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 :: Cité d'Atlantis :: Niveau 4 - Quartiers du Personnel
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Dim 29 Nov - 16:59

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Un entretien ou un allé simple pour la terre ?
PV MAtt Eversman






En sortant du bureau du docteur Stanford, je me sentais assez pressé… comme un citron, le sang dans mes tempes tambourinait à fond. Une musique pas très agréable. Je ne savais pas si je devais être en colère ou furieux… mmm jouer sur les synonymes, n'est pas forcément le mieux. Je m'arrêtai quelques instants au carrefour de plusieurs couloirs avant de me diriger vers la salle de sport. Eversman n'y était pas pour une fois. J'en profitai pour me calmer un peu en observant deux soldats s'entrainer. Ceux-ci en me voyant se raidir et essayèrent de faire de leur mieux pour m'impressionner. Après un salut et quelques conseils, je repartie en direction des quartiers.

J'espérais bien que mon soldat était dans sa chambre. Car bon, lui courir après dans toute la cité... va vite me saouler. Sur le chemin, je réfléchissais à la manière de l'aborder et surtout de bien choisir mes mots. Je n'avais nullement envie d'entrer en conflit avec lui et le précipiter vers la fin de sa carrière. Parfois, entre responsable c'est quand même avec le sale boulot. Il en a qui aime, se frotter et engueuler les autres. Personnellement si je peux éviter cela et instaurer une bonne ambiance générale ça me va. Franchement, je me demande parfois ce que je fou ici en tant que grand chef des militaires. Il en a qui serait mieux que moi. Mais bon, l'avantage c'est que je peux mettre en place ma vision des choses et ne plus me battre avec des supérieurs étroits d'esprit et passablement égocentrique.

Arriver devant la porte, je frappai. Par chance il m'ouvrit un peu surprit et je lui adressai un petit sourire calme.

• Bonjour, Eversman, faut qu'on parle, venez

Je lui indiquai la localisation d'une petite salle non loin des quartiers du personnel, souvent utilisée pour les entretiens individuels. Une salle calme avec des bonnes assises. Weir m'avait dit que ce sont fauteuils « club » de Le Corbusier. Pour moi ce sont fauteuils moelleux et puis voilà. Qu'est-ce que j'en ai à faire que c'est un français mort qui a inventé ainsi que pleins de principes architecturaux …

A vrais dire, je ne lui demandai même pas s'il avait quelque chose de prévus, c'est un ordre et par conséquent non négociable. En arrivant vers la salle, je m'installai sur l'un des si prestigieux fauteuils et lui indiqua de faire de même. N'empêche, ramener ça de terre c'est un peu le petit « luxe » de la culture. Le paroxysme du confort élitiste.

• Bon, vous m'expliquez pourquoi vous préférer être inapte que sur le terrain ?

Petite remarque qui devait aisément comprendre. Car là était le problème, en refusant son entretien avec la psy, il se condamnait à être inapte. Mon ton était calme, je ne cherchais pas à lui coller un savon pour le moment. Je voulais parler, discuter calmement et écouter mon soldat.

• Je vais être clair, je suis là pour discuter avec vous. Je risque certes de vous coller mon coup de pied aux fesses à un moment mais, ça sera pour votre bien.

Je lui souris amicalement, je ne suis pas bon pour être le gros méchant de l'histoire, surtout avec mes hommes. Je suis amicale en premier lieu. Après nous verrons. Mais au moins il sait très bien qu'à un moment il va devoir passer sur la table. Et donc éviter de se braquer pour ne pas avoir mon pied s'écrasant sur son petit popotin trop vite.





