait plein les baskets de ces journées qui n'en finissaient plus. En plus après ça elle n'arrivait toujours pas à se reposer comme elle l'aurait du et donc elle accumulait les heures de sommeil en retard et cela se voyait de plus en plus sur son visage. Les cernes, la fatigue autant physique que moral, elle savait qu'elle aurait droit à une évaluation psychologique d'ici peu tout simplement parce qu'elle était trop fatigué et malgré tout ce qu'elle pouvait faire pour cacher cela son supérieur c'était bien rendu compte de son état. Il avait déjà tenté de parler avec elle lorsque leur journée de travail fut terminée mais elle prétexta qu'elle voulait justement se reposer donc il n'avait pas insisté. Mais elle n'était pas dupe elle savait ce qui allait bientôt lui tomber dessus.
Lorsqu'elle arriva enfin devant sa porte elle ne chercha pas plus loin, saluant d'un geste de la main la personne qu'elle venait de croiser et ne chercha même pas à discuter. Tout ce qui lui importait c'était de prendre une bonne douche et de dormir, du moins d'essayer.
La porte s'ouvrit et sur le coup elle ne fit pas attention à la veste posée un peu plus loin. Ce n'est que lorsque la porte se referma et qu'elle se tourna direction la salle de bain qu'elle vit un intrus, ou plutôt un type dans son quartier et ce n'était pas celui auquel elle aurait pu s'attendre. Elle sursauta en ne reconnaissait pas son petit ami, qui aurait pu s'amuser à lui faire cette surprise et ne pu retenir un léger cri d'étonnement. Rien de bien alarmant, cela n'interpellerait pas son voisin de chambre par exemple mais ça pouvait surprendre l'intrus.
- Qu'est ce que vous faites ici ?
Eiden était un peu agressive mais surtout très fatiguée et lasse, même si elle venait de le reconnaitre parce qu'elle avait eu entre les mains les dossiers des nouveaux arrivants, elle n'avait pas idée du pourquoi il se trouvait là.
Lorsqu'elle arriva enfin devant sa porte elle ne chercha pas plus loin, saluant d'un geste de la main la personne qu'elle venait de croiser et ne chercha même pas à discuter. Tout ce qui lui importait c'était de prendre une bonne douche et de dormir, du moins d'essayer.
La porte s'ouvrit et sur le coup elle ne fit pas attention à la veste posée un peu plus loin. Ce n'est que lorsque la porte se referma et qu'elle se tourna direction la salle de bain qu'elle vit un intrus, ou plutôt un type dans son quartier et ce n'était pas celui auquel elle aurait pu s'attendre. Elle sursauta en ne reconnaissait pas son petit ami, qui aurait pu s'amuser à lui faire cette surprise et ne pu retenir un léger cri d'étonnement. Rien de bien alarmant, cela n'interpellerait pas son voisin de chambre par exemple mais ça pouvait surprendre l'intrus.
- Qu'est ce que vous faites ici ?
Eiden était un peu agressive mais surtout très fatiguée et lasse, même si elle venait de le reconnaitre parce qu'elle avait eu entre les mains les dossiers des nouveaux arrivants, elle n'avait pas idée du pourquoi il se trouvait là.
La porte s’ouvrit sur une ravissante femme… La chance que j’avais ! Elle rentra sans me remarquer, ça c’était encore plus cool comme cela je pouvais l’observer à mon aise sans problème mais bon cela ne devait pas durer car finalement elle me remarqua et poussa un petit cri. Pour me surprendre, cela me surpris et me fit lâcher le chambranle. Je n’avais aucune envie que quelqu’un entende ce cri et se rue à son secours…
- Qu'est ce que vous faites ici ?
A priori, je m’étais trompé de chambre, maintenant c’était certain. Si j’avais eu une aussi belle créature en colocation dans mon quartier, je l’aurais déjà remarqué… Enfin, cela ne me disait pas non plus où j’étais. A la vue de la blouse, je remarquais qu’elle était médecin. Alors avec mon plus beau sourire, je lui répondis :
- Je pourrais poser la même question, mais je me suis simplement trompé de chambre… Pourtant la mienne est aussi à côté d’une baie vitrée… et celle-là aussi… Ici tout de se ressemble et je m’excuse d’être entré dans votre chambre…Docteur ?
Pas mal le médecin à bord… rien que pour cela j’étais prêt à me blessé pour me faire soigner par elle. L’espace de quelques secondes, je la déshabillais du regard avant de m’approcher doucement d’elle et de lui tendre la main pour me présenter :
- Soldat Walter Junior Smith, mais vous pouvez m’appelé Junior.
- Qu'est ce que vous faites ici ?
A priori, je m’étais trompé de chambre, maintenant c’était certain. Si j’avais eu une aussi belle créature en colocation dans mon quartier, je l’aurais déjà remarqué… Enfin, cela ne me disait pas non plus où j’étais. A la vue de la blouse, je remarquais qu’elle était médecin. Alors avec mon plus beau sourire, je lui répondis :
- Je pourrais poser la même question, mais je me suis simplement trompé de chambre… Pourtant la mienne est aussi à côté d’une baie vitrée… et celle-là aussi… Ici tout de se ressemble et je m’excuse d’être entré dans votre chambre…Docteur ?
