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Coups et blessures [PV Isia]

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Karola Frei
Major
Second responsable militaire
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√ Arrivée le : 14/05/2015
√ Date de naissance : 09/04/1983
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Mer 27 Jan - 19:29

Karola Frei

Coups et blessures


Le réveil ne manqua pas son heure. A 7h pétantes il fit résonner dans la chambre de Karola sa douce mélodie. Si la jeune femme avait l'habitude de se lever tôt et d'être opérationnelle dès le lever aujourd'hui il en était autrement. Non seulement elle eut du mal à ouvrir les yeux mais en plus au premier geste qu'elle esquissa son corps se raidit ravivant dans sa mémoire le souvenir du combat violent qu'elle avait mené la veille contre Gabriel. Grimaçant elle se leva tout de même ignorant la douleur, même si elle l'avait voulu elle n'aurait de toutes façons pas pu rester au lit. Sheppard l'attendait et elle n'aimait pas faire attendre les gens. Seulement, les courbatures semblaient être très bien installées et pas vraiment décidées à lui laisser du répit. Tant pis pour elle, elle n'avait pas d'autre choix. En allant dans la salle de bain elle constata qu'elle avait une mine affreuse, heureusement que le scientifique avait eu la gentillesse de ne pas la frapper au visage sinon à ses cernes assez creusées auraient pu s'ajouter de jolis hématomes colorés. Enfin, elle avait tout de même la lèvre assez entamée, lorsqu'elle voulu nettoyer la plaie avec un peu d'eau ça la piqua tellement fort qu'elle abandonna l'idée. D'ailleurs ce n'était pas non plus le seul endroit qui lui faisait mal, son poignet gauche aussi avait été touché, la preuve elle avait un joli bleu qui l'ornait. Elle n'osa pas poursuivre son examen de ces différentes douleurs, sinon elle finirait par en avoir le tournis. Elle se contenta de se mettre un peu de la crème que Gabriel lui avait donné pour apaiser son poignet puis se prépara pour la réunion.


Avant de rejoindre Sheppard elle se rendit au mess pour déjeuner et pendant tout ce temps elle se demanda bien qu'elle excuse elle allait pouvoir inventer pour justifier sa mauvaise mise et ça démarche un peu moins fluide que d'habitude. La pilule de sa défaite de la veille avait eu le temps de passer pendant la nuit mais elle se doutait que si elle racontait ça à son supérieur il n'allait pas se gêner pour la railler. Malheureusement elle n'avait plus le temps de trouver un prétexte, il était l'heure. Tant pis, après tout si Sheppard lui faisait une quelconque remarque elle pourrait bien le foudroyer du regard ça suffirait à le dissuader de l'embêter à ce sujet. Elle quitta le mess et se dirigea vers la salle de briefing, perdue dans ses pensées. Heureusement elle connaissait le chemin par cœur, pour rejoindre son point de rendez-vous il fallait qu'elle remonte d'un niveau en coupant par la zone médicale. C'était le chemin le plus court, elle était sûre de pouvoir arriver en avance comme ça.  


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Jeu 28 Jan - 13:40

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« Coups et Blessures / PV Karola Frei »





Mon réveil sonna, me rappelant, avec beaucoup d'insistance, que je devais me lever et mettre fin à mon doux rêve. Un rêve du passé, pleins de nostalgie et de rancune. Un rêve où je faisais payer ma mauvaise aventure à Gabrielle, que c'est moi qui l'enfonçai devant toute sa famille de cul bénis !

Je l'avoue, cela me fit me lever avec une certaine rage au ventre. Une rage qui, étrangement, me rendit de bonne humeur.

Après une douche et tous le nécessaire pour me ravaler la tronche, je sortie plus pimpante que jamais. Je ne supportais pas l'uniforme jaune et sans formes que nous étions contraint de porter. Et ce jaune … oh mon dieu on dirait des poussins transgéniques ! Alors, je l'outrepassais sans ménagement. Enfilant un pantalon beige, une chemise bleue marine que je couvrais par ma longue blouse d'un blanc impeccable.

Et oui, on peut être chirurgien et ne pas avoir l'air d'un boucher. Même si cette idée, m'amusait quelques secondes. Quel effet, j'aurais sur mes patient, avec pareil accoutrement pleins de sang ? Juste pour voir leur tête, il faudrait que je le fasse. Surtout aux petits sensibles. Je me mis à rire toute seule, imaginant la tête du docteur Beckett, face à mon déguisement Halloween, qui sera sûrement de très mauvais goût pour lui !