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Matt Eversman
Caporal
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√ Arrivée le : 08/12/2012
√ Date de naissance : 22/01/1990
√ Gène : Wraith
√ Age : 34
√ Messages : 11473

Dim 29 Nov - 20:11

Matt Eversman
Enervé et remonté envers le corps médical, Eversman s’était mis à marcher laissant se spieds guidés ses choix. Tête baissée, il ne cessait de se remémorer les derniers mots de la psychologue gardant sa menace entre la gorge. Il avait besoin d’évacuer toute la tension qui l’emplissait mais ne pouvait se défouler sur un punching-ball vu son état. C’était bien dommage car c’était exactement ce dont il avait besoin. Cogner jusqu’à ce que la colère le quitte laissant la place à la fatigue et le sentiment de bien-être qui emplissait les gens après un peu de sport. Lui ne pouvait que marcher et machinalement il finit par se retrouver devant la porte de ses quartiers.

La main passa négligemment devant le commutateur activant aussitôt l’ouverture des portes. Eversman jeta sa veste sur le lit et ne put s’empêcher de faire les cents pas. La montée de marches et la petite randonnée n’avaient pas suffi à le calmer. La main gauche massa quelques instants la fine pellicule de cheveux avant de se loger dans le bas de sa nuque. Difficile de réfléchir dans cet état de nervosité, d’avoir des idées claires. Cela dura quelques minutes avant qu’il ne finisse allongé sur le lit saisissant l’ordinateur portable qui y trainait souvent. La fenêtre de messagerie fut rapidement fermée pour lui permettre de naviguer entre les dossiers et finalement lancer un film. Il n’avait pas prêté attention au nom de celui-ci.

Difficile de se focaliser sur l’écran au début mais les scènes d’action attirèrent son regard et bientôt il ne le lâchait plus des yeux. Skyfall n’aurait bientôt plus de secrets pour lui…

Des coups portés à la porte le firent sursauter avant qu’il ne détourne les yeux dans cette direction. Laissant le film tourné, l’homme parcourut les quelques mètres séparant son lit du commutateur afin de l’activer. Surprise, c’était le Big Boss en personne et celui-ci s’empressa de lui ordonner de le suivre. Un peu pris de court, le Sergent resta quelques instants sans réaction avant d’effectuer un signe positif de la tête et de suivre son supérieur jusqu’à un petit bureau dont il ignorait l’existence. Atlantis était pleine de surprises, même après y avoir vécu depuis quelques années.

Désormais installé dans un des précieux fautauils, le Ranger ne se sentait pas particulièrement à l’aise malgré le confort offert. Il n’était pas particulièrement présentable, barbe de quelques jours, tenue quelque peu négligée mais étrangement il sentait que ce n’était pas ce qu’on allait lui reprocher. Sheppard entra dans le vif du sujet, les doutes du Sergent furent confirmés et il laissa échapper un soupir d’agacement. Et allez, c’était reparti pour la leçon de morale. Stanford avait échoué, c’était désormais au Lieutenant-Colonel de rajouter une petite couche. Suite au soupir, il modifia sa position dans le fauteuil cherchant à se renfrogner à l’intérieur tout en croisant son bras valide sur sa poitrine. Non, Eversman n’avait pas envie de dialoguer mais il n’avait tout simplement pas le choix.

« C’est Stanford qui vous envoie, c’est ça ? Mon colonel. »

Les deux derniers mots furent prononcés avec un peu de distance dans le temps comme s’il se rappelait soudainement qu’il se devait de les ajouter. Face à lui, c’était son plus haut supérieur sur cette base et non pas un pote ou un subalterne qu’il pouvait se permettre d’envoyer balader. Sentant le regard pressant de Sheppard sur sa personne, il se sentit un peu obligé de reprendre la parole.

« Je veux retourner sur le terrain dès que possible mais j’ai aucune envie de répondre aux questions débiles de Stanford. C’est plutôt elle qui devrait s’interroger. Complètement folle…. »

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Sam 5 Déc - 20:25

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Un entretien ou un allé simple pour la terre ?
PV MAtt Eversman






Il était surpris de me voir, pourtant dans ma tête c'est bien la chose la plus logique. S'attendre à avoir un message moi ou me voir … surtout quand quelqu'un vient se plaindre de l'un de mes hommes, je suis assez réactif. M'enfin il me suivit docilement.