Pas mal le médecin à bord… rien que pour cela j’étais prêt à me blessé pour me faire soigner par elle. L’espace de quelques secondes, je la déshabillais du regard avant de m’approcher doucement d’elle et de lui tendre la main pour me présenter :
- Soldat Walter Junior Smith, mais vous pouvez m’appelé Junior.
Hein ? Eiden fronça les sourcils en entendant son excuse qui ressemblait plus à une explication bancale qu'à une réelle excuse. Se tromper de chambre ! C'était bien la première fois qu'elle entendait ça, et pourtant elle était bien du genre à se tromper mais là, jamais c'était arrivé encore.
- On me l'a jamais faite encore celle-là ! D'habitude les militaires ont un meilleur sens de l'orientation. Enfin bon, j'espère que vous n'avez pas utilisé mon lit sinon j'suis bonne pour changer les draps et j'avoue ne pas en avoir le courage ce soir.
Eiden ne chercha pas plus loin, elle n'avait vraiment pas envie de devoir faire le ménage avant de s'allonger dans son lit pour tenter de dormir, c'était bien tout ce qui comptait.
Elle serra la main qu'il lui tendit et répondit à ce qu'il lui dit.
- Docteur Eiden Andrews ! J'peux pas vraiment dire que je suis enchanté de vous rencontrer dans de telles circonstances mais ça va vous étiez pas sous la douche sinon ça aurait été vraiment embarrassant. Et vous pouvez vous estimez heureux de pas non plus être entré chez un de vos collègues j'en connais certains qui vous aurez sortit à coup de poings.
Elle tenta de se montrer gentille et agréable mais n'avait pas non plus envie de se taper la causette avec lui.
- Vous êtes si nul que ça en orientation ? Je veux bien admettre que tout se ressemble mais en regardant bien c'est assez facile de s'y retrouver.
- On me l'a jamais faite encore celle-là ! D'habitude les militaires ont un meilleur sens de l'orientation. Enfin bon, j'espère que vous n'avez pas utilisé mon lit sinon j'suis bonne pour changer les draps et j'avoue ne pas en avoir le courage ce soir.
Eiden ne chercha pas plus loin, elle n'avait vraiment pas envie de devoir faire le ménage avant de s'allonger dans son lit pour tenter de dormir, c'était bien tout ce qui comptait.
Elle serra la main qu'il lui tendit et répondit à ce qu'il lui dit.
- Docteur Eiden Andrews ! J'peux pas vraiment dire que je suis enchanté de vous rencontrer dans de telles circonstances mais ça va vous étiez pas sous la douche sinon ça aurait été vraiment embarrassant. Et vous pouvez vous estimez heureux de pas non plus être entré chez un de vos collègues j'en connais certains qui vous aurez sortit à coup de poings.
Elle tenta de se montrer gentille et agréable mais n'avait pas non plus envie de se taper la causette avec lui.
- Vous êtes si nul que ça en orientation ? Je veux bien admettre que tout se ressemble mais en regardant bien c'est assez facile de s'y retrouver.
Je la vit froncer des sourcils et cela lui donnait un air si sérieux que je ne pus m’empêcher de lui sourire encore plus. Si elle m’avait surpris en criant, apparemment je la surpris aussi parce qu’on ne lui avait encore jamais fait le coup. J’étais le premier, tant mieux comme ça personne ne se vanterais de cela. Oui, d’habitude les militaires avaient plus d’orientation, mais bon moi j’avais beau être un militaire, j’avais surtout pas forcément une bonne mémoire des lieux… pour l’orientation, je trouvais toujours les chambres des jolies filles et voilà un fait qui confirmait la règle ! Pour ce qui est du lit, je la rassurais rapidement :
- Non, je n’avais pas encore eu le temps de me coucher…
Bien que se coucher à côté d’elle serait vraiment très bien… Ho quel crétin, il devrait se faufiler dans les chambres des autres pour souvent si c’était pour faire des rencontres comme celle-ci. Je serrais sa main avec vigueur mais sans lui briser un os malgré tout. Eiden, quel joli prénom, ça sonnait un peu comme le paradis ça ! Sous la douche, cela aurait été une idée des plus… superbes de son côté ! Puis elle me fit la remarque que certains de ses collègues risquaient de me recevoir à coup de poing. Je lui répondis, sans vouloir me vanter mais ne pouvant pas faire autrement :
- C’est vrai que la douche aurait été une bonne idée, mais bon, j’y allais mais au passage j’ai remarqué des produits qui n’étaient pas à moi… Encore moi ce rouge à lèvre, très joli !
Je disais cela avec le rouge à lèvre qui était sur le rebord du lavabo dans les doigts. Un petit rouge qui devait lui aller très bien puis je poursuivis :
- Je ne suis pas sûr qu’ils soient arrivés à me frapper, mais vous auriez eu encore plus de boulot à cause de moi. Je suis plutôt du genre… bon combattant aimant la bagarre.
