Lance Beauchamps - Fly little bird!

Carte d’Identité » Nom : Beauchamps » Prénom : Lance » Âge : 32 ans » Date et Lieu de Naissance : 3 Juin 1983, Canada, Québec, Montréal - Hôpital Sainte-Justine » Nationalité : Canadienne » État Civil : Célibataire » Arrivée sur Atlantis : renforts fin 2013 » Poste occupé : Pilote Jumpers, Militaire officier Sous-Lieutenant » Spécialité : Pilotage

» Groupe Sanguin : O-
» Gène des Anciens : Oui
» Inoculation du gêne des Anciens ? : Pas besoin .
» Pathologie : (Diabète, asthme…) Aucune
» Antécédents médicaux : Pas de graves pour que ça compte ^^.



» Caractère : Je suis devenu avec le temps et surtout depuis ma formation militaire quelqu’un qui doit agir et prendre en compte les décisions à prendre puisque toutes décisions entraînent nécessairement des conséquences et/ou bénéfices. Je suis une personne qui respecte beaucoup la hiérarchie militaire puisque les gens plus haut que moi sont probablement plus qualifiés pour prendre certaines décisions et c’est pour cela que je respecte les gens plus haut que moi. Je ne suis pas non plus un robot qui obéit au doigt et à l’oeil. J’ai une tête sur les épaules tout de même. Je ne remets jamais en question les ordres d’un supérieur sauf si la situation difficile m’oblige à donner mon point de vue pour améliorer la décision à prendre. Sinon, je suis très souvent obéissant. Je suis quelqu’un qui va privilégier le travail d’équipe que le mode solo. Lorsque j’ai à prendre des décisions, je m’arrange toujours pour prendre en compte ce que le résultat va donner pour le bien-être de tous, Le compromis peut fonctionner si la situation m’oblige à calmer une situation.

Sur l’aspect professionnel, je suis quelqu’un qui est à son affaire. Je déteste me faire déranger pour rien sur mes heures de travail. Ça ne me gênerait pas à remettre en place une personne qui entrave à mon devoir. Je suis également quelqu’un qui est assidu à son travail. Je respecte souvent les délais demandés et j’accomplis les tâches avec précision, si possible.

Sur l’aspect personnel, lorsque je suis avec une personne que j’entretiens une excellente relation, je peux être quelqu’un de très différent : attachant, souriant, ayant un grand coeur et surtout joueur. Je suis quelqu’un qui possède très peu d’amis, mais qui a une poignée de bons et vrais amis. Je ne suis pas le genre de personne qui va vouloir connaître tout le monde pour le simple plaisir d’avoir des connaissances ou amis. Je préfère garder mon cercle d’amis le plus maigre possible. Je ne dis pas non à de nouvelles rencontres, si seulement la rencontre provient des autres personnes à mon égard.

En général, je suis une personne très responsable, fiable et surtout assidu dans ce que j’entreprends. Je peux me faire remarquer par mon leadership et mon côté déterminé. Je suis quelqu’un qui ne laisse personne derrière pour m’avantager d’une quelconque manière. (no man left behind, comme on dit). Niveau émotionnel, je pense avoir un grand contrôle de mes émotions et de mes sentiments. Selon la situation, je suis capable de refouler des émotions pour m’ajuster et rester transparent. Je peux donc être un très bon menteur pour garder le fil des évènements. Je ne suis pas une personne qui va péter les plombs pour un rien, comme dit, je suis capable de me contrôler. Je suis de nature méfiant, ce qui est nouveau me donne automatiquement un état de méfiance. Puisque je suis très souvent en contact avec des gens dans le cadre du travail, je peux sembler rigide et très protocolaire aux premiers abords, oui car je suis quelqu’un qui prend son travail à coeur et je n’ai pas le temps à perdre à faire la connaissance alors que j’ai des tâches à faire. Ce n’est pas l’envie qui me manque de bavarder avec les gens, mais le travail avant toute chose! Je vais peut-être un jour me faire un burn-out, qui sait.
» Phobies : Se noyer, couler confiné dans quelque chose
» Objet choisi : Pendentif en forme d'aigle avec des ailes enflammées

Compétences Primaires	Compétences Secondaires
Corps à corps : 1 Précision du tir : 3 Infiltration : 0 Pilotage : 9 Esprit d'équipe : 3	Explosif : 0 Résistance à la douleur: 0 Influence : 3 Sang Froid : 7 Soins : 1 Technologies : 3 Mécanique : 0

« Un jour, je volerais avec les oiseaux. »

J’étais en sixième année du primaire quand j’ai écris sur une feuille ce que je voulais faire plus tard. La professeure m’avait interrogé devant toute la classe pour l’éclaircir à ce sujet.