Il n'y avait pas beaucoup de monde, dans les couloirs bleus de la cité, mise à part quelques militaires et civils du corps médical. Je surpris quelques regards appréciateurs sur ma silhouette, que j’encourageai avec un beau sourire de féline. Mes lèvres rougies au rouge à lèvres, renforçaient ma chevelure blonde ondulée. Ce matin, j'étais en pleine forme. Et prête à mordre à pleine dent toutes personnes à ma portée. Mes collègues, sont souvent partagés, face à cet état, il me trouve moins froide et plus agréables dans les discussion … jusqu'au moment où je leur balance une ou deux piques qui les refroidissent et les questionnent. Ils ont du mal à me cerner et j'adore les observer.

J'ai parfois, l'impression, d'être un lion, qui évolue autour de gazelles… les gazelles se méfient, mais oublient, que le félin est leur prédateur, alors quand elles se font mordre, c'est comme une nouvelle prise de conscience … Ah oui, mince c'est vrai c'est un lion !

Je sentie mon oreille vibrée de la voix de mon supérieur, ce doux et trop gentil docteur Beckett

• Isia, l’Athosien qui devait se faire opérer ne peut pas venir
• Encore ? Pourquoi, il a peur des piqûres ce brave homme ?
• Il a une forte fièvre
• Et ça l’empêche que je l’opère le pauvre petit ?
• Je ne préférais pas, il est sacrément malade
• Allé avouez qu’il a fait exprès de passer la nuit dehors pour ne pas passer sur le billard !


Je sentie, le soupir du docteur, de par sa nature, il ne pouvait point rire ou répondre d’un ton humoristique à mes piques d’humours noires. Et je l’avoue, cela m’amusait de le chahuter ainsi. Un nouveau soupir, ne sachant plus quoi répondre.

• On n’y peut rien
• Le destin est plutôt à son avantage c’est la seconde fois. Enfin bon tant pis, quand il aura trop mal, il ne viendra pas se plaindre. Ou quand la mort lui rappellera que sa petite tumeur bénigne ait grandit. Vous avez raison on ne peut rien contre les personnes suicidaires
• Isia, c’est de l’humour ?
• À votre avis ?
• Je n’aime pas votre humour, il est macabre
• Et moi, je n’aime pas votre naïveté docteur peluche.


J'hémi un petit rire et lui soupira, mais j'étendis l'esquisse d'un sourire sur son visage. Je n'avais jamais vu, pareil homme aussi gentil et doux. Au point, même qu'il avait dû être la réincarnation d'un ours en peluche pour être doté d'autant de naïveté et de bonté. Nous étions assez opposés sur la manière de pensée, ce qui entraînait des débats entre nous. Mais jamais de grand mots ou de disputes. Cela se finissait toujours par l'un de mes rires ou un soupir de sa part.
En coupant par un autre couloir, je vis non loin la silhouette un peu raide de la capitaine. Je l'avais quelques fois entrevue, mais jamais suffisamment pour lui parler. Ah mon plus grand regret, je dois l'avouer. Dès mon arriver elle m'avait tapé dans l'œil, cette grande brune froide aux aspects de chat. Rien que pour son beau regard sombre, je ferais bien des cours de selfs-défense. J'aimais bien ce type de femme, très accès sur la retenue et le protocole, cela leur donnait un petit côté coincé, qui faisait sûrement fantasmer pas mal d'hommes, s'imaginait une grande coquine sous cet air froid. Pour ma part j'aimais briser le bouclier, pour voir ce qui se cache sous celui-ci.

Son visage austère et sacrément laid ce matin, elle si belle et si sensuelle ressemblait à un zombie. Je levai un sourcil intriguée… observant de loin sa démarche rigide … ah tiens étrange. Sa dernière mission, l'avait sacrément amochée avec ses cernes de huit pieds de long. Mon regard parcourant le reste, plus je me rapprochais d'elle, plus mes pupilles la détaillaient avec une vive attention. Chose que je ne cachais nullement. Elle s'est battue ?

Hum… hypothèse fiable, beaucoup de soldats viennent à l'infirmerie, suite aux entraînements un peu rude qu'ils s'infligent… ce qui énervait encore plus la seconde médecins russe Mila … Personnellement, je trouvais ça normal et je riais bien volontiers à leurs anecdotes.

En passant vers elle, je lui attrapai le poignet, d'un geste vif et non prévisible, pour relever sa manche… découvrant un immense bleu sur celui-ci. Eh bah dit donc …


• Bonjour Capitaine, Eh bien en voilà un beau bracelet ! Vous avez aussi orné votre corps d’autre pierre bleues ?

Mon regard cyan se plongea dans les yeux noisettes de la femme. Ma voix était toujours un parfait mélange entre la chaleur douce et le vent des glaces. J'affichais une petite moue intriguée et sceptique. Ouh, toi je sens que tu vas venir avec moi. Je me gardai de lui faire une remarque sur sa tête des plus affreuses. Enfin, pour le moment.