Nul en orientation. Je fis une légère grimace avant de lui répondre :
- Oui, enfin non… en fait, ma boussole interne m’a donné cette chambre comme la mienne parce qu’elle est habitée par une très belle femme. Logique, non ? Ensuite, je n’ai pas la mémoire des lieux mais plongez-moi dans un océan et là je suis le meilleur.
Plus je la regardais et plus je lui trouvais les traits tirés. Elle devait être fatiguée… peut-être même un peu déprimée et on le serait à moins avec ce qu’il s’était passé ici. Moi, tant qu’il y avait de l’eau pas loin, cela m’apaisait. J’ajouta :
- Doc, vous savez que la nuit c’est fait pour dormir au moins ? Vous avez l’air crevé ! Une bonne douche, un bon petit massage et au dodo, voilà ce qu’il vous faut ! Je me dévoue pour le massage !
J’avais dit cela en levant la main avant d’ajouter :
- En tout bien tout honneur bien sûr !
- Non, je n’avais pas encore eu le temps de me coucher…
Bien que se coucher à côté d’elle serait vraiment très bien… Ho quel crétin, il devrait se faufiler dans les chambres des autres pour souvent si c’était pour faire des rencontres comme celle-ci. Je serrais sa main avec vigueur mais sans lui briser un os malgré tout. Eiden, quel joli prénom, ça sonnait un peu comme le paradis ça ! Sous la douche, cela aurait été une idée des plus… superbes de son côté ! Puis elle me fit la remarque que certains de ses collègues risquaient de me recevoir à coup de poing. Je lui répondis, sans vouloir me vanter mais ne pouvant pas faire autrement :
- C’est vrai que la douche aurait été une bonne idée, mais bon, j’y allais mais au passage j’ai remarqué des produits qui n’étaient pas à moi… Encore moi ce rouge à lèvre, très joli !
Je disais cela avec le rouge à lèvre qui était sur le rebord du lavabo dans les doigts. Un petit rouge qui devait lui aller très bien puis je poursuivis :
- Je ne suis pas sûr qu’ils soient arrivés à me frapper, mais vous auriez eu encore plus de boulot à cause de moi. Je suis plutôt du genre… bon combattant aimant la bagarre.
Nul en orientation. Je fis une légère grimace avant de lui répondre :
- Oui, enfin non… en fait, ma boussole interne m’a donné cette chambre comme la mienne parce qu’elle est habitée par une très belle femme. Logique, non ? Ensuite, je n’ai pas la mémoire des lieux mais plongez-moi dans un océan et là je suis le meilleur.
Plus je la regardais et plus je lui trouvais les traits tirés. Elle devait être fatiguée… peut-être même un peu déprimée et on le serait à moins avec ce qu’il s’était passé ici. Moi, tant qu’il y avait de l’eau pas loin, cela m’apaisait. J’ajouta :
- Doc, vous savez que la nuit c’est fait pour dormir au moins ? Vous avez l’air crevé ! Une bonne douche, un bon petit massage et au dodo, voilà ce qu’il vous faut ! Je me dévoue pour le massage !
J’avais dit cela en levant la main avant d’ajouter :
- En tout bien tout honneur bien sûr !
Encore heureux qu'il n'avait pas eu le temps de se coucher. Eiden imaginait déjà la scène : elle rentrant dans ses quartiers, voyant un homme allongé dans son lit, croyant qu'il s'agissait de Matt elle se serai tout simplement glissé auprès de lui mais une fois tout contre lui elle se serait rendu compte qu'il s'agissait d'un autre et aurait hurler à en alerter toute la base. Ou pire encore, elle ne l'aurait pas reconnu, cherchant juste à s'endormir tout contre lui, elle en frissonna de peur tellement l'idée lui semblait étrange et malsaine.
Lorsqu'il lui parla de son rouge à lèvre elle ne pu que hausser les épaules et répondre.
- Vous pensez, c'est tout ce qui me reste de la civilisation, en plus je suis sur que cette couleur est passé maintenant sur terre.
Puis il se venta d'être un bagarreur et qu'à cause de ça elle aurait eu du travail. Elle s'en fichait royalement, les vantards elle en avait croisé des tonnes et des tonnes et ça finissait toujours de la même manière, à l'infirmerie et une fois de trop.
- Vous êtes un peu dragueur vous, je me trompes ? parce que des belles femmes y'en a un peu partout sur la base et si vous cherchez bien y'en a même sur d'autres planètes et sur le continent.
Il venait de lui faire un compliment mais vu son état de fatigue, elle n'avait pas tout capté exactement, donc ne réagit pas vraiment comme il aurait fallu.
- Oui, effectivement vous avez raison, c'est d'ailleurs ce que je vais faire aussitôt que vous serez partit. C'est très gentil de vous proposer pour un massage mais j'ai des collègues qui sont très doués dans leur domaine, je ne manquerais pas de leur demander la prochaine fois que je les croiserais.
Il y avait de très bon kiné sur la cité et le fait qu'il en parle lui donna l'idée d'aller en voir un, celui-ci se serait une joie d'exercer son art sur son corps et l'aiderait à sa défaire de certaines courbatures.