J'aimais bien ses fauteuils… je m'adossai au dossier, essayant de ne pas m'énerver au petit soupir d'agacement de mon homme. En contrepartie je le regardai durement, avec un air « attention toi ».

J'émis un petit soupire amusée face à sa première face. J'avais l'impression désagréable de voir l'un de mes petits cousins, qui rechigne et râle quand des adultes viennent leur faire la morale « c'est papa qui t'a dit de venir me voir c'est ça ? Tu vas me gronder toi aussi? ». Étrangement ce petit souvenir évoqua en moi une nostalgie bien lointaine et qui pouvait voiler mon jugement neutre. Non, je ne devais pas comparer mon soldat à un de ces jeunes membres de ma famille. Car cela, allait encore faire monter son quota sympathique, qui était déjà bien haut. C'est con, mais c'est ainsi, je suis sympathique et j'aimais bien Eversman et le voir partir définitivement sur terre, me faisait grandement chier. De toute manière, j'appréciais que moyennement de voir partir les gens de mon petit monde.

Il rajouta un complément de phrase, mais j'endentais surtout la fin « complètement folle ». Je me redressai sur mon siège le regardant dans les yeux. Non, la jeune femme, n'était pas folle, mais un peu trop téméraire.

• Pourtant, pour revenir sur le terrain il vous faudra répondre aux questions débiles de la « folle ».

Je croisai mes doigts entre eux, tout en restant ferme dans mon regard.

• C'est simple, vous allez la voir, vous passer le test bien gentiment et vous retourner en mission. Et durant cet entretien, je veux que vous soyez le plus mignon et le plus adorable des soldats ! Car si vous échouez vous serez renvoyé sur terre et ça sera la fin de l'aventure !

L'un de mes doigts se pointa sur lui, pour insister au moment où j'évoquais son côté adorable et trop mignon. Bref qu'il soit un petit chaton tout doux avec des yeux trop mimi et non un tigre, toutes griffes dehors, prêtes à refaire le portrait de la psy.


• Que vous ayez une sainte horreur des psys, je conçois parfaitement, ce n'est jamais agréable de savoir qu'on est analysé par une personne qui pose des questions fourbes ! Mais c'est ainsi, les psys sont des éléments indispensables pour détecter si un soldat ne va pas péter un câble ou être dangereux pour ses camarades ! Faut que vous prenez conscience que c'est la dernière étape, que ces personnes sont là pour valider « l'accord de retourner en missions »et quelles peuvent être utilise en cas de problèmes.


Je montrai ma tête pour dire que les « problèmes » étaient pour ceux qui avaient de dérangement mentaux, ou des maladies type dépression ou burn out.

• Et pour répondre à votre première question, non. Elle m’a évoqué votre cas et ce qu’elle désirait faire de votre petit cul. N’étant pas d’accord, je vous accorde votre dernière chance !


Je commençais à m’énerver un peu. Ma familiarité, était assez évocatrice. Je n’aimais pas du tout les conséquences qui allaient découler s’il refuse de faire cet entretien. Ça serait tellement con !

Le pire c’est que j’avais aussi une petite aversion pour ce corps de métier. Et je trouvais cela presque ironique de lui faire la morale à propos de ce métier, alors que moi, même ne supporte pas vraiment être enfermer dans l’un de leurs bureaux.





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Matt Eversman
Caporal
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Mer 9 Déc - 16:00

Matt Eversman
Et c’était parti pour la leçon de morale à la sauce Sheppard.

Être le plus adorable et le mignon des chatons ? La tête offerte par Eversman devait valoir son pesant de dollars tant il demeurait ébahi par le conseil de son supérieur. De suite de nombreuses images et vidéos venant inonder les réseaux sociaux et internet lui vinrent en tête. Passé la surprise et sa salive avalée, une réplique lui brûla les lèvres et finit par s’échappait.