« Je veux faire comme mon grand-père et piloter des avions pour être comme un oiseau, voler dans le ciel. »

Oui, mon grand-père était pilote d’avion pour l'aéroport de Montréal. C’est depuis qu’il m’a amené avec lui pendant le pilote automatique que j’ai pu découvrir l’endroit où mon grand-père dirigeait l’avion. Je me souviens de ce petit moment là où les nuages nous entouraient, j’avais l’impression d’être un oiseau qui traversait l’océan atlantique. C’était depuis ce moment que je savais ce que je voulais faire plus tard : passer ma vie dans le ciel.
Oui, j’étais vraiment rêveur dans ce temps.

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Mon adolescence s’est passé très rapidement, j’étais quelqu’un qui était réputé pour être imaginatif au fait que j’aimais écrire des fan-fictions dont je me projetais dans un monde futuriste. J’aimais beaucoup la science-fiction et la magie. J’avais mon côté geek qui pouvait ressortir de temps en temps. Je n’ai pas eu tant de petites amies que ça, enfin, je peux les compter, j’en ai eu trois. Après ça, j’ai décidé de faire une pause d’être en couple. Je dois l’avouer que je n’étais pas très fidèle en mon jeune âge, bah quoi, c’est la période de découvertes.

Vous l’avez peut-être remarqué que je n’ai pas tellement parlé de mes parents. La raison est simple : je ne les aimes pas. Je crois que c’est vraiment réciproque. Mes parents n’ont jamais désirés avoir un enfant. Je suis probablement sûr que je suis un accident. Ça m’a beaucoup frustré au départ, mais j’ai appris à accepter ce fait. Ma grand-mère disait toujours que ce n’était pas vrai, mais je crois qu’elle essayait juste de minimiser la situation pour ne pas avoir mal. Ah, je pourrais vraiment dire que mes parents étaient mes grands-parents. J’adorais aller chez eux. J’avais l’impression d’être vraiment chez moi.

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UNE DEUX...UNE DEUX!
Je me suis enrôlé dans l’armée canadienne à l’âge de 19 ans. J’ai cru que ça allait être fantastique. Je me suis trompé, l’enfer était situé pendant la période de recrue. Je me rappelle encore comment j’ai détesté cette ambiance ; isolement, quasi brain-washing, vie stricte et sévère. Je sais que le camp de recru sert à briser l’attitude et le caractère des hommes, mais le mien était déjà obéissant et tout ça. Mais, j’ai découvert un côté calme chez moi malgré les situations froides vécues, ce qui me faisait un atout face à des situations difficiles. J’ai “survécu” le camp de recru et je me suis fais remarqué pour mon leadership puisque je ne laissais aucune personne derrière moi, m’assurant que tout mon équipe puisse passer les tests (malgré que selon les supérieurs tout était mal fait). J’ai intégré l’armée de l’air avec facilité, j’étais dans le corps des officiers. J’ai débuté automatiquement avec le rang sous-lieutenant à la place d’élève officier puisque je me suis démarqué grâce à ma détermination, mon obéissance, garder mon sang-froid malgré les situations difficiles. .
J’ai appris avec les années à manoeuvrer plusieurs engins volant militaires, allant à l’hélicoptère à l’avion de chasse. Chaque vol me rendait fébrile, heureux et surtout libre. J’ai intégré la 3e Escadre de Bagotville, située au Québec. Je faisais beaucoup d’opérations de sauvetages en milieu de montagne avec mon appareil préféré le Huey, un hélicoptère multirôle, mais que je prenais pour les opérations de sauvetage. Je me faisais appelé le phénix puisque j’avais l’air d’un oiseau de feu dans les airs, un animal mythique qui malgré son apparence farouche et explosive est également un être qui recherche à aider les autres dans le besoin. J’étais spécialisé en sauvetage en montagne, mais on me confiait également des opérations de sauvetages en basse et haute mer lorsque la division marine canadienne ne pouvait se rendre à cause de la colère de la mer. Je me suis lié avec mon co-pilote, une histoire assez ambigu, mais que j’ai aimé puisque je ressentais une sorte d’attraction face à cet homme. Ce n’était pas nécessairement sexuelle, mais un tout qui me donnait envie d’être avec lui. Mais ça n’avait jamais donné que notre relation aboutisse à quelque chose. De toute façon, ma vie allait bouger encore.

Quelques années plus tard, on me forma pour devenir pilote de chasse. J’ai bien aimé cet apprentissage. Les défis se présentaient à moi et j’essayais de tous les remonter avec précision et conviction. On me confia le poste de surveillance aérien pour le Canada et États-Unis. J’adorais voler avec mon avion de chasse Freedom Fighter. Je m’ennuyais vraiment de mon poste de sauvetage puisque j’avais un sentiment d’accomplissement énorme en sauvant des vies, c’est ce qui me manquait le plus.