- J'en doute pas une seconde mais je préfère pas, après j'aurai trop peur que vous veniez ici par habitude et non par hasard.
Un léger sourire s'afficha sur son visage, montrant qu'elle faisait un peu d'humour malgré son sérieux, mais qu'en même temps elle l'invitait à quitter sa chambre.
Lorsqu'il lui parla de son rouge à lèvre elle ne pu que hausser les épaules et répondre.
- Vous pensez, c'est tout ce qui me reste de la civilisation, en plus je suis sur que cette couleur est passé maintenant sur terre.
Puis il se venta d'être un bagarreur et qu'à cause de ça elle aurait eu du travail. Elle s'en fichait royalement, les vantards elle en avait croisé des tonnes et des tonnes et ça finissait toujours de la même manière, à l'infirmerie et une fois de trop.
- Vous êtes un peu dragueur vous, je me trompes ? parce que des belles femmes y'en a un peu partout sur la base et si vous cherchez bien y'en a même sur d'autres planètes et sur le continent.
Il venait de lui faire un compliment mais vu son état de fatigue, elle n'avait pas tout capté exactement, donc ne réagit pas vraiment comme il aurait fallu.
- Oui, effectivement vous avez raison, c'est d'ailleurs ce que je vais faire aussitôt que vous serez partit. C'est très gentil de vous proposer pour un massage mais j'ai des collègues qui sont très doués dans leur domaine, je ne manquerais pas de leur demander la prochaine fois que je les croiserais.
Il y avait de très bon kiné sur la cité et le fait qu'il en parle lui donna l'idée d'aller en voir un, celui-ci se serait une joie d'exercer son art sur son corps et l'aiderait à sa défaire de certaines courbatures.
- J'en doute pas une seconde mais je préfère pas, après j'aurai trop peur que vous veniez ici par habitude et non par hasard.
Un léger sourire s'afficha sur son visage, montrant qu'elle faisait un peu d'humour malgré son sérieux, mais qu'en même temps elle l'invitait à quitter sa chambre.
Démodée, cette couleur…. Peut-être bien mais jamais sur elle. De toute façon, quoi qu’elle mette, j’étais sûr qu’elle était toujours aussi belle alors le naturel valait mieux que tout. Puis elle vint me dire que j’étais dragueur. Je la regarda avec un petit sourire avant de lui répondre :
- Dragueur, moi ? Non, je n’oserais pas voyons !
Bien sûr que j’étais dragueur. Je n’avais pas toute la vie devant moi et je comptais bien profiter de chaque instant qui se présentait. Ici, on ne savait pas si on allait vivre un an ou mourir le lendemain donc autant profiter du moment présent. Certes, j’étais d’accord avec elle, des belles femmes il y en avait de partout mais ce n’était pas chez n’importe qui que j’étais entré, mais chez elle ! Alors avec le plus beau des sourires, je lui répondis :
- Des belles femmes oui…. Mais pas des très belles femmes telles que vous !
Elle me remercia pour le conseil du massage mais bien évidemment, elle ne voulait pas que je le fasse. Cela m’aurait étonné du contraire mais quand même ! Un de ses collègues s’en chargerait… Qu’est-ce que je ne donnerais pas pour poser mes mains sur elle tendrement. Il allait falloir que j’ai deux mots avec le kiné de l’expédition pour lui dire, bien évidemment, de ne pas avoir l’idée de la toucher ! Le massage, c’était moi !
Elle me dit finalement qu’elle avait peur que je revienne par habitude ou par hasard de nouveau. Je la regarda et la rassura du mieux que je pus :
- Quand je reviendrais, j’espère bien que cela sera à votre bras. Mais promis, je ne m’introduirais plus dans votre chambre, sans votre permission… mais si vous m’appelez, je rapplique illico !
Malgré tout, j’avais bien compris qu’elle avait besoin de se reposer et donc que partir était la meilleur des choses. Je m'approchais et lui lança avec un sourire coquin :
- Mais surtout, si le cœur vous en dit, vous pouvez très bien venir squatter ma chambre, cela ne me dérangerait pas du tout, bien au contraire ! Sur ce, je vais vous laisser vous reposer ! Dormez bien !
Malgré tout, je ne pus m’empêcher de déposer un rapide baiser sur ses lèvres avant de partir en direction de la porte, un petit sourire aux lèvres.
- Dragueur, moi ? Non, je n’oserais pas voyons !
Bien sûr que j’étais dragueur. Je n’avais pas toute la vie devant moi et je comptais bien profiter de chaque instant qui se présentait. Ici, on ne savait pas si on allait vivre un an ou mourir le lendemain donc autant profiter du moment présent. Certes, j’étais d’accord avec elle, des belles femmes il y en avait de partout mais ce n’était pas chez n’importe qui que j’étais entré, mais chez elle ! Alors avec le plus beau des sourires, je lui répondis :
- Des belles femmes oui…. Mais pas des très belles femmes telles que vous !