« Il faut que je ronronne aussi ?!! »

Sa question n’en était pas une et le ton sec employé démontrait clairement qu’il n’attendait pas de réponse. Le conseil de son supérieur aurait pu paraître amusant et décalé mais il n’avait pas tiré le moindre sourire au militaire qui préférait plutôt continuer de faire la tête. N’ayant pas affaire à un ennemi, son regard n’était pas méprisant néanmoins on pouvait y lire de la colère et le Ranger s’efforçait de détourner les yeux de son supérieur. Ses traits de visage demeuraient tirés, quelques mouvements de mâchoire ainsi que l’agitation forte d’une veine au niveau de son front témoignaient pourtant de son agitation intérieure. Les lèvres étaient pincées comme s’il se retenait de déverser un flot de paroles acerbes envers la psychologue et le monde médical ce qui était vrai. Il était loin d’être le maître du self-control et se devait de se maitriser, de contenir ses propos face à un tel supérieur.

Le Colonel Sheppard avait beau être un homme plutôt sympathique et par conséquent un supérieur apprécié aux yeux de Matt, il ne pouvait pas se permettre n’importe quoi avec lui. Il venait clairement d’exposer la menace : en cas d’échec au test psychologique, il serait renvoyé sur Terre. Ce ne serait certainement pas la seule conséquence, nul doute que certaines pages seront ajoutées à son dossier et là il pourrait définitivement faire une croix sur sa situation actuelle.

Pris au pied du mur, Eversman lâcha un nouveau soupir d’agacement avant de chercher à modifier sa position dans ce fichu fauteuil. Peu confortable à tout dire. S’il voulait rester sur Atlantis, il n’avait pas le choix et devait passer par ce fichu test ce qui l’agaçait fortement.

« Ok mais pas avec Stanford. »

Accepter d'y passer avait été difficile à prononcer. Têtu comme un âne, le Ranger n’était pas décidé à laisser gagner la psychologue sur tous les fronts. Déjà que se voir forcer à aller à un rendez-vous où un type chercherait à rentrer dans sa tête ne l’enchantait absolument pas, il refusait que ce soit elle, pas après les derniers événements.

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Lun 21 Déc - 14:41

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Un entretien ou un allé simple pour la terre ?
PV MAtt Eversman






Je l'avoue la tête que m'offrit le sergent maître, valait tout l'or du monde. Je me retenu de rire face à cette face d'incompréhension. Mais en tout cas, ça l'avait suffisamment marqué pour qu'il réagisse. Enfin bon, dans la mesure du possible. Car le ton froid et sec qu'il m'offrit avec sa phrase, montrait qu'il n'avait plus aucune once d'humour.

• Si cela vous empêche de griffer, oui.

Eh bah, on n'est pas rendus avec pareille tête de mule. Il semblait préférer bouder que de se détendre. Toute sa gestuelle et sa veine qui tambourine sa tempe, marquait à quel point il était agité intérieurement. Pourtant, il pouvait se relaxer avec moi, j'ai fini ma leçon et je ne vais pas le punir. Dans l'autre, je mettais à sa place et ne pouvais que comprendre son agitation.

En tout cas seul la menace clairement dite, sembla le faire réagir dans le bon sens. Je ne pouvais pas lui offrir plus, ni moins. J’avais fait le maximum pour qui retente sa chance ici. Et qu’il arrête de faire le con. En tout cas, son « ok » aussi difficile soit-il, fut une petite victoire. J’aurais bien aimé l’enregistrer et le montrer à la psy. Histoire de lui montrer que oui, Eversman c’est une bourrique, mais qu’il n’a pas besoin qu’on le foute inapte pour qu’il apprenne la leçon.

Je haussai les épaules. On n’avait pas spécifié avec la psy, que ça soit avec elle non ? Et bien il ira avec une ou un autre. Qu’importe, tant qu’il a sur son dossier « apte en mission ».

• Ça me va, vous irez avec le Docteur Falcon. Par contre, c’est quoi votre problème avec elle ?

Cela était avant tout, de la simple curiosité. Et dans un sens, cela me permettrait, si je dois le renvoyer chez le psy, de mettre un petit mémo « pas avec Stanford sinon clash ». Pour éviter encore ce genre d’histoire que peu intéressante. Bon, je me doute que cela n’allait pas plaire à la charmante Stanford, mais je tournerai mes mots, de manière à ce qu’elle ne me fasse pas un foin. Car à mon avis, cela devait la ronger autant que mon soldat de faire cet entretien.