Quelques années plus tard, on me fit offrir le poste de support aérien pour le conflit en afghanistan. C’est là que j’embrassais vraiment le côté excitant et dangereux de piloter un avion de chasse car ce que je faisais était dangereux, C’est sûr que j’avais peur de recevoir un missile, mais fallait que je fasse confiance à mon équipe.



Pendant une séance d’entraînement d’avion de chasse, une défectuosité dans l’avion de mon collègue a fait perdre le contrôle de son appareil qui a foncé droit sur le mien. Je m’en rappelle comme si c’était hier. Je voulais esquiver l’avion de chasse, mais trop tard, j’ai dû m’éjecter de l’appareil. Un morceau de l’appareil m’avait heurté la tête qui m’a fait perdre conscience. Je me suis réveillé à l’hôpital de l’armée. On m’a prit des prises de sang, On m’a révélé que j’avais la présence d’un gêne inconnu dans le corps. Je me demandais bien ce que c’était. Ça n’a pas prit de temps que j’ai reçu visite d’un homme qui disait que j’avais un gêne spécial qui provenait d’une civilisation très avancée. Je me souviens de ne pas trop avoir cru cette histoire, que c’était une blague. Il m’a amené à une base secrète pour tester ses dires. Résultat : j’ai pu activer une arme quelconque au toucher. On m’a proposé d’aller piloter des «jumpers» sur une base située dans une autre galaxie. Au début, je n’y croyais pas ; je savais intérieurement qu’il y avait probablement de la vie ailleurs que sur Terre. J’ai donc signé un gros document de confidentialité. C’est ainsi que j’ai intégré l’équipe d’Atlantis avec le Dédale afin d’aller rejoindre la cité en fin janvier 2013

Maintenant, nous sommes en 2015, ça fait déjà deux ans que je suis dans l’équipe d’Atlantis. C’est une aventure extraordinaire en soi, malgré qu’elle soit stressante parfois dû à la menace Wraiths. Mais je garde toujours contrôle de moi-même, ce qui me donne l’avantage d’être bon dans ce que je fais. J’adore piloter les jumpers, je suis rendu un expert. Qui sait, un jour je piloterais mon propre vaisseau spatial. Un rêve qui bouillonne en moi, cependant, ma priorité demeure celle d’accomplir les tâches qu’on me confie.

» Comment votre personnage a-t-il vécu le moment il a pu poser les pieds sur Atlantis ? Ses premiers pas sur la Cité des Anciens ? : Je dois avant tout parler de mon transport dans le Dédale. Mes premières impressions surpassaient mes attentes. Je veux dire, pendant toute ma carrière militaire, jamais que j’aurais pensé aller dans un vaisseau spatiale et entrer dans l’hyper-espace pour me rendre dans une autre galaxie. Je passais la plupart de mon temps à regarder par les fenêtres et voir les traits lumineux bleus passer. J’ai même eu la chance de visiter le pont de commandement et j’ai fais la rencontre d’une forme de vie différente que l’humain : un asgardien. J’étais curieux et enclin à connaître l’alienne, mais j’ai vite compris qu’il devait travailler et n’avait pas le temps à m’accorder pour faire la connaissance. J’ai bien sûr trouvé cela dommage puisque je voulais le connaître, mais je le comprenais : duty first! J’ai sentis cette fébrilité dans tout mon être pendant le trajet du Dédale. Je savais que je m’embarquais dans quelque chose d’unique et périlleux, mais c’est ce que j’aimais faire et c’est ce qui me motivait à aller plus loin.

Mon arrivée sur la cité a été très accueillant. Oui, j’ai tout de suite regardé la beauté architecturale de la cité Atlantis. Je n’étais pas emballé du fait que la cité reposait sur une planète entièrement composée d’eau (je déteste l’eau). On m’a vite montré à manoeuvrer les jumpers que j’ai assez vite maîtrisé puisque j’ai de l’expérience accrus dans le domaine du pilotage. Je suis devenu Caporal assez vite et maintenue ce rang pendant deux ans. Je me suis vite familiarisé avec la technologie des Anciens, bien sûr je ne suis point scientifique et ni médecin, mais j’ai comme toujours l’impression d’être vraiment “à la maison”, comme si la technologie des Anciens étaient devenus normales, mon gêne ancien doit me pousser à vouloir en apprendre plus sur ces technologies avancées.




» Prénom ou Surnom : Frankies
» Âge : 24 ans
» Célébrité de votre avatar : Charlie Hunnam
» Comment avez vous connu Atlantis Insurrection ? (Google ? Ami ?) Pub Rpg Design
» Connaissez vous les séries Stargate ? j'ai vu atlantis et universe, j'ai regardé quelques sgc
» Multicompte ? Nop
» Codes du Contrat : (Ils sont cachés dans le règlement ; copiez/collez les 3 entre les balises.)