Elle me remercia pour le conseil du massage mais bien évidemment, elle ne voulait pas que je le fasse. Cela m’aurait étonné du contraire mais quand même ! Un de ses collègues s’en chargerait… Qu’est-ce que je ne donnerais pas pour poser mes mains sur elle tendrement. Il allait falloir que j’ai deux mots avec le kiné de l’expédition pour lui dire, bien évidemment, de ne pas avoir l’idée de la toucher ! Le massage, c’était moi !
Elle me dit finalement qu’elle avait peur que je revienne par habitude ou par hasard de nouveau. Je la regarda et la rassura du mieux que je pus :
- Quand je reviendrais, j’espère bien que cela sera à votre bras. Mais promis, je ne m’introduirais plus dans votre chambre, sans votre permission… mais si vous m’appelez, je rapplique illico !
Malgré tout, j’avais bien compris qu’elle avait besoin de se reposer et donc que partir était la meilleur des choses. Je m'approchais et lui lança avec un sourire coquin :
- Mais surtout, si le cœur vous en dit, vous pouvez très bien venir squatter ma chambre, cela ne me dérangerait pas du tout, bien au contraire ! Sur ce, je vais vous laisser vous reposer ! Dormez bien !
Malgré tout, je ne pus m’empêcher de déposer un rapide baiser sur ses lèvres avant de partir en direction de la porte, un petit sourire aux lèvres.
Malgré ce qu'il venait de dire elle ne pouvait pas croire autrement que sa première impression, c'était un dragueur et cela se voyait dans sa façon de la regarder d'ailleurs. De plus, elle se rendit compte que sa manière de la regarder justement n'avait rien de bien innocent. Il serait peu être temps qu'elle mette fin à tout cela en le faisant sortir de sa chambre afin de pouvoir enfin se reposer un peu, du moins essayer.
Mais ce qu'il ajouta devait recevoir une réponse. C'était flatteur et bien sur cette fois-ci elle le compris.
- Dites pas n'importe quoi, de toute façon j'suis certaine que vous dites ça à toutes les femmes que vous croisez pour peu qu'elles soient un peu jolies.
Bon, en même temps c'était plutôt agréable à entendre, elle qui se sentait bien seule et déprimée depuis quelques temps.
- Ben j'espère bien que vous ne recommencerez pas, parce que la prochaine fois je crierais bien plus fort que ça et vous n'y resterez pas aussi longtemps.
Elle le taquinait peu être mais c'était aussi sa façon de lui dire qu'elle ne tolèrerait ce genre d'erreur qu'une fois et unique fois.
De toute façon c'était pas son genre d'inviter des hommes dans son quartier, excepté un homme mais ce n'était pas n'importe qui et c'était tellement rare depuis cette fameuse bataille qu'elle en avait presque oublié son odeur.
Elle partit dans ses pensées et ne fit pas trop attention à ce qu'il lui dit et encore moins au fait qu'il était bien assez proche d'elle, bien trop même.
- Je sais pas ce que j'irais faire den...
Eiden fut surprise par son geste parce qu'elle n'avait vraiment pas remarqué cette proximité beaucoup trop proche et ne sut trop quoi répondre ni comment réagir exactement. Sa main se posa sur ses lèvres, comme si elle avait besoin d'être sur qu'il avait vraiment fait ce qu'elle l'avait vu faire et le regarda avec un air très interrogateur. Allait t'elle crier, lui hurler de sortir ou bien le laisser partir sans rien ajouter ?
Sa main se leva dans sa direction et lui lui lança d'une voix assez forte afin qu'il comprenne qu'elle n'était pas d'accord avec ses manières.
- Hé ! vous ne recommencez jamais ça ! Je sais pas pour qui vous me prenez mais j'ai horreur de cette façon d'agir, j'suis une femme pas une marionnette ! en plus vu votre genre vous devez faire ça à toutes les femmes que vous croisez, vous croyez que c'est normal ce que vous venez de faire ? on ne connait pas vous et moi et je vous ais pas encouragé il me semble.
Elle était furieuse, mais pas au point de le mettre dehors à coup de pieds, juste qu'elle avait déjà vécu ce genre de situation avec un pot de colle et qu'elle avait du menacer le mec de porter plainte contre lui pour harcèlement sexuel pour qu'il la laisse enfin tranquille. Elle ne voulait donc pas que ce genre de chose se reproduise ici. Il fallait donc mettre les choses au clair.
Mais ce qu'il ajouta devait recevoir une réponse. C'était flatteur et bien sur cette fois-ci elle le compris.
- Dites pas n'importe quoi, de toute façon j'suis certaine que vous dites ça à toutes les femmes que vous croisez pour peu qu'elles soient un peu jolies.
Bon, en même temps c'était plutôt agréable à entendre, elle qui se sentait bien seule et déprimée depuis quelques temps.
- Ben j'espère bien que vous ne recommencerez pas, parce que la prochaine fois je crierais bien plus fort que ça et vous n'y resterez pas aussi longtemps.
Elle le taquinait peu être mais c'était aussi sa façon de lui dire qu'elle ne tolèrerait ce genre d'erreur qu'une fois et unique fois.