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Karola Frei
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Jeu 28 Jan - 19:26

Karola Frei

Coups et blessures

Plus Karola avançait et plus elle remarquait que la cité prenait vie. Peu à peu, ses habitants quittaient leurs quartiers ou le mess et se dirigeaient vers leurs postes de travail. Atlantis lui faisait toujours penser à une fourmilière. Tout ce beau monde qui grouillait à l'intérieur et qui chaque jour se levait pour exécuter sa tâche sans sourciller et contribuer au bien commun, c'était à la fois beau et terrifiant, car en dehors de ça, la galaxie de Pégase ne recelait pas vraiment d'autres opportunités. Et donc, tandis que la cité s'éveillait doucement Karola avait elle l'impression que tout le monde autour d'elle allait à 100 à l'heure. C'était une sensation vraiment très étrange qu'elle n'avait pas encore connu jusqu'à ce jour. C'était comme si elle avait la gueule de bois mais sans avoir prit de cuite la veille, d'ailleurs un mal de crâne pointait le bout de son nez. 

Elle essaya de se contenter de regarder droit devant elle afin de ne pas avoir une sensation de tournis en voyant les autres déambuler autour d'elle. Mais enfin il était compliqué de se frayer un chemin au milieu de personne courant quasiment dans tous les sens et ne prenant pas la peine de jeter à œil à l'endroit où ils posaient le pied. Elle frôla de très près un scientifique en grande discussion avec un collègue et si elle évita de justesse la collision, elle n'échappa pas malheureusement à la suivante. Le temps de voir arriver la personne sur elle il était déjà trop tard et Karola se heurta à un de ses hommes. Elle était sur le point de lui voler dans les plumes, de lui dire de faire attention à l'endroit où il marchait mais ce dernier prit ses jambes à son cou, certainement effrayé par le regard foudroyant qu'elle lui adressa. Le malheureux avait heureusement eu le bon réflexe et avait eu de la chance que Karola soit au ralenti ce matin.

Elle repris sa route, en se pressant un peu cette fois-ci, à trop traîner elle allez finir par être en retard. Elle s’apprêtait à quitter l'aire médicale de la cité lorsqu'elle se sentit brutalement happée sur le côté. Son poignet gauche blessé fermement empoigné par une main inconnue. Lorsqu'elle put reprendre son équilibre elle se tourna vers la personne qui venait de l'attraper au vol. Il s'agissait d'une grande ahurie, blonde, dont les yeux bleus pétillants observaient le poignet de Karola avec curiosité. La militaire la reconnu immédiatement, il s'agissait du Docteur Laurence dont le dossier trônait sur son bureau et qu'elle n'avait pas encore eu le temps de lire, à son grand dam car pour le coup elle ne savait pas vraiment à quel genre de personne elle avait à faire. Enfin, étant donné la manière dont leur première rencontre venait de se dérouler elle aurait tôt fait de se faire une opinion. La jeune femme portait sa blouse de médecin, sans ça il aurait été impossible de savoir quel était son rôle sur Atlantis, compte tenu de son attitude et de sa manière de se vêtir. Une jolie poupée exubérante visiblement. Karola, agacée que non seulement elle se soit permis de l'attraper de la sorte et de relever sa manche pour inspecter son poignet, fronça les sourils en entendant sa remarque qu'elle trouvait tout à fait déplacée. Elle passa les lèvres et lui répliqua froidement.

- Si je puis me permettre docteur, cela ne vous regarde pas.

Elle essaya tant bien que mal de lui arracher son poignet de son étreinte mais non seulement Isia le tenait fermement mais en plus cela lui arracha une grimace de douleur. Ses bras endoloris ne supportaient plus du tout le moindre mouvement agressif. Cela n'arrangeait pas les affaires de la capitaine qui était pressée et n’appréciait pas du tout la manière dont Isia la regardait et se comportait à son égard. C'était la première fois qu'elles se voyaient et elle ne voulait pas vraiment faire mauvaise impression mais tout ça ajouté à son mal de crâne et son empressement la rendirent désagréable malgré elle.

- Maintenant si vous permettez, j'aimerais récupérer mon bras. J'ai des choses très importantes qui m'attendent.


Elle avait insisté sur le mot « très » histoire de lui faire comprendre qu'elle n'avait pas de temps à perdre avec ce genre de questions abracadabrantesques.  


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Sam 30 Jan - 19:14

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« Coups et Blessures / PV Karola Frei »







Oh mais c’est qu’elle mordrait presque la belle plante ? Un sourire amusée et légèrement carnassier s’afficha sur mes lèvres après ses paroles. Mon regard quitta l’attrait de son poignet pour la toiser d’un air un peu désabusé. Faudra être plus convaincante ma jolie.