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Matt Eversman
Caporal
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Lun 28 Déc - 15:36

Matt Eversman
Attentif à la réaction de son supérieur, Eversman ne laissa pas échapper le haussement d’épaules qui précéda son annonce. C’était un beau pied de nez pour le Sergent. Nul doute qu’il ne pourrait s’empêcher de passer devant le bureau de Stanford de lui faire un beau petit geste du doigt. C’était tout à fait possible qu’il ne soit pas capable de se contenir d’ici là et le lui adresse dès qu’il aura l’occasion. Un petit sourire malicieux pourrait s’afficher aussi sur ses lèvres histoire de montrer qu’il était parvenu à ses fins : il ne lui permettrait pas d’entrer dans sa tête.
L’objectif étant atteint, l’homme se détendit quelque peu relâchant un peu la pression accumulée depuis plusieurs minutes. Certes, il ne couperait pas au bilan psychologique mais il demeurait sur Atlantis et Stanford pouvait aller se faire voir. Une main passa dans sa nuque, la massant plutôt rudement avant de remonter sur ses cheveux agitant sa très fine pellicule de cheveux.

« Elle me harcèle, Monsieur… à croire qu’elle est tombé soudainement amoureuse… »

Un rictus suivant ses paroles. Non, il ne pouvait s’imaginer avec une telle demoiselle. Certes elle était mignonne, voir charmante mais après les derniers événements il en était hors de questions et il préféra de suite évacuer ses pensées de son crâne. Reportant son attention sur son interlocuteur, le garçon lui adressa quelques mots.

« Merci pour votre aide, mon Colonel. »

Le Lt Colonel Sheppard n’était pas n’importe quel officier. IL prenait soin des hommes placés sous son commandement et nul doute que là il avait dû joué un grand rôle dans l’affaire. Après tout, peu aurait accepté de faire ainsi l’intermédiaire entre le corps médical et lui et aurait plutôt classé son dossier parmi les départs. Là il avait pris de son temps pour lui et Matt lui en était redevable.

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Mer 6 Jan - 11:50

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Un entretien ou un allé simple pour la terre ?
PV MAtt Eversman






Je pu voir mon soldat se détendre. Chose normal, dans un sens il avait eu gain de cause. Ne pas voir sa psy d'enfer. Mais qu'importe au final, tant qu'il passe son entretien, je me fiche de savoir avec qui il le fait.

Je m'adossai au dossier de mon fauteuil, envisageant même d'en prendre un pour ma chambre. Après tout ils sont beaux et bien confortable… mais l'idée même qu'Élisabeth hurle de colère en voyant l'un de ses précieux sièges disparut, m'arracha un sourire dans le vent. Elle tenait à cette petite décoration. Et je l'avoue j'aimais bien l'embêter.

Ce même sourire qui resta sur mes lèvres, quand Eversman, me répondit. Oh pauvre bichon, il se fait harceler par une charmante jeune femme. Je pense que beaucoup d'hommes de cette base aurait été moins vindicatif face à la si belle psy. Rien que pour ses beaux yeux, j'en connais plus d'un qui se laisserait allonger sur le divan. Et je l'avoue, moi le premier. Ah les femmes… un gros problème. M'enfin, cette tête de mule d'Eversman, ne se laissait pas si facilement charmer par une psychologue, aussi belle soit-elle. Dommage, car cela aurait évité toute cette histoire.

• Elle sera donc triste quand je lui annoncerais que vous lui faite des infidélités, avec le docteur Falcon.

Une nouvelle fois, mon regard était malicieux. Je me levai, signe que l’entretiens était fini. D’une main amicale, je tapotai l’épaule de mon soldat. Bon maintenant je devais affronter la belle dragonne. J’en suis certain, un jour ma bonté avec mes hommes, me perdra.

END 06-01-2016




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