De toute façon c'était pas son genre d'inviter des hommes dans son quartier, excepté un homme mais ce n'était pas n'importe qui et c'était tellement rare depuis cette fameuse bataille qu'elle en avait presque oublié son odeur.
Elle partit dans ses pensées et ne fit pas trop attention à ce qu'il lui dit et encore moins au fait qu'il était bien assez proche d'elle, bien trop même.
- Je sais pas ce que j'irais faire den...
Eiden fut surprise par son geste parce qu'elle n'avait vraiment pas remarqué cette proximité beaucoup trop proche et ne sut trop quoi répondre ni comment réagir exactement. Sa main se posa sur ses lèvres, comme si elle avait besoin d'être sur qu'il avait vraiment fait ce qu'elle l'avait vu faire et le regarda avec un air très interrogateur. Allait t'elle crier, lui hurler de sortir ou bien le laisser partir sans rien ajouter ?
Sa main se leva dans sa direction et lui lui lança d'une voix assez forte afin qu'il comprenne qu'elle n'était pas d'accord avec ses manières.
- Hé ! vous ne recommencez jamais ça ! Je sais pas pour qui vous me prenez mais j'ai horreur de cette façon d'agir, j'suis une femme pas une marionnette ! en plus vu votre genre vous devez faire ça à toutes les femmes que vous croisez, vous croyez que c'est normal ce que vous venez de faire ? on ne connait pas vous et moi et je vous ais pas encouragé il me semble.
Elle était furieuse, mais pas au point de le mettre dehors à coup de pieds, juste qu'elle avait déjà vécu ce genre de situation avec un pot de colle et qu'elle avait du menacer le mec de porter plainte contre lui pour harcèlement sexuel pour qu'il la laisse enfin tranquille. Elle ne voulait donc pas que ce genre de chose se reproduise ici. Il fallait donc mettre les choses au clair.
Bien sûr, je ne m’attendais pas non plus à ce qu’elle ma saute dans les bras… mais sa réaction me fit plus que sourire. Pendant quelques secondes, elle resta comme dire… interloquée face à mon geste avant de lever la main vers moi. Oui, l’espace d’un instant, je me contractai histoire que l’hypothétique gifle fasse moins mal à l’impact, mais rien ne vint… Ouf, je l’avais échappé belle. Alors je l’écoutai m’engueuler.
Ne jamais recommencer… Cela je ne pouvais pas le dire sans mentir car quand j’avais une femme dans mon viseur, je n’en changeais pas de sitôt. Elle était belle, elle était intelligence, ses lèvres étaient douces alors pourquoi ne pas recommencer. Pour qui je la prenais… pour une superbe femme que j’avais vraiment envie de serrer dans mes bras. Faire cela à toutes les femmes un peu jolies que je croisais. Je fis exprès de faire la grimace pour lui faire comprendre que ce n’était pas vrai mais je ne la coupai pas. Quand elle eut terminé, je la regardai et lui dit :
- C’est bon ? Vous avez fini ?
Je me passai la main sur le front tout en soupirant avant de continuer :
- J’ai bien cru que vous alliez me gifler ! Mais rassurez-vous, je n’embrasse pas tout ce que je croise…. Simplement les femmes qui me plaisent et contrairement à ce que vous pourriez penser de moi, même si je suis ce qu’on pourrait appeler un dragueur, je suis fidèle et je m’y tiens ! Certes, vous n’êtes pas une marionnette, loin de là et j’aime ce petit caractère ! J’aime aussi la façon dont votre petit nez se retrousse quand vous êtes en colère.
Je m’approchai d’elle en douceur, lentement, sans vouloir la brusquer tout en la regardant droit dans les yeux avant d’ajouter :
- Je ne vous ferais quoi que ce soit de mal ou de méchant. Si vous avez peur de moi, dites-le moi et je vous laisserais tranquille, Docteur ! Mais si ce n’est pas le cas, ne m’interdisez pas de tenter ma chambre auprès de votre cœur !
Ne jamais recommencer… Cela je ne pouvais pas le dire sans mentir car quand j’avais une femme dans mon viseur, je n’en changeais pas de sitôt. Elle était belle, elle était intelligence, ses lèvres étaient douces alors pourquoi ne pas recommencer. Pour qui je la prenais… pour une superbe femme que j’avais vraiment envie de serrer dans mes bras. Faire cela à toutes les femmes un peu jolies que je croisais. Je fis exprès de faire la grimace pour lui faire comprendre que ce n’était pas vrai mais je ne la coupai pas. Quand elle eut terminé, je la regardai et lui dit :
- C’est bon ? Vous avez fini ?
Je me passai la main sur le front tout en soupirant avant de continuer :
- J’ai bien cru que vous alliez me gifler ! Mais rassurez-vous, je n’embrasse pas tout ce que je croise…. Simplement les femmes qui me plaisent et contrairement à ce que vous pourriez penser de moi, même si je suis ce qu’on pourrait appeler un dragueur, je suis fidèle et je m’y tiens ! Certes, vous n’êtes pas une marionnette, loin de là et j’aime ce petit caractère ! J’aime aussi la façon dont votre petit nez se retrousse quand vous êtes en colère.