Karola, essaya de se défaire de ma main. Pas de bol, c’est exactement, ce que je voulais et je la tenais suffisamment fermant pour calmer ses ardeurs de rebelle. Mon regard retomba sur son poignet et une moue renforça mon aspect observateur. Eh bah… c’est très joli. Je sentie sous ma main, la chaleur de son poignet, un peu trop élevée. Mes doigts firent de léger mouvements, assez doux, pour évaluer la teneur de sa blessure. Et vu la douleur qu’elle afficha, je n’eus aucun doute sur ses symptômes.

Je me demandais bien si c’est seulement son poignet qui était mal ou le reste était dans le même état. Mes yeux, la toisèrent à nouveau, comme pour regarder aussi l’état de sa tête.

Je me décidai quand même à lui répondre. Histoire de quand même lui apporter un peu de lumière sur mes gestes.

• La santé des personnes qui peuplent cette cité, me concerne que vous trouviez cela le cas ou non, ne change rien.

Je n'étais nullement agressive, au contraire. Je comprenais parfaitement qu'elle soit assez pressée, avec pleins de machin chose à faire dans cette cité. Mais bon, je m'en fou de ses obligations au vu de son état de santé. Les militaires, c'est toujours pareil, faut les forcer à franchir le pas de l'infirmerie. Et après, ils se plaignent que l'entorse ou la foulure du mois dernier à empirer et qu'ils ont failli à leurs missions et balabla… c'est d'un pénible cette fierté. Il n'y aucune honte à se faire soigner, même les choses les plus banales. Enfin bon… les militaires sont sûrement les patients les plus agaçants … Ça et les vieux !
Donc elle devrait être soignée et après elle fera ce qui lui plait. Ma main, se décala vers une zone non couverte par le bleu, puis je lâchai ma prise. J'avais senti une légère tension et la peau gonflée même plus haut.

• Vous avez une entorse Capitaine et si vous ne fait rien cela va s’empirer. Malgré que vous avez des choses très importantes…

J’accentue, moi aussi, sur le « très » important.

• Cela m’étonnerais que vous aviez envie de justifier votre état à tout le monde. Enfin pour ceux qui ont un ascendant sur vous. Que vont-ils dirent à votre avis ? En vous voyant ? Au vu de votre démarche raide, de vos moues de douleurs, de visage sombre ?

Je hochai légèrement la tête, l'interrogeant du regard. Je n'avais pas besoin de son consentement, pour savoir que c'est le cas. Depuis mon arrivée, j'avais quand même essayée de me renseigner sur les hauts gradés et les têtes couronnées de cette cité. Et comme Karola, était une femme qui me plaisait physiquement, j'avais poussé mes recherches un peu plus… tant qu'à lire des dossiers ennuyants ou écouter les longues paroles de certaines personnalités, autant que cela soit sur un sujet alléchant.

• Les personnes avec qui vous devez faire des « choses importantes », vous dirons de vous rendre à l’infirmerie. Alors quoi qu’il advienne, vous finirez dans mon cabinet. Alors autant que cela cette face maintenant que quand « ça » aura empirer.

Le « ça », était parfaitement matérialisé avec mon doigt qui montrait son poignet.

• Alors, vous venez avec moi, je vous redonne un aspect moins suspect. Comme ça, pas de question, pas de justification. Et en ce qui concerne vos choses importantes Capitaine, vous pourrez me rejeter la faute auprès de vos supérieurs leur disant, que je vous ai imposée de force un examen de routine, vous mentionnant l’une de mes nombreux hobbies du jour, pour vous forcer à venir avec moi !


Je lui sortais cela, comme s’il était parfaitement normal, pour moi de prendre la responsabilité. Dans un sens, j’en avais mais, alors strictement rien à faire qu’on ait un quelconques jugements sur moi. Mon métier c’est de soigner les gens, qu’ils ne soient pas d’accord, cela n’empêchera pas que je les contrains pour leur bien.

Après, mes collègues avaient pu déjà constater mon caractère assez … surprenant ! Et confirmerons sans le savoir, que oui, j’ai pu forcer quelqu’un à venir à l’infirmerie pour lui passer un examen. Et que, je ne fais jamais cela de manière anodine, même si cela s’y apparente aux premiers abords. Mais, comme je ne justifie pas tous mes gestes excentriques, il arrive qu’on pense que je fais ça, juste pour emmerder le monde. Au final, je jouais allégrement de cette pensée.






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Sam 30 Jan - 20:13

Karola Frei

Coups et blessures


Plus leur discussion s'allongeait et moins Karola n'avait envie de poursuivre la discussion avec Isia. Karola n'était pas du genre à juger les gens comme ça au premier regard et elle ne croyait pas non plus aux premières impressions car après tout, tout le monde pouvait connaître des jours plus ou moins faciles et donc ne pas se montrer sous son meilleur profil. Ça avait été comme ça pour Gabriel. Lors de leur première rencontre ils n'avaient pas vraiment eu l'occasion d'échanger sur Frozen surtout car ils étaient très absorbés par leur travail. Mais lors de leur seconde entrevue elle avait vu rouge, notamment parce qu'il s'était comporté comme un macho. Seulement depuis de l'eau avait coulé sous les ponts et elle avait eu le temps de voir quel genre de personne il était réellement. Un homme brisé par la vie qui savait se montrer attentif et être un redoutable adversaire au combat. C'était en partie à cause de lui qu'elle se retrouvait maintenant bloquée avec Isia. En dépit de toutes ses convictions, Karola ne put s'empêcher de ressentir quelque chose de louche à l'égard de l’exubérante docteure dont les cheveux longs et blonds auraient pu facilement la faire passer pour un ange. En son for intérieur la capitaine ne pouvait s'empêcher de penser que ce n'était qu'un leurre. Cependant, elle décida de lui laisser tout de même le bénéfice du doute.

Ses grands yeux bleus finirent par quitter leur point d'intérêt à savoir le poignet de Karo pour s'accrocher aux siens. Son regard était intense et brillant, aucun doute que beaucoup de personnel masculin devait se bousculer à son portillon. Sa main qui la maintenait se mit à présent en action effectuant des gestes de vérification médicale qui ne laissèrent pas Karola insensible comme elle appuyait là où les bleus étaient les plus foncés et donc les plus douloureux. Enfin elle cessa de la torturer pour se lancer dans un grand monologue digne des plus grandes divas. Karola l'observa déclamer ses intentions à son égard et tenter de la convaincre qu'il fallait absolument qu'elle la suive sans quoi sans elle, elle deviendrait la risée de la cité. Non mais vraiment, quel toupet ! Se dit alors Karola levant les yeux au ciel et croisant les bras afin d'éviter qu'elle ne l'attrape à nouveau. Elle se demanda alors un instant si ce n'était pas plutôt elle-même qu'Isia essayait de convaincre, de se convaincre de son rôle indispensable. Quand elle eut terminé Karola resta de marbre elle n'avait pas l'intention de se laisser faire par la belle médecin qui avait à son sens une déontologie plus que douteuse.


Inutile de monter sur vos grands chevaux docteur. Vos discours pré-mâchés que vous pensez être pleins de bons sentiments ne me font ni chaud ni froid. Je vais vous suivre mais parce que je le veux bien et non pas parce que vous me l'imposez de force.

Après tout ça ne la dérangeait pas d'être ainsi meurtrie, elle avait l'habitude depuis le temps que sa carrière avait commencé elle en avait connu des blessures et des douleurs. Elle avait acquis cela comme faisait partie intégrante de son métier. Néanmoins, elle n'avait absolument pas envie de lui donner une occasion de prendre le dessus sur elle. C'était hors de question et comme Isia l'avait défiée elle ne pouvait décemment pas l'ignorer. Elle décroisa les bras pour regarder sa montre. 5 minutes c'était tout le temps qu'il lui restait pour rejoindre Sheppard avant que la réunion ne commence. Autrement dit elle était déjà en retard car elle avait horreur d'arriver pile poil à l'heure. Certes ces 5 prochaines minutes risquaient d'être très désagréable pour elle mais au moins après ça elle serait enfin débarrassée de cette énergumène en blouse blanche qui croyait pouvoir lui imposer sa volonté. Comme Isia s'était permise de la toiser du regard Karola en fit de même avec elle, histoire de lui rendre la pareille. 

- Vous avez 5 minutes pas une de plus. Si vous êtes aussi professionnelle que vous le dites, ça devrait vous suffire.



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Sam 30 Jan - 21:05

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« Coups et Blessures / PV Karola Frei »







La capitaine garda son masque froid, levant ses yeux bruns au ciel face à mes longs discours. Sure qu'elle n'y croyait pas une seconde. Et dans un sens avait-elle tort de se méfier ? Je dirais non, je fais mon boulot et c'est quand même une occasion de voir comment est vraiment cette femme attrayante. Beaucoup, la dise froide et affreusement carrer et exigeante. Pour le moment, cela se confirmait. Il devait en falloir du temps, pour que la glace fonde sur son visage. Et il fallait avouer que les premières minutes de rencontres entre nous deux, n'était pas des plus favorables.

En tout cas je ne m'attendais pas à ce qu'elle me suive immédiatement… qu'elle serait plus rétive ou me sortirait une phrase cinglante … donnant l'occasion inattendue de jouer encore un peu, l'observer un peu plus. Mais elle était aussi expressive qu'un bloc de glace. Mais en tout cas, dans un sens elle, avait cédée, même si elle ne déposait pas les armes, j'avais eu ce que je désirais, malgré ma manière assez cavalière de l'aborder.

J'hémie un petit rire face aux propos de la capitaine. Ah niveau scepticisme il n'y avait pas mieux. Je pourrais prendre ça comme un compliment de savoir faire des discours qui ont l'air tellement prémâchés, qu'ils donnent envie aux personnes de me suivre !

Je prends note, j'improviserais moins, la prochaine fois avec elle. Enfin, qu'importe si elle y croyait ou non, elle me suivait. Le résultat et malheureusement là, elle devait suffisamment vouloir cacher ses coups, pour céder aussi facilement. Même si elle rappela à juste titre « je le veux bien et non pas parce que vous me l'imposez de force ». Cela était à mon avis le plus amusant. Je hochai la tête. Oui bien sûr, elle va y ma belle croit que tu as ton mot à dire quand un médecin te dit de rappliquer.

• Si vous le dite Capitaine.

Oui, il fallait bien qu’elle pense qu’elle en ait bien un. Qu’elle m’aurait dit non, ou oui, de toute manière elle allait me suivre de son plein gré ou non. Je lui fis un grand sourire avant de lui faire signe de passer devant. Un large geste des bras « passez devant ma chère ». Je ne portai aucune attention à son toissement ridicule.

• Ça va dépendra de votre réactivité.

Je lui fis un clin d‘œil amusée, avant de la suivre. Il n'eut fallu pas longtemps, pour rejoindre l'infirmerie, je la dépassai, pour saisir ma déserte et tapota de ma main, la table d'osculation, pour qu'elle daigne poser son popotin. Une fois cela fait, je saisie sa main doucement et je relevai sa manche jusqu'au coude. Attrapant de quoi penser et maintenir le poignet. J'appliquai une crème à l'aspect bleue qui était froide mais, qui très vite donnait chaud. Mes gestes étaient surs, rapides et surtout suffisamment délicats pour ne pas lui faire mal une nouvelle fois. Cela changeait radicalement de la manière dont je l'avais saisie.

Une fois, cela fait, je me dirigeai vers l'armoire, prenant un cachet, puis me retourna vers elle.

• Vous avez mal à la tête ?

Mon regard, se figea dans son regard noisette. Et dès que j’eu ma réponse, je déposai deux cachets de couleurs différentes dans ma main et remplissait le verre d’eau et lui tendant. Lui expliquant que l’un était pour les maux de tête et l’autre contre la douleur. Je pris aussi une plaquette de l’anti-douleur, lui indiquant d’en prendre un deux fois par jour durant 3 jours. Quant au bandage, je déposai de quoi le refaire seule, avec une crème spécifique, durant la période.

• Si vous avez encore mal au bout d’une semaine, vous reviendrez. D’ici là, ménager le.

Je me baissai vers ses jambes, sa mauvaise motricité m’avait interpelée. Je soulevai son pantalon découvrant une jambe bleue. Je levai un sourcil intrigué… puis fit de même sur la seconde, moins atteinte. Eh bah. Je soupirai, pour attraper une autre crème dans un grand tube blanc. Je déposai un exemplaire sur la petite pile d’élément pour elle.

• Eh bien, une vrais schtroumpfette.

Capitaine schtroumpfette, ça sonne bien non ?

• Énumérez-moi, les zones douloureuses.

Avant même qu’elle commença sa phrase, j’étais vers son dos, ou plutôt ses hanches, touchant de manière précise certain endroit. Mm… hanche un peu foulée mais rien de plus. Quant à la colonne, au vu des réactions, elle avait sûrement des bleus.

• Enlever votre haut s’il vous plait.


Mes propos étaient directifs mais, teintés d’une voix assez calme. J’étais assez rapide, tournant autour d’elle, pour penser les bleus et la toucher de temps à autre pour voir si les blessures n’étaient pas plus importantes que prévues.







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Sam 30 Jan - 22:15

Karola Frei

Coups et blessures


Karola observa attentivement la réaction d'Isia quand elle lui annonça qu'elle allait la suivre dans son cabinet. Une grand sourire découvrant des dents blanches parfaitement alignés accompagné d'un regard triomphant. Non vraiment, son intuition à son sujet s'intensifiait et pas dans le bon sens. Cette femme devait être vraiment très spéciale. Une fois qu'elle aurait quitté son cabinet et aurait terminé sa réunion elle ira s'enfermer dans son bureau pour lire son dossier ainsi que tous les rapports la concernant. Elle voulait voir si son impression était réelle ou bien si elle se montait le bourrichon toute seule. Elle ne la sentait pas et pourtant elle espérait se tromper car Isia étant médecin elle serait forcément amenée à la revoir et même à partir en mission avec elle alors autant avoir de bonnes relations avec. La grande blonde fini par lui rire au nez et faire un pas de côté et lui indiqua d'un geste l'endroit où elle devait se diriger la laissant passe devant elle. Karola décroisa alors les bras puis se mit en marche vers le cabinet médical de la docteure, toujours aussi raide. La prochaine fois qu'il lui arriverait des bricoles en mission ou en entraînement elle prendrait soin d'éviter l'aire médicale et d'adopter une posture qui la trahirait moins. Elle n'appréciait pas du tout sa façon de s'adresser à elle et si elle avait l'intention de se moquer d'elle, Karola n'aurait aucun scrupules à la remettre à sa place.

Une fois dans le cabinet, l'odeur du désinfectant typique des hôpitaux envahi ses narines. Elle fronça le nez, n'appréciant pas vraiment ce genre d'effluves. Il s'agissait d'une petite pièce où les docteurs pouvaient recevoir leurs patients en consultations. C'était d'ailleurs la première fois qu'elle pénétrait dans l'une d'elle. Les rares fois où elle était vraiment entrée dans la zone médicale c'était pour se rendre à l'infirmerie notamment après sa mission sur Paradize où elle s'était foulé le poignet, le gauche. Pour ne pas changer. Depuis il était resté très fragile et Gabriel en lui assénant un coup dessus avait réalisé un très joli coup puisqu'il s'agissait de l'une de ses faiblesses. Karola se mit assise sur la table d'auscultation qu'Isia lui désignait visiblement très contente de l'avoir attirée dans son antre et retira sa veste. Le sourire qu'elle affichait ne lui plaisait pas vraiment. Elle avait plus l'impression d'être une curiosité qu'elle allait pouvoir disséquer pour l'étudier plutôt qu'une simple patiente. C'était pour ça qu'elle rechignait autant à fréquenter les hôpitaux et autre endroits de cet acabit. Isia et son sourire ne lui inspiraient pas confiance. Mais plutôt que de lui montrer cela Karola gardait son air froid et méfiant à son égard. Les sourcils froncés elle se laissa faire lorsqu'elle commença a l'ausculter.

Très concentrée Isia laissa la médecin qui sommeillait en elle remplacer la poupée prétentieuse. C'était déjà plus facile de se laisser faire quand elle était comme ça. Avec des gestes sûrs elle traita sa douleur au poignet, de la crème apaisa la sensation pulsatile qui la gênait depuis quelques minutes. Cela lui permit de se détendre un peu. La dernière fois aussi il s'était agit d'une foulure, elle n'en aurait donc jamais fini. Elle noua un bandage et la quitta deux secondes pour revenir avec des médicaments. Lorsque Isia lui demanda si elle avait mal à la tête elle se contenta d'opiner du chef et se saisi des comprimés et du verre qu'elle lui tendait. Elle ingurgita les médicaments impatiente qu'ils fassent effet et que le martèlement dans sa tête cesse. A nouveau elle acquiesça face à ses conseils. Elle irait voir un docteur si ça n'allait pas mieux mais certainement pas elle, elle préférait Beckett beaucoup plus dans la retenue qu'elle ou encore Mila, plus discrète. Pendant qu'Isia lui préparait tout une pile de médicaments à emporter elle fit une petite réflexion qui fit tiquer Karola. Oui définitivement elle se moquait d'elle et elle n'appréciait pas beaucoup ça. Elle serra les dents bien décidée à en finir avec son rendez-vous dès maintenant. De toutes façons les 5 minutes étaient largement dépassées. Sheppard ne tarderait pas à s'inquiéter de son absence.

Cependant, Isia ne semblait pas décidée à en finir avec elle, après lui avoir demandé de lui dire où elle avait mal, elle contourna la table pour se poster derrière elle afin d'examiner son dos. Karola ne lui donna pas les informations qu'elle désirait, de toute façon à la manière dont la capitaine tressaillit en la sentant appuyer sur certaines zones de son dos, elle n'eut pas besoin de le faire. La blonde lui demanda alors de retirer son tee-shirt. A ce moment Karola se libéra de son emprise et se releva vivement.

- Je suis désolée docteur mais les 5 minutes que je vous avez alloué sont passées.

Sa radio bippa à cet instant, Karola l'activa afin de laisser la transmission passer.


//Capitaine Frei, ici Sheppard. La réunion est sur le point de commencer où êtes vous ??//

La voix de Sheppard était inquiète, c'était compréhensible après tout elle n'arrivait jamais en retard.


// Désolée Colonel, j'ai eu un léger contre temps. J'arrive tout de suite.//

- Merci de votre aide, docteur, mais comme vous le voyez, on m'attend.


Sans se faire prier Karola attrapa sa veste et la mit sur ses épaules en faisant attention à ne pas trop bouger le poignet puis amorça sa sortie du cabinet médical.  




© CN.JUNE, NEVER UTOPIA

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Mar 2 Fév - 18:33

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« Coups et Blessures / PV Karola Frei »







Quelle raideur… bon il est vrais que je ne donne pas les bon signaux aussi. Mais, impossible de dérider cette femme, que cela soit face au rires ou bien à la colère. Elle restait glaciale et sans expression. Dans un sens, je savais très bien, que j’avais ratée ma première impression avec elle. Mais, c’est ainsi, la seconde fois je lui apparaitrai d’une autre façon. Je soupirai en la suivant, la reine des neiges … et je pense que je tirais rien d’autre aujourd’hui de son visage calme et sans émotions.

Même mon sourire devait paraitre louche, car elle resta impassible. Elle commençait à m’ennuyer je l’avoue. Mais je ne pouvais pas changer immédiatement de comportement pour faire une autre tactique, cela serait inquiétant. Elle n’avait pas dû lire mon dossier, enfin cela m’étonnerais au vu de ses réactions. Elle y trouverait que des louanges sur mes compétences professionnelles, mais des avertissements niveau comportement, dominante, critique, cynique et observatrice. Certain de mes supérieurs, auraient peut être marqués « difficile d’avoir une prise sur elle car, rien ne l’atteins ». Et encore pleins d’autre trucs bien agréables. A vrais dire, je connaissais mon dossier et je savais très bien ce qu’on pouvait en conclure de celui-ci.

De nombreuses fois, j’avais envie de lui dire de retirer son balai dans des fesses. Mais ma bonne conscience ce retenait que trop bien. Pourtant je gardai un sourire aimable sur mon visage. Petit à petit l’arrogance dans mes yeux, diminuait au fils des minutes de manipulation de son corps. Touchant des zones, certes douloureuse, mais pour les débloquer.

Je voyais bien, qu’elle avait hâte que j’en finisse. Mais bon, elle était tellement cassée de partout que je n’allais pas bâcler mon travail pour lui faire plaisir. En tout cas vu les tressaillements, je n’avais pas besoin de réponse. Elle allait avoir des courbatures, pendant quelque jour. Mais, ce qui était plus préoccupant c’est ça démarche plutôt raide. Si elle ne s’améliore pas, il faudrait voir l’ostéopathe de la cité. Cette remarque fut faite à haute voix.

Enfin, bon elle fera bien ce qu’elle veut après tout. J’avais tendance à optimiser au mieux. Et donc, de soigner les moindres anomalies que je rencontrais. Soucis de perfection ou juste toc ? Je pense que cela était lié.

En tout cas, mon humour ne fit pas beaucoup réagir la capitaine. Elle n’avait tout bonnement un… ou pensait que je me moque d’elle… cela devait être ennuyeux d’être avec elle tout les jours.

Elle se libera vivement et se redressa, m’indiquant la fin de ses 5 minutes. Je levai le nez vers mon horloge. Oui en effet. Je haussai les épaules, commença en chercher un sac blanc et sans connotation, pour qu’elle y range les médicaments.

Je ne râlai pas, c’est ce qui était prévus et j’avais fait le gros du travail.
D’ailleurs, le colonel Sheppard, venait de la piper, sûrement intriguer de ne pas voir sa fidèle capitaine au poste. Je la toisai quelques minutes, en hochant la tête. Elle avait déjà une meilleure mine, mais bon, elle n’était pas non plus en pleine forme. C’est ça démarche qui me gênait. Trop raide. Malgré ma manipulation de la hanche elle n’allait retrouver sa souplesse que demain.
Elle oublia les médicaments, que je fourrai dans le sac, avant de la rattraper et me mettre à sa hauteur sur le côté et lui tendre. Je ne lui donnais pas tout ça, pour me faire plaisir mais bien pour elle.

• Vous les prenez maintenant ou je vous les mets de côtés ?

Sachant que si ce soir, elle n’était pas venue, je lui ferais porter jusqu’à ses quartiers. J’attendis, patiemment sa réponse.

• Bonne journée Capitaine

Ma voix était très aimable je lui fis un beau sourire avant de retourner à mes occupations

END:






C O D A G E P A R @G A K I. S U R E P IC O D E

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Mer 3 Fév - 18:59

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RP TERMINER

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