Je m’approchai d’elle en douceur, lentement, sans vouloir la brusquer tout en la regardant droit dans les yeux avant d’ajouter :
- Je ne vous ferais quoi que ce soit de mal ou de méchant. Si vous avez peur de moi, dites-le moi et je vous laisserais tranquille, Docteur ! Mais si ce n’est pas le cas, ne m’interdisez pas de tenter ma chambre auprès de votre cœur !
Eiden resta bouche bée lorsqu'il lui demanda si elle avait finit, non mais quel culot ! Au lieu de filer sans demander son reste fallait encore qu'il en rajoute. Elle était trop fatiguée pour lutter et franchement n'avait pas envie d'écouter un dragueur blablater pour tenter de la mettre dans sa poche. Donc elle soupira, montrant un peu qu'elle n'appréciait ça.
- Vous n'êtes pas encore tiré d'affaire vous savez, la gifle peu encore arrivée si vous tentez une nouvelle fois de m'embrasser de cette façon. Vous êtes quand même dans ma chambre et je ne vous y ai pas invité à ce que je sache ! De plus je suis fatiguée, j'ai bossé comme une dingue aujourd'hui et j'ai du sommeil en retard. Et puis vous pourrez dire tout ce que vous voulez, des dragueur j'en ai déjà croisé pas mal et ils disent tous la même chose jusqu'à ce qu'ils aient ce qu'ils veulent. Je suis peu être sur Atlantis depuis un an mais ça ne fait pas de moi une ignorante pour autant. Et je me fiche bien que vous aimez ou non mon caractère et puis mon nez ne se retrousse pas quand je suis en colère.
Lorsqu'il s'avança elle ne pu s'empêcher de reculer, pour éviter qu'il ne tente à nouveau de l'embrasser. Elle n'avait pas confiance et vu son état de fatigue elle n'aurait pas la force de lutter contre lui s'il tenter de la brusquer ou s'il tentait autre chose. Instinctivement elle plaça sa main sur son torse, paume ouverte pour tenter de le repousser mais surtout pour lui montrer qu'il devait garder une certaine distance avec elle.
- Oui ! Je crois que ça se voit, j'ai peur de vous soldat et si vous tentez quoi que ce soit auprès de moi sachez que j'irai en parler à qui de droit et votre carrière sera fichue. Au début cette situation était amusante maintenant elle est frustrante, alors vous seriez gentil de m'oublier et de repartir à la recherche de votre propre quartier.
- Vous n'êtes pas encore tiré d'affaire vous savez, la gifle peu encore arrivée si vous tentez une nouvelle fois de m'embrasser de cette façon. Vous êtes quand même dans ma chambre et je ne vous y ai pas invité à ce que je sache ! De plus je suis fatiguée, j'ai bossé comme une dingue aujourd'hui et j'ai du sommeil en retard. Et puis vous pourrez dire tout ce que vous voulez, des dragueur j'en ai déjà croisé pas mal et ils disent tous la même chose jusqu'à ce qu'ils aient ce qu'ils veulent. Je suis peu être sur Atlantis depuis un an mais ça ne fait pas de moi une ignorante pour autant. Et je me fiche bien que vous aimez ou non mon caractère et puis mon nez ne se retrousse pas quand je suis en colère.
Lorsqu'il s'avança elle ne pu s'empêcher de reculer, pour éviter qu'il ne tente à nouveau de l'embrasser. Elle n'avait pas confiance et vu son état de fatigue elle n'aurait pas la force de lutter contre lui s'il tenter de la brusquer ou s'il tentait autre chose. Instinctivement elle plaça sa main sur son torse, paume ouverte pour tenter de le repousser mais surtout pour lui montrer qu'il devait garder une certaine distance avec elle.
- Oui ! Je crois que ça se voit, j'ai peur de vous soldat et si vous tentez quoi que ce soit auprès de moi sachez que j'irai en parler à qui de droit et votre carrière sera fichue. Au début cette situation était amusante maintenant elle est frustrante, alors vous seriez gentil de m'oublier et de repartir à la recherche de votre propre quartier.
Je n’étais pas un dragueur qui faisait du mal aux filles… J’étais plutôt un charmeur en fait, un dragueur sautait sur tout ce qui bougeait, pas moi… Mais bon, elle pouvait bien me voir comme elle le voulait, je doutais bien que quoi que je dise cela n’aurait guère d’importance ou d’impact sur elle. Elle allait certainement me prendre pour un abruti de première…Elle pouvait bien me gifler, cela ne changerait pas mon regard sur elle. Et d’ailleurs quand elle me dit qu’elle n’était pas ignorante, j’hochais la tête puis finalement je la secouais négativement… Je n’étais pas méchant…
D’ailleurs, ce que je redoutais ce produisit quand je m’approchais car elle vint s’écarter et poser une main sur mon torse pour m’empêcher d’avancer. Je m’arrêtais de suite en la regardant avant de doucement faire un pas en arrière…Puis, je fronçai les sourcils quand elle me dit qu’elle avait peur de moi…et que si je continuais elle irait rapporter la situation à mon supérieur… Ma carrière serait fichue, si elle savait seulement que ma carrière n’avait que peu d’importance à mes yeux… J’hochais finalement la tête avant de lui dire :
- D’accord….Je m’en vais…
Je reculais jusqu’à la porte et ajoutais avant d’activer l’ouverture de la porte :
- Je ne suis pas méchant, vous savez… je ne vous aurais fait aucun mal…Bonsoir…
J’appuyais finalement et la porte s’ouvrit. Je sortis en marchant à reculons et la regarda disparaitre avec la porte qui se refermait…Quel imbécile !!!! J’envoyais mon poing fermé contre la porte. Le choc fut violent et la douleur lancinante mais au moins cela me faisait du bien. J’avais vraiment agis comme un idiot !
D’ailleurs, ce que je redoutais ce produisit quand je m’approchais car elle vint s’écarter et poser une main sur mon torse pour m’empêcher d’avancer. Je m’arrêtais de suite en la regardant avant de doucement faire un pas en arrière…Puis, je fronçai les sourcils quand elle me dit qu’elle avait peur de moi…et que si je continuais elle irait rapporter la situation à mon supérieur… Ma carrière serait fichue, si elle savait seulement que ma carrière n’avait que peu d’importance à mes yeux… J’hochais finalement la tête avant de lui dire :
- D’accord….Je m’en vais…
Je reculais jusqu’à la porte et ajoutais avant d’activer l’ouverture de la porte :
- Je ne suis pas méchant, vous savez… je ne vous aurais fait aucun mal…Bonsoir…
J’appuyais finalement et la porte s’ouvrit. Je sortis en marchant à reculons et la regarda disparaitre avec la porte qui se refermait…Quel imbécile !!!! J’envoyais mon poing fermé contre la porte. Le choc fut violent et la douleur lancinante mais au moins cela me faisait du bien. J’avais vraiment agis comme un idiot !
- Très bien !
Après tout c'était ce qu'elle désirait. Elle l'avait juste menacé pour être sur qu'il avait bien compris qu'elle n'était pas en état de discuter avec lui ni même d'être dragué ou charmé. Elle voulait juste qu'il s'en aille et tant pis s'il le prenait mal. Elle aurait tout le loisir de s'excuser pour ses menaces qui n'étaient que des menaces en l'air en fait. Elle n'avait pas vraiment peur de lui mais disons qu'avec ce qu'elle avait vécu elle préférait prévenir et c'est donc pour cela qu'elle lui avait parlé ainsi.
Elle ne le connaissait pas suffisamment pour savoir qu'il n'était pas violent, qu'il ne réagirait pas mal si elle le giflait, donc on pouvait la comprendre aussi.
- Je veux juste dormir...
Et elle attendit elle aussi que la porte de referme pour se précipiter sur celle-ci et fermer le verrou afin que personne d'autre n'entre dans sa chambre. Elle voulait dormir, tenter de se reposer pour oublier tout ce qu'elle vivait et tout ce qui lui traversait l'esprit. La seule personne qu'elle voulait voir n'était plus disponible en ce moment car pris par son travail, donc elle n'avait qu'une chose à faire essayer une fois encore de trouver le sommeil.
Et puis avec un peu de chance ce soldat ne remettrait jamais les pieds dans ses quartiers vu son sens de l'orientation il finirait dans une autre chambre et elle n'aurait plus à faire attention les prochaines fois qu'elle retournerait à son quartier.
Après tout c'était ce qu'elle désirait. Elle l'avait juste menacé pour être sur qu'il avait bien compris qu'elle n'était pas en état de discuter avec lui ni même d'être dragué ou charmé. Elle voulait juste qu'il s'en aille et tant pis s'il le prenait mal. Elle aurait tout le loisir de s'excuser pour ses menaces qui n'étaient que des menaces en l'air en fait. Elle n'avait pas vraiment peur de lui mais disons qu'avec ce qu'elle avait vécu elle préférait prévenir et c'est donc pour cela qu'elle lui avait parlé ainsi.
Elle ne le connaissait pas suffisamment pour savoir qu'il n'était pas violent, qu'il ne réagirait pas mal si elle le giflait, donc on pouvait la comprendre aussi.
- Je veux juste dormir...
Et elle attendit elle aussi que la porte de referme pour se précipiter sur celle-ci et fermer le verrou afin que personne d'autre n'entre dans sa chambre. Elle voulait dormir, tenter de se reposer pour oublier tout ce qu'elle vivait et tout ce qui lui traversait l'esprit. La seule personne qu'elle voulait voir n'était plus disponible en ce moment car pris par son travail, donc elle n'avait qu'une chose à faire essayer une fois encore de trouver le sommeil.
Et puis avec un peu de chance ce soldat ne remettrait jamais les pieds dans ses quartiers vu son sens de l'orientation il finirait dans une autre chambre et elle n'aurait plus à faire attention les prochaines fois qu'elle retournerait à son quartier